La demande est complètement justifiée! Quand on sait à quel point les dirigeants d’Israël peuvent être dangereux, pourquoi ne pas les obliger à adhérer au Traité de non-prolifération?
Moyen-orientAlors qu’une réunion sur le programme atomique iranien est prévue jeudi soir à New York, Hassan Rohani a appelé de ses voeux un « monde sans armes nucléaires ». Et a demandé à Israël d’adhérer au Traité de non-prolifération.
Après son intervention solennelle de mardi devant l’Assemblée générale de l’Onu, Hassan Rohani a poursuivi ce jeudi son offensive de charme diplomatique à New York. Le nouveau président iranien participait cette fois à réunion consacrée spécifiquement au désarmement nucléaire . Et il a une nouvelle fois fait preuve d’un ton très conciliant, bien loin des diatribes de son prédécesseur Mahmoud Ahmadinejad
Lors de son discours, il a tout d’abord estimé ‘ »aucune nation » ne devrait posséder d’armes nucléaires, jugeant que le monde avait « attendu trop longtemps » pour engager le désarmement nucléaire. « Tant que les armes nucléaires existent, le risque de leur utilisation et la menace de leur prolifération persistent », a-t-il lancé, au nom du Mouvement des non-alignés.
Rhétorique
Maniant à la perfection la rhétorique, il a cependant rappelé que le Moyen-Orient n’était pas une région sûre en raison de la présence d’armes nucléaires dans la région. Et a cité un pays en particulier : Israël . Il a ainsi appelé l’Etat hébreu à signer « sans délai » le Traité non prolifération nucléaire (TNP), auquel adhère l’ Iran .
« Près de 40 ans d’efforts internationaux pour établir une zone sans armes nucléaires au Moyen-Orient ont malheureusement échoué. Des pas urgents, pratiques, vers l’établissement d’une telle zone sont nécessaires. Israël, seul dans la région qui ne soit pas partie du Traité de non prolifération nucléaire devrait le faire sans délai supplémentaire. Toutes les activités nucléaires dans la région devraient être soumises aux contrôles de l’AIEA (Agence internationale de l’énergie atomique) ». Sous-entendu : celles de l’Iran (soupçonné par les Occidentaux de vouloir se doter de l’arme atomique sous couvert de son programme civil) mais aussi d’Israël, qui n’a pas jamais admis publiquement posséder l’arme nucléaire.
Réunion avec les ministres des Affaires étrangères
Ces déclarations ont eu lieu quelques heures avant une rencontre sans précédent entre certains chefs de la diplomatie des grandes puissances avec leur homologue de Téhéran sur le nucléaire iranien. Toutes les parties ont salué par avance cette réunion, même si elles en attendent des résultats limités.
Source+liens connexes: Lci.tf1.fr
Et donc, ajour indispensable à un tel article, un second issu du site voltaire.net au sujet des armes NBC d’Israël:
Les armes secrètes NBC d’Israël
La Syrie et l’Égypte ont refusé, durant des années, d’abandonner leurs armes chimiques face à un voisin menaçant, Israël, qui en développe de très sophistiquées, en plus de ses armes biologiques et nucléaires. Cependant, alors que la Syrie vient de rejoindre l’Organisation pour la prohibition des armes chimiques, le regard se porte sur les activités israéliennes.
Les inspecteurs ONU, qui contrôlent les armes chimiques de la Syrie, auraient beaucoup plus à faire s’ils étaient envoyés contrôler des armes nucléaires, biologiques et chimiques (NBC) d’Israël. Mais selon les règles du « droit international », ils ne peuvent pas le faire. Israël n’a pas signé le Traité de non-prolifération nucléaire, ni la Convention qui interdit les armes biologiques, et a signé mais non ratifié celle qui interdit les armes chimiques.
Selon Jane’s Defense Weekly, Israël – seule puissance nucléaire au Proche-Orient – possède de 100 à 300 têtes nucléaires et leurs vecteurs appropriés (missiles balistiques et de croisière et chasseurs-bombardiers). Selon des estimations du Sipri, Israël a produit 690 à 950 kgs de plutonium, et continue à en produire autant que nécessaire pour fabriquer chaque année 10 à 15 bombes du type de celle de Nagasaki. Il produit aussi du tritium, un gaz radioactif avec lequel on fabrique des têtes neutroniques, qui provoquent une contamination radioactive mineure mais de plus haute létalité. Selon différents rapports internationaux, cités aussi par le journal israélien Ha’aretz, des armes biologiques et chimiques sont développées à l’Institut pour la recherche biologique, situé à Ness-Ziona, à côté de Tel Aviv. Officiellement, 160 scientifiques et 170 techniciens font partie du staff, qui depuis cinq décennies accomplit des recherches en biologie, chimie, biochimie, biotechnologie, pharmacologie, physique et d’autres disciplines scientifiques. L’Institut, avec le Centre nucléaire de Dimona, est « une des institutions les plus secrètes d’Israël » sous juridiction directe du Premier ministre. Le plus grand secret entoure la recherche sur les armes biologiques : bactéries et virus qui, disséminés chez l’ennemi, peuvent déclencher des épidémies. Parmi eux, la bactérie de la peste bubonique (la « mort noire » du moyen-âge) et le virus Ebola, contagieux et létal, pour lequel n’est disponible aucune thérapie.
On peut avec la biotechnologie produire de nouveaux types d’agents pathogènes auxquels la population cible n’est pas en mesure de résister, ne disposant pas du vaccin spécifique. On dispose aussi de sérieux indices sur des recherches pour développer des armes biologiques pouvant anéantir chez l’homme son système immunitaire. Officiellement l’Institut israélien effectue des recherches sur des vaccins contre des bactéries et virus, comme celles sur l’anthrax financées par le Pentagone, mais il est évident qu’elles permettent de développer de nouveaux agents pathogènes à usage guerrier.
Le même expédient est utilisé aux États-Unis et dans d’autres pays pour contourner les Conventions qui interdisent les armes biologiques et chimiques. En Israël la chape de secret a été en partie déchirée par l’enquête qu’a faite, avec l’aide de scientifiques, le journaliste hollandais Karel Knip. Il ressort en outre que des substances toxiques développées par l’Institut ont été utilisées par le Mossad pour assassiner des dirigeants palestiniens. Des témoignages médicaux indiquent qu’à Gaza et au Liban, les forces israéliennes ont utilisé des armes de conception nouvelle : elles laissent le corps intact à l’extérieur mais, en y pénétrant, dévitalisent les tissus, carbonisent le foie et les os, et coagulent le sang. Ceci est possible avec la nanotechnologie, cette science qui projette des structures microscopiques en les construisant atome par atome.
Au développement de ces armes participe aussi l’Italie, liée à Israël par un accord de coopération militaire et son premier partenaire européen dans la recherche et le développement. Dans la dernière loi de Finances est prévue une attribution annuelle de 3 millions d’euros pour des projets de recherche conjoints italo-israéliens. Comme celui, indiqué dans le dernier avis de la Farnesina (ministère italien des Affaires étrangères), de « nouvelles approches pour combattre des agents pathogènes résistants aux traitements ».
Ainsi l’Institut israélien pour la recherche biologique pourra-t-il rendre les agents pathogènes plus résistants encore.
Voir le site internet de l’Institut israélien de recherches biologiques
Via sott.net
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry a affirmé jeudi que Washington pourrait lever des sanctions contre l’Iran dans les prochains mois si Téhéran acceptait de prendre rapidement des mesures pour autoriser le contrôle international de son programme nucléaire.
Le chef de la diplomatie américaine a proposé, dans un entretien diffusé jeudi par la chaîne américaine CBS, que l’Iran ouvre sa centrale nucléaire de Fordo aux inspecteurs internationaux, afin qu’ils puissent y vérifier le degré d’enrichissiment de l’uranium.
« Les Etats-Unis ne vont pas lever les sanctions tant qu’il n’existe pas un processus transparent et vérifiable par lequel nous saurons exactement ce que l’Iran compte faire de ce programme », a-t-il affirmé pendant l’émission 60 minutes.
Interrogé sur le fait de savoir si le président iranien Hassan Rohani avait raison d’évoquer un accord d’ici trois à six mois, John Kerry a répondu: « Bien sûr, c’est possible ». « Il est possible d’avoir un accord plus tôt, cela dépend de la franchise et de la transparence dont l’Iran voudra bien faire preuve », a ajouté le ministre américain.
Article complet sur 7sur7.be
MON COM HIER DANS LE FOUTOIR PLANETAIRE
Les inspecteurs ONU, qui contrôlent les armes chimiques de la Syrie, auraient beaucoup plus à faire s’ils étaient envoyés contrôler des armes nucléaires, biologiques et chimiques (NBC) d’Israël. Mais selon les règles du « droit international », ils ne peuvent pas le faire.
Israël n’a pas signé le Traité de non-prolifération nucléaire, ni la Convention qui interdit les armes biologiques, et a signé mais non ratifié celle qui interdit les armes chimiques.
http://www.voltairenet.org/article180357.html
si mon com,peut déranger,il faudra le supprimer mais ça ne changera pas dans la réalité des faits
l’etat hebreux n’en fera rien,ils s’en foutent,combien de condamnation de l’ONU? SANS SUITE
exacte . JAMAIS ils n’accepteront . ils se croient tellement » le peuple élu » qu’ils emmerdent tous le monde .
Soyons sérieux, même si les autres ont signé des TNP et autres accords, les stocks sont pleins d’armes en tout genre pires les unes que les autres.
Au moins Israël est cohérent.
Chez nous on met des super virus ou bactéries au point pour anticiper une hypothétique attaque et trouver le remède. Ca c’est l’argument officiel. Et vu que des labos privés sont soumissionnés, faut s’attendre tôt ou tard à une fuite dans la nature. Si ce n’est déjà le cas avec ces pandémies type SRAS, Ebola, SIDA?, etc…
http://resistanceauthentique.wordpress.com/L'Iran est le seul pays libre qui n’a pas signé l’article 21.
http://resistanceauthentique.wordpress.com/2013/09/26/de-lagenda-21-au-nouvel-ordre-mondial/
Oups !! Voilà sur l’article 21.
Com à double, erreur de manip sur smart…scusmeee..
« l’agenda » !!
Finalement, nous risquons de voir quelle théorie du « Complot » est la bonne…
Les trois coups du brigadier annonce le lever de rideau.
Après viennent les quatres cavaliers…
Sonnez trompettes…
La cavalerie arrive…
Héhéhéhé !!!
HAHAHAHAHAHA !!!
Mort de rire, ou sous les bombes.
Rohani est un malin et un fin diplomate.
Il a condamné les crimes des Nazis contre les Juifs et certains y ont vu une reconnaissance de la Shoah.
Pas du tout, les révisionnistes admettent qu’il y ai eu des persécutions mais pas la volonté de génocide.
Comme révisionniste, le gouvernement iranien appelle cependant à finir le boulot.
Je ne compte plus ses déclarations précédentes appelant à l’éradication d’Israël…
Il condamne surtout les nazis d’avoir été des amateurs dans l’application de « la solution finale »…
Il n’y a pas eut de génocide puisqu’il en reste encore…
« Il condamne surtout les nazis d’avoir été des amateurs dans l’application de « la solution finale »… »
Ah bon ? Des élément pour étayer cette affirmation ?
Je te rapelle qu’Israël est un état et qu’éradiquer un état ne signifie pas tuer tous les Juifs de cette planète.
Je constate en tout cas que le conditionnement des cerveaux par les Sionites fonctionne très bien.
Héhéhé !!!
Et ton conditionnement à toi ?
Il vient d’où ?
Tu manques sérieusement d’humour dans ta monomanie, en plus d’objectivité.
Il est vrai que la Diaspora, met les juifs à l’abri du génocide total, surtout qu’il y aura toujours des survivantes…
Et pire est la sélection, et meilleurs sont les survivants…
CQFD
Je rappelle que, après Israël, c’est en Iran que l’on trouve la communauté juive la plus importante du Moyen Orient. Ils ont des synagogues, peuvent vivre selon leurs rites, boire de l’alcool et ont même un siège au parlement iranien.
Comme quoi il est possible d’être anti-sionistes sans être anti-sémites…
Anti-sémite est un argument grotesque employé à tort mais facile à démonter.
Les sémites ne représentent qu’une partie des juifs mais aussi des musulmans et autres.
« Ces peuples sémites se situent principalement au Moyen-Orient, dans la péninsule Arabique, le Croissant fertile, en Afrique du Nord et en Érythrée ainsi qu’une grande partie de l’Éthiopie. »
« Les Ashkénazes, Ashkenaze ou Achkenaze1 (de l’hébreu אַשְׁכְּנַז désignant Achkenaz, un des arrière-petit-fils de Noé2) sont les Juifs provenant d’Allemagne, de Pologne, de Russie, de l’ancien Empire austro-hongrois et plus généralement d’Europe centrale et orientale. Ils ont une langue qui leur est propre, le yiddish, qui est une langue voisine de l’allemand enrichie d’emprunts à l’hébreu, au polonais et au russe. Leur liturgie a probablement été influencée par les cultures environnantes dans ces pays. Le mot ashkenaz désignait les terres qui s’étendaient au-delà du Rhin c’est-à-dire l’Allemagne ou le monde germanique et d’Europe centrale ». Les Achkenaz ne sont pas des sémites et représentent 80% des juifs.
Les Séfarades (parfois orthographié Sépharade) constituent une branche du judaïsme qui suit le judaïsme liturgique espagnol et portugais. Pas des sémites non plus.
Tout à fait exact.
Mais le terme antisémite est utilisé à dessein pour suggérer un sentiment proche du racisme alors qu’il ne s’agit que d’une religion.
Avec l’antisémitisme les Juifs ont leur délit à eux, comme ils ont la Shoah qu’il est très mal vu de comparer à tout autre génocide
Ainsi, si on le requalifiait de judéophobie, on remettrait le rejet du judaisme sur le même plan que l’Islam et le Christianisme.
Hors la critique ou le rejet d’une religion est légal.
Alors quoi penser de l’éradication des japs avec Fukushima, une liquidation en cours et proprement sans laisser de traces d’un coupable mais les empreintes y sont et il ne reste au peuple japonais qu’à accuser leurs bourreaux.
Mais comme vous savez que les élites au gouvernement japonais font partie de la bande organisée mondiale (le BOM)..ça sonne bien.. alors ils sont pas prêts de dénoncer.
criminalita: Moi j’y crois pas à cette théorie qui affirme que le séisme a été crée artificiellement par des bombes dans la faille.