Contrairement aux journalistes économiques, Eloïse Benhammou sait lire un bilan. Normal pour une comptable.
Et c’est en analysant les bilans (par exemple dans l’affaire Kerviel) des diverses entités de la Société Générale qu’elle a découvert de très étranges entités, destinées avant tout à brouiller les pistes.
Au fur et à mesure de son enquête menée dans différents environnements financiers, elle dévoile devant nos yeux totalement incrédules, tout le système technique et ultra-opaque comptable qui permet aux banques françaises et étrangères de voler chaque jour des milliards à la France et aux Français, et cela en toute discrétion, raflant au passage nos cotisations sociales.
Banques, RSI, ACOSS, CADES, Caisses de retraite, etc., l’auteur nous montre que tout le système social et fiscal français est désormais entre les seules mains du capitalisme financier le plus sauvage contrôlé par Wall Street.
La France est totalement soumise à la volonté des grands banquiers qui, du coup, et malgré leurs crimes, échappent logiquement à la justice…
puisqu’elle est rendue par le même État contrôlé par les banques!
Comme aux Etats-Unis.
Un livre implacable pour les banquiers et les politiques car l’auteur montre, entre autres, à quoi et à qui servent en réalité nos cotisations sociales : à enrichir avant tout les banquiers étrangers qui ont pris le contrôle de la France.
Précommandez-le maintenant. Sortie Mai 2016.
Source: Le jardin des livres
Vous connaissez le mythe du Vampire ? et bien ce n’est pas un mythe, Wall Street est une banque remplie de vampires assoiffés d’argent mais ce qui est grave, c’est qu’ils ont beau tout puiser, ils ne sont jamais rassasiés, il faut qu’ils absorbent le moindre centimes pour se sentir bien, mais en réalité, ils ne se sentent jamais bien car l’argent ne remplit pas le vide intérieur. Ils peuvent bien tenter de contrôler notre argent, il n’en reste pas moins qu’ils ne contrôleront jamais nos esprits. Pauvre de eux !
« Panama papers » : comment des proches de Marine Le Pen ont exfiltré de l’argent de France.
L’enquête conduite par Le Monde en partenariat avec le Consortium international de journalistes d’investigation (ICIJ) a permis de mettre au jour un système de dissimulation d’avoirs financiers, organisé dans des centres offshore d’Asie et des Caraïbes par le premier cercle de fidèles de la présidente du Front national (FN), au premier rang desquels l’homme d’affaires Frédéric Chatillon et l’expert-comptable Nicolas Crochet.
Tous les deux sont aujourd’hui mis en examen dans le cadre de l’enquête sur le micro-parti de Marine Le Pen et le financement des campagnes présidentielle et législatives de 2012.
Chatillon au cœur du dispositif
Un système offshore sophistiqué a été mis en place entre Hongkong, Singapour, les îles Vierges britanniques et le Panama. Il a été utilisé pour sortir de l’argent de France, au moyen de sociétés écrans et de fausses factures avec la volonté d’échapper aux services antiblanchiment français.
Au centre de cette ingénierie financière off shore : Frédéric Chatillon. Ancien dirigeant du Groupe union défense (GUD), groupuscule étudiant d’extrême droite, il a rencontré Marine Le Pen à l’université de droit d’Assas au début des années 1990. Une amitié solide s’est forgée puisque son entreprise, Riwal, est devenue le principal prestataire du FN pour la communication lors des campagnes électorales et, en 2012, son prestataire exclusif.
Un montage complexe
En 2012, juste après l’élection présidentielle et moins d’un mois avant les élections législatives, Frédéric Chatillon s’organise, avec le concours de Nicolas Crochet, pour faire sortir 316 000 euros de la société Riwal et du territoire français. Il entend réinvestir une partie de cette somme dans la société dirigée par un de ses amis, Pascal Xatart, basée à Singapour, sans avoir à s’expliquer sur l’origine des fonds.
Pour ce faire, un montage complexe est mis sur pied. Première étape en mai 2012 : le patron de Riwal se porte acquéreur, par l’intermédiaire d’une entreprise liée à Riwal et au FN, Unanime France, d’une société écran, joliment baptisée Time Dragon, basée à Hongkong, dont la maison mère est domiciliée à plus de 15 000 km de là, aux îles Vierges britanniques. Time Dragon est une filiale à 100 % de Harson Asia Limited, domiciliée sur l’île de Tortola aux îles Vierges par la firme panaméenne Mossack Fonseca. C’est elle qui effectuera l’investissement final dans la société de l’ami de Frédéric Chatillon à Singapour. Mais encore faut-il que Time Dragon puisse réceptionner les fonds français. Sans attirer l’attention.
C’est là qu’intervient Nicolas Crochet, c’est la seconde étape. Pour brouiller encore davantage les pistes, l’expert-comptable – qui a été chargé du programme économique de Marine Le Pen en 2012 – propose d’utiliser, comme entité de portage, l’une des sociétés offshore hongkongaises de son frère, Sébastien : Ever Harvest Garments Limited. Une société par ailleurs en délicatesse avec le fisc chinois.
Une fausse facture est émise par Ever Harvest à l’attention d’Unanime France, afin de justifier le transfert des fonds de la France vers l’Asie. Cette facture est censée régler la réalisation des sites Internet du Rassemblement Bleu Marine pour les législatives, des prestations bel et bien effectuées mais par un tout autre prestataire qu’Ever Harvest. Il ne reste plus qu’à effectuer un virement du compte bancaire d’Ever Harvest vers celui de Time Dragon. Ce qui est fait.
« Echapper à la pression médiatique »
La troisième étape peut dès lors s’enclencher : Frédéric Chatillon récupère ses fonds à Hongkong. Il les investit dans Giift, la société de son ami Pascal Xatart, en rachetant la part d’un actionnaire luxembourgeois. L’argent voyage à nouveau, cette fois vers sa destination finale, Singapour. L’opération menée à bien, la société écran des îles Vierges est dissoute, en octobre 2014, et Time Dragon, rebaptisée plus platement Unanime Asia.
La correspondance entre les protagonistes de ce théâtre d’ombres offshore, qui se sont appuyés sur une série d’intermédiaires (avocats, consultants…), a été versée au dossier judiciaire de l’enquête sur le financement des campagnes législatives et présidentielle de 2012. Elle ne laisse aucun doute sur le modus operandi et le soin porté au contournement des règles.
Interrogé par Le Monde, Frédéric Chatillon fait valoir qu’« à l’automne 2012, les associés de la société Unanime et moi-même avons décidé d’investir en Asie parce que l’Asie offrait les perspectives de rentabilité les plus attrayantes. Au surplus, nous avons aussi cherché à échapper à la pression médiatique habituelle en France. » Ajoutant que cet argent n’a aucun lien avec les prestations réalisées lors des campagnes de 2012.
Devant les juges qui l’avaient interrogé lors de l’enquête, M. Chatillon avait indiqué que cette opération avait pour but de rendre service à une amie, une dirigeante de la société Unanime. Une explication peu convaincante, devant la complexité des chemins financiers empruntés. Si les magistrats ont soupçonné un temps que cet argent avait pu in fine retourner au Front national, l’enquête ne l’a pas établi.
Contacté par l’intermédiaire de son avocat, M. Crochet n’a pas donné suite à nos sollicitations.
http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/05/panama-papers-comment-des-proches-de-marine-le-pen-ont-exfiltre-de-l-argent-de-france_4895769_4890278.html
Et vous êtes surpris que la Finance soit associee aux politiques professionnels pour nous mentir, nous tromper, nous voler et nous spolier ?
Alors que vous leur donnez regulièrement des chèques en blanc dans des urnes…
Vendredi 12 décembre 2014 :
Frédéric Oudéa, patron de la banque Société Générale, nous le jure, la main sur le cœur :
« Nous ne sommes dans aucun soi-disant paradis fiscal. »
http://www.franceinter.fr/video-f-oudea-nous-ne-sommes-dans-aucun-soi-disant-paradis-fiscal
Les banquiers sont des menteurs.
Les banquiers nous prennent pour des cons.
Devant les caméras de télévision, les banquiers jurent, font des serments, font des promesses, alors qu’ils savent qu’ils mentent effrontément.
Les banquiers sont les plus grands menteurs de la planète.
« Résumé : nous votons pour un président qui va s’attaquer à la Finance, et on a une mise en scène de « Notre-Dame des Landes » par Valls, du rabotage de retraite et de budgets santé, et l’arrivé du code du travail Ukrainien en France.
Sarkozy n’avait pas osé (même s’il l’a pensé très fort), Hollande va le faire. »
Continuez dans le système électif, continuez a élire vos bourreaux et tortionnaires, vous le valez bien.
http://www.vuncf.org/?p=3055
Aux infos, nos retraites diminuent surtout si vous êtes jeunes 18%, et même vieux, comme la sécurité sociale et les mutuelles !!!
Encore un livre qui nous montre et démontre comment le système fonctionne, quel scoop!!! Et nombreux hurlent aux loups alors que nous sommes tous complices, au moins indirectement, nous mettons de l’essence dans nos voitures, nous « communiquons » sur le super réseau internet, nous soulageant par des mots des maux qui nous assaillent et nous blessent constamment, l’auto-flagelletion ne sert juste qu’à nous soulager et nous sommes nombreux à déverser notre salive; ou alors joignons-nous aux « Restons debouts » qui commencent à fleurir un peu partout, comme une nouvelle révolution à fleurs organisée et bien préparée, et les moutons suivront… même en étant enragé, même s’ils en ont marre; ce n’est pas de la fatalité, c’est une réalité millénaire.
Une chose est sûre: mon corps, tout corps, s’endormira dans la mort, pourrira dans la Terre ou et se retrouvera poussière, laissant toutes ces petites cellules qui me constituaient, se désagréger, se dissocier, s’infiltrer et se confondre dans le décor, sublimation des corps et des molécules, c’est vrai cela peut faire peur de se faire dépouillé… !
Mon post a disparu
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Donc,il faut arrêter de dire que les Banques nous volent,une Banque c’est juste un ordinateur et une imprimante à saisir en cas de faillite.
Quand les gens feront file devant les distributeurs sans papiers imprimés ils feront TOUT pour s’implanter la puce qui les aliéneras définitivement à cette dépendance,le reste ,l’OR ,l’ARGENT etc demmandez à JAVO.