Avez vous connaissance de cette affaire Éliane Kabile? Le faible nombre de vues des vidéos, laisse penser que non. C’est le nom d’une citoyenne hospitalisée pour un mal de jambes et, qui n’est non seulement jamais ressortie guérie, mais dont on ignore où se trouve le corps. La famille se bat depuis des années pour avoir des explications et, se retrouve condamnée par la justice. Ne connaissant pas les fondements de cette affaire, il faut rester prudent quant aux affirmations mais, les faits sont pour le moins troublants. Que s’est t-il passé, où se trouve la dépouille de cette femme? Qui la justice protège t-elle? Et si ça nous arrivait? Voici les faits tels que présentés.
Nous présentons ici les principaux éléments du dossier judiciaire Éliane Kabile, dans le cadre duquel une récente décision du Tribunal Correctionnel du TGI de Paris à conduit à une réponse rendue publique au travers de la vidéo intitulée :
Terroristes, dites merci au Président de la 11ème Correctionnelle du TGI de Paris, il vous offre trois passeports.
En substance : une mort très suspecte en 2001 à l’hôpital de Gonesse (Val d’Oise, France), un trafic d’organes, suivi de multiples autopsies les plus confuses, une profanation de sépulture, le mélange d’une bouillie de plusieurs cadavres non identifiés en lieu et place du corps d’Éliane Kabile, un ensemble de faux actes de décès et autorisation de fermeture de cercueil pour deux enterrements à des dates différentes, en violation des droits les plus ordinaires et fondamentaux, une justice sourde, aveugle et violente qui condamne la famille de la victime lorsqu’elle cherche à obtenir justice pour ce meurtre hospitalier et funéraire et, en date du 14 septembre 2016, la cerise sur la gâteau : la plus récente décision de justice dans ce dossier, au regard de certaines phrases bien précises du jugement rendu le 14 septembre par la 11ème chambre correctionnelle du TGI de Paris, vient constituer une preuve formelle et manifeste d’une parfaite duplicité de l’institution judiciaire, visant on ne peut plus clairement à protéger le groupe des auteurs et complices actifs ou passifs de ce drame.
Nous sommes ici face à une affaire de véritable forfaiture judiciaire, où une institution majeure de la République protège depuis quinze ans des auteurs de crimes et délits, tout simplement parce que ceux-ci font partie de la fonction publique…
Nous invitons vivement tous les citoyens sensibles à cette cause d’interpeller leurs élus, maires, députés, sénateurs…
Affaire Éliane Kabile, Thierry Kabile chez Julien Courbet, décembre 2006
Pour tout savoir et lire les éléments de cette affaire, visitez le site source:
Merci à Monsieur Christian Cotten.
Euphrasie, 8 ans, est lourdement handicapée. Un mal dont serait responsable le médicament pris par la maman pendant sa grossesse.
Aurélien Billy s’est retiré dans une maisonnette à Saint-Aubin-le-Cloud. Un rez-de-chaussée que ses grands parents avaient aménagé pour eux, situé dans une petite impasse. Là, tous les quinze jours et pendant les vacances, il peut y recevoir sa fille lourdement handicapée depuis sa naissance.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Actualite/Sante/n/Contenus/Articles/2016/09/23/Il-se-bat-pour-sa-fille-victime-de-la-Depakine-R-2848750
Je plains ces pauvres gens car je n’aimerais pas qu’une telle chose arrive a un membre de ma famille, de plus, tout est suspect dans cette histoire, cette personne entre à l’hôpital pour un mal de jambe et ressort morte d’un cancer 15 jours après puis le corps disparait sans laisser de trace, non là il y a quelque chose qui cloche !
C’est sûr que lorsqu’une histoire n’est pas claire c’est que quelque chose est caché et ne veut pas être révélé. Il suffirait de déterrer le corps pour faire un test ADN et que le juge se déplace pour constater si le cercueil correspond au cercueil d’origine.
Pourtant dans cette histoire abracadabrante l’avocat de la famille est un homme réputé qui est connu pour avoir gagné de nombreux procès mais il semblerait qu’il soit totalement impuissant à résoudre cette histoire et c’est plutôt bizarre.
Dixit:
– « …tout simplement parce que ceux-ci font partie de la fonction publique »
Cela aurait parfaitement pu arriver dans le privé…
Il est évident que le dénominateur commun est ailleurs.
Ces laboratoires secrets qui mènent leurs expériences sur des humains
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201609281027963256-laboratoires-secrets-experiences-humains/