Ça risque d’être difficile, les gens commencent à réfléchir et se posent des questions, dont les réponses se font attendre. Vont-ils enfin être transparents les professionnels de la santé ? Pas sûr !
Face à la défiance et aux critiques, l’industrie pharmaceutique lance une grande campagne de communication pour tenter de renouer la confiance…
Mediator, Dépakine, pilule contraceptive de 3e et 4e générations, Levothyrox… Ces médicaments ont défrayé la chronique ces derniers temps, amplifiant encore la défiance entre public et industrie pharmaceutique. Le Leem, fédération française de l’industrie du médicament, a pris la mesure de ce désamour. Elle lance pour la première fois depuis quinze ans une grande campagne de communication pour rassurer le grand public. A l’aide de spots télévisuels et affiches, le slogan « La maladie ne dort jamais. Nous non plus » et #sansrépit va envahir métro et nos ondes à partir du 1er octobre.
Objectif ? Faire parler de l’innovation, des progrès incroyables de la médecine et de l’engagement des salariés de ces laboratoires pharmaceutiques.
Les Français veulent être mieux informés
Car il y a urgence pour changer l’image de cette industrie. Selon une étude BVA pour le Leem*, 87 % des Français estiment que les laboratoires jouent un rôle essentiel dans la découverte de nouveaux traitements… Mais 80 % d’entre eux attendent davantage d’informations sur ces recherches et découvertes. Et pour eux, la priorité reste d’investir dans des médicaments contre le cancer (75 %), Alzheimer et Parkinson (58 %) et le sida (37 %).
« Il y a un décalage entre la grande légitimité de l’industrie pharmaceutique et une exigence de plus d’échanges et de communication », analyse Odile Peixoto, directrice de la BVA Santé. Si la question a été soigneusement évitée dans ce sondage, nul n’est dupe : la confiance est rompue entre le public et l’industrie pharmaceutique.
Selon la dernière enquête de l’Observatoire sociétal du médicament du Leem, datant de 2016, cette confiance dans les médicaments ne cesse de s’éroder pour tous types de médicaments et surtout pour les vaccins. Elle se dégrade pour les médicaments sur ordonnance (88 %, – 5 points en un an), médicaments remboursés (88 %, – 4 points), médicaments de marque (87 %, – 2 points), médicaments non remboursés (74 %, – 1 point) et sans ordonnance (70 %, – 3 points), et enfin les vaccins (69 %, – 2 points).
« Redonner de la fierté »
…/…
Auteur Oihana Gabriel pour 2OMinutes/Santé
Les industries pharmaceutiques sont des sociétés commerciales et ont, de ce fait, une approche commerciale de la maladie.
Un médicament qui guérit ne rapporte rien !
Un médicament qui prolonge la vie d’un malade sans le guérir rapporte beaucoup !
Ce sont des industriels, pas des philanthropes !
La plupart des pseudo « études scientifiques » qu’ils publient sont complétement fausses quand aux vrais effets secondaires de leur « alchimie du diable » !
Dr Richard Horton (rédacteur en chef du Lancet): « La moitié de ce qui est écrit dans la littérature médicale est peut-être faux. »
http://initiativecitoyenne.be/2015/05/la-moitie-de-ce-qui-est-ecrit-dans-la-litterature-medicale-est-peut-etre-faux-dr-richard-horton-redacteur-en-chef-du-lancet.html
Pourquoi pensez vous que le même médicament porte des noms différents en fonction des pays ou ils sont vendus ?
Ben, pour « noyer le poisson » en cas de problème d’effet secondaire !
Les scandales restent confinés par nom de marque en agissant ainsi !
Impossible d’avoir une vue générale au niveau des patients, ni au niveau des médecins, par ailleurs ! 😉
hello les ME,
expliquer, reformuler, redire les choses pour etre sur d’etre entendu.
les Medicaments allopathiques ne peuvent en aucun cas soigner une maladie. c’est impossible. la seule choses que ces pilules peuvent faire c’est tromper le cerveau afin que le corps ne manifeste plus son déséquilibre. pour autand rien n’est soigné. l’absence de manifestation peut entrainer chez le malade traité une amélioration de sa sante si la cause était psychique. En fait c’est du placebo ! si l’atteinte est oganique, là rien a faire, les pilules ne pourons tromper personne. il faudra soit trancher, couper, curer ou si il n’y a pas d’altération des tissus apporter une supplémentation. en aucun cas le malade n’est guérit. Cqfd.
d’un point de vue industriel, 60% du prix du médicament va servir a sa promotion. ca en fait du pognon pour payer en sous mains des fausses études, corrompre des individus peu scrupuleux, financer des fondations bidons qui ont pignon sur rue, faire du lobbying dans les differentes institutions de nos démocraties, miter les ministeres avec des referents acquis a leurs business etc…je nai pas pris un seul médicament depuis au moins 30 ans. j’en prenais tres rarement avant. quand je suis malade ,ce qui est tres rare, je me mets au lit et miracle, 2 jours apres je suis sur pieds plus vaillant que jamais. saloperie de médicaments. les gens meurent certainement plus empoisonnes par les pilules et autres gélules qu’is ingerent plutot que des consequences des symptomes qui les tracassent…
c’est bon de l’entendre encore et encore : les médicaments ne peuvent pas soigner la maladie qui s’exprime a travers les symptomes que les medicament tentent de faire disparaitres. si c’etait vraie, on ne serait malade qu’une fois et apres on serait imunisé !
Entièrement d’accord avec toi !
J’ajouterais que seul le fait de garder une homéostasie régulée du corps lui permet de conserver un fonctionnement optimal !
De fait, il faudrait déjà donner des cours d’homéostasie dès l’école primaire avec la pédagogie adéquate afin de conscientiser les enfants sur le fait qu’un corps en bonne santé ne l’est pas du fait des médicaments qui l’empoisonnent mais du fait d’être à l’écoute de son corps !
La nature nous offre la pharmacopée la plus complété possible,
Bien d’accord avec vous deux: les médicaments ne sont pas faits pour guérir. Qui plus est, comme ils suppriment plus ou moins les symptômes pour détruire ailleurs, il faut alors en prendre un autre pour tenter de rétablir le déséquilibre que le premier a occasionné.
Ma voisine (80 ans) prend du Lévothyrox nouvelle formule. J’ai reconnu des symptômes que d’autres patients ont décrits. Qu’a dit son toubib ? C’est une campagne contre le laboratoire !!
On m’a donné pour le zona deux produits toxiques: j’ai reçu le conseil de ne pas lire la notice car il fallait absolument que je prenne le premier qui est un anti-viral. Et le second est un anti-douleur qui fait vomir ! J’ai préféré pleurer la nuit de douleur plutôt que de prendre leur cochonnerie ! Alors j’ai pris de l’homéopathie, huiles essentielles, argent colloïdal, EPP et permanganate et un autre désinfectant pour la peau.
Mais en même temps ça fait peur: si vous ne le prenez pas, il va revenir ! Qui ? Le grand méchant loup !!
La médecine a l’art de te culpabiliser ( tu fumes, tu bois, t’es obèse, tu ne prend pas ton anti cholestérol…., et j’en passe )
Cette façon de faire n’est là que pour couvrir leur méconnaissance totale de la façon de diagnostiquer un problème !
Exemple:
Problème d’hypertension ( vache à lait de big pharma ! )
On te prescrit 4 à 5 médicaments différents en misant sur le fait qu’un de ces médicaments réglera ta tension, pour les autres, ben, ils t’empoisonnent pour rien !
D’après la médecine conventionnelle, 95 % des hypertension sont qualifiées d »essentielle » ce qui ne veut rien dire du tout mais permet de ne pas chercher la vrai cause !
Dans la majorité des cas, la vraie cause est due au stress humoral mais le problème, c’est que le stress humoral ne se soigne pas, ni ne se guérit avec des médicaments.
Et vu que ce stress ne peut faire gagner de l’argent aux pharmaciens, ben, pour eux, le stress humoral n’existe pas et donc, c’est une hypertension « essentielle » !
Pas plus compliqué que cà !
Il ne faut pas tomber dans le sectarisme non plus bien évidemment que les médicaments sauvent des vies tous les jours, demandez , aux diabétiques, aux tuberculeux, aux cardiaques,aux greffés, à ceux qui n’ont plus de thyroide ou d’hypophise ou même un simple abcès dentaires les anesthésiques, les antidouleurs, etc ..?
Il n’empeche que de nombreux médicaments mis sur le marché actuellement ne servent à rien et peuvent présenter de nombreux effets secondaires.
C’est du bussiness c’est certain, les abus sont devenus la règle d’ou cette campagne de communication pour faire avaler n’importe quoi.
Tomber dans la carricature anti mędicament sert les labos, tout le monde connait autour de lui des personnes qui survivent ou vivent mieux grace aux médicaments donc un message excessif ne convaincra que de rares imbéciles et détourne l’attentkon du vrai problème qui consiste à assainir ce secteur d’activité essentiel pour tous le monde, en 1900 la plupart des contributeurs des moutons enragés seraient déjà décédés. Même un bête rhume peut entrainer le décès en cas de complications, c’est un discours de peuples riches dégénérés que de rejeter en masse l’intérêt du principe des médicaments a!lopatiques, dans les pays ou il n’y en a pas, une simple plaie accidentelle peut se terminer en gangrène etc….
Je te cite: « Même un bête rhume peut entrainer le décès en cas de complications, »
Encore aujourd’hui la médecine conventionnel NE peux PAS te guérir d’un « bête » rhume !
Corruption de médecins, autorités incompétentes: après le pavé dans la mare du Pr Even, voici la confession du Dr Dalbergue
http://www.spasmo-aide.ch/Pdf/Lectures.pdf
15% des hospitalisations après 65 ans sont dues à des accidents médicamenteux ». Quatre après, rien n’a changé.
http://www.notretemps.com/sante/medicaments-utiles-inutiles-ou-dangereux-rien-n-a-change-ou-presque,i129094
Alors là totoche tu m’épates, il en fallait un de post pro-labo !
Petite estimation à minima !
Médicaments : entre 13 000 et 34 000 morts chaque année en France ! Ha bon !
Début de citation :
L’étude EMIR (Effets indésirables des Médicaments : Incidence et Risque), conduite par le Réseau des centres régionaux de pharmacovigilance, a porté sur les hospitalisations liées à un effet indésirable médicamenteux. Rédigée en 2007, cette recherche concluait que « 3,60 % des hospitalisations étaient dues à des effets indésirables de médicaments » (contre 3,19% lors de l’étude précédente menée en1998). Et que « le nombre annuel d’hospitalisations dues à des effets indésirables de médicaments en France peut être estimé à 143 915 et le nombre de journées d’hospitalisation à 1 480 885 ».
Mais « il ne faut pas oublier, notent les rédacteurs de l’étude, que ces résultats ne reflètent qu’une partie du problème. En effet, ils ne prennent pas en compte tous les aspects de la iatrogénie médicamenteuse en particulier des décès qui ne sont pas hospitalisés, des hospitalisations dans les services de chirurgie ou dans des établissements privés et enfin des effets indésirables graves survenant au cours d’une hospitalisation ». En outre, il faut tenir compte de « la sous-notification ne permettant pas d’avoir le reflet des cas réellement survenus ».
Au moins 150 000 malades tous les ans
Bref, le chiffre de 150 000 personnes rendues malades tous les ans par les médicaments est un minimum.
Source :
http://www.ouvertures.net/medicaments-entre-13-000-et-34-000-morts-chaque-annee-en-france/
c’est un discours de peuples riches dégénérés que de rejeter en masse l’intérêt du principe des médicaments a!lopatiques, dans les pays ou il n’y en a pas, une simple plaie accidentelle peut se terminer en gangrène etc….
Les grecs savaient déjà soigner les plaies et éviter la gangrène sans médicaments, repris ensuite par les soldats de Napoléon ou les soldats Espagnols !
Pas besoin de merde allopathique, ce qui rimme avec sata nique ! ou sa te nique !
Qui a fait l’inventaire complet de toutes les molécules au préalable !
Pas l’allopathie en tous cas. La seule chose qui intéresse l’allopathie, c’est le fric, via breveter une molécule, copie non conforme et approximative du vivant ou du végétal !
Ceux qui la prescrive devraient être poursuivi pour crimes, empoisonnement, faux et usages de faux entres autres ! et cette fausse médecine devrait être totalement interdite, mais on y arrivera même si l’humanité a encore besoin de temps pour évoluer…
Bonjour Atalante,
Permets-moi une précision:
« Les grecs savaient déjà soigner les plaies et éviter la gangrène sans médicaments, repris ensuite par les soldats de Napoléon ou les soldats Espagnols ! »
Lors des campagnes guerrières de Napoléon, la gangrène était LE fléau, l’amputation était le seul moyen connu à l’époque pour enrayer le mal; Le chirurgien Larrey se distingua pour pratiquer ces amputations en moins d’1 minute, et sans anesthésie qui n’existait pas non plus.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique-Jean_Larrey
Bref, Larrey s’il avait connu un moyen d’éviter les amputations ne s’en serait pas privé, et je ne doute pas qu’il ait fait des recherches en ce sens.
Notre histoire a connu des médecins dévoués, sincères, y compris dans la franc-maçonnerie ( moi ça me fait mal de le reconnaitre 😉 )
Les temps changent, et la médecine changera avec;
Perso en ce moment je refuse de prendre du lévothyrox, contre l’avis du médecin. Je table sur l’alimentation et on verra bien. Pas facile de ne pas flipper, pas facile face à 10 ans d’études et autant d’expérience pro.
Mais je tiendrai bon, je veux lui prouver s’il ne le sait déjà que l’alimentation joue un rôle éminent dans la santé, et que masquer les symptômes ne suffit pas.
Une campagne de pub pour nous rassurer ?
Ils doivent s’inquiéter …
En attendant, ils ont fait pression pour que cette campagne de pub ne paraisse pas :
http://www.letribunaldunet.fr/wp-content/uploads/2016/06/m9-2-610×401.jpg
Petit rappel :
un patient guéri est un client de moins …
Redorer le blason de l’industrie pharmaceutique? Y a du boulot avec cette décision de justice.
https://lesmoutonsenrages.fr/2017/09/27/vos-infos-news-et-liens-et-autres-du-27-septembre-2017/#comment-566739