Nous n’avions pas assez d’allocations de distribuées dans ce pays en faillite, allocations chômages, allocation familiales, logement, handicap, etc… Et s’il est important que les français aient une meilleure alimentation, surtout au vu de ce qui nous est vendu dans le commerce, en inventer d’autres qui vont encore plus vider les caisses n’est pas forcément la meilleure solution.
Il faut bien noter que nombre de français se nourrissent mal, et je ne parle pas de fast-food et autres repères aux aliments glauques, mais des produits disponibles dans les supermarchés. Dans une récente enquête, sur 800 produits vendus dans différentes enseignes, 323 sont considérés comme étant à éviter, dont 107 qui sont à bannir.
Alors il faut se rediriger vers plus « sain », en partant du principe que les fruits et légumes le sont plus, au vu des pesticides contenus dans certains, l’on peut se poser quelques questions. Et pour aider, le gouvernement a prévu une nouvelle allocation, l’allocation « fruits et légumes », et ce n’est pas une blague…
Le ministère de la Santé a lancé une expérimentation pour permettre à des familles défavorisées de Saint-Denis d’acheter des fruits et légumes, grâce à des bons d’achats qu’elle leur distribue. Si elle s’avère concluante, cette expérimentation pourrait être généralisée. Une « avancée » juge un médecin nutritionniste, un « engrenage dont on ne pourra pas sortir », anticipe un autre.
Après l’allocation logement et l’allocation chômage, voici l’allocation… fruits et légumes. Le ministère de la Santé expérimente cette aide financière aux familles défavorisées pour les inciter à manger plus sainement. Ce projet Flam (fruits et légumes à la maison) concerne pour l’instant une centaine de familles de Saint-Denis, en banlieue parisienne (Seine-St-Denis).
Sélectionnées par les services sociaux de la ville sur critères de ressources, ces familles comptant au moins un enfant entre trois et dix ans reçoivent des bons d’achats de 16 à 24 euros tous les mois. Des bons utilisables au marché de Saint-Denis ou dans des supermarchés de la ville pour acheter des fruits et légumes frais, des conserves ou des surgelés ou même des compotes. En plus de cette « allocation », le projet propose des ateliers de cuisine pour apprendre à cuisiner sain.
« Tout ce qui va dans ce sens doit être encouragé »
Un enjeu de santé publique pour Camille de Brauer-Buscail, la médecin chargée de piloter cette opération, qui rappelle dans Le Parisien que « les fruits et légumes, dont la consommation réduit le risque de maladies, coûtent cher ». L’expérimentation doit durer une année, à l’issue de laquelle un bilan sera fait. S’il est concluant, l’allocation sera pérennisée et généralisée, promet le ministère de la Santé.
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Donc, le « FLAM » est lancé, aucun rapport avec un capitaine du même nom, mais la meilleure solution ne serait-elle pas de tout reprendre à zéro et d’éduquer les foules à une meilleure alimentation plutôt? De s’attaquer aux dérives des marques qui mettent tout et n’importe quoi dans leurs produits? De s’attaquer aux marges des centres commerciaux sur les fruits et légumes? À première vue non, une nouvelle allocation semble plus logique…
pourquoi la Seine-saint-Denis ?
le régime craint une révolution « colorée » ???
Et pourquoi pas l’allocation Caviar, Champagne, Rollex…
elle est déja donnée aux anciens présidents, sinistres, sénateurs, députains, et tous leurs serviteurs
Et pour toucher cette alloc, il faudra montrer qu’on a bien acheté les produits choisis par le ministre de la santé. On verra les consommateurs dociles aller en rang acheter ce qui leur rapportera des sous.
Misère misère….