3 minutes pour savoir le faire. Partagez ! Volti
******
Source laurentd4
Culture de pommes de terre sur gazon. Démonstration, sans aucun travail du sol. Une excellente façon de transformer un gazon en lieu productif et préparer la mise en culture d’autres légumes pour les années suivantes sans effort. Ou simplement ressemer de l’herbe après.
Complément pour titiller les neurones et trop courte pour en faire un sujet,
La Belle Verte – Boycott.
Par ygrecBook
Le passé de la planète de Mila pourrait-il être notre avenir ?
Boycott et autonomisme, je valides à 100 %.
Bah voilà !
Facile en plus..
La même pour les radis
Salades Ossi
Bonnes bazzz
Continuez !
Si je n’avais que ce soucis là… bin non, c’est mes Oignons et Orties,
qui me font de l’électricité…
Je suppose un effet d’electro-culture, hum… ou d’interactions avec les arbres proches.
J’ai pas encore mesuré sur mes patates mais c’est prévu.
D’ailleurs qui poussent bien a l’ombre de 3 jeunes Noyers…
2 métres plus loin en plein soleil…rien, aucune patate n’a prise.
Je vais investiguer un peu plus car j’ai presque 1 volts a chaque plant…
ou tige d’ortie.
Les mettre en Serie permettrais probablement de connecter quelques petites Leds…
( chutt…faut pas le dire a ENEDIS sinon il voudra brancher des Linky sur nos Oignons… déja que c’est pas les siens ! )
Hugh !
J’ai bien riz
Excellent ! Merci
Il pleux a fond aujourdhui, rien a faire pour les mesures electriques…sniff.
Va faloir patienter.
Néanmoins, sachant que le sous-sol a un potentiel electrique négatif,
et que nutriments du sol, absorbés par les racines ont tendances a vouloir remonter
vers les parties vertes aériennes,
je suppose que le potentiel electrique aérien de valeur positive , si celui-çi est compromis ( principe d’electroculture ) par quelque chose autour de la plante,
les nutriments seront mal absorbés par les racines et la plante pousse mal.
Cela peux étre corrigé en mettant les parties vertes de la plante en contact avec une plaque métallique en surface du sol, générant le bon potentiel electrique.
Cet ensemble devient alors une véritable pile electrique végétale, dont le courant electrique y circulant, fera une bonne assimilation des nutriments,
du bas ( sol , négatif ) , vers le haut ( aérien, parties vertes , positives )
Avoir un potager qui produirait en plus de l’electricité serait non-négligeable pour des gens sans éoliennes ni panneaux photovoltaiques ayant par exemple besoin de recharger des accus de 1,5 volts (mis en serie ces accus peuvent faire fonctionner un portable pour communiquer )
ou quelques Leds pour illuminer leur petits chalets de campagnes.
Une seule ligne d’oignons de 2 metres sans les mettrent en serie (branchement electrique) m’a produit presque 1 volts et 2 micro-ampéres.
Avec un grand jardin, on peux aisement multiplier le voltage ou l’ampérage.
Toutefois, les plantes n’aiment pas certaines limites de courant a ne pas dépasser, sa leur ferait de l’electrolyse, qui leur serait nuisible.
Des valeurs limites seraient donc a respecter.
Vous avez deja vus les videos sur des piles a patates ou a citrons sur YT… c’est le méme principe, mais sans blesser la plante !
Si cela intéresse quelqu’un : la vidéo de Dominique Soltner « une saison de jardinage ». On trouve facilement des extraits de cette vidéo mais plus difficilement la vidéo complète que j’avais précautionneusement conservée.
https://docs.google.com/file/d/0B_cxuynszyy0N0pjbEU3bkZfZEE/preview?pli=1
Génial, merci 🙂
M.G.
Je n’avais pas eu le temps de passer par ici. Merci, c’est génial ! Une culture facile…
J’ai tester pour vous.
Date :2017
Plantation: 150 mètres linéaires.
Lieu : Prairie.
Situation: Lorraine.
Terre: Argilo-calcaire
Climat: continentale.
Plant 1/3 Précoce, 1/3 semi précoce et le derniers tiers à longue maturité.
Date de plantation: Mi-mai
Particularité: été bien chaud.
Résultat : Une catastrophe !!!… pour les trois variétés.
J’ai récolté quelques petites « billes ».
Dans le même temps, ma production conventionnelle fut elle, normalement moyenne.
Par expérience sur le long terme; le jardin c’est du boulot. Le reste c’est de la démagogie, ou juste des expériences particulières rarement reproductibles quand elles sont sorties du contexte initial.
c est mon avis ,on fait souvent ici comme ailleurs sur ce type d expérience ,d une réussite une généralité ….si c était si facile ,nos aïeux qui n étaient pas spécialement plus cons que nous ne se seraient pas échinés à bècher ou labourer la terre pour planter des patates si le systhème présenté dans ce lien était efficace …
Je n’ai jamais fais pousser non plus des patates sur gazon, ça me parait trop aléatoire comme méthode. Par contre je n’ai jamais eu à bêcher ni labourer pour planter mes patates, j’ai toujours préféré maintenir un sol riche, souple et surtout vivant et couvert, ce qui me permet de planter ou repiquer avec la main comme dans du terreau !
M.G.
Merci de ton avis, je trouvais bizarre que les pommes de terre qui sont gourmandes, puissent pousser aussi facilement 🙂
Après, il arrive par exemple que des pommes de terre poussent spontanément dans un tas de composte vert, à partir de déchets de cuisine contenant un bout de patate ! Donc pourquoi pas sur un gazon, et couvert d’une épaisse couche de matière organique pour éviter le verdissement. Rien n’est impossible. La patate est certes gourmande, mais pas trop difficile sur la texture du substrat. Il faut tester …
M.G.
J’ai vu qu’on pouvait les faire pousser dans des sacs de terreau, c’est un peu le principe ? Dans mon bac à compost, j’ai eu des petites pommes de terre, comme je l’ai retourné, je ne sais pas ce que ça aurait donné 🙂
Certains plantent dans un sac de terreau juste fendu sur le dessus, dans une poubelle de 80L emplit de terre, ou encore dans une « tour à patate ». Après, tout dépends de la récolte espérée. Pour obtenir 50 ou 100Kg de patates pour l’hiver, ça risque de faire cher en sacs de terreau ou en poubelles !
Mon tas de composte est une véritable jardinière ce printemps, il y pousse des fèves, des oignons, de l’ail et des fleurs 🙂
M.G.
Braves gens possédant encore une cave… transformée en jardin frais… la chance que vous avez !
Ceux en ville comprennent pas ce genre de trésors oubliés.
…Dans un sac de terreau, tu fais tout pousser, …ou presque.
Le tas de compost est par excellence un lieu de « terre riche, meuble et humide ».
…Tout le contraire de bien des gazons.
Bonjour MG,
Comme je te l’ai déjà dit, les anciens savaient tout cela.
Et pourtant ils bêchaient et désherbaient.
– Tout simplement parce qu’il n’avait pas assez de « déchets-verts » pour assurer un mode « permaculture ».
Surtout que pour eux, ces déchets n’en étaient pas !
Ils les utilisaient bien en amont, comme l’herbe fauchée/ nourriture aux lapins; restes alimentaires/aux poules; eaux-grasses/ au cochon, paille/litière, etc… Et le petit restant, sur le tas de compost.
– Au final les déchets-verts sont un luxe qu’ils ne pouvaient pas se permettre.
– Si demain la permaculture devient la généralité, s’en est fini de l’utopie.
– Qu’on le veille ou non, le bond de production on le doit principalement aux engrais « chimiques »*.
-Par contre, pesticides et autres saloperies n’ont apporté qu’une facilité temporaire, au prix d’une destruction de la bio diversité, préjudiciable à long terme dans tous les domaines,y compris celui du rendement.
*) Pour l’engrais, ce n’est pas qu’il soit chimique qui pose pb, mais bien plus, sa gestion « bien trop grasse ».
En pleine canicule j’avais fait un essai, réussi, de les faires pousser dans une tranchée de 1 métre de profond, la terre y est plus a l’ombre et bien fraiche et plus humide, méme sans pluies depuis des mois. ( les racines détestent la chaleur et les bacteries proliférent pluss dans un sol chaud, donc nuisibles aux radicelles… )
la chaleur peux pénétrer jusqu’a 20 cm de profond en été par canicule, j’avais mesuré jusqu’a 48 degrés , ….a 20 cm de profond !
( raison de plus pour ne pas tondre l’herbe inutilement, la photosynthése réduit énormément la surchauffe du sol et donc l’évaporation insensée de l’eau… d’où les luttes utiles contre les déforestations, qui déreglent une Nature qui a toujours su auto-réguler l’évaporation dans les sols )
Une autre fois une deuxieme récolte un 12 décembre, sorties de sous la neige… plantées en septembre aprés la premiere récolte,
et c’est bien les plus petites « billes » qui faisait le maximum de patates a chaque plants.
Actuellement je me suis aperçu que la « morphologie » du terrain agit aussi,
En bas d’un talu, rebord de terre, en tranchées, murs… c’est humide plus longtemps et mieux nourris par les nutriments qui s’ecoulent par la pente vers le bas… ( principe des mayas , culture en escalier )
Pareil pour le persil, sa pousse mieux a l’ombre et en pente qui fait couler les nutriments vers lui (tas de compost de cuisine juste au dessus, ou bois pourris etc…)
Donc Newton avec sa gravité, qui fait que sa s’ecoule en pente, pour ceux qui sont pas sur du plat… profitez en.
Et le soir, quand l’air se rafraichis, sa « aspire » l’eau vers la surface, d’où l’origine de la rosée du matin, qu’on peu récupérer par condensation a chaque plant par une plaque plantée en biais proche de la racine , sa s’ecoulera tout seul vers les racines…
Sa compense un peu le manque d’arrosage. ( planter en « tuiles » de condensation )
Ouhla, a peine « libres » ils en profitent pour tout tondre…
Une belle occasion pour récupérer (en douche) l’herbe coupée du voisin
qui la fait toujours enlevée et jetée dans la benne verte (decheterie),
quel gachis.