Il y a du souci à se faire..
Depuis plus d’un siècle, les médicaments permettent de combattre bon nombre de maladies. Des plus bénignes au plus dangereuses.
Ces dernières décennies, l’industrie pharmaceutique s’est aussi inspirée des nouvelles méthodes de publicité et de marketing.
Logique quand le but est d’assurer la vente pour financer la recherche et tenter de soigner de nouvelles maladies.
Mais cela questionne plus lorsqu’il s’agit, à l’inverse, de marketer des maladies pour simplement étendre un marché et accroître les profits.
Jusque dans les années 70, l’industrie pharmaceutique créait des médicaments pour guérir certaines maladies. Depuis, pour accroître sa rentabilité, elle en vient à inventer de nouvelles maladies pour vendre des médicaments.
Du taux de cholestérol à la dysfonction érectile en passant par la dépression et le trouble bipolaire, Maladies à vendre démonte les stratégies de marketing et de communication mises en œuvre par l’industrie pharmaceutique, avec la complicité plus ou moins passive des experts médicaux et des autorités de santé, pour nous transformer en malades, c’est-à-dire en consommateurs de médicaments.
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Source Aphadolie
Voir aussi:
Stupide politique de l’argent, qui fait perdre complètement toute crédibilité aux laboratoires pharmaceutiques, si tant est qu’ils en aient eu un jour. Peut-être il y a longtemps… très longtemps…
L’intérêt peut-être de l’affaire est que cela devrait obliger chacune et chacun à prendre ses responsabilités, à retrouver son pouvoir, à prendre conscience que le corps n’est pas un objet.
Le désavantage est que, comme les médecines douces sont mal ou pas du tout remboursées, tout ceux qui ne peuvent pas payer seront (et sont déjà) mis sur la touche, obligés de passer par un système qui ne voient en nous que des numéros de dossiers et ce que ça va leur rapporter.
On en est là effectivement… Je connais pas mal de gens pour qui un médecin est comme un représentant de Dieu sur Terre, il faut obéir aveuglément, placer tous ses espoirs en lui. On ne se pose pas de question et on avale tout sans réfléchir. Le dernier point est peut être le plus important pour eux…
Je crois que le médecin en Chine n’est payé que si le patient ne tombe pas malade, l’accent est mis sur la prévention, autant physique que psychique. En France la valeur d’un médecin se mesure au chiffre d’affaire de son cabinet. Tous ne sont pas comme ça heureusement, mais ce n’est pas la majorité.
Concernant le coût des médecines douces, c’est en partie pour ça que je privilégie la phytothérapie. Mère Nature ne vend rien et il est relativement aisé d’être autonome en cultivant son petit jardin ou en se promenant dans la Nature. Chaque saison nous offre des trésors.
La connaissance n’est pas si dure à acquérir, même s’il faut bien sûr avoir envie d’apprendre, comme avec ce lien (gratuit) par exemple :
http://livresnumeriquesgratuits.com/data/documents/Le-petit-herboriste-illustre.pdf
Ou en pas gratuit, l’oeuvre de Maria Treben comme autre exemple, notamment son ouvrage ‘la santé à la pharmacie du Bon Dieu’.
Merci bob.
Merci Bob. Pour étoffer la réflexion au sujet de la maladie :
Voici un lien qui établit le rapport qui existe entre maladies, maux du corps ou de l’esprit et notre état émotionnel :
http://ekladata.com/0zGFX5jfyxxJjUWhUqUZC20v9IM/Martel_Jacques_-_Le_grand_dictionnaire_des_malaises_et_des_maladie.pdf