Ces derniers jours, nous essayons de comprendre pourquoi les gouvernements font ce qu’ils font… même lorsque c’est improductif, coûteux et dangereux.
« La guerre, c’est l’enfer », a déclaré le général Sherman en 1879. Pourtant, les gouvernements partent en guerre. Parfois parce qu’ils le doivent. Souvent parce qu’ils le veulent.
La bataille et le siège de Leningrad ont été particulièrement affreux. Ils ont fait trois millions de morts, et ceux qui y ont survécu ont dû vivre avec des souvenirs abominables — guerre, cannibalisme, gelures et famine.
Aujourd’hui, des gens qui n’ont jamais manqué un repas de leur vie appellent à partir en guerre. Pourquoi ?
Comme nous l’a démontré le Professeur Glennon hier, une démocratie moderne comporte deux parties. Il y a les électeurs… et l’élite. Ils fonctionnent de manière complètement différente. Les élites calculent ce qui est le plus avantageux pour elles… et s’organisent pour l’obtenir. Les électeurs réagissent de manière émotionnelle… sans connaissance réelle de ce qui se passe.
Ils ont une vraie vie, une épouse acariâtre ou un mari paresseux, des matchs de foot, des problèmes de drogue et des enterrements
Les électeurs n’ont pas le temps de déconstruire toute l’histoire. Ils ont déjà du mal à suivre ce qui fait les gros titres. Ils ont une vraie vie, une épouse acariâtre ou un mari paresseux, des matchs de foot, des problèmes de drogue et des enterrements. Ils ne peuvent faire le tri entre les affirmations contradictoires ou démêler les motifs. Ce serait une perte de temps pour eux que d’essayer ; ils ont peu d’influence sur les politiques publiques. Le mieux qu’ils puissent faire, c’est utiliser leur instinct… exploiter le cerveau qui a évolué sur des millions d’années dans des conditions entièrement différentes. Tout ce qu’ils savent, c’est ce qu’ils veulent… et ce qu’ils craignent.
▪ Ce qui se cache derrière la politique
Encore plus de dépenses de santé ? Allons-y ! Les électeurs ne peuvent pas suivre l’argent et se rendre compte que la majeure partie va aux Big Pharma, sans bénéfice réel pour eux.Quel politicien irait annoncer qu’il est contre l’éducation gratuite ? Les électeurs ne peuvent pas voir que le système est truqué de telle sorte que les dépenses additionnelles coulent directement dans les poches des élites.
Et malheur au pauvre président qui est perçu comme « faible » dans la défense de son pays. L’électeur ne sait pas différencier un véritable ennemi d’une menace entièrement fabriquée. Il ne peut pas savoir quand il faut intervenir dans un pays dont il n’a jamais entendu parler… et quand il faut se retirer. Et comment peut-il savoir où termine l’argent ?
Les élites calculent. Les masses réagissent.
Si vous voulez comprendre pourquoi les gouvernements font ce qu’ils font… suivez l’argent
Si vous voulez comprendre pourquoi les gouvernements font ce qu’ils font… suivez l’argent. Par exemple, on explique aux électeurs américains que la Fed a permis de les protéger contre une nouvelle Grande dépression. Qui pourrait s’en offusquer ? La Fed a créé près de 4 000 milliards de dollars de QE dans ce but.
« QE ? » demande l’électeur. « Qu’est-ce que c’est que ça ? » Bonne chance pour le lui expliquer !
Et où est allé cet argent ? En avez-vous reçu, cher lecteur ? Nous non. Pas directement. L’électeur moyen non plus. C’était la reprise la plus faible de l’histoire. Et les revenus des ménages ont baissé !
Mais quelques personnes s’en sont mis plein les poches. Le secteur financier nage dans l’abondance depuis six ans. Les actions, les obligations, l’immobilier — tout s’est mis à flotter sur cette marée de nouvel argent. Quasiment toutes les grandes banques centrales de la planète s’y sont mises, avec des bilans qui ont plus augmenté au cours des cinq dernières années que sur l’intégralité du siècle dernier. L’individu lambda a peut-être moins sur son compte en banque… mais les riches de la planète sont plus riches que jamais. Les marchés boursiers à eux seuls ont ajouté quelque 22 000 milliards de dollars à leurs fortunes.
« Pourquoi utiliser 4 000 milliards de dollars de fonds de secours pour aspirer les actifs financiers détenus par l’élite au lieu de simplement créditer les comptes en banques de tous les Etats-Unis ? » demandait un certain Jaap F. Westerling dans le Financial Times de lundi.
Ah, M. Westerling… ce n’est pas comme ça que les choses fonctionnent, n’est-ce pas ?
Source : la chronique Agora
Parole du CHRIST
« ENSEIGNEZ LES NATIONS »
Le SAVOIR enseigné sur INTERNET par tous les gens de bonne volonté
C’est notre seule ARME
mais la plus redoutable
Il n’est pas de solution individuelle,égoïste
M. Glennon, ancien conseiller juridique auprès du Comité sénatorial américain aux relations étrangères déclare qu’il était curieux de savoir pourquoi Barack Obama terminait avec quasi-exactement les mêmes politiques étrangères que George W. Bush (?)
George Bush Senior or as some call him Daddy Bush, real name is George H. Scherff Jr., he is the son of Nikola Tesla’s Nazi accountant George H. Sherff Sr.. (à vos recherches)…
Gamin, j’ai fait semblant de croire au père noël très tard, juste parce que j’avais peur de plus avoir de cadeaux.
🙂
Pourquoi retrouve t-on pratiquement toujours les même genres d’ individus au pouvoir ? Pourquoi les bonnes volontés présidentielles sont-elles si rares et ne durent-elles pas très longtemps ? Peut-être à cause de la structure hiérarchique pyramidale qui, in fine et à l’ usage, favoriserait les mauvais esprits et les mauvaises manières (arrivistes, égoistes, irresponsables, cooptations, corruptions et complots), que l’ esprit moutonnier de la trop grande majorité des électeurs manipulés encouragerait.
Cela se résumerait simplement en deux idées clefs:
– « le phénomène de décantation hiérarchique », parce que l’ appel au pouvoir du sommet pyramidal, attire plus fortement les « psychopathes » que les honnêtes gens responsables (le problème serait moins les psychopathes, que la « mécanique » qui les amène au pouvoir),
– « le besoin de soumission irraisonnée, créant l’ organe autoritaire irrationnel », parce que le besoin crée l’ organe, parce que l’ obéissance appelle la discipline (pyramidale) et parce que l’ instinct se voue au mystique.
Bien entendu, il y aurait de plus tout un contexte aux élections des candidats au suffrage universel: éducation dans des écoles de formation privée, endoctrinement sectaire dans des sociétés d’ influence, infiltration idéologique des partis, corruption directe ou indirecte des campagnes électorales, par exemples, et sans oublier l’ équivalent pour les employés des institutions et de l’ administration de l’ état.
Relativement à l’ état figuré par le président, ses ministres et les députés de l’ assemblée nationnale, tous mis en place par le suffrage universel, le problème de l’ imposture de la représentativité du peuple par ces élus sous influences, se résoudrait par un légitime retour à la démocratie directe, que la technologie d’ aujourd’hui rendrait viable (la démocratie directe est une réalité avec internet). Mais cela ne résoudrait pas ce problème, de la non représentativité du peuple, dans les institutions administratives permanentes, aux employés non élus.
Envisager l’ élection de tous les fonctionnaires au suffrage universel, seraient laborieux et ridicule pour de simples employés, réalisant une fonction au service des élus et sensés leur obéir. Cela serait vrai à condition de retrouver présent, dans la hiérarchie administrative, l’ esprit et le fonctionnement de la démocratie; or, l’ architecture de leur discipline étant pyramidale, elle est donc autoritaire.
Si la structure hiérarchique pyramidale n’ était pas adaptée à notre nature humaine, parce qu’ elle finirait contre-productive, elle devrait alors être remplacée par l’ exemple d’ une holostructure (une structure hiérarchique particulière où le « tout » de l’ « organe » est dans la « partie cellulaire » et la « partie » de l’ « usager » est dans le « tout » de la « société » (privée et public), comme en biologie où l’ ADN de l’ organisme est dans la cellule, et la cellule est dans l’ organe et l’ organisme), afin de construire un monde neuf et réformé sur les bases de l’ ancienne société (état-nation), conservée a priori, mais débridée et rendue évolutive par la démocratie directe (à la hiérarchie holostructurée).
Cette proposition serait là aussi copié sur la nature, qui fait sagement du neuf à partir du vieux (c’ est ni eugéniste ni sectaire et plus sympa pour Mme et Mr Mouton qui ne sont pas « parfaits »). Dans ce monde rénové, la démocratie directe s’ unirait à la nouvelle économie du partage direct et deviendraient l’ exemple à suivre constitutionnellement (démocratie représentative, structure pyramidale, troc, monnaie et propriété privée, y seraient remplacés respectivement par: la démocratie directe, l’ holostructure, l’ échange et le droit d’ usage directs).
Pourquoi faudrait-il en effet s’ obstiner avec un système qui a fait son temps, et démontré son inadaptabilité aux grandissement des hommes de « bonne volonté » ? Pourquoi ferait-on l’ « économie » du partage, quand on pourrait « échanger » sans intérêts ? Plus sérieusement, si l’ on souhaitait cultiver autrement dans ce monde, il nous en faudrait une autre idée et d’ autres outils, au service d’ une autre espérance.
Pour les personnes intéressées ci-joint un petit article, sur le pourquoi et le comment des structures hiérarchiques duales pyramidale et holostructurée: http://www.datafilehost.com/d/9ebbea91