Pour en arriver là, il faut un investissement personnel, qui ne souffre pas d’à peu près. C’est du travail, de l’imagination, du temps et un esprit où le matérialisme n’a pas sa place. Merci à Galadriel pour la découverte de cette initiative.
Une expérience qui peut faire rêver sans aucun doute. Mais le titre n’est pas tout à fait exact comme vous le comprendrez en lisant l’article et surtout en écoutant le reportage de rfi que je vous recommande vivement si vous voulez comprendre le fonctionnement. Certes il n’y a aucun rapport d’argent à l’intérieur du village, mais l’autonomie n’est pas encore tout à fait là…
Depuis 2009, des Français font revivre cette commune abandonnée. Et ils font ça à leur façon, à mille lieues des habitudes contemporaines.
Vivre sans argent : certains en rêvent, d’autres le font ! Et pas besoin de s’exiler au bout du monde pour tenter l’expérience. Dans les Pyrénées, par exemple, des villages autonomes et alternatifs se sont ainsi constitués en dehors du système, hors de la société de consommation et loin de la frénésie de l’époque. Gros plan sur l’un d’entre eux, celui d’Uli Alto.
Jusqu’en 2009, Uli Alto était encore l’un de ces nombreux villages abandonnés et sans vie. C’est ici, au nord de l’Espagne, que trois jeunes Français ont décidé de poser leur valise pour y mener la vie de leur choix. Depuis, la communauté se développe et la vie s’organise.
Le site Toits Alternatifs nous apprend notamment que le village dispose désormais de l’électricité grâce au soleil et au vent, que l’eau est puisée à la source, que des toilettes sèches ont été creusées et que des douches ont été installées. En somme, rien d’essentiel ne manque au confort le plus élémentaire.
Côté alimentation : même chose. Tout est là, à portée de main. Des chèvres et des brebis fournissent le lait, les poules « offrent » leurs œufs et le potager se charge des légumes.
Uli Alto ça ressemble à ça
[youtube width= »525″ height= »344″]https://www.youtube.com/watch?v=abinnpgSXdk[/youtube]La communauté loge dans des caravanes, des yourtes, des tentes, des maisons en bois. Là non plus, ce n’est pas un souci. Et quand il y a besoin de plus de bras pour mener un chantier à bien, les habitants d’Uli Alto font appel aux autres communautés autonomes de la région.
C’est d’ailleurs pour envisager ce genre de services solidaires, partager leurs expériences et trouver des solutions d’avenir que les communautés locales se réunissent une fois par mois.
Vous vous demandez à quoi peut ressembler une vie sans télé ni monnaie ? Alors regardez cette petite vidéo trouvée sur Youtube. Faute de s’ennuyer devant un écran, à Uli Alto on s’amuse d’un rien !
Vidéo, reportage et fin de l’article
Source Positivr.fr
Voir:
Une immense base de donnée de 7000 plantes utiles (Anglais)
Trésor de la nature : Les bienfaits de l’épine-vinette
Protéger vos bois pendant 80 ans !
Pratique : Guide des 100 principales huiles essentielles en aromathérapie
Bon. C’est sympa, et tout et tout…
Littéralement en effet, 8 habitants dans 3 logements peuvent s’appeler un village.. Mais ici on est plus dans la logique d’une ferme de 3 familles que d’un vrai village…
A partir de quelques centaines d’habitants, avec tous les vrais problème de vie collective, cela deviendrait plus crédible…
Je dois justement m’y rendre dans une quinzaine de jours.
Je compte en même temps y tourner un petit reportage (amateur, surtout pour la prise de son).
https://www.youtube.com/watch?v=0BVTuU0S-8o
En réponse à SuperMouton, ce village est très jeune en comparaison d’un autre village voisin qui après 30 ans tourne apparemment en parfaite autarcie avec de nombreux habitants…
Il y a 25 ans j’ai vécu dans 2 communautés comme celle-ci en Ariège dans les montagnes et nous vivions le plus possible en autonomie et en faisant des jardins mais cela ne suffisait pas pour assurer un rendement toute l’année. Sans le RMI la plupart n’auraient pas pu vivre.
J’ai finalement compris que ce genre de vie n’était qu’une fuite, dans le style on refait le monde à la lueur d’un feu mais on ne fait rien pour faire évoluer le système et puis si vous n’avez pas des locks, le look baba cool, bergers ou Indou vous n’êtes pas bien accepté.
Non merci, plus pour moi, si j’avais à choisir je préfèrerais plutôt vivre à Marinaleda petit village d’Espagne 100 % autonome et un village qui fait figure d’exemple pour sa gestion et son administration basées sur l’économie sociale et solidaire.
De plus, l’ensemble des décisions concernant le village, la politique, les budgets, les impôts, la coopérative etc… sont discutées et votées lors d’assemblées générales, auxquelles tous les villageois peuvent participer. A noter qu’il n’y a pas de police à Marinaleda car il n’y a pas de délinquance.
Marinaleda, un village en utopie.
https://http://www.youtube.com/watch?v=UkLbnLpHl-8
Absolument.
Marinaleda est le seul vrai ovni opérationnel dans ce genre, mais pour le coup, ce n’est pas aussi hippie que cela, c’est plutôt très organisé comme village.
@leveilleur
Merci du témoignage sur ta tranche de vie.
Bien bien plus pertinent que mes com!
@supermouton
Faut être crasseux et défoncer en communauté pour être légitime a tes yeux?
Beaucoup de squatte fonctionnent sur l énergie du chaos mais bon…
crasseux ? défoncé ? légitime ? squat ? ou as-tu lu ces termes là ? si c’est le terme hippie que tu associes à cela, alors tu devrais en vérifier sa signification… 😉
Il n’ya aucune espèce d’avancées de ce genre vie, là on nous présente des gens sans ambitions qui vive d’une utpie de l’auto-suffisance. Ce n’est nullement applicable à l’échelle de la planète juste au vue du nombre d’habitants.
Bah justement, entre ca et l hyperconsommation a l occidentale…
La planete et la democraties ne peuvent s epanouir que de cette facon!
Si demain plus d electricite par exemple on y reviendrai bien bien vite!
Ya suffisemment d espace!!!
On d’accord faut trouver un équilibre et freiner à tout prix l’hyperconsommation au risque de non pas détruire la planète car à moins que la terre perde son champs magnétique et sa lune la nature reprendra toujours ses droits mais, nous dans une logique de suicide collectif. Dans la configuration du retour à la nature, qu’elle serait l’evolution ? Que deviennent toutes nos avancées scientifique ? L’espèce humaine se doit d’aller de l’avant et cherchera toujours a aller dans ce sens. Elle doit le faire de manière moins égoïste et communautaires, mais plutôt collective, globale, démocratique bien sur, en pensant aussi que nous sommes tous sous le même ciel tout en gardant nos identités propre, nos différentes cultures et libre à chacun de s’enrichir de celle qu’il aura choisi.
Made in Austria
http://www.wohnwagon.at/galerie/
Me font CHIER avec un village auto-suffisant, qu’ils y restent et qu’ils soient heureux au lieu de nous emmerder .
Quels cons ces mecs .
Ils croient être LIBRES ?
Expérimenter cette utopie est l’illusion cachée de la grotte de Platon ,qu’ils VIVENT,QU’ILS VIVENT .
Autosuffisant, peut-être pour pas mal de choses…
Je ne leur souhaite pas le moindre accident sérieux, parce que là, coté autosuffisance, l’hosto local risque de laisser à désirer, non ? Et c’est dans ces cas là qu’on se rend compte qu’on est obligé de retourner faire une incursion dans le système auquel on ne contribue plus, aussi malade soit-il…