J’enquête depuis presque 2 ans, sur une substance chimique qui a littéralement envahi nos vies, en particulier celles des nourrissons. Pour le pire.
Il y a des produits toxiques qui ont un statut particulier : ceux dont la rentabilité financière est si importante qu’ils échappent à toutes les règles, à toutes les lois en vigueur, en particulier en matière de sécurité. Pendant près d’un siècle, l’Industrie a ainsi dissimulé les méfaits du plomb dans l’essence, de la cigarette ou de l’amiante. Toujours avec les mêmes arguments :
- Ce toxique s’élimine facilement
- Ce toxique est « naturellement » omniprésent
- Ce toxique n’est utilisé qu’à faibles doses
- Ce toxique est utilisé depuis longtemps : RAS
- Ce toxique est indispensable
Pour défendre ces poules aux œufs d’or, l’Industrie est capable d’absolument tout, y compris d’avoir recours à une « science du faux » : la science dite « défensive », dont le seul but est de produire de fausses informations, d’attaquer les chercheurs indépendants, de faire croire que le toxique n’est pas toxique. L’important est de gagner du temps, un temps précieux pour les profits au détriment de la santé publique (voire de l’écosystème mondial dans le cas du glyphosate).
Mais le nombre de victimes augmente, et peu à peu, le public s’interroge. On détourne alors l’attention des citoyens vers de faux débats, des soi-disant « controverses » fabriquées de toute pièce, comme s’il y avait un désaccord entre les chercheurs, comme si « le principe de précaution » était toujours abusif, comme si émettre un doute était franchement irresponsable, voire idiot. Objectif : empêcher la science indépendante et le public de découvrir la vérité. Et pour cela, produire de fausses informations, changer le sens des mots, avoir recours à la censure la plus dure, à la propagande la plus agressive.
S’interroger sur la sécurité du produit devient alors un comportement hautement suspect.
L’élément chimique sur lequel j’ai enquêté a un statut encore plus particulier, car ce sont les États eux-mêmes qui ont engagé leur responsabilité pour garantir sa sécurité. Toutes les agences sanitaires du monde soutiennent que ce produit est sûr. C’est ce que j’ai tout simplement voulu vérifier.
Et c’est à ce moment précis que ma vision du monde a été bouleversée :
1) Ce produit est un neurotoxique avéré dont la toxicité peut être retardée (les troubles peuvent apparaître des années plus tard).
2) La sécurité de ce produit n’a jamais été évaluée sérieusement sous prétexte qu’il est utilisé depuis longtemps, argument très discutable. Il bénéficie d’un « droit acquis » : on suppose qu’il est inoffensif sans jamais avoir vérifié ce postulat. Aucun test toxicologique n’a jamais été exigé pour sa commercialisation, alors même que ce produit est administré aux nourrissons, parfois dès la naissance.
3) Une seule étude théorique produite par la Food & Drug Administration américaine garantit la sécurité de ce produit chez le nourrisson, qui reçoit les plus fortes doses de ce toxique sans aucun filtrage naturel.
Problèmes :
- a) Si l’on applique les niveaux de sécurité européens (7 fois plus sévères que les niveaux américains) à l’étude de la FDA, ces niveaux sont dépassés pendant au moins la première année de vie du nourrisson. Les bébés sont donc officiellement intoxiqués par ce neurotoxique (= dangereux pour le cerveau).
- b) L’étude théorique de la FDA repose sur une seule étude expérimentale in vivo qui observe que ce neurotoxique peut entrer dans le cerveau.
- c) Fin 2017, la FDA a retiré son étude, qui n’est donc plus valable aujourd’hui.
Pourtant, la sécurité du produit est toujours mondialement affirmée : les 2 uniques études (théorique et expérimentale) sur lesquelles s’appuient cette affirmation démontrent au contraire le danger de cette substance.
Nos enfants sont donc, de facto, les cobayes d’une expérience à grande échelle, contraire au code de Nuremberg, au consentement éclairé, au Code de la santé publique…
La science indépendante, malgré le manque du subventions, malgré la pression des industriels, des institutions et des médias, publie de plus en plus d’études sur ce problème majeur de santé publique et est parvenue à démontrer que :
1) Ce produit neurotoxique peut entrer dans le cerveau, encore plus facilement chez le nourrisson dont la barrière hémato-encéphalique, protectrice du cerveau, est encore immature les 6 premiers mois (en moyenne).
2) Un neurotoxique dans un cerveau en développement peut activer le système immunitaire du cerveau (la microglie) qui, à son tour, sécrète certaines cytokines pro-inflammatoires dont IL-6. Ces molécules, nécessaires à faibles doses pour le développement du cerveau, peuvent provoquer des dysfonctionnements neurologiques importants si leur concentration augmente sur une durée prolongée.
3) Peuvent alors apparaître des « troubles neuro-développementaux« , un large spectre de troubles : de la vue, de l’ouïe, troubles moteurs, du langage, troubles du spectre autistique…
4) Oui, la cause de l’autisme (sécrétion chronique d’IL-6) est connue depuis 2007, mise en évidence par une équipe de Caltech, aux USA. Depuis, un solide corpus d’études internationales l’a démontré : tout neurotoxique qui entre dans le cerveau en développement peut déboucher sur un trouble neuro-développemental s’il produit IL-6 pendant une durée suffisamment longue.
5) Or le produit neurotoxique en question provoque la sécrétion d’IL-6 dans le cerveau, c’est démontré.
6) D’autres troubles sont également provoqués par cet élément, à court ou long terme : allergies, asthme, auto-immunité, syndromes de Fatigue Chronique… ainsi que certaines maladies neuro-dégénératives et certains cancers. Chaque trouble étant étudié par diverses équipes de chercheurs dans le monde. Aucun test de sécurité n’a jamais été produit en amont de sa commercialisation.
7) Ce toxique relève également de la toxicité des particules fines : aucune dose ne saurait être une garantie d’innocuité (plus la particule est fine, plus elle fait des dégâts).
8) L’analyse de 5 cerveaux autistes a révélé la présence de ces particules, spécifiquement incluses dans la microglie cérébrale de ces cerveaux.
Les enfants d’aujourd’hui grandissent dans un monde hyper pollué : leur organisme est soumis à de multiples toxiques dès la conception. L’état inflammatoire devient chronique pour nombre d’entre eux. Leur organisme peine de plus en plus à éliminer ces toxiques. Le fait d’introduire un neurotoxique directement dans leur organisme relève de l’inconscience et peut compromettre le bon développement neurologique d’un nourrisson à court, moyen ou long terme.
Les recherches indépendantes se multiplient et gênent les industriels : elles sont attaquées de toutes parts et leurs signaux d’alarme ne parviennent pas jusqu’au public. Dans le même temps, l’industrie continue à produire en toute impunité des études cliniques objectivement biaisées par l’utilisation de faux placebos (qui gomment l’émergence des effets secondaires), pratique qu’il faut absolument dénoncer. Le mot « placebo » a tout simplement changé de définition.
Il s’agit d’un problème éminemment politique, un problème majeur de santé publique. Un problème aux enjeux financiers gigantesques. Les troubles du neuro-développement spécifiquement autistiques coûtent à la collectivité 7 milliards d’euros par an, en France, selon la cour des comptes : on estime à 1% le nombre d’enfants souffrant de Trouble Autistique. Aux USA, c’est un enfant sur 59 qui est officiellement autiste (CDC 2014), 54% vivent avec une maladie chronique. En France, toujours pas de chiffre officiel.
Ce problème ce sont les adjuvants d’aluminium, présentés comme « indispensables » aux vaccins (alors que l’Institut Pasteur avait justement développé une alternative avec le phosphate de Calcium, jusqu’en 1986), aluminium injecté directement dans l’organisme des nourrissons, de façon systématique et obligatoire.
Je me demande si vous m’auriez lue, si j’avais commencé par là.
Et le scandale continue, trop gros pour éclater… Et moi, simple maman, j’ai fait ce que j’ai pu : j’ai réuni toutes ces informations, toutes ces sources (plusieurs centaines), dans une vidéo que j’ai mise en ligne sur youtube. Car il faut du temps pour bien comprendre le délire des adjuvants d’aluminium des vaccins. Si vous le pouvez, aidez-moi à diffuser ces informations. Il y a urgence.
Vidéo complète « L’Alu Total » : www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8
Brochure récapitulative : https://docdro.id/FPcrcC4
Liste des sources : https://alutotal.wordpress.com/le-danger-des-adjuvants-daluminium-liste-des-sources/
Et votre enfant est malade ?
Je suppose que vous avez la quarantaine !
Alors attendez encore une vingtaine et vous aurez , oui vous et pas votre enfant, des acouphènes puis des problèmes légers de mémoire. Tout celà qu’avec une dizaine de vaccins en une vie.
Alors vos gamins , 11 vaccins en une seule fois, bonjour les dégâts et si j’ose le dire mes sincères condoléances.
Des Français au cerveau esquinté depuis la naissance sont sans doute plus faciles à manipuler .
Chélation ou élimination des métaux lourds dans l’organisme (articulations, foie, reins, pancréas, cerveau)
https://willy-muller.info/infos-chelation-metaux-lourds-01.html
Code promo pour les moutons LME-15
…Et Willy, il reverses une partie des bénefs, pour le bon fonctionnement des ME?
Il n’y a pas que l’aluminium qui cause des problèmes graves dans les vaccins. On y trouve de tout. Nex*us fait une très bonne analyse ce mois-ci sur le sujet. Si les parents ne sont pas prêts à se battre pour leurs enfants, ils ne doivent surtout pas lire ce dossier ! Parce que, s’ils le lisent et qu’ils font quand même vacciner leurs gosses, ils deviennent des criminels.
La désobéissance civile est là une question de survie.
Je vois aussi venir très bientôt l’obligation vaccinale pour les adultes, notamment pour la grippe et la rougeole. Il s’agit d’y penser et de mettre en action des plans de survie contre cette atteinte manifeste à l’intégrité physique. D’ailleurs, les parents devraient se coaliser dans le même sens: de quel droit est-ce que l’Etat se permet une telle atteinte ? Au nom de l’intérêt général ? Un intérêt qui n’est pas prouvé, bien au contraire.
De plus, l’atteinte à l’intégrité physique sur personne incapable de se défendre (le bébé) est encore plus grave !
Tout à fait d’accord, mais là, nous avons toutes les preuves pour l’aluminium. L’étude de Corvelva (dont parle Nex) ne sera JAMAIS publiée, alors même qu’elle a été financée par l’Ordre des Biologistes Italiens…
Mais il est vrai que ce sont les antigènes qui coûtent le plus cher : donc c’est « logique » (dans la logique industrielle) qu’ils rognent sur cet élément. La vraie question est : comment sont réellement fabriqués les vaccins ? Car au vu de la quantité hallucinant de polluants retrouvés, il ne peut s’agir que d’une multi sous-traitance, antigène par antigène, à divers petits industriels, puis recomposition ensuite, par le labo. Comment savoir ? Il faudrait réellement enquêter sur ce sujet.
Concernant un autre vaccin. Ce n’est pas mieux.
http://www.marypasteur.info/article/nanoparticules-de-tungstene-dans-le-vaccin-hexavalent-de-gsk-le-procureur-demande-un-complement-d-enquete
Excellente Video,
et l’article de NEX US est tres bien également.
Le soufre Organique ( issue des vegetaux ) est un bon chelateur de toxines et de metaux lourds,, mais je ne sais pas si il chelate bien l aluminium…
Le plus paradoxal est que chez mon vétérinaire il y a une grande affiche qui indique que les vaccins qu’il emploie sont SANS adjuvants dérivés de l’aluminium…
Donc les chats et chiens qui y sont vaccinés sont protégés, et sans les inconvénients de ce produit, que les très jeunes enfants, eux encourent de sacrés risques, et définitifs : une fois intoxiqué, on ne revient pas en arrière…