BNP Paribas fait moins bien qu’attendu, mais toujours mieux que la concurrence

Magnifique la méthode pour rassurer les personnes! On a un bilan pourri, mais regardez, c’est pire ailleurs! Ça c’est de l’argument!!!

Une banque BNP Paribas à Paris

La première banque française BNP Paribas a enregistré en 2012 un bénéfice net inférieur aux attentes, essentiellement sous l’effet d’éléments exceptionnels, mais n’en a pas moins réalisé un exercice de meilleure facture que la plupart de ses concurrentes.

Le bénéfice net de l’exercice atteint 6,55 milliards d’euros, en hausse de 8,3%, mais le quatrième trimestre s’est situé assez nettement en-deçà des attentes des analystes, à 514 millions d’euros alors que le marché en prévoyait 969, selon un consensus établi par l’agence Dow Jones Newswires.

Deux éléments ont concouru à déformer le résultat des trois derniers mois. D’une part, la banque a dû passer des dépréciations liées à un ajustement de valeur comptable de la filiale italienne BNL, consécutif à l’augmentation des exigences de fonds propres du superviseur national.

D’autre part, l’établissement a connu une remontée du coût du risque (provisions pour impayés), attribuable, pour partie, à un dossier spécifique au sein de la banque de financement et d’investissement et à des dotations exceptionnelles sur le pôle “Personal Finance” (crédit à la consommation).

“Le résultat du quatrième trimestre n’est pas significatif parce qu’il y a plusieurs éléments exceptionnels”, a fait valoir François Villeroy de Galhau, directeur général délégué, interrogé sur la radio BFM.

Pour le dirigeant, les résultats de la banque “sont plus significatifs sur l’ensemble de l’année”.

En 2012, BNP Paribas fait partie des quelques rares banques de taille internationale à publier un bénéfice net en hausse, ce qui conforte sa position dominante en Europe et la situe au niveau des meilleurs établissements américains en terme de rentabilité.

Elle est certes, aidée par l’importante plus-value réalisée au premier trimestre 2012 sur la cession d’une participation dans la foncière Klépierre, à hauteur de 1,79 milliard d’euros, mais elle est également soutenue par les activités opérationnelles.

La Bourse n’a d’ailleurs pas tenu rigueur à BNP Paribas de ce quatrième trimestre inférieur aux attentes. A 10H02 (09H02 GMT), l’action de la banque de la rue d’Antin était aux avant-postes du CAC 40, gagnant 3,32% à 47,36 euros, dans un marché en légère hausse de 0,24%.

Source et suite: Boursorama

17 Commentaires

  1. tout va tomber dans pas longtemps et nous on va pas rire , eux ils ont mis tout ce qu’ils pouvait de côté , or , bouffe , médicament , fringue , cosmétique et ainsi de suite et par pour les manants !!!

    eus sont ready pas nous !!! ha ha ha

  2. Sortez votre fric des banques
    et achetez des pétards pour faire beaucoup de bruit
    ça va comme ça neo!!!

  3. Hollande a parlé du type qui s’est immolé par le feu
    s’il avait été licencié de chez IKEA
    il se serait immolé plus chaudement
    ça va néo!

  4. monopoly imprime des billets ,C’EST UNE BANQUE…

  5. bon OK nous n’avons pas compris…
    je site

    “””BNP Paribas fait moins bien qu’attendu, mais toujours mieux que la concurrence”””

    voila ,faut le faire haha,plus que moins sous attendus et mieux pas bien que la concurrence hahaha…

    Il y a DELAMARCHE,DOZE et l’autre couillon FARRAGE qui vont nous expniquer hahahah.
    vais jouer au billard à plus les expniqués

  6. C’est normal car a chaque fois que des gens sont à découvert, ils prélèvent 23 euros de frais de dossiers voir plus ” frais de dépassement, frai de retrait et j’en passe…”, alors imaginez un peu le nombre de personne qui sont à découvert chaque mois et faites le totale dans le monde!

  7. La fin du système pourri est pour bientôt et les politocards et banksters suivront aussi..le peuple se vengera…

  8. Je vous invite sérieusement à lire les analyses économiques du bilan de la BNP.
    Avant de soutenir ou être findemondiste, dans tous les cas, quelque soit la position il est nécessaire de bien lire un bilan.
    Certains économistes passent du temps à recalculer les ratios tier 1 et les leverage des banques.
    Cela n’est pas simple, mais au bout de quelques mois, et avec une base de formation financière, j’ai fini par comprendre ce que je lisais.
    Je ne dis pas que c’est simple, mais avec un peu de pugnacité on y arrive.

    c’est ici:
    http://chevallier.biz/

    Ce Monsieur a été même menacé par certains analystes bancaires, mais il ne s’est pas démonté pour autant.
    Bref il tient la route, si les banques cherchent à le faire taire, et à tort, c’est qu’il y a une raison….

    Bonne lecture et bon apprentissage.

    Olivier

  9. La mèche est consumé.
    L’explosion est contenue par des couvertures synthétiques. Nous assistons ici et maintenant au pétage total sur le mode ralenti.
    Pour beaucoup et de plus en plus, c’est le mode très rapide…

    Toute la fausseté humaine s’efface et aucune fondation ne sera assez forte pour supporter le moindre petit ordre mondial.

    C’est tout vu !

  10. C’est vraiment une histoire de gros sous. Même avec http://www.calcueltte.org/ je ne suis pas sûr qu’il soit possible de tout calculer.

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