Carnage inimaginable, Fukushima tuant l’océan pacifique!

C’est un article assez colossal, un véritable pavé qui suit, mais les informations sont nombreuses, et le constat tragique! Fukushima est une catastrophe silencieuse, planétaire qui ne se limite pas aux simples japonais, mais à l’ensemble l’océan pacifique qui en est directement victime. Mais rien ne doit aller à l’encontre du rêve atomique, seule véritable source d’énergie à l’heure actuelle pour certains, alors le sujet n’existe pas…

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Çà brise le cœur.  C’est dévastateur. Comment nettoyer un océan qui est en train de mourir ?

La tragédie prévisible de la centrale nucléaire de Fukushima, en mars 2011, continue à détruire les poissons, les mammifères et les écosystèmes d’une importance cruciale dans l’Océan Pacifique.  TEPCO et le gouvernement japonais ont permis un des plus grands crimes contre l’humanité en répandant la dévastation et la destruction, non seulement pour le peuple japonais dans la région qui subit d’importants taux de cancers, des maladies et la perte de leurs moyens de subsistance, mais, pour un océan qui nous affecte maintenant, que vous viviez sur la Côte Est ou à San Francisco.

2Pourquoi la catastrophe de Fukushima est-elle pire que celle de Tchernobyl ?

« Certains scientifiques disent que Fukushima est pire que l’accident de Tchernobyl, en 1986, avec lequel il partage le maximum de niveau 7 sur l’échelle mobile des catastrophes nucléaires. »  Un des plus importants d’entre eux est le Dr Helen Caldicott, un médecin australien et un activiste anti-nucléaire depuis longtemps, qui met en garde contre les « horreurs à venir » à Fukushima.  Chris Busby, un professeur à l’Université d’Ulster connu pour ses opinions alarmistes, a suscité une controverse lors d’une visite au Japon le mois dernier quand il a dit que la catastrophe se traduirait par plus d’un million de décès.  « Fukushima est encore bouillant de ses radionucléides dans tout le Japon » a-t-il dit.  « Tchernobyl est monté en une seule fois.  Donc, Fukushima est pire. »

« La ligne officielle est que l’accident de la centrale tire à sa fin et que les niveaux de radiations à l’extérieur de la zone d’exclusion et désignés comme les  « points chauds » sont sécuritaires. »  Mais, de nombreux experts avertissent que la crise ne fait que commencer.  Le professeur Tim Mousseau, un scientifique biologique qui a passé plus d’une décennie sur des recherches sur l’impact génétique des radiations autour de Tchernobyl, a dit craindre que beaucoup de gens à Fukushima « enterrent leurs têtes dans le sable ».  Ses recherches à Tchernobyl ont conclu que la biodiversité et le nombre d’insectes et d’araignées avaient diminué à l’intérieur de la zone irradiée, et que la population d’oiseaux démontrait des preuves de défauts génétiques, y compris les plus petites tailles des cerveaux.  « La vérité est que nous ne disposons pas de données suffisantes pour fournir des informations précises sur l’impact à long terme, » dit-il.  « Ce que nous pouvons dire, cependant, c’est qu’il y a très probablement un impact très significatif sur la santé à long terme à une exposition prolongée. »

Des radiations de Fukushima détectées dans les thons rouges sur la côte de la Californie, le 29 mai 2012, CNN.

Cela se passait en 2012.  En 2013, Fukushima déversait 300 tonnes d’eau contaminée dans l’océan tous les jours.  Je me demande ce qu’un test actuel démontrerait pour le thon rouge et les autres espèces de poissons populaires ? Les Américains ont le droit de savoir, même si les nouvelles sont mauvaises.

Fukushima : 300 tonnes de fuites d’eau radioactive tous les jours (Août 2013)

Le tritium se déversant dans l’eau à l’usine n° 1 (Juillet 2013) :

« Un officiel de l’Autorité de la Réglementation Nucléaire a récemment déclaré que les eaux souterraines contaminées de l’usine, où des eaux de refroidissement proviennent de l’extérieur, peuvent s’infiltrer dans l’océan et que la question doit être abordée avec soin, car les données sont limitées. »  Le tritium est un isotope radioactif de l’hydrogène.

Il n’y a pas de peut-être à ce sujet : Les eaux souterraines toxiques atteignent la mer : NRA (Juillet 2013).

La Commission de réglementation de l’énergie nucléaire a déclaré mercredi  soupçonner fortement que de l’eau hautement radioactive de l’usine n° 1 de la centrale nucléaire de Fukushima s’infiltrait dans le sol et contaminait l’Océan Pacifique.  « Nous devons trouver la cause de la contamination …  Et nous devons mettre la plus grande priorité à la mise en œuvre des contre-mesures » a déclaré le président de la NRA, Shunichi Tanaka, à une réunion des commissaires de l’organisme après avoir examiné des études récentes effectuées sur des échantillons d’eaux souterraines de l’usine qui ont détecté des niveaux élevés de césium, de tritium et d’autres contamination radioactive.

Cauchemars radioactifs – Le gouvernement ferme les yeux alors que les retombées de Fukushima se dirigent vers nous, le 5 juillet 2012.

Tous ces éléments sont après Fukushima.  Est-ce simplement une coïncidence ?

Pourquoi tant de mystères après Fukushima ?

Les scientifiques confirment des radiations de Fukushima dans le varech de la Californie, le 7 février 2014 (ce qui est juste un peu moins de trois ans après que la fusion a commencé vers le bas)

La contamination radioactive de Fukushima réchauffe rapidement l’eau de mer du Pacifique Nord, septembre 2014. Six lions de mer malades trouvés dans le comté de Sonoma, le 25 février 2015, La Presse Démocrate : « Une crise chez les otaries de la Californie qui a donné lieu à près de 1000 bébés échoués et des animaux âgés arrivant affamés et malades sur les rivages côtiers ont atteint la côte de Sonoma, où six animaux ont été récupérés au cours des dernières semaines, selon le Centre des Mammifères Marins près de Sausalito. »  Les photos des bébés affamés sont absolument déchirantes.

Officiel du Gouvernement : Des rapports effrayants de l’Océan Pacifique … « Silence sur les mers »« Tout à fait littéralement, il n’y a plus de poisson » – Japon Professeur : Fukushima pose un risque de reproduction de la vie marine, et des inquiétudes liées à la bio-accumulation de matières radioactives.

La sénatrice Penelope Wright, Parlement de l’Australie, le 5 mars 2015 : « Comme beaucoup d’autres, j’ai lu un article en 2013 par Ivan Macfadyen appelé « l’océan est brisé ».  Ceci a été publié dans The Sydney Morning Herald …  C’est un marin expérimenté, donc, il a la possibilité de comparer son expérience avec … d’autres voyages.  C’était effrayant.  Çà déchirait vraiment le cœur.  Il avait remarqué des changements dans les dernières années. À la base, il avait été confronté par le silence qu’il entendait, le silence sur les mers, et il a réalisé que cela était attribuable au fait qu’ils avaient vu très, très peu d’oiseaux. Ils ont également pris très peu de poissons … deux poissons. »

Entretien avec Ivan Macfadyen, Talk Radio Europe, le 24 mai 2015 : « La réalité a été … que si je n’avais pas eu de nourriture sèche supplémentaire sur le bateau, en se fiant sur les poissons, nous serions morts de faim.  Parce que, littéralement, il n’y a pas de poisson.  Il y a de vastes étendus d’où ils sont tous partis.  Où l’on pouvait pêcher de façon fiable, ils ne sont tout simplement plus là … J’avais l’habitude de pêcher ici exactement sur le même parcours, pendant la même période de l’année … dans le même océan, sur le même parcours, dans le même lieu, et je pouvais attraper des poissons tous les jours, et, pour une quelconque raison maintenant, 10 ans plus tard, ils sont tous partis. »

Bien que ceci n’ait pas été discuté dans l’entrevue ci-dessus, Macfadyen a attribué sa déclaration sur « L’océan est brisé » à l’impact de Fukushima. « Animateur : « Qu’en est-il des oiseaux de mer et tout le reste ?  Macfadyen : A mesure que vous vous rapprochez du Japon, ils sont tous partis, ils ne sont pas plus là … Ils sont tous partis, c’est juste comme faire de la voile dans une mer morte … il n’y a plus rien …   Animateur : Après le Japon vous vous êtes dirigés vers l’Amérique, vous avez vu des répercussions de … Fukushima. »

Macfadyen : « C’est mort.  Voilà d’où j’ai inventé l’expression, L’océan est brisé, parce que, pendant des milliers de miles, il n’y a rien.  Aucun oiseau, pas de poisson, pas de requin, aucun dauphin, aucune tortue … ils ne sont pas là … toutes ces belles créatures, elles sont tout simplement toutes parties … Nous avons vu une baleine, probablement autour de 1000 miles de la côte du Japon, se trouvant juste à la surface avec ce qui semblait être une grande tumeur … juste derrière la tête … il semblait qu’elle était en train de mourir … elle n’essayait pas de s’éloigner, elle ne bougeait pas sa queue, elle ne faisait rien …  Elle a eu un effet profond sur moi … Rien que d’en parler, j’ai envie de pleurer. »

Un record 2250 lions de mer, principalement des bébés, se sont échoués affamés sur la côte sud de la Californie, une augmentation de 20 fois plus du niveau des échouages en moyenne pour la même période de trois mois au cours de la dernière décennie, et deux fois le nombre recensé en 2013, la pire des saisons hivernales précédentes enregistrée pour les lions de mer du sud de la Californie. « Natural News », le 22 avril 2015

Un tronçon de 1000 miles de l’Océan Pacifique s’est réchauffé de plusieurs degrés et les scientifiques ne savent pas pourquoi, le 13 avril 2015, Michael Snyder.

Selon deux documents de scientifiques de l’Université de Washington qui ont été récemment libérés, un tronçon de 1000 miles de l’Océan Pacifique s’est réchauffé de plusieurs degrés, et personne ne semble savoir pourquoi.  Cette « bulle » géante d’eau chaude a été en premier observée à la fin 2013, et elle fait des ravages dans notre climat.  Et, depuis que cette bulle géante s’est d’abord  montrée, les poissons et les autres créatures marines sont en train de mourir en très grand nombre.  Donc, pourrait-il y avoir un lien ?  Et, que se passera-il si l’Océan Pacifique continue à se réchauffer ?  Pourrions-nous être confrontés potentiellement au plus grand holocauste de la vie maritime dans le Pacifique  jamais observé ?  Si oui, qu’est-ce que cela signifie pour la chaîne alimentaire et pour notre approvisionnement alimentaire ?

Pendant ce temps, pendant que tout ceci est en cours, les scientifiques ont également remarqué que les créatures de la mer dans le Pacifique meurent en nombre record.  En fait, l’été dernier, j’ai écrit un article intitulé « Pourquoi un nombre massif de créatures marines meurent le long de la côte ouest en ce moment ? »  Depuis, les choses ont continué à être encore pire.  Par exemple, il a été récemment rapporté que le nombre de lions de mer échoués sur les plages de la côte sud de la Californie est à un haut record de tous les temps …

Un record de 2250 lions de mer, pour la plupart des bébés, se sont échoués affamés sur les plages du sud de la Californie jusqu’à présent cette année, un phénomène blâmé sur un réchauffement des mers de la région qui a perturbé l’approvisionnement alimentaire des mammifères marins.  Le dernier bilan,  rapporté par National Marine Fisheries Service, est de 20 fois le niveau des échouages moyens pour la même période de trois mois au cours de la dernière décennie et deux fois le nombre recensé en 2013, la pire saison hivernale précédente enregistrée pour les lions de mer du sud de la Californie.  « Et les destinations des poissons sont profondément affectées ainsi.  Les sardines ont baissé à leur plus bas niveau en six décennies, et le National Geographic affirme que toute une série d’espèces de poissons minuscules, au bas de la chaîne alimentaire, sont en train de mourir rapidement. »

Experts des radiations : L’énorme quantité de contamination provenant de Fukushima mettra probablement en péril l’ensemble de l’Océan Pacifique,  menaçant la chaîne alimentaire d’autres pays, et pouvant absolument atteindre les côtes canadiennes et américaines, 12 août 2013 : Titre : Les fuites de radiations de Fukushima continuent / Source: CCTV (China Central Télévision  de Beijing)

« Anand Naidoo, de CCTV : D’après ce que nous savons sur ce qui se passe à l’usine dès maintenant, cela va-t-il empirer ? »

Dr Janette Sherman, spécialiste des radiations : « Je déteste dire cela, mais oui, je pense que ce sera le cas.  Et mon souci est l’énorme quantité de matière radioactive qui coule dans l’Océan Pacifique.  Et nous savons que l’océan coule vers le nord le long de l’Alaska … et descend ensuite le long de la côte du Canada et des États-Unis.  Et je pense que ceci mettra probablement en péril l’ensemble de l’Océan Pacifique, et de la vie marine qui y vit. »

« Naidoo : Ce que vous dites, c’est que cette eau peut effectivement atteindre d’autres rives, et peut atteindre d’autres pays ? »

« Sherman : Oh absolument, nous le savons déjà. »

« Naidoo : Le contenu radioactif dans cette eau, peut-il se dissiper, ou va-t-il simplement rester dans l’eau tout le temps ? »

« Sherman : Eh bien à la fois le césium et le strontium ont une demi-vie d’environ trente ans, çà prend 10 demi-vies pour chacun de ces isotopes pour se désintégrer à rien.  Nous contaminons le plancton, et il est mangé par les crevettes, les huîtres, les poissons et les mammifères …  Et, alors que la plupart d’entre eux remontent la chaîne alimentaire, ils se concentrent.  Particulièrement le strontium 90 qui se concentre dans les os. »

Un scientifique sur les radiations de Fukushima frappant la côte ouest de l’Amérique du Nord : « Personne ne mesure, de sorte que nous devrions être alarmés », le 26 janvier 2014.

TEPCO concède l’échec du mur de glace de Fukushima, le 20 août 2014 : « Les administrateurs de TEPCO ont déclaré mardi que même s’ils avaient injecté plus de 400 tonnes de glace et de neige carbonique pour geler l’eau radioactive dans cette section du mur de glace de Fukushima, la température n’a pas baissé assez bas et la stratégie n’a pas fonctionné. »

NBC : Les créatures de la mer s’échouant de San Diego à San Francisco, le 19 juin 2015 :

CBS : Des millions de morts cachant les côtes … comme un tapis rouge … de 12 à 16 pouces d’épaisseur … jamais rien vu de pareil.

ABC : Nous nous demandons s’ils sont malades, ou s’il y a quelque chose dans l’océan ?  Les scientifiques n’ont pas d’explication.

NBC (Weather Channel), 16 juin 2015 : « De San Diego à San Francisco, les créatures de la mer grouillent sur la terre … de grandes limaces font leur apparition sur les plages de Bay Area … Dans la région de San Diego, les plages locales ont pris une teinte rougeâtre … des crabes ont échoué sur le rivage. »

NBC (Weather Channel), 16 juin 2015 : Une paire d’invasions bizarres ont laissé perplexes les amateurs de plages de la Californie … des grandes taches pourpres … appelés lièvres de mer sur des centaines de miles au sud … des crabes échoués.

Article en intégralité sur Pleinsfeux.org

 

9 Commentaires

  1. Ne jamais oublier :

    Stuxnet, virus informatique américano-israélien, testé sur l’Iran avec succès et lâché au moment opportun sur la centrale japonaise le jour J.

  2. Bonjour,
    Bien que l’accident de Fukushima soit une catastrophe aux conséquences incalculables dans la durée, il ne faut pas tout gober dans ce texte que j’ai relu avec attention.
    Voici mes éléments d’analyse pour recentrer la réalité parmi les infos à sensation .
    Les catastrophes de Fukushima et Tchernobyl ne sont pas comparables. Tchernobyle est pire que Fukushima en ce qui concerne:
    – Le nombre de morts pour mener à bien les travaux d’urgence
    – le réacteur à explosé mécaniquement ce qui a provoqué la dissémination de l’ensemble des produits de fission dans l’atmosphère, ainsi que du combustible irradié dans la périphérie.
    – la zone des retombées radioactives est fortement contaminée, interdisant la vie humaine et animale sans risques de séquelles de santé et gėnétiques.

    Ppar contre, dans la durée, il est moins grave que Fukushima car le reste du réacteur ã pu être confiné.

    lLa catastrophe de Fukushima est pire que celle de Tchernobyle dans la durée.
    – Plusieurs réacteurs ont fondu et sont sous terre dans un état et dans un lieu qui est impossible de connaître. il ne sont pas confinés et ne pourront jamais l’être, même en y mettant des moyens colossaux.
    – l’absence de confinement entraîné une contamination continue des courants d’eau souterrains propres s’ėcoulant vers l’océan.
    – les production d’effluents gazeux s’échappent dans l’atmosphère.

    L’apport de radio élėments dans l’océan est une pollution non maîtrisée et continue.
    Le soucis est que l’apport de cette eau dans l’immensité de l’océan, ne se mélange pas complètement pour minimiser l’impact. Il se crée des veines d’eau douce dans l’eau salée et ces phénomènes naturels ne sont pas maîtrisables.
    Les poissons et la faune concentrent les substances radioactives dans leur organisme. Il est impossible de maitriser les migrations des animaux aquatiques et on peut trouver des poissons contaminés dans toutes les mers qui communiquent.
    Mais ce qui paraît faux, c’est que la contamination provoque la famine des poissons. C’est plutôt la conséquence de la surpêche et de la pollution chimique.
    Il est également faux de dire que cette pollution chauffe l’eau, ce n’est tout simplement pas vrai et impossible.
    Maintenant, il faudrait comparer l’apport en radio nucléiques de cette pollution aux apports des armements chimiques et résidus nucléaires stockés dans les fosses sous marines au large de la Normandie. Il paraît que les enfûtages métalliques commencent à être rongés par la rouille et laissent s’échapper beaucoup, mais très beaucoup de matières que l’on pourrait retrouver dans nos coquilles Saint Jacques des festins de Noël.

    • @Polemile  » Il est également faux de dire que cette pollution chauffe l’eau  »
      – Peut-être est-ce le corium disparu après fusion ou fission ( je ne sais pas quel est le bon terme dans ce cas précis ) qui a percé les cuves, dalles et sous-sol, qui s’infiltre, se retrouve dans le Pacifique et chauffe l’eau ( Une version sous-marine du syndrome chinois ) ? C’est la question que je me pose ?

      • Oui tu peux en être sûr le corium a fait son chemin quittant le réacteur à la vitesse d’un mètre par heure, il en a parcouru du chemin , s’infiltrant dans le sol et l’eau. Reste à savoir en quelle quantité celui-ci s’est déversé dans le pacifique. Ces milliers de barils entreposés autour de Fukushima pour emprisonner l’eau radioactive, puis quand on sait qu’ils ont finit par arrêter de la stocker faute de place, on peut être sûr que le pacifique reçoit une dose conséquente de radioactivité quotidiennement!
        Quand à Polemile, il peut peut-être plonger dans les eaux du Pacifique près de la centrale pour nous dire si oui ou non ça se réchauffe?

    • Encore faut-il qu’il ne camoufle pas le nombre de morts réelle suite à Fukushima et il y en aura des morts d’ici quelques années. Que sont devenu les clochards envoyer faire le sale boulot? Tokyo a été contaminer et aurait dû être évacuer, mais il ne l’on pas fait. Combien de personnes vont mourir à cause de leur gouvernement? Ou sont les 3 dangereux coriums? Depuis l’accident des tonnes d’eau contaminer continue d’aller dans l’océan pacifique, tuant la vie. Les océans communique entre eux et les poissons voyagent

      Tokyo est contaminé et ne peut pas être habité, dit le Docteur Mita

      http://independentwho.org/fr/2015/02/18/tokyo-contamine/

      Les mille et un mensonges de Fukushima

      http://www.matierevolution.fr/spip.php?article3535

  3. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-<img class= Lorsque les mers seront totalement mortes https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_sad.gif; et on y va à grands pas ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_negative.gif …notre espèce suivra rapidement derrière le même chemin ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_sad.gif

  4. Pauvres petits poissons.

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