Le journal Libération a présenté les mesures de sécurités mises en place par trois de nos ministres suite aux attentats, et aux risques d’attentats à venir sur le territoire français, et il n’y a pas à dire, nous avons de quoi être rassurés, ou presque….
Cette série de mesure est pour une grande partie d’entre elles du recyclage de mesures déjà mises en place pour renforcer la sécurité des établissements scolaires, et pour assurer une meilleure information auprès des parents, car sur le sujet, ils seront informés, mais quand il s’agit de décisions capitales pour l’avenir du système éducatif français comme la vente de l’éducation nationale à Microsoft, là, les explications sont bizarrement inexistantes, surtout lorsque l’on connaît le niveau de l’éducation lorsqu’elle est à la sauce Microsoft…
Ce sont donc 3 ministres extrêmement compétents et dévoués (ironie) qui ont présenté le programme une semaine avant la rentrée, c’est à dire les ministres de l’Education Najat Vallaud-Belkacem, de l’Intérieur Bernard Cazeneuve et de l’Agriculture Stéphane Le Foll, tout un programme… Et ces mesures qui ont été présentées aux recteurs d’académie et préfets, avaient en fait déjà été annoncées dans trois textes écrits à la hâte juste après les attaques terroristes du 13 Novembre, rien de bien neuf, surtout de la comm’ en fait…
Des exercices «attentat-intrusion»
Les ministres demandent aux rectorats de s’assurer que des exercices d’évacuation et de confinement des élèves soient faits dans les 63 600 écoles, collèges et lycées. Trois simulations devront être réalisées dans l’année scolaire, contre deux aujourd’hui (quand elles le sont). Ces exercices s’inscrivent dans le cadre des PPMS, les plans particuliers de mises en sûreté. Ces plans sont censés exister dans tous les établissements depuis 2002, pour décrire la conduite à tenir en cas de danger en fonction de la situation locale (explosion d’usine, inondation…). Il en existe toute une liste. Au lendemain du 13 Novembre, est venue s’intercaler entre feux de forêt et avalanche, une nouvelle fiche intitulée «attentat ou intrusion extérieure dans l’établissement». Avec deux options possibles, à arbitrer sur le moment en fonction de la menace : évacuer les élèves ou les confiner dans une salle. Selon cette circulaire, chacun des établissements scolaires est tenu de faire un exercice d’entraînement avant les vacances de la Toussaint. En pratique, la précédente simulation, début janvier, avait connu quelques ratés, le syndicat des chefs d’établissement déplorant à l’époque que les directeurs d’école se retrouvent souvent seuls dans l’élaboration du PPMS, un travail très technique.
Plus de formations «gestion de crise» et «premiers secours»
Il y a cette phrase, piochée dans la circulaire du 29 juillet : «Améliorer les capacités de résilience de la communauté scolaire, c’est-à-dire la capacité à ne pas se laisser surprendre et à avoir les bonnes réactions.» A commencer par les chefs d’établissement, en première ligne puisqu’ils ont la responsabilité de la sécurité des biens et des personnes dans l’enceinte de leur établissement. En cas d’intrusion extérieure, leur rôle est central. Après le 13 Novembre, les rectorats ont reçu la consigne de recenser leurs numéros de portable, chose qui n’avait jamais été faite jusqu’ici… Un test par SMS sera effectué mercredi prochain, jour de la pré-rentrée. Par ailleurs, le rythme des stages de gestion de crise extrême, proposés par le centre d’entraînement des forces de gendarmerie basé à Saint-Astier (en Dordogne) devrait s’intensifier. Aujourd’hui, 135 cadres de l’Education nationale sont formés chaque année. Des stages aux premiers secours, dispensés par des formateurs de l’Education nationale, devraient être plus largement proposés aux élèves de collèges et lycées et aux enseignants.
Des cellules de crise dans les rectorats et une meilleure information des familles
Parmi les consignes données, chaque académie doit avoir une cellule de «gestion de crise», activable en quelques minutes, sur le modèle de ce qui se fait dans les préfectures ou les hôpitaux avec le plan blanc. Les directeurs d’école sont aussi priés d’organiser des réunions de rentrée dans leurs écoles pour «exposer aux parents les mesures de sécurité prises et leur rappeler les bons comportements» : ne pas stationner aux abords des établissements, décliner son identité… L’entourage de Najat Vallaud-Belkacem insiste : «L’objectif, c’est vraiment d’informer et de développer une culture de la sécurité.»
Source: Libération
Mouais, ces bâtards savent très bien qu’il va y avoir des attentats pour la rentrée; …avec ça, ils se couvrent pour pas qu’on puisse dire qu’ils n’avaient pas anticipé quoi !
Beaucoup de Français sont déjà partis de France et redoutent de revenir à cause des conditions de vie difficile, crise économique, chômage, attentats, migrations …si les attentats continuent, de plus en plus de gens fuiront la France, pas question pour eux de mettre leur vie ou celle de leurs enfants en danger.
Les politiques devraient s’inquiéter de la baisse du tourisme en France et du départ de certains étranger vivant en France depuis très longtemps et qui appréhendent d’être visé par les attentats et l’immigration. Tout cela est un signe que le pays va mal et qu’il est plus que temps de s’inquiéter de son avenir.
Les Français de l’étranger ont peur de rentrer en France.
Le paradoxe est total : la France regrette que les Français quittent le pays. Mais cette France-là, ne fait aucun effort pour examiner les raisons pour lesquelles les Français s’en vont et éventuellement pour corriger ces facteurs afin de freiner le flux de départ et encourager les retours.
http://www.atlantico.fr/decryptage/francais-etranger-ont-peur-rentrer-en-france-jean-marc-sylvestre-2380464.html
Les Juifs de France émigrent en masse vers Israël.
Tout d’abord, les Juifs de France évoquent un certain sentiment d’insécurité, qui s’est aggravé après la tuerie de Toulouse. Ensuite, il y a la situation de crise économique, qui ne frappe évidemment pas que les Juifs mais dont ils subissent comme tout le monde les conséquences.»
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/03/31/01016-20140331ARTFIG00169-les-juifs-de-france-emigrent-en-masse-vers-israel.php
1 710 945 de nos compatriotes étaient inscrits au registre mondial des Français établis hors de France, soit une hausse de 1,8 % par rapport à l’année précédente.
Cette augmentation est inférieure à celle observée en 2014 (le nombre d’inscrits avait alors progressé de 2,3 %), ainsi qu’à la tendance moyenne d’accroissement de la communauté française à l’étranger au cours des dix dernières années, à savoir une croissance annuelle moyenne de l’ordre de 3 %
La population Française globale à l’étranger est estimée entre 2 et 2,5 millions de personnes.
http://www.ufe.org/fr/article-1894_statistiques-des-francais-de-letranger-2015.html