Sommes nous devenus de tristes moutons de Panurge, incapables de diriger nos vies, laissant ce soin, en bons assistés que nous sommes, à des marchands de mort plus soucieux de leurs gigantesques profits, que du bien être animal, végétal et humains??
Pour atteindre leurs buts, les mondialistes usent de toutes sortes de stratégies. Ils se servent des politiciens bien en place et bien obéissants, mais aussi de multinationales dans des domaines spécifiques qui servent à étendre et à répandre leurs maux. En outre, ces méga-entreprises sont privées. Elles ont donc l’immense avantage de pouvoir plus facilement cacher des agissements répréhensibles que des élus qui ne peuvent se le permettre au risque d’être découvert par une quelconque commission démocratique que l’on ne pourrait acheter. Ces hommes sont tellement imprévisibles !
De ces multinationales, il en est une qui défraie régulièrement la chronique, qui est condamnée une multitude de fois et qui, malgré cela, continue tranquillement son bonhomme de chemin c’est Monsanto.
Fondée en 1901 à Saint Louis (MS) par John Francis Queeny, elle commence par introduire la fabrication allemande de la saccharine aux USA. Avec l’achat, en 1929, de la Swan Chemical Company, elle va commercialiser le célèbre PCB (liquide réfrigérant) qu’elle va étendre à toute une série de produits qui vont des lubrifiants au DDT. Or, dès 1930, les preuves de la grande toxicité du PCB ont été établies. Dans des travaux menés dans les années 60 et 70, on a même démontré que le PCB était responsable de nombreux désordres immunitaires, de malformations lors du développement fœtal et de troubles de la reproduction. Interdit de fabrication aux États-Unis, ses effets toxiques se perpétuent néanmoins dans le monde entier encore aujourd’hui.
Le centre de fabrication de ce produit a longtemps été l’usine de Monsanto d’East Saint Louis (IL). Or, il faut savoir que cette ville occupe la première place de l’État pour les décès in utero, la troisième pour la mortalité natale et la première des USA pour les décès dus à l’asthme infantile.
Dans le même cas de figure, la ville voisine de Times Beach a dû être entièrement évacuée sur ordre fédéral tant elle était contaminée. En effet, un employé municipal a eu la brillante idée d’asperger les routes avec des huiles usagées afin de coller la poussière à la route. Suite à un grand nombre de décès d’animaux, et de maladies graves d’enfants ayant joué sur une place aspergée, une étude a conclu que ces huiles contenaient de la dioxine. La même que fabriquait Monsanto. Cependant, et suite à ces incidents, une étude a été menée qui concernait toutes les entreprises, sauf Monsanto. En sus, le dossier de Times Beach, ainsi que ceux concernant d’autres sites en Arkansas et au Missouri ont été détruits sur ordre de la Maison Blanche.Ce n’était là que les premières escarmouches. On sait que Monsanto entretient des liens assez proches avec les milieux de Washington et que cela lui permet de passer outre à de nombreuses directives et admonestations de l’État fédéral. De plus, la direction de Monsanto est régulièrement accusée de détruire, de cacher et de nier des effets de ses produits sur les humains, la faune et la flore. Ainsi, les ouvriers de ses usines souffrent régulièrement d’inflammations cutanées, d’irritabilité, de nervosité, de douleurs inexplicables des membres. La direction sait, mais a toujours dissimulé les preuves.
Le Globe and Mail de Toronto tirait même comme conclusion que, lors du procès du Lycol (dioxine) : « La déposition des cadres de Monsanto trahissait une culture d’entreprise qui se soucie moins de la sécurité des produits et des employés que des ventes et des profits ».
Aujourd’hui
Le produit phare de Monsanto est aujourd’hui le Roundup. Ce produit, avec les autres herbicides aux glyphosates représentent un sixième des ventes et la moitié du son résultat net.
Présenté comme un herbicide sûr et polyvalent, il n’en reste pas moins que, près de 40 études scientifiques mènent à la conclusion que ce produit est bien moins anodin que ne le laisse croire sa publicité. Cela est d’ailleurs confirmé par la décision judiciaire de l’État de New York enjoignant à Monsanto d’ôter le terme biodégradable et plus de 75 mentions inexactes sur les étiquettes des bidons de Roundup.
Avec une publicité vantant l’usage diminué des herbicides, Monsanto vend désormais aux agriculteurs des plantes transgéniques (surtout maïs, soja et coton) tolérantes au Roundup. De cette manière disent-ils, ces agriculteurs ne devront pulvériser qu’une seule fois du produit au lieu de plusieurs auparavant. Or, des études montrent l’apparition de plantes résistantes à ce produit et que les épandages redeviennent multiples et on a pu remarquer aussi que ce produit s’attaquait également à des espèces animales utiles (comme les abeilles).
Vous vous rappelez certainement l’épisode du maïs Terminator. Ce maïs transgénique fabriqué par Monsanto avait la particularité d’avoir des graines qui ne pouvaient servir de semence pour la récolte prochaine. Ces graines étaient incapables de germer et ainsi de développer une nouvelle plante. Or, il est de coutume parmi les fermiers, de garder une partie de la récolte comme semence pour la prochaine, diminuant ainsi la dépendance, et surtout les frais, pour l’année suivante. Cette distribution de semence, presque obligée, chez les cultivateurs américains a soulevé une telle vague d’indignation que Monsanto a dû la retirer. Mais cela n’est certainement que provisoire.
En sus de cela, Monsanto pratique une politique de rachat agressive qui lui vaut les premiers rangs en terme de vente et de distribution de semences et de produits agricoles dans de nombreux pays. Cette entreprise passe même outre les interdictions d’importation de semence génétique imposées par certains pays (dont, pas ex. le Brésil) dans le seul but de contaminer des régions entières avec ses produits qui lui assureront ensuite le contrôle de la production.
Monsanto, commercialise également une hormone de croissance bovine (artificielle, recombinante et transgénique) à base de bacille e-coli et destinée à augmenter la lactation. Monsanto a bataillé pendant 14 ans afin de faire agréer ce produit par la FDA. Pendant ces années, de nombreuses controverses ont eu lieu et le bruit a même couru qu’une entente avait été conclue dans le but de faire disparaître les résultats gênants. Richard Burroughs, vétérinaire à la FDA a été licencié à la suite de ses accusations de rétention, de falsification et de destruction de documents dans ce dossier par Monsanto et la FDA.
Il faut savoir que ce produit augmente de manière significative les infections mammaires chez les vaches qui le reçoivent. En outre, il a été constaté une augmentation significative des blessures aux membres, des troubles du métabolisme, des difficultés de reproduction et des infections utérines. Des études à ce sujet ont été ouvertes sans que l’on puisse pour autant obtenir les études vétérinaires effectuées soit par Monsanto, soit par l’université du Vermont qui avait été mandatée. En 1994, l’autorisation de commercialisation de ce produit est donnée.
L’infection mammaire bovine provoque des mastites. Mastites qui doivent bien sûr être ensuite traitées par antibiotiques. Ce qui fait qu’outre du pus (!!), on retrouve dans le lait, de plus en plus d’antibiotiques !
Quel rapport ?
S’il y a une catégorie de gens que le nouvel ordre mondial n’aime pas, hormis les contestataires, ce sont les paysans.
La profonde antipathie des mondialistes envers cette classe a pour raison leur activité première : la fabrication de nourriture (par culture ou élevage).
Cette activité contrevient de deux manières aux plans des mondialistes pour le contrôle total de la population. La première est qu’un paysan (normal) est autarcique. Il est totalement indépendant pour l’approvisionnement grâce à ses propres produits. Il produit ce qu’il consomme et peut très bien vivre avec uniquement avec ceux-ci. La deuxième est qu’un paysan peut distribuer ses produits dans sa région de par lui-même et ainsi (avec d’autres) attribuer une certaine autonomie à celle-ci et par extension à un pays (presque) tout entier.
C’est ainsi que l’on assiste à la destruction de la paysannerie par la libre circulation des marchandises et la mondialisation des produits agricoles par le déplacement de ceux-ci sur des milliers de kilomètres pour les vendre en lieu et place de la production locale. Cette illogique commerciale digne des plus sombres heures de la planification soviétique, aboutit à des situations kafkaïennes, ou même, à cet accident de camions (véridique !) impliquant un véhicule chargé de tomates espagnoles à destination de l’Allemagne et un autre chargé de tomates allemandes à destination de……………l’Espagne !
Le contrôle de la population à des fins de gestion et d’asservissement commence par le contrôle des déplacements, par celui de la possession d’armes privées et se termine par le contrôle total des moyens d’achats et de la nourriture.
Sinon, comment expliquer cette motion déposée au sénat américain (résolution 875, février 2009, déposée par Rosa DeLauro, épouse de Stanley Greenburg, directeur de la recherche chez Monsanto) demandait l’interdiction des jardins potagers à des fins de modernisation de la sécurité alimentaire ?
Le but de ces mesures et actions étant de contrôler absolument toute la filière alimentaire de la semence à la distribution.
Il est également à noté que parmi les membres de Monsanto, ou encore parmi les sénateurs ayant œuvré dans son sens, on retrouve Mickey Kantor et Marcia Hale (de l’équipe de Bill Clinton) et ……………Al Gore (Monsieur climat !!) et son conseiller David H. Beier.
À savoir aussi que la fondation Bill et Melinda Gates a acquis, comme révélé par la fondation en août 2010, 500’000 actions de cette firme à hauteur de 23 millions de dollars. En partenariat avec la fondation Rockfeller pour le projet AGRA (A Green Revolution in Africa), elle projette de promouvoir l’arrivée massive sur ce continent d’OGM fournis par Monsanto, DuPont et Syngenta. On considère, qu’au Kenya par exemple, 70% des bénéficiaires d’aides de l’AGRA travaillent pour Monsanto et que 80% des aides de la fondation Bill et Melinda Gates concernent des biotechnologies, terme poétique destiné à enfiler des OGM à peu près partout où cela s’avère possible. En 2008, 30% des fonds destinés au développement agricole ont été affectés aux développements de variétés d’OGM.
Il est plus facile de vaincre un État ou une rébellion par le manque de nourriture que par les armes.
Pour conclure et pour avoir un aperçu un peu plus précis de Monsanto, il faut aussi savoir que c’est cette firme, avec Dow Chemical, qui produisait le célèbre Agent orange, défoliant déversé par les Américains pendant les guerres en Asie du Sud-Est et qui cause des ravages encore aujourd’hui. C’est également Monsanto, par sa filiale GD Searle, qui produit l’aspartame, édulcorant de synthèse et dont la licence avait été révoquée par la FDA en raison d’études inquiétantes montrant une très forte corrélation entre une augmentation brutale des cancers du cerveau et l’arrivée de l’aspartame sur le marché. Cette décision de la FDA fut curieusement annulée par un commissaire nouvellement nommé sous l’administration Reagan. Il faut également savoir que l’aspartame, présente dans de nombreuses boissons light comme le Coca-Cola zéro, est reliée, dans des rapports établis dans les années 80, à de nombreux effets indésirables comme des céphalées, des troubles de la vision, des engourdissements, de la surdité partielle, des spasmes musculaires et des crises d’épilepsie.
Et demain?
La première révolution verte des années 70 et 80, qui a pour un temps augmenté la production, a asservi bon nombre d’agriculteurs à des intrants chimiques coûteux. Elle a causé l’exil des populations rurales, détruit les sols (voir ici), les eaux, les fondements sociaux millénaires de nombreux pays. Ces dislocations à grande échelle ont nourri l’augmentation des naissances, l’urbanisation, la perte de pouvoir social entraînant un autre cycle d’appauvrissement et de faim.
Les bouleversements qu’entraînera inéluctablement la prochaine révolution verte que nous promettent Monsanto et les autres entreprises de biotechnologie modifieront encore plus l’occupation des terres et les rapports sociaux jusqu’à la création d’un gouvernement mondial à la tête de régions et de populations serviles.
La boucle est bouclée.
Plus récemment, les informations suivantes sont ressorties des révélations de WikiLeaks laissent apparaître les dessous de l’imposition, par la force s’il le faut, des OGM à nos cultivateurs.
Sous les numéros 07PARIS4723, 09MADRID482 et 09VATICAN119, ces câbles démontrent la perversité même de nos propres institutions. Il est navrant de constater (dans le premier câble) que c’est la France qui propose aux américains des sanctions contre elle-même et les autres pays européens. Il faut savoir que ces transmissions ont eu lieu suite à la décision de la commission européenne de revoir l’autorisation de cultiver le maïs BR MON-810 (de Monsanto) délivré à la fin des années 90.
1) Dans le câble datant de 1997, l’ambassade de Paris propose au gouvernement américain de dresser une liste de représailles possibles à l’encontre de la France et plus généralement des pays de l’Union Européenne qui choisirait de ne pas emprunter la voie pro-biotechnologie ; mesures qui devraient « faire comprendre que la voie actuelle à un coût réel pour les intérêts de l’Europe. » Les représailles devraient, de l’avis de l’ambassade, être ciblées « sur les pires coupables » tout en étant large pour montrer »que la responsabilité est collective ».
2) Le câble de l’ambassade Madrid met le doigt sur le danger que représente pour Monsanto la fronde contre le maïs MON-810 en Espagne (en particulier au sein des Parlements régionaux) avec la crainte que « si l’Espagne tombe, le reste de l’Europe suivra. » L’Espagne n’est pas ciblée pour rien, elle produit en effet aujourd’hui près de 75% du MON-810 en Europe. Le câble termine par une demande de la part d’un ministre espagnol et de Monsanto pour que le gouvernement américain soutienne un plan d’action en faveur des biotechnologies en Espagne et fasse pression sur Bruxelles.
3) Le dernier câble serait presque anecdotique s’il ne montrait pas la manière pernicieuse dont l’industrie agroalimentaire entend imposer sa manière de voir. L’ambassade américaine au Vatican entend intensifier son lobbying auprès de l’église pour « encourager les dignitaires religieux à reconsidérer leur point de vue critique » en insistant sur le fait que les OGM permettront de diminuer les problèmes de la faim !
Que suite à cela, on ne vienne pas nous dire qu’il s’agit là de pures spéculations ou de l’invention de cerveaux paranoïaques.
Le NWO veut s’imposer, il n’a pas de scrupules et il utilisera toutes les armes à sa disposition, même le génocide si cela s’avérait nécessaire.
Les lendemains qui chantent sont pour l’industrie du cinéma, les nôtres s’éloignent chaque jour un peu plus.
http://fouthese.com/2011/01/monsanto-outil-du-nwo/
Article plus qu’intéressant qui peut en apprendre beaucoup à ceux qui débarquent. De mon côté je ne peux que conseiller le fantastique et incontournable documentaire sur le sujet, une page wikipedia lui est consacrée: http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Monde_selon_Monsanto. Et la chance étant avec nous, il se trouve ici: http://video.google.com/videoplay?docid=-8723985684378254371#