La pile de Karpen

L’énergie libre de Nicolas Tesla….qui pourrait fournir gratuitement et sans pollution, de l’énergie pour tous, vous connaissez? bien sur, ça n’arrangerait pas les affaires des compagnies pétrolière, et pourtant….. un autre chercheur Vasilesco Karpen a mit au point une pile qui interpelle les scientifiques, car elle fonctionne sans interruption depuis 60 ans et ils n’ont pas encore compris comment.

La Pile de Karpen : une batterie qui produit de l’énergie sans interruption depuis 1950 dans un musée roumain

Par Ovidiu Sandru | 27 Décembre 2010

Le Musée National de la Technique « Dimitrie Leonida » de Roumanie accueille un type bizarre de batterie. Construit par Vasile Karpen, la pile fonctionne sans interruption depuis 60 ans.
« J’avoue que c’est aussi difficile pour moi de faire progresser l’idée d’un générateur surnuméraire sans paraître ridicule, même si l’objet existe, » dit Nicolae Diaconescu, ingénieur et directeur du Musée.

Vieille photo de la pile de Karpen

L’invention ne peut pas être exposée parce que le Musée n’a pas assez d’argent pour acheter le système de sécurité nécessaire pour une telle exposition.
Un demi-siècle plus tôt, l’inventeur de la pile avait dit que ça fonctionnerait toujours, et jusqu’à présent, il semble qu’il avait raison. La machine à mouvement perpétuel de Karpen se trouve maintenant en lieu sûr dans le Bureau du directeur. On l’a appelé « la pile thermoélectrique à température uniforme » et le premier prototype a été construit dans les années 1950. Bien qu’il aurait dû cessé de fonctionner depuis des décennies, ce n’est pas le cas.

Les scientifiques ne peuvent pas expliquer comment l’engin, breveté en 1922, fonctionne. Ce qui les intrigue toujours, c’est comment un homme de la stature scientifique de Karpen aurait pu se mettre à construire quelque chose «d’aussi fou ». (commentaire de Ron : Vraiment ? Pourquoi ? De quel genre de scientifiques « intrigués » pourrait-il s’agir ? Ils seraient tout autant amusés par le fait que Nikola Tesla a découvert le courant alternatif et le reste.)
Le prototype a été assemblé en 1950 et se compose de deux piles électriques reliées en série propulsant un petit moteur galvanométrique. Le moteur déplace une lame qui est connectée à un commutateur. A chaque demi-rotation, la lame ouvre le circuit et le referme au début de la seconde moitié. Le temps de rotation de la lame avait été calculé, afin que les piles aient le temps de se recharger et de reconstituer leur polarité pendant que le circuit est ouvert.
Le but du moteur et des pales était de montrer que les piles produisent réellement de l’électricité, mais elles ne sont plus nécessaires, étant donné que la technologie actuelle nous permet de mesurer tous les paramètres et de tous les exposer de manière plus appropriée.
Un journal roumain, ZIUA (Le Jour), s’est rendu au Musée pour une entrevue avec le directeur Diaconescu. Il a descendu le système de son étagère et a autorisé les spécialistes à mesurer sa production avec un multimètre numérique. Cela s’est produit le 27 février 2006, et les batteries indiquaient le même 1 Volt qu’en 1950.
Ils avaient mentionné que « contrairement aux leçons qu’ils vous enseignent dans la classe de physique en 7ème classe, la « Pile de Karpen’ possède une électrode en or, l’autre est en platine et l’électrolyte (le liquide dans lequel sont plongés les deux électrodes), est de l’acide sulfurique d’une grande pureté. » Le dispositif de Karpen pourrait être étendu pour récolter plus de puissance, ajoute Diaconescu.
La batterie de Karpen avait été exposée à plusieurs conférences scientifiques à Paris, Bucarest et à Bologne, en Italie, où sa construction a été largement expliquée. Des chercheurs de l’Université de Brasov et de l’Université Polytechnique de Bucarest en Roumanie ont même effectué des études spéciales sur la batterie, mais n’en ont pas tiré de conclusion claire.

« Les français se sont montrés très intéressés par cet objet du patrimoine dans les années 70 et voulaient l’emporter. Notre musée a cependant été capable de le garder. Avec le temps, le fait que la batterie ne s’arrête pas de produire de l’énergie est de plus en plus évident, donnant naissance à la légende d’une machine à mouvement perpétuel « .

Vasile Karpen

Certains scientifiques disent que le dispositif fonctionne en transformant l’énergie thermique en énergie mécanique (cinétique), mais Diaconescu ne souscrit pas à cette théorie.
Selon certaines personnes, qui ont étudié le travail théorique de Karpen, la pile qu’il a inventée défie le deuxième principe de la thermodynamique (en référence à la transformation de l’énergie thermique en énergie cinétique), et cela en fait une machine à mouvement perpétuel de second degré. D’autres affirment que ce n’est pas ça, que c’est simplement une généralisation de la loi et une application de l’énergie du point zéro.
Si Karpen a eu raison, et le principe est 100 % correct, elle pourrait révolutionner toutes les théories de la physique de bas en haut, avec des conséquences difficiles à imaginer. Mais je suppose que cela n’est pas pour bientôt, le musée doit encore trouver des fonds privés pour acquérir de l’équipement de sécurité nécessaire requis par la police pour exposer le dispositif.
Construisez votre dispositif d’énergie libre, avec des composants standard, que vous pouvez acheter à un prix avantageux. Il s’agit essentiellement d’extraire de l’énergie des ondes radio.

Source de l’article en français bistrobarblog

Article original en Anglais uk.ibtimes.com