Voilà à quoi ça sert de voter pour des politiques qui nous entrainent vers le fond, l’argent est roi et ceux qui le détiennent en veulent encore plus, toujours plus, aidés en cela par les élus de tous bords, qui loin de prendre soin de notre maison à tous la Terre, sont entrain de faire en sorte de laisser aux générations suivantes, des vidéothèques remplies de belles images du monde d’AVANT. Ce monde désolé, pollué et stérile, c’est l’héritage que nous laisserons à nos enfants, qui seront loin d’imaginer le nombre de cadavres qui est derrière leur petit confort. Sans compter le désastre humain dans ces lointaines contrées, si facilement oubliées par tous ceux qui ne voient que leur égo… Méditez sur la connerie, sur la vampirisation d’une partie de la planète, par (encore elles) les multinationales. Et nous qui achetons, achetons, achetons, sans trop nous poser de questions…….ASSEZ!!
Fin mars a eu lieu sur l’île de Sumatra une offensive sans précédent contre l’une des dernières forêts primaires de la planète.
Les cadavres calcinés de centaines d’orangs-outans, derniers représentants d’une espèce cousine qui ne comporte plus que quelques milliers d’individus, ont été signalés par les représentants des ONG sur le terrain. Les causes de cette tragédie sont, comme toujours, l’appât du gain d’un côté, et l’indifférence de l’autre.
Tout d’abord, vendre le bois de la forêt pour le transformer en mouchoirs jetables, en cartons d’emballage, en livres, en meubles de jardin, puis remplacer la forêt par des plantations de palmier à huile, ingrédient-ersatz du savon Dove d’Unilever, de la pâte à tartiner Nutella de Ferrero et de très nombreux produits de supermarché.
Enfin, contempler le désastre, lorsque, après quelques décennies, ces pratiques agro-industrielles auront érodé les sols fragiles, gorgé les nappes phréatiques de pesticides, transformant une région autrefois verdoyante en désert stérile.
Cependant, certains ne baissent pas les bras et ont décidé de mettre les entreprises devant leurs responsabilités. L’opération réussie de Greenpeace contre Nestlé et Sinas Mar, son fournisseur d’huile de palme indonésien, démarrée brutalement avec une vidéo extrêmement efficace, est encore dans toutes les mémoires.
Greenpeace s’attaque maintenant au secteur très lucratif du bois et de ses dérivés : une à une, les multinationales consommatrices d’emballages (Kraft, Adidas, Danone, etc.) finissent par comprendre où se trouve leur intérêt…
Mais, étrangement, un secteur semble résister à cette lame de fond : celui de l’édition.
Ainsi, dans un document concis et fort instructif, l’on apprend que le groupe La Martinière, notre champion national du beau livre bien-pensant (La Terre vue du ciel, Yann Arthus-Bertrand, 1999) fait partie des coupables. Soyons justes : il n’est pas le seul. Les éditeurs anglo-saxons, sont, eux aussi, très bien représentés.
Ainsi donc, le petit monde de l’édition, bien au chaud dans l’atmosphère intellectuelle de ses cafés, de Saint-Germain-des-Près ou d’ailleurs, ne semble pas être tout à fait conscient de sa contribution majeure à la crise écologique mondiale.
(…)
Pour lire la suite, cliquer ICIAuteur : David Bourguignon.
Source : davidbourguignon.wordpress.com via TerreSacrée
Difficile d’attaquer le monde de l’Edition. Le Livre est la plus belle invention de l’Homme.
Sans doute y a t’il beaucoup à faire pour la filiaire recyclage, et la cessation du papier glacé.
Néanmoins, aucune activité ne justifie de telles saloperies que celle décrite ici.
tout cela pourrait être réglé avec quelques champs de chanvre qui produit un papier plus résistant et qui jaunit beaucoup moins a la lumière… en plus de l’énorme avantage d’être renouvelable chaque année.
Seule une réelle volonté politique peut faire bouger les choses, légiférons sur le papier, imposons plus de 80% de papier recyclé pour l’administration, et le reste suivra comme dans les pays nordiques.
le petit regarde sa mère et dit pourquoi les humains nous tues et la mère répond parce que c est des imbéciles avides
d argents
saqlut les moutons
le monde de l’édition est déjà hyper mal géré
il suffit de voir tous les livres et journaux qui finissent au pilon,
même si c’est du recyclé;
il faut repenser l’édition,
en faisant du livre de qualité, donc durable.
touchez du papier qui a trois cent ans,
vous ferez la différence
bien entretenu,
il va encore durer!
j’ai certains livres qui doivent avoir une quarantaine d’années et dont les pages commencent déjà à se déliter!
là aussi obsolescence du papier
qui , par contre
ne sera plus recyclable !!!!!