Les États-Unis et les nazis, cette grande histoire qu’il faudrait oublier…

Les États-Unis, nation de tous les abus et des plus gros mensonges de l’histoire, se veulent garants de la bien-pensance sur la planète, ils décident de la politique des pays et donnent un « coup de main » en cas de besoin pour que les bonnes décisions soient prises, et n’hésitent pas à utiliser toutes les ficelles possibles et inimaginables en cas de besoin.

Mais il y a deux grands points de l’histoire qu’ils tentent de faire oublier car peu reluisante pour leur image de « gendarmes du monde » à la morale irréprochable, le génocide des 80 à 100 millions d’amérindiens, et les liens qui les ont unis aux régime nazi de la seconde guerre mondiale…

usa-nazi-bannerBien sur, ce ne sont pas les seuls ayant travaillé avec les nazis, mais ils se sont bien démarqué. N’oubliez pas que:

Et il y a la banque Chase, celle-ci fit de très gros profits avec ce qui a été confisqué aux juifs durant la seconde guerre mondiale, surtout après la nuit de cristal. Mais dans le « devoir de mémoire », il y a certains faits qui devraient être oubliés soit-disant….

Pactes avec le diable, est un documentaire (0h53) qui enquête sur les relations entre les États-Unis et le régime nazi d’Hitler lors de la Seconde Guerre mondiale, de l’implication des banques et industries américaines, et de cette période noire de notre histoire, l’Holocauste, qu’ils connaissaient déjà dès le début.

Des dizaines d’années après la dernière Guerre mondiale, Fabrizio Calvi, journaliste d’investigation spécialisé dans les affaires de criminalité organisée et des services secrets, enquête sur ceux qui étaient au courant de l’existence des camps de concentrations avant la découverte par le grand public. Des documents déclassifiés par la CIA fournissent des éléments de réponses et indiquent que dès 1941, les Alliés connaissaient la situation mais se refusaient à la divulguer.

Les relations entre les Alliés et les nazis pendant et après la Seconde Guerre mondiale n’ont-elles pas parfois relevé d’un pacte avec le diable ? Oui, si l’on se réfère à l’utilisation de criminels de guerre lors des jeux troubles de la guerre froide. Si le silence et l’inaction valent complicité, l’absence de réaction des Alliés face à l’Holocauste, qu’ils connaissaient pourtant dès les premières heures, tient elle aussi du pacte.

Ce documentaire exceptionnel puise ses sources au cœur des archives secrètes rendues publiques par les américains. Fabrizio Calvi, spécialiste de l’histoire du renseignement, démonte les mécanismes de la conspiration du silence qui s’est établie autour de la destruction des juifs d’Europe, notamment lors de la conférence des Bermudes sur les réfugiés d’avril 1943. Avec Steeve Baumann, reporter et réalisateur, ils se sont plongés dans 250.000 pages de dossiers tout juste déclassifiés de la CIA, du FBI et des services secrets de l’armée américaine, le tout recouvrant une période allant de la fin des années 1930 jusqu’au début des années 1980. Les services secrets auraient ainsi entretenu des rapports avec les nazis.
Pourquoi les américains ont laissé faire l’inimaginable sans réagir ? Quels ont été les enjeux politiques et humains de cette entreprise sans nom ? Que cachait le mystère du train de l’or hongrois ? Quelle était l’ampleur de l’infiltration soviétique des réseaux nazis pendant la guerre froide, notamment les réseaux dormants de Martin Bormann ? Une somme de révélations sur le cynisme des dits « vainqueurs. »

Point de départ de l’enquête, le 8 octobre 1998. Bill Clinton signe à Washington D.C le Nazi war crimes diclosure act. Après des années de pression, l’Amérique accepte d’ouvrir ses archives sur la Seconde Guerre mondiale, mais aussi sur une période bien plus longue pour tout ce qui concerne les criminels de guerre. Un groupe d’historiens a dépouillé ces 8 millions d’archives. Fabrizio Calvi et Steeve Baumann se sont glissés dans leurs pas pour nous révéler à leur tour les secrets troublants qui dormaient depuis 60 ans dans les coffres des archives américaines. Trois axes majeurs se dégagent de cette enquête.
Premièrement, la période de l’holocauste : Que savaient les alliés de la préparation puis de l’exécution de la solution finale ?
Deuxièmement, biens juifs volés, nazis et banquiers américains.
Troisièmement, le grand retournement de l’après guerre, dont les témoins et acteurs de ce retournement d’espions nazis par les nouveaux maîtres américains, ont été retrouvés, et témoignent. L’entremêlement de ces nouveaux documents d’archives et de la parole des témoins encore vivants fait redécouvrir une période noire de notre histoire.

Les énormes capitaux américains qui furent transférés en Allemagne depuis 1924 sous la couverture du « plan Dawes et du plan Young » constituaient la base sur laquelle Hitler allait construire toute sa machinerie de guerre.
Ainsi que l’expose le Dr Anthony C. Sutton dans, Wall Street and the Rise of Hitler, l’apport fourni à l’Allemagne avant 1940 par le capitalisme américain en vue de préparer la guerre, ne peut être qualifié que de phénoménal. Il fut, sans aucun doute, décisif pour la préparation militaire de l’Allemagne.

Des preuves permettent de comprendre que l’économie américaine était lucide sur la nature du nazisme, prêt à l’aider et à le soutenir financièrement par intérêt personnel, et pleinement conscient que cela finirait par une guerre où seraient impliqués l’Europe et les Etats-Unis…

En connaissant les faits, il est impossible de plaider l’ignorance. Les preuves très soigneusement établies qui attestent que les milieux bancaires et industriels américains étaient largement impliqués dans la montée du troisième Reich sont maintenant accessibles au public. On peut les trouver dans les comptes rendus et les rapports sur les auditions du gouvernement publiés entre 1928 et 1946 par les différentes commissions du Sénat et du Congrès américain.
Une partie de cette histoire accablante est dévoilée par l’historien G. Edward Griffin : « Les années précédant la Deuxième Guerre mondiale virent naître un cartel international qui avait son siège central en Allemagne. C’était une force politique et économique puissante. »

Ce cartel s’appelait I.G. Farben. Il avait développé, en1926, une méthode pour obtenir de l’essence à partir du charbon et conclut donc en 1939 un contrat de licence avec la Standard Oil de Rockefeller. Cette dernière donna à I.G. Farben 546.000 de leurs actions ordinaires d’une valeur de plus de 30 millions de $. Plus tard, I.G.Farben construisit des raffineries juste à côté des camps de concentration. Les prisonniers furent contraints d’y travailler comme des forçats pendant qu’on produisait dans les raffineries le gaz pour les chambres à gaz. Le groupe I.G. Farben, qui a passé des accords de cartel avec 2000 sociétés dans le monde, dont Ford Motor Co., Alcoa, General Motors, Texaco et Procter et Gamble, pour n’en citer que quelques-unes, était contrôlé par les Rothschild et écoulait des sommes d’argent énormes dans l’économie allemande, et particulièrement aux futurs SS.

Plus de 100 firmes américaines furent impliquées dans la construction de la machinerie de guerre allemande. Entre autres, la General Motors, ITT, Ford, International Harvester, Bayer, Standard Oil, la fondation Rockefeller, etc. Les investisseurs ne visaient pas des affaires à court terme puisque le contrat entre ces firmes et le gouvernement allemand stipulait que celles-ci n’avaient pas le droit de sortir un pfennig, subdivision du Deutsche Mark, d’Allemagne. De toute évidence, tout cela avait déjà été préparé dans les moindres détails. Cependant, seuls les initiés étaient au courant.

Griffin résume les derniers événements ainsi : « Les banquiers et leurs agents sont à l’origine de la situation qui a conduit à la première guerre. Ils en retirèrent un bon butin, financèrent la révolution russe et obtinrent le contrôle de ce grand pays. Ils manipulèrent les événements en Europe d’après guerre de façon à provoquer une situation qui les amena, financièrement parlant, au septième ciel. Ils utilisèrent des fonds américains qui leur permirent d’empocher d’énormes commissions pour équiper l’industrie allemande d’installations techniques de pointe… »

Quand de plus en plus de personnes parlent de mafia de la finance, de complots, de non respect des lois et de crimes contre l’humanité, l’histoire confirme que ces mots sont vérités, même encore pour notre époque. Tout le reste n’est qu’endoctrinements, propagandes, faux récits historiques, lamentations éternelles…

Des témoignages de spécialistes et d’anciens responsables viennent étoffer les recherches d’un documentaire explosif sur cette sombre partie de l’Histoire américaine et de la Deuxième Guerre mondiale.

Source: Inexplique-endebat.com via Sott.net

https://www.youtube.com/watch?v=cgLf3-dDb8o

 

8 Commentaires

  1. Les Etats-Unis stérilisent la population des pays en développement

    Par La Voix de la Russie | Pandémies fictives, lois sur la vaccination obligatoire – ce ne sont
    que des préparatifs de la stérilisation totale de la population « inutile » de la Terre.

    En 1989 une étude Memorandum-200, ouvre du conseiller à la sécurité nationale américaine Henry Kissinger datant de 1974, a été rendue publique. L’étude était consacrée à l’augmentation de la population dans le monde et aux conséquences que celle-ci pourrait avoir pour la sécurité des Etats-Unis et des intérêts américains dans le monde.

    En guise de solution le Memorandum-200 proposait de réduire la population des pays en développement ce qui permettrait aux Etats-Unis d’accéder aux ressources naturelles de ces derniers.

    Le plan secret de Kissinger a été immédiatement mis en ouvre. Dans les années 1980-1990 la stérilisation est devenue le moyen de contraception le plus populaire en Amérique latine. Plusieurs organisations et agences proposaient la stérilisation mais seulement quelques-unes étaient brésiliennes. Fédération internationale de planification familiale, Pathfinder Fund américain, Association pour la contraception chirurgicale volontaire – toutes les organisations opéraient sous l’égide de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID).
    En 1989 le gouvernement brésilien, jadis fervent partisan du programme de stérilisation ayant pour l’objectif affiché la lutte contre la pauvreté, a déclaré que ce programme était devenu « excessif et superflu ». Selon certaines données presque 90% de femmes brésiliennes d’origine africaine ont été stérilisées dans le cadre de ce programme.

    Depuis 2011 une vaste campagne de stérilisation a été lancée au Rwanda en visant 700 000 hommes. S’étalant sur trois ans, elle est intégralement financée par l’USAID. La campagne est certes volontaire mais « à chaque fois qu’une campagne de stérilisation a des dimensions considérables, elle aboutit à une coercition », fait remarquer le président de l’Institut américain de recherche sur la population (Population Research Institut) Steven Mosher. Il considère que « les conséquences pour la vie familiale et le développement économique du Rwanda seront assez tangibles » et qu’il s’agit du « meilleur moyen » de prévenir le SIDA. Il oublie cependant que les lois américaines interdisent à financer des avortements forcés et des stérilisations.

    Il ne s’agit que de plusieurs exemples de ce qui se passe un peu partout dans le monde. Dans une guerre pour les ressources la fin justifierait les moyens surtout si l’augmentation de la population compromet l’avenir économique des pays développés, dirait Kissinger. Mais il ne faut pas oublier que la stérilisation forcée est constitutive d’un crime contre l’humanité, si elle est pratiquée de façon importante et systématique. Ses auteurs devront alors être jugés par la Cour pénale internationale.

    Source : http://french.ruvr.ru/2014_04_11/Les-Etats-Unis-sterilisent-la-population-des-pays-en-developpement-3356/

  2. Je me permet juste de vous pointer 3 choses :

    A voir et a revoir tellement Pauwels est prodigieux d’humour et de dérision tout en restant grave, sur un sujet qui l’est tout autant,

    la vidéo du « mythe de la bonne guerre » un incontournable que chaque Français(es) devraient avoir vu dans sa vie,

    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/8854-6-juin-44-ce-qu-on-ne-vous-dira-pas

    Et le films 1000 milliards de dollars qui explique cela très bien,

    https://www.crashdebug.fr/loisirss/72-cinema/9409-mille-milliards-de-dollars

    Pour ce qui est de l’histoire « récente »

    nous avons l’incontournable John perkins et ses révélations….

    https://www.crashdebug.fr/dossiers/6151-john-perkins-l-histoire-secrete-de-l-empire-americain

    Amicalement,

    f.

  3. http://www.youtube.com/watch?v=ysNopSgreao

    http://www.noviorbis.net/t895-les-nazis-avaient-planifie-un-4eme-reich-lunion-europeenne?highlight=nazis

    > Les chefs Nazis cherchaient à préserver leur puissance à la fin de la seconde guerre mondiale. Ils ont conspiré à la création d’un 4ème Reich sous les auspices de l’Union Européenne. Les documents découverts récemment indiquent que ce complot était réel !

    – Pourquoi les États-Unis n’ont-ils pas poursuivi Hitler ?
    https://henrymakow.wordpress.com/2014/04/05/pourquoi-les-etats-unis-nont-ils-pas-poursuivi-hitler/

    Akasha.

  4. bonjour,

    Antony Sutton explique très bien les financements de la 2eme guerre mondiale

    https://www.youtube.com/watch?v=S12LfqeT00w

    D’ailleurs Pierre Hillard en parle très bien

    https://www.youtube.com/watch?v=ahWenEep3hw

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