Il n’y a plus à nier qu’un nouveau conflit majeur est possible, les tensions entre les deux blocs habituels que sont les Etats-Unis et la Russie ne sont que plus grandes, l’Iran est au centre de tout, la situation économique est désastreuse, les plupart des grands économistes sérieux comme Art Cashin ou Michael Pento parlent ouvertement de la catastrophe à venir (s’il n’y avait qu’eux…), bref, l’avenir est sombre, mieux vaut en être conscients que de l’ignorer, histoire de se préparer un peu psychologiquement. Comme nous pouvons le lire dans cet article de Charle Sannat: « Ne jamais envisager une « rupture de la normalité » ou la matérialisation possible de « risques extrêmes » ne vous en protégera en aucun cas. En revanche, si cela arrive, vous serez totalement démunis, aussi bien psychologiquement que techniquement ou physiquement ».
Autant être réalistes, cela va être moche… Alors autant commencer à s’informer sur le sujet, et à ne rien faire au hasard, le temps nous est désormais compté. L’espoir est une bonne chose, mais les chances pour qu’il change l’avenir annoncé sont très minces…
Détail du tableau « Guerre civile » d’Edouard Manet. Source: Wikipedia
Les évènements dramatiques auxquels vont être confrontés les peuples d’Europe dans un plus ou moins proche avenir ne seront pas uniques, ni même exceptionnels dans l’histoire du monde.
L’actualité regorge de guerres, conflits et génocides en tout genre, dont la médiatisation offre au survivaliste le moyen d’élargir ses connaissances et de se préparer en conséquence…
Cet article est une compilation de quelques observations et analyses faites sur le terrain, ou tirées de reportages pris « sur le vif « . Voici donc le fruit de mes réflexions, que je vous invite à commenter.
Voulez-vous savoir à quoi ça va ressembler lorsque la loi et l’ordre auront disparu, lorsque les gens se retourneront les uns contre les autres, et qu’il n’y aura personne sur qui compter à part éventuellement vos familles et vos proches ? Alors voici un aperçu… Quelques paragraphes à l’avenant, où vous trouverez des clés de compréhension sur ce à quoi nous pourrions bien être confrontés dans un proche avenir.
Nous vivons une époque extraordinaire, comme aime à le répéter Pierre Hillard. Un point qui pourrait bien être le tournant de l’histoire humaine si les psychopathes sanguinaires qui dirigent le monde jouent leur jeu jusqu’au bout et souhaitent qu’il dégénère. Je suis heureux à l’idée de penser que la plupart d’entre vous ont déjà préparé les stocks et acquis les compétences qui leur permettront de tenir au mieux lorsque les lumières vont s’éteindre. J’espère avoir apporté ma contribution, au moins pour certains, même si elle n’est que très modeste. Espérons que nous n’aurons pas besoin de tout cela, bien qu’il soit vain d’attendre une quelconque pitié de la part de nos dirigeants.
Le danger des habitudes
Vous pourriez avoir le barda complet du parfait survivaliste – armes, munitions, équipements- vous pourriez même être formé à de nombreux domaines et compétences… et vous retrouver mort dans les premiers jours du chaos juste parce que vous aurez refusé de croire ce qui était en train d’arriver. C’est en général ce qui se passe lorsqu’une personne ne veut tout simplement pas comprendre une situation critique, ou n’en est pas capable.
Il pourrait s’agir d’un évènement extrêmement soudain, comme des inconnus qui attaquent votre maison. Vous avez juste attendu quelques secondes de trop pour tirer, et vous êtes mort. Fin de l’histoire. Comme il pourrait s’agir du processus entier qui consiste à ne pas reconnaître le nouveau monde et ses nouvelles règles (ou l’absence de règles). Puis, une fois encore, ne pas faire les choses adaptées à la situation, et se retrouver mort.
Dans un scénario de fin de civilisation tel que nous le vivons à notre époque, ce serait ne pas reconnaître la perversité du système et l’imminence de son écroulement ; croire en l’intégrité de nos dirigeants, sans voir l’esprit du mal qui les anime ; croire dans les bienfaits de la démocratie, sans voir que c’est elle qui conduit les peuples à la ruine ; s’abriter derrière le journal de 20 heures et penser que nous sommes trop évolués pour retomber dans l’anarchie.
Dans un scénario de survie, ce serait par exemple utiliser le groupe électrogène pour maintenir la lumière dans la maison, juste parce que cela signifie pour vous une vie normale. Mais lorsque la vie normale a disparu, vouloir la maintenir à tout prix signifie généralement plus de problèmes. Ou bien encore sortir avec un sac à dos rempli de bonnes choses, en croyant naïvement que l’on va pouvoir tranquillement les échanger puis revenir entier à la maison avec de nouvelles boites de Nutella…
S’accrocher au confort et aux comportements auxquels on est habitué peut être fatal. Ce que j’essaie de dire, c’est que vous pouvez être enfouraillé comme un commando de la légion, et pourtant vous faire dézinguer façon Foire du Trône par un vieux de 70 piges avec une pétoire encore plus âgée que lui. Juste parce que vous avez été surpris lorsque le chaos s’est abattu avec son lot de destruction et de violence, et que vous n’avez pas vu ce type arriver ou que vous le croyez trop gentil. Sans vous douter que le petit vieux a fait la guerre d’Indochine au milieu des niakoués, et sait mieux que vous quand il faut agir sans hésitation ni miséricorde…
Par exemple, le simple fait de traverser la ville au milieu de la nuit signifiera que vous aurez à ramper, sauter, vous cacher, marcher ou courir à travers toutes sortes de choses, et souvent des choses très dégueulasses. Parfois, vous devrez vous cacher dans des lieux si sales que la puanteur sera presque paralysante. Il se peut qu’au cours de votre périple, vous ayez à vous protéger derrière un mur parce qu’un sniper vous aura pris pour cible, et vous réaliserez que vous avez atterri sur un cadavre, ou plusieurs. Son visage aura peut-être été fracassé dans l’effondrement d’un mur, à moitié enterré ou décomposé, mais l’endroit sera si petit que vous devrez rester sur lui pendant un certain temps ; 10, 20 minutes, une heure, qui sait. Et pourtant, vous remercierez le Bon Dieu d’avoir pu vous cacher là et d’être encore en vie.
Comme je l’ai dit plus haut, vous n’augmenterez pas vos chances de survie en collant à vos vieilles habitudes. S’il faut dans certaines circonstances agir comme un animal, alors vous devrez vous comporter comme tel. C’est une question de survie. S’il faut que vous mangiez des aliments abritant quelques vers, alors vous n’aurez d’autre solution que de le faire ; dans l’obscurité peut-être, sans regarder ce que vous mangez. Rester un homme, mais être prêt à agir comme un animal si les circonstances l’exigent. Cela revient à être flexible, s’adapter à la situation. Certains films hollywoodiens tendent à faire croire que la survie impose de devenir une bête à part entière ; c’est faux, il y a toujours une mince ligne de démarcation que chacun reste libre de franchir.
C’est très bien si vous possédez tout un stock de savonnettes et lingettes aseptisantes, mais cela ne vous empêchera pas de finir entre quatre planches si vous n’acceptez pas le fait qu’un jour vous pourriez être amené à vous réfugier sur un tas de cadavres, ou manger du rat grillé pour survivre.
La frontière entre l’homme et l’animal
L’importance de rester humain et de ne pas devenir tel un pur animal est souvent négligée par les gens qui se préparent pour la survie à long terme. Il existe une mince ligne de démarcation qui sépare les deux, sur laquelle vous devez vous efforcer de vous maintenir.
Une des choses qui vont changer drastiquement lorsque le chaos va s’installer est que tout va devenir sale. C’est un processus assez lent. Les gens vont d’abord essayer de maintenir autant de propreté qu’ils le peuvent, mais sans les services habituels comme le ramassage des ordures ménagères, l’eau courante et les autres services communautaires qui rendent la vie normale, cela va devenir rapidement impossible.
Plus tard, tous les déchets seront utilisés d’une manière ou d’une autre, mais au début, ils vont s’entasser partout. Quand vous ajoutez à cela les ruines de la rue, les déjections humaines et les cadavres, cela se transforme en un tableau très moche. Puis les gens accepteront petit à petit la saleté à l’extérieur, et la priorité sera de rester propre sur eux et à l’intérieur du petit cercle de leur habitation, et quand je dis « propre » cela ne veut pas dire à la manière dont nous l’entendons aujourd’hui ; juste aussi propre qu’ils le pourront.
Certaines personnes vont tout simplement cesser de se soucier complètement de la propreté et de l’hygiène. Elles considéreront cela comme un luxe inutile, et vont devenir de véritables animaux. Leur allure et leur odeur seront si terribles qu’en comparaison, même un cadavre sentira le parfum. Dès lors, il sera facile de » jeter l’éponge » et s’abandonner à ce genre de comportement. Mais ce serait stupide. Non seulement en termes d’hygiène et de maladies, mais parce qu’en agissant ainsi vous admettrez que vous ne vous souciez plus de rien, et quand vous admettez cela, vous n’êtes plus qu’à quelques pas seulement de devenir un animal dans tout ce que vous faites. Beaucoup de gens abandonneront ainsi.
Être aussi propre que vous le pourrez constituera le dernier lien avec la vie » normale » d’avant le chaos, la ligne à ne pas franchir. Non seulement c’est important pour rester en vie, à cause des microbes et de l’absence de services de soin, mais aussi parce qu’au niveau psychologique, cela maintiendra votre esprit sain et votre nature d’être humain. Même en situation de survie il est nécessaire de veiller à ces petites choses de manière à conserver sa dignité, son moral, et ne pas dégringoler. Arrêter de prendre soin de tout est un cancer qui nous ronge petit à petit.
Après le chaos, beaucoup de gens vont se réveiller à la réalité et lutter pour rester des humains comme ils étaient avant, ou, au contraire, jeter l’éponge et devenir des bêtes. En tant que survivaliste, j’espère que vous saurez naviguer sur la ligne étroite qui sépare les deux sans jamais la franchir. Je suis persuadé que ceux qui y parviendront seront ceux qui auront les plus grandes chances de survivre.
Les hommes ont la vie dure
Regardez les conflits actuels de par le monde, notamment en Syrie. Les gens se font tuer, exploser la tête à coups de roquettes, meurent de faim, de blessures ; Il n’y a pas de soins médicaux appropriés, pas de services sociaux, pratiquement pas d’aide extérieure, et pourtant, beaucoup survivent. S’imaginez comme seul rescapé trois mois après l’effondrement du système est un autre mythe ridicule véhiculé par Hollywood. Même dans une ville bondée, il s’en trouvera toujours qui en réchapperont. Et ne croyez pas que vous allez obligatoirement vous en sortir parce que vous aurez taillé la route avant.
Les gens vont mourir en grand nombre, mais ils vont aussi se battre amèrement pour passer le cap. Les hommes ont la capacité de s’adapter, certains plus vite que d’autres, de sorte qu’au final ils apprendront tous à manger des aliments véreux, tirer et tuer, vivre sans douches et sans savon. Les gens vont mourir, certes, de toutes les manières possibles et imaginables, mais pas aussi rapidement ni facilement que beaucoup pourraient l’imaginer.
Ça va être la lutte pour la survie, et tout le monde sera invité.
Qui va partir en premier ?
Ce ne seront pas nécessairement les plus faibles en termes de force physique. Attendez-vous à voir les premières victimes parmi les gens les plus dépendants de la société, ceux qui regardent assidûment le journal de 20 heures, la Star Ac, et qui ont une très faible capacité d’adaptation. Les pacifistes, les babas cools, minets et minettes, les adultes et enfants gatés qui ne supportent pas de boire leur café sans une cuillère en argent, les étudiants de Sciences Po, les assistantes sociales et autres spécialistes de l’enfance malheureuse ou des Droits de l’homme… et qui représentent au moins la moitié de la population.
Vu de l’extérieur, un bonhomme de 70 piges ressemblerait sûrement à quelqu’un qui va partir dans les premiers, tandis qu’un jeune cadre dynamique à l’allure athlétique aurait toutes les chances de survivre. En réalité, le vieil homme pourrait être en mesure de s’adapter rapidement, parce qu’il est issu d’un milieu pauvre ou rural, a déjà survécu à deux ou trois guerres, ou grandi dans un environnement pratiquement similaire à celui de la survie. Le gaillard athlétique pourrait être perdu à cause de sa foi dans la société et ses structures, ou dans la bonté de la nature humaine, et se faire tirer un plomb par le grand-père pendant qu’il l’aide à traverser la rue.
Les armes pendant le chaos
Regardez attentivement les documentaires vidéos sur ce qui se passe en Syrie ou sur d’autres champs de bataille impliquant des civils. Vous y verrez beaucoup de gens qui portent une arme et donnent l’impression de ne savoir absolument pas ce qu’ils font. C’est un aspect tout à fait véridique de la réalité. Dans un scénario de guerre urbaine eu Europe, vous verrez probablement des gens avec des armes. La vérité est que très peu sauront vraiment s’en servir, quelques-uns pourraient même en tenir une pour la première fois de leur vie. Et le fait de tirer ne signifie pas pour autant qu’ils seraient capables de toucher quelque chose. Ceux qui auront des armes et qui sauront s’en servir constitueront une petite minorité.
Article en intégralité sur Survivreauchaos.blogspot.fr
Fantasme malsain.
Je ne suis pas d’accord gros, ça ne coûte rien de se préparer à toutes éventualités, tout simplement parce qu’il n’y a aucune sécurité de rien sur cette terre, rien n’est acquis, rien n’est stable, rien n’est fixe, tout est mouvement et changement. Croire le contraire, c’est se laisser aller à une mort certaine.
Notre civilisation arrive à son apogée et sa transition vers une autre civilisation pourrait se passer en douceur comme pas du tout, tout dépend de ceux qui s’y sont préparés.
Il est possible de classer les causes du déclin des civilisations en deux grandes catégories: les causes « Endogènes », générées par la civilisation elle-même (crises politiques et sociales, crises structurelles, crises financières, guerres…),
Et les causes « Exogènes », c’est-à-dire des causes externes telles que l’apparition d’épidémies, de maladies ou d’évènements naturels (climat, volcans…) mais aussi les nouveaux courants religieux ou spirituels.
En conclusion, on peut dire que tout change, tout meurt et se transforme, même les civilisations, c’est l’évolution qui le veut ainsi, les hommes et leur système de pensé s’adapte et change en fonction des besoins du moment et cela depuis générations mais aussi en fonction de son évolution.
La fin de la civilisation est proche selon la NASA
http://www.journaldugeek.com/2014/03/19/fin-civilisation-nasa/
Déclin des civilisations
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9clin_de_civilisation
Car toi, G.ros premier, tu sais exactement de quoi sera fait l’avenir ? Tu penses qu’il est inutile d’envisager tous les scénarios possible pour éventuellement pouvoir les aborder avec un minimum de recul, voir de préparation ? Tu occultes volontairement l’histoire de l’humanité qui n’est parsemée que de conflits et hécatombes en tout genre, ou bien es-tu persuadé que tout ceci est derrière nous et que l’humanité ne réitérera jamais les horreurs du passé ? Ou alors tu es un adepte de l’ « advienne que pourra », comme la majorité des moutons de Panurge qui marchent vers l’abattoir la fleur au bec …
M.G.
Vous êtes navrants.
GR0S, et ton hyper-optimisme porn il n’est pas malsain peut-être !
Malsain et sans utilité concrète .
quel intérêt que de nous dire que nous ne sommes que des bêtes au verni social bien fragile?
« Fantasme malsain »
Dans le sens que la negativite engendre encore plus de negatif.
Alors sans ignorer les problemes actuels. Soyons plus positifs avec
des solutions concretes et simples a mettre en pratique au quotidien.
Gr0s, c’est comme Panurgie, il est persuadé que rien ne s’écroulera ; …il a tellement l’air sur de lui, que je le suspect aussi d’en savoir un peu trop sur notre avenir en ce bas-monde ! …à mon avis c’est tout deux des initiés je vois que ça , …ou bien alors c’est qu’ils ont déjà accepté la domination dictatoriale oligarchique, et qu’ils croient qu’un gouvernement mondial se mettra en place gentiment, sans heurts ni fracas, donc sans problèmes pour eux ! …et donc comme grand nombre d’entre eux (de leur classe) ils savent qu’ils collaboreront jusqu’au bout ayant déjà accepté leur sort, …et dors et déjà vendu leurs âmes au diable !
…je sais, c’est juste une supposition gratuite, mais je ne vois que ça, pour expliquer leur hyper-positivisme porn dans un monde pareillement à la déroute !
Salut conscience, désolé mais c’est ce qu’on appelle être intégré à la société. On s’adapte et on essaye de rendre le monde meilleur. Suppose de manière gratuite comme toujours, comme si gros et moi en savions plus que les autres…
C’est navrant, tu vois t’as un problème d’interprétation. Tu as un problème d’interprétation dès événements. Tu devrais sortir, respirer, lire les journaux, rigoler un coup. Bref vivre un peu te ferait le plus grand bien.
Tu passes trop de temps sur internet, tu as perdu pied avec la réalité
Il n’y a pas de bonne solution clef en main dans de telles situations.
Il n’y a que quelques principes à respecter.
Une des choses les plus importantes selon moi, c’est de regarder la situation telle qu’elle est et non pas telle que l’on souhaiterai qu’elle soit.
Ca parait évident à tout le monde et pourtant.
Il ne faut pas se leurrer quand sa propre survie est en jeu un homme ou une femme est capable de bien des choses.
N’oubliez pas que l’instinct de survie comme celui de la reproduction de l’espèce (qui interagissent entre eux) ont leur siége dans le cerveau primaire.
Si vous ne pouvez imaginer que votre gentille voisine que vous avez souvent dépannée est capable de balancer que vous avez des stocks de bouffe soit pour sauver sa peau ; soit parce que pour une fois elle n’a pas reçu ce qu’elle voulait.
Vous êtres peut-être une personne très gentille ; en situation de survie vous n’irez pas loin.
too big to fail
Je crois que c’est ce qui pourrait être le plus dur: se méfier de tout le monde.
Pour ce qui est des armes, encore une fois, à part s’inscrire dans un centre de tir, il n’y a pas grand chose à faire. A part se les fabriquer ?
J’ai demandé à un « camion », un de ceux qui passent dans les villages pour vendre tout et rien, s’il avait un lance-pierres. Rien que cela. Le gars m’a expliqué qu’il n’a plus le droit d’en vendre. Le préfet de son département l’interdit, ainsi que les arbalètes, et même les bo*mbes d’auto-défense !
En revanche, me dit-il, son autre collègue qui conduit un camion d’une marque différente, et venant d’un autre département, vend tout cela.
Il y a un préfet parano, et l’autre non. Deux poids, deux mesures. C’est ce qu’on appelle l’égalité des citoyens devant la loi. Il y a la loi nationale, et il y a les princes qui font la leur.
Alors que tout cet attirail est en vente sur Ama** !
Je sais bien, on ne va pas loin avec ça, mais que faire d’autre ?
Laisse tomber les bombes d’auto défense.
Quant à l’arbalète que veux-tu faire avec ça ; chasser?
Les anglais ont une formule:
Ce que je vois je peux l’atteindre, ce que je peux atteindre je peux le détruire.
Alors commence à penser comme suit:
Si on ne me voit pas, on ne peut pas m’atteindre ni me détruire.
Mouai, vision simpliste et caricaturale je trouve. J’aurais préféré des retours sur ce qui se passe réellement en Syrie ou ailleurs que ce genre d’exercice spéculatif relativement stérile …
Bien sûr, on est au bord de la guerre civile, il ne faut pas se terrer la tête dans le sable, mais, si j’en crois ce que j’ai lu, il y a aussi bon nombre de personnes qui vivent une vie tout à fait normale, même après l’effondrement.
Le scénario mad max, c’est un cas extrême … et je ne suis pas sûr qu’on puisse s’y préparer vraiment, bien au chaud derrière son ordi.
Donc pour ma part je préfère les témoignages. Je ne retire rien de cet article qui ne contient que des suppositions et rien de plus que ce que je pourrais imaginer dans ma tête. Hors, la réalité est presque toujours surprenante.
C’est ce genre d’articles qui desservent le survivalisme, d’autant plus qu’ils font peur aux esprit faibles qui pullulent dans notre société féminisée.
Tu veux un témoignage ? En voici un. Que du vécu, pas de spéculation.
Un récit détaillé qui apportera une réponse précise à ceux qui peuvent à juste titre se demander ce qu’il adviendrait de notre quotidien en cas d’effondrement ou de guerre …
« L’homme qui répond aux questions ci-dessous, raconte comment lui et son clan ont survécu pendant un an dans une ville de 60 000 habitants durant l’effondrement de la Bosnie en 1992.
Sans eau, sans électricité, sans pétrole, sans système de santé, sans protection civile, sans systèmes de distributions ou de réseaux traditionnels, ce survivant devenu par la suite survivaliste, témoigne sans détours d’une survie urbaine crue et pragmatique … » lire la suite
M.G.
Oui,j’avais lu ce témoignage ,merci du rappel,c’est clair les priorités et l’entraide vigilante,un excellent article à lire .
Sans Chimay c’est pire encore,lol.
Trés intéressant de faire un petit retour sur l’ex Yougoslavie. On prend les mêmes et on recommence ?
Sacré BOCO,la FRANCE en attente ,c’est amorcé ,reste plus qu’à allumer la mèche …
Du bol que Cambronne a sa descendance en Suède.
Nos Généraux passent à la TV comme l’autre au chaumage qui écrit un bouquin ou il trahis ses copains,pas jolis jolis mais une vie de Merde ,ouche Politique voulais dire ,exc moi svp.
Petit coucous
déjà lu, très intéressant en effet.
Le G.ros va émigrer ?
http://fr.sputniknews.com/international/20160101/1020699128/texas-port-arme.html
Pour ceux qui ne connaissent pas trop les armes et qui espèrent survivre lors du chaos…
Privilégier le petit calibre. C’est pas cher, c’est léger, ça fait moins de bruit et…c’est efficace.
Et penser comme grognard; Si on ne me voit pas on ne peut pas m’atteindre ni me détruire.
N’allourdissons pas nos esprits, car le jour d’un grand changement seul un esprit clair
saura ce qu’il faut faire au bon moment.
L’auteur du blog « Survivreauchaos » l’avoue lui-meme dans d’autres articles, meme bien
prepare il y a toujours un facteur inconu. Alors si nous ne sommes pas capable d’accueillir ou
affronter ce qui nous est etrange ou inconu, nous ne pourrons nous adapter aux circonstances.