Combien ont été donnés à Rihanna pour financer son « fond de solidarité » ? Pas du goût de tous, voir l’article du figaro.
Les policiers français sont bien décidés à faire entendre leur voix à la rentrée. Alors qu’un collectif organise une manifestation nationale de soutien le 16 septembre, une association a lancé début août un concours photo pour dénoncer le manque de moyens des forces de l’ordre.
L’Union des policiers nationaux indépendants (UPNI), une organisation qui se dit asyndicale, a invité les policiers à lui envoyer des clichés mettant en lumière la dégradation du matériel et de leurs conditions de travail.
Un album doit être concocté et publié pour la grande manifestation, mais en attendant, les premières images commencent à être révélées : des véhicules qui affichent plus de 300.000 km au compteur, des urinoirs bouchés qui débordent, des commissariats fermés au public pour cause d’infestation ou encore des portes rafistolées avec des morceaux de carton… « Nous avons lancé ce concours il y a une dizaine de jours, et depuis nous recevons des photos de toutes les unités », explique à LCI Christophe, le président de l’association qui témoigne sous couvert d’anonymat. Selon lui, un policier perd 45 minutes par prise de service pour trouver du matériel en état de fonctionnement. Cela peut aller de la radio qu’il faut rafistoler par ses propres moyens, à une voiture dont les ceintures sont hors service ou encore à des armes inutilisables. Sans parler du matériel informatique « d’un autre temps » qui tombe en panne régulièrement ou des commissariats inondés par temps de pluie.
« Ce qu’il faut retenir, c’est qu’aujourd’hui, le policier n’a ni le nombre de collègues qu’il faut, ni l’armement nécessaire, ni les véhicules pour assurer ses missions », assénait lundi une cadre de l’UPNI sur France Bleu Paris Région. Et la hiérarchie est pourtant bien au courant, assure l’UPNI. Interrogé par France 3, des policiers membres de l’association se souviennent que « pas mal de gens de la haute hiérarchie sont venus nous voir dans les services. Ils sont venus et on a discuté, parlé. Ils ont constaté, ils ont bien compris notre problème. (…) Effectivement, nous réunir et nous écouter est une chose, faire suivre les desiderata des collègues en est une autre. »
« SUR LE TERRAIN, ON NE VOIT PAS GRAND CHOSE »
L’UPNI, créée dans la foulée de l’attaque aux cocktails molotov à Viry-Châtillon en octobre dernier, avait déjà publié sur Facebook des photos de locaux et de matériels vétustes, après les manifestations de policiers, un peu partout en France. Après ce mouvement de grogne, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve avait débloqué 250 millions d’euros pour l’achat de matériel. « Il y a eu des services spécialisés, comme les brigades anti-criminalité (BAC) qui ont eu un renouvellement de leur parc automobile, un armement plus performant. Ça met du temps, mais ça arrive. Nous, sur le terrain, on ne voit pas grand chose », confiait lundi sur France Bleu un autre policier.
Source Actu-Orange
Voir
Oh les petits gars, quand vous défendrez vraiment l’innocent (= celui qui ne nuit pas) au lieu de pratiquer les délits contre les droits de l’homme à longueur de journée avec vos PV (24,2 millions en 2015 dont 58 % pour la vitesse), on pourra voir à s’occuper de votre sort. En attendant rappelez-vous ceci :
ART. 12. — La garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique; cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux à qui elle est confiée.
https://lesmoutonsenrages.fr/2017/08/17/nous-exigeons-que-nos-militaires-et-les-forces-de-lordre-soient-enfin-dignement-loges/#comment-558161
😉
Les nouveaux véhicules se font attendre!!!
http://www.lamaisonpoulaga.com/images/camion_grand.jpg
La culture d’entreprise vue par Bernard Werber
« Dans son ouvrage, l’Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu (ESRA),
Bernard Werber relate une expérience qui illustre parfaitement
selon lui la « culture d’entreprise ».
Mettez 20 singes dans une chambre close, accrochez une banane au plafond
et mettez une échelle permettant d’accéder à la banane.
Il n’y a aucun autre moyen d’attraper la banane que d’utiliser l’échelle.
Mettez en place un système qui fait que dès qu’un chimpanzé
commence à escalader l’échelle toute la pièce est arrosée d’eau glacée…
L’idée étant que si un chimpanzé décide de grimper à l’échelle
tous les chimpanzés reçoivent une douche glacée.
Rapidement les singes comprendront qu’il ne faut pas approcher de l’échelle.
Coupez ensuite l’arrivée d’eau glacée,
aucun singe ne tentera d’escalader l’échelle
qui reste pour eux synonyme de danger ou de punition.
Remplacez maintenant un des 20 chimpanzés par un nouveau.
Ce-dernier va bien entendu essayer de choper la banane
et sans comprendre pourquoi il se fera tabasser par les autres ;
pour lui l’idée est simple : les autres savent quelque chose
qu’il ne sait pas et donc échelle = danger.
Remplacez de nouveau un des « anciens » chimpanzés par un nouveau,
même topo son premier réflexe sera de se ruer sur la banane
et dès qu’il approchera de l’échelle les autres l’attaqueront,
et c’est le singe introduit juste avant lui qui sera le plus virulent.
Continuez l’expérience jusqu’à ce que les 20 « anciens » chimpanzés
aient été remplacés par des nouveaux, chaque nouvel arrivant
étant passé à tabac par ses pairs dès qu’il approchera de l’échelle.
Au final les 20 nouveaux chimpanzés éviteront l’échelle
sans savoir pourquoi il ne faut pas s’en approcher…
Ils suivent bêtement une règle imposée à la collectivité
sans chercher à en comprendre les tenants et les aboutissants.
Cette expérience illustre un concept économique appelé Loi de Parkinson
qui veut que « plus une entreprise grandit, plus elle engage des gens médiocres et surpayés.
Pourquoi ? Tout simplement parce que les cadres en place veulent éviter la concurrence.
La meilleure manière de ne pas avoir de rivaux dangereux consiste à engager des incompétents.
La meilleure façon de supprimer en eux toute velléité de faire des vagues est de les surpayer.
Ainsi les castes dirigeantes se trouvent assurées d’une tranquillité permanente.
A contrario, selon la loi de Parkinson tous ceux ayant des idées,
des suggestions originales ou des envies d’améliorer les règles de la maison
seront systématiquement éjectés. Ainsi, paradoxe moderne, plus l’entreprise sera grande,
plus elle sera ancienne, plus elle entrera dans un processus de rejet
de ses éléments dynamiques bon marché, pour les remplacer par des éléments archaïques onéreux.
Et cela au nom de la tranquillité de la collectivité » (Bernard Werber).
Ainsi naît et se développe la culture de l’entreprise,
plus une entreprise se structure,
plus elle devient une machine à produire du conformisme
et plus le jeu politique prend de l’espace
au détriment des idées novatrices…
A méditer messieurs les managers et autres chefs en tout genre… »
http://amnezik666.wordpress.com/2009/09/03/la-culture-dentreprise-vue-par-bernard-werber/
La culture d’entreprise vue par Pascale Escary :
« Je crois les dirigeants dans leur majorité très peu compétents, très peu « intelligents », cupides et de courte vue, en faillite et dépassés dans l’oeuf par leur acculture, par soumission comme par paresse à réfléchir… Je les crois très généralement de peu d’envergure comme de peu de courage, oublieux des vrais et seuls paramètres objectifs de l’entreprise, de sa raison d’être et vraie richesse, qui est de construire, produire, enrichir, tous ceux qui en sont les acteurs et par extension son environnement, sa ville, sa région, son pays… Si cette crise très profonde qui touche aujourd’hui nos économies riches peut avoir des effets positifs à terme, cela passera sans nul doute par un assainissement des mentalités malsaines ambiantes, dont la nature mortifère est malheureusement un constat de fait. Un peu de raison et de sagesse, de vision et de respect, aurait pu empêcher le désastre, mais seul le respect de la loi, on le voit bien, sera garant de valeurs dont on ne peut confier la garde seule aux hommes dés qu’il s’agit de profit…
Il ne se passe pas de jour sans nouveau scandale, dire l’indécence de tout ce monde est inutile, l’indignité n’a plus de limites. Nous baignons aux marais nauséabonds… Pour ce qui concerne le fond et la vie, peu d’âme, et en vérité de grands paresseux de l’esprit et de la conscience. Malheureusement… Non, non, aujourd’hui seul compte la servitude au chantage de l’investisseur, de l’actionnaire, comme seule valeur pour l’entreprise, et pour cette raison, la course au néant…
Le « bon » dirigeant est celui qui réussira le mieux à réduire toute contestation, exploiter, travestir, tromper, et écraser au mieux ses salariés, pour finalement les licencier, détourner ou contourner au mieux la loi… La liste est longue… Et, bien évidemment, le seul discours estimé par certains comme « recevable », soutenu comme « rationnel », « réaliste », est fondé sur ce seul critère qui n’est que baudruche vide de sens… Toute pensée, tout critique de cette pensée unique se voit taxée d' »irresponsable », évidemment… C’est évident, non ? Et combien s’y soumettent également les dirigeants politiques… L’ineptie profonde du vide comme valeur première, en résumé et en vérité, un sens de l’avenir très particulier, ouvert à quelques uns que le reste du monde est réservé à servir… Quelle perspective enthousiasmante, n’est-ce-pas ?…
Ssssurtout ne réfléchis pas … joli petit âne … bâté… Nous parlons bien ici de manque d’imagination, de manque d’esprit d’ouverture, de manque affligeant de profondeur, de conscience, de perspective et de combat pour des valeurs intelligentes, vraies, humaines, d’intérêt général, d’avenir social épanouissant pour un plus grand nombre… Mais, selon des discours dont on entend bien les raisons d’intérêt très personnel, tout changement de perspective est « impossible », « idéaliste et irresponsable », pour quoi et qui, « irresponsable », au fait ? Dans leur très grande majorité, les dirigeants sont devenus des robots, qui ont bien travaillé à l’école, jolis petits agneaux de trait, ont rempli un cerveau esclave, -dommage- afin qu’il soit utile et vendable sur le marché des dupes, et sont restés bêtement soumis aux cuillères de confiture, bécassons en costume… Vides d’âme… L’âme est une valeur humaine qui n’a pas cours en bourse, ni au sein des conseils d’administration, bien sûr très « raisonnables », voyez-vous… L’âme est une chose dangereuse impossible à conjuguer sur le mode « portefeuille de valeurs en bourse », l’âme est réservée à la messe le dimanche matin, chaque « chose » à sa place, ne mélangeons pas tout… Voulez-vous … Soyons « raisonnables »… «
« Un peu de raison et de sagesse, de vision et de respect, aurait pu empêcher le désastre »
Arf! Et le respect des yeux alors?!
Pourquoi payer davantage des gens qui obéissant à des ordres absurdes et graves pour la liberté individuelle, ne sont pas capables de se révolter contre ça et obéissent comme des abrutis à tout et n’importe quoi ?
Ils sont assez nombreux, il leur suffirait d’être solidaires les uns des autres, pour que tout change.
Ils défendent les lois édictées par les différents pouvoirs en place, au détriment de ceux qu’ils sont censés protéger, c’est-à-dire vous, moi, les autres, bref le peuple.
Alors pour moi ils peuvent bien aller le cul tout nu, je m’en moque ! marcher sans godasses, et ne pas avoir le dernier flingue sorti, je m’en moque aussi et pour les commissariats cradingues, ils n’ont qu’à les nettoyer et les repeindre eux-mêmes.
Et puis faire la manche, pourquoi pas ? il y aura bien des abrutis pour mettre une pièce dans le casque !
C’est vrai, dans la police pas beaucoup de moyens, encore moins de bons.
Que des mauvais…
Keny Arkana – Grabuge
https://www.youtube.com/watch?v=pESdxVtNFn4
« _ Vous accepter l’inégalité, vous défendez les privilèges,
au fond c’est dans la propriété que vous croyez,
votre ordre moral c’est l’exploitation d’une majorité
par une minorité.
_ L’exploitation.. Le grand mot! Pourquoi?
Qu’est ce que j’y gagne moi,
sur le plan personnel..?
_ L’illusion d’être vous aussi un patron,
et non pas ce que vous êtes,
c’est à dire un Homme… »
Vie en vrac
Un peu à l’arrache,
Trop de bric à brac, de briques, de brutes,
de blocks à cran comme braqués par la rage !
Jeunesse dans le grabuge, partant à la dérive,
avenir un peu flou, car tous noyés dans un mode de vie pas terrible !
Ce monde est malade, on en a pas guéri une grande parade
de laquelle on a acquéri l’art d’plier leurs barrages !
Leur putain d’intérêt voudrait nous rendre barge,
comment être posé c’est tintin au grand royaume des névrosés !
Welcome, bienvenida aquí (bienvenue ici en espagnol) où jamais rien n’est acquis,
où on t’apprends le contraire alors mes idées sont dans le maquis !
Ce monde n’est pas rose !! Non, non, il est kaki,
alors quoiqu’il se passe je resterais une soldat derrière le MIC !
Ambiance lacrymo, les yeux mouillés par la colère,
prépare tes bombes, l’homme robot vétu de bleu a soif de l’hécatombe !
Où ce ne serait que l’état tombe que chacun récolte ce qu’il mérite,
tout ça m’irrite, alors big up à tous ceux qui militent !
Regarde comme on est que de la gruge, dur de sortir de la ruche,
dans nos têtes c’est le grabuge, la paix a brûlé sur la bûche !
Condamnés depuis des lustres par un système de batards,
la destruction a gagné en vitesse pour elle y a pas de radars !
L’homme moderne, heureux, tant qu’il prend son chèque,
s’empêche de voir le cadavre des droits de l’homme criblé de balles mensongères !
Blasphème !
On m’a dit ton Dieu c’est l’économie,
on s’est construit un monde avec les mêmes règles que celles du Monopoly !
Mais bande de niqués, la folie est collective,
les libéraux se foutent de l’être humain,
les autres en font un fond de commerce !
Regarde dehors, ou ta télé, vois Sarko se fache, une voix me dit :
« enfermons ce ptit Hitler dans un sarcophage »
2007 je flippe, Nicolas, Jean-Marie,
j’en arrive à penser à l’exil si ça pète pas dans ma ville !
On s’est fait avoir, y a que du poison dans la gruge,
pour mieux écarter leurs règles, extériorisons le grabuge !
J’ai pas confiance en tout ce qu’ils nous réservent,
Ne vois-tu pas que les murs se ressèrent,
laisse-moi méditer en regardant le ciel,
Ce soir la lune est pleine, un peu comme ma rancune,
mon espoir est sur un brancard et mes rêves sont partis en cure,
N’ont pas été vaincus, mais empoisonnés,
mes souvenirs des troubadours qui ont déjà bien zonés, il me reste quoi ?
Le désespoir de mes yeux bien ouverts sur une réalité obscure où seul le pire tient les nouvelles
Ils aimeraient nous faire croire que tout va bien,
Ce sera le cas quand sur terre, mère, la misère sera loin,
Et connectée j’entends les pleurs, de plus d’un peuple,
l’ordre établi, insensible, l’occident enseigne la peur de l’autre,
Trop d’amalgames, l’homo sapiens s’est rendu,
pour donner place à l’homo-économicus, une race de vendus
J’ai pas confiance en ce qu’ils nous réservent,
et ça il faudra faire quelque chose avant que les murs se ressèrent…
« _ Vous n’avez pas répondu à la question sur les extrémistes
et les policiers brésiliens qui collaborent avec notre police,
en créant les escadrons de la mort par exemple.
_ Non, mais j.. J’ignore les faits dont vous parlez.
_ Mais vous appartenez à l’organisation ‘tradition famille propriété’?
_ Pas ici, au Brésil, ici j.. Je ne m’occupe pas de politique.
_ Quand on est fasciste dans son pays,
on est fasciste partout monsieur le consule.
_ Non i.. Ici Je n’.. Je représente seulement les intérêts de mon gouvernement.
_ En fait, il n’y a pas de contradiction. »
http://greatsong.net/PAROLES-KENY-ARKANA,GRABUGE,173158.html
État de siège (State of Siege) – Costa-Gavras
http://www.youtube.com/watch?v=cKkSvJFng8U
La police n’a pas la peau lisse !!!