Étonnant nombre 11… Si pour beaucoup le 11 a quelque chose de mystique, c’est également le nombre qui défini les deux calendriers solaires, un cycle long de 11 ans relativement connu, et un cycle court de 11 mois qui vient d’être découvert. Ce second cycle serait le vecteur principal quand aux éruptions solaires, l’astre serait parcouru de bandes magnétiques qui, lorsqu’elles entrent en collision, provoqueraient les éjections coronales.
L’intensité des éruptions solaires suivrait un cycle quasi-annuel de 11 mois affirment les chercheurs.
SAISONS. Fluctuante, l’activité du Soleil ne suivrait pas seulement des cycles longs de 11 ans, bien connus des scientifiques, mais aussi des phases courtes de seulement 11 mois. Ces « saisons » solaires, récemment détectées par une équipe de recherche américaine, seraient même l’un des principaux moteurs des éruptions qui agitent notre étoile – ces événements violents capables de perturber les satellites, les réseaux électriques et les communications radio.
Cette périodicité quasi-annuelle a été repérée grâce à l’étude des « bandes magnétiques » qui parcourent l’astre en permanence, comme des vagues progressant lentement sur chaque hémisphère depuis les hautes latitudes jusqu’à l’Equateur (voir la figure ci-dessous). « Nous ne sommes pas sûrs de savoir d’où elles sont issues « , avoue Scott McIntosh, co-auteur de l’étude et directeur de recherche au National Center for Atmospheric Research (NCAR) à Boulder, aux Etats-Unis. « Elles proviennent probablement de l’effet dynamo produit par des turbulences survenant dans les profondeurs du Soleil, plusieurs centaines de milliers de kilomètres sous sa surface ».
Source et article en intégralité sur Sciencesetavenir.fr
Je me demande s’il est possible de déterminer des cycles dans le Soleil.
L’astronomie moderne, avec sa cosmologie du Big Bang, est une vaste fumisterie.
Selon la théorie de l’Univers électrique, qui s’appuie sur les mécanismes plasmatiques expliqués par une autre cosmologie officielle, la Plasma Cosmology (IEEE et laboratoire de Los Alamos), le Soleil est électrique. Il alimenté en électricité par des courants de Birkeland galactiques. L’intensité du courant varie en fonction de la position d’immenses courants de Birkeland, qui tournent continuellement, mais aussi de la position des planètes. Ainsi, les alignements planétaires favorisent le passage du courant, et donc l’activité solaire.
Chercher des cycles dans ce fouillis est hasardeux. Mais on peut rêver.
Sans doute manquons-nous de recul. 🙂
chers amis
C’est loins d’être nouveau comme info.
Il existe aussi des cycle de 600 ans si je ne me trompe pas.
En relation avec les mini âges glacières.
Un spécialiste pourrait-il confirmer.