Cela confirme bien ce que beaucoup pensaient, les Etats-Unis n’ont pas mis le chaos en Ukraine pour rien, mais pour que le pays rejoigne l’UE, c’est maintenant fait! Mais qu’allons-nous faire avec un pays déjà en faillite totale? À part affaiblir l’UE afin qu’elle subisse le TAFTA sans pouvoir se défendre, pas grand chose….
A coups de mesures de rétorsion mutuelles, Moscou et Kiev continuent à rompre les liens commerciaux qui les reliaient. Cela, dans le contexte d’entrée de l’Ukraine, le 1er janvier 2016, dans la zone de libre-échange avec l’Union européenne.
Alors que la zone de libre-échange entre l’Ukraine et l’Union européenne est entrée en vigueur le 1er janvier 2016, Kiev prend plusieurs mesures de rétorsion vis-à-vis de Moscou.
Deux décrets, entérinés par le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk, le 30 décembre 2015, suspendent ainsi, à partir du 2 janvier 2016, la zone de libre-échange avec la Russie et les tarifs préférentiels sur les échanges russo-ukrainiens, et introduisent, à partir du 10 janvier, l’interdiction d’importer du territoire russe certaines marchandises, telles que la viande, le poisson, la vodka, le chocolat, les cigarettes ou encore les équipements pour les chemins de fer, rapporte le journal en ligne russe Vzgliad.
Ces mesures sont prises en réaction aux mesures analogues décidées en décembre par le président russe Vladimir Poutine. La Russie a en effet suspendu sa zone de libre-échange avec l’Ukraine à compter du 1er janvier, et soumet désormais les produits ukrainiens à des droits de douane à la frontière. Ces mesures ont été dictées par la crainte de Moscou que “les produits européens non taxés inondent le marché russe”, rappelle Vzgliad.
Un préjudice pour l’économie ukrainienneL’Ukraine ne dispose pas du poids économique suffisant pour peser contre la Russie, estime ce quotidien conservateur : “Même si l’Ukraine introduisait des droits de douane sur les marchandises russes, il est peu probable qu’elle ose faire de même avec l’importation des matières premières énergétiques, de loin la première recette des exportations russes en Ukraine.”
“La rupture des relations commerciales est bien plus douloureuse pour l’Ukraine que pour la Russie”, argumente encore Vzgliad.
Malgré la crise sans précédent entre les deux pays, Moscou reste l’un des plus importants partenaires commerciaux pour Kiev, assurant 16,4 % du commerce extérieur ukrainien (selon les résultats d’échanges commerciaux des neuf premiers mois 2015), tandis que cette part n’est que 2,7 % pour la Russie.
Ekaterina DvininaSource : Courrier International, Ekaterina Dvinina, 04-01-2016Via Les crises
meuh non !!!
l’objectif c’est de couper la Russie de l’Allemagne.
pourtant t’es censé être informé, non ?
Meuh un peu réducteur.
…Certes, mais le billard à plusieurs bandes.
Et cela faisant, la manœuvre stoppait aussi le rapprochement Russie/UE, car il ne t’a pas échappé mon cher Yoananda que l’Allemagne c’est l’UE,…stratégiquement bien sûr.
» Quand Berlin veut, Bruxelles acquiesce «
Et encore le problème est bien plus complexe.
Quand on sait que les industriels teutons sont partagés en deux clans :
* -Ceux qui veulent faire du commerce avec la Russie et sont donc pour un rapprochement avec Poutine.
*-Ceux qui voient en L’Ukraine:
-Un terre immense propice à l’industrie agro-alimentaire.
-Une terre de travailleurs à très faible coût corvéables à merci, pouvant concurrencer la M.O asiatique et ceci en plein cœur de l’Europe!
-Un terre propice à la délocalisation des usines les plus polluantes, avec en prime des normes environnementales inexistantes…
-Une terre capable de leur fournir des migrants de qualité, plus politiquement correcte et plus facilement intégrables.
-Et accessoirement, une terre propice à une forme de tourisme peu recommandable…
*- Et ceux qui voudraient faire….. les deux.
NB: Sur la considération envers les peuples slaves.
Pour une certaine frange de l’élite patronale allemande, leur mentalité n’a point évolué depuis une période bien sombre,… qui sait pourtant soldée par une branlé mémorable!
Chic alors, nous en manquions!
Nous allons enfin avoir plus de main-d’œuvre peu qualifiée …et encore plus de » dames de petites vertus « . Cette fois-ci belles il est vrai, mais quand même, mer…
Nos élus ont vraiment une drôle de façon de soigner leurs pays.
…Qui s’apparente plus à du proxénétisme, qu’à de l’humanisme.
Notre belle UE n’est plus qu’une pu…. vendue et ouverte à tous.
…Triste fin.
Mercredi 20 janvier 2016 :
Page 3, « Le Canard enchaîné » publie un article explosif :
Retour complet de la France dans l’OTAN.
Un très discret projet de loi prévoit de réintégrer toutes les instances militaires de l’OTAN. Celles que le général de Gaulle avait rejetées, car trop soumises à Washington.
Le 4 janvier à l’Elysée, le Conseil des ministres a approuvé un très important projet de loi avec une pudeur inhabituelle. Préparé sans bruit au Quai d’Orsay, ce texte prévoit la réintégration complète de la France et de son armée dans les instances militaires de l’OTAN. Le tout sera soumis au vote du Parlement.
Lisez la suite en page 3 du Canard.
Pour former un vassal, que doit faire le suzerain ?
Pour former un vassal qui sera obéissant, le suzerain doit recruter un vassal jeune, puis le suzerain doit le formater, lui faire suivre des séminaires, lui inculquer ses valeurs, etc.
Par exemple, les Etats-Unis forment les vassaux qui serviront les intérêts des Etats-Unis : ces vassaux sont appelés les « Young Leaders ».
Un vassal des Etats-Unis peut être recruté dans les partis politiques de droite, mais il peut aussi être recruté à gauche.
Young Leaders français recrutés à gauche : Frédérique Bredin, François Hollande, Anne Lauvergeon, Bruno Le Roux, Arnaud Montebourg, Aquilino Morelle, Pierre Moscovici, Alain Richard, Marisol Touraine, Najat Vallaud-Belkacem, …
Young Leaders français recrutés à droite : Nicolas Bazire, Jérôme Chartier, Yves Censi, Alain Juppé, Nathalie Kosciusko-Morizet, François Léotard, Emmanuelle Mignon, Eric Raoult, Valérie Pécresse, Laurent Wauquiez, …
Young Leaders dans les médias : Alexandre Bompard, Hedwige Chevrillon, Jérôme Clément, Annick Cojean, Jean-Marie Colombani, Emmanuel Chain, Matthieu Croissandeau, Louis Dreyfus, David Fontaine, François Dufour, Stéphane Fouks, Bernard Guetta, Sylvie Kauffmann, Yves de Kerdrel, David Kessler, Laurent Joffrin, Philippe Manière, Dominique Nora, Olivier Nora, Christine Ockrent, Denis Olivennes, Pascal Riché, Thierry Pfister, Mathieu Pigasse, …
Young Leaders économistes : Philippe Askenazy, Guy Sorman, …
Young Leaders dans la finance : Bertrand Badré, Henri de Castries, Hakim El Karoui, Pierre Mariani, Alain Minc, Mathieu Pigasse, …
Young Leaders dans l’université : Eric Fassin, Jean-Noël Jeanneney, Yves Lichtenberger, …
http://fr.scribd.com/doc/92211778/Fondation-franco-americaine-liste-des-Young-Leaders-francais-depuis-1981-French-american-foundation