La récente décision de la Fed a plongé les investisseurs dans la perplexité : elle revient en effet à avouer que l’influence de la politique monétaire sur le chômage, l’inflation et la croissance est illusoire, et que les chiffres présentés sont faux ou pas fiables.
Ce dernier point est d’ailleurs flagrant. La seule chose qui intéresse les gens, ce sont leurs revenus ; les Américains gagnent moins d’argent malgré les milliers de milliards injectés depuis toutes ces années.
Leurs revenus sont retombés au niveau de 1995. La croissance achetée à crédit ne porte pas ses fruits. Les taux n’ont jamais été relevés depuis 2006, mais toujours baissés. Ils sont à zéro depuis 2008. Les revenus baissent depuis 2000.
Le graphique ci-dessous prouve que la fausse monnaie officielle créée par les banques centrales n’enrichit que l’industrie financière, pas le bon peuple.
En réalité c’est le dogme keynésien vieux d’un demi-siècle qui est remis en cause. Selon ce dogme, pour lutter contre une récession il suffit de baisser les taux pour faciliter le crédit et que l’État s’endette à bon compte afin d’injecter de l’argent là où il l’estime nécessaire.
On va passer à l’étape supérieure
Les économistes interventionnistes deviennent donc inquiets : confrontés à une prochaine récession, quels seront leur outils puisque les taux sont déjà à zéro et que la plupart des pays développés sont déjà surendettés ? Mais rien n’arrête la folie bureaucratique qui a déjà une réponse : des taux négatifs ! Un régime monétaire dans lequel vos dépôts bancaires subiront une érosion continue. Ceci afin de dissuader toute velléité d’épargne liquide et que chacun soit incité à consommer (ou à placer dans des actifs risqués) tout ce qu’il gagne. Janet Yellen, présidente de la Fed, a donc repris cette idée absurde et spoliatrice dans son discours du 17 septembre. D’abord un petit coup de tranquillisant…
« Je serai claire, les taux négatifs n’ont pas été envisagés de façon très sérieuse aujourd’hui. Cela ne faisait pas partie de nos principales options politiques ».
Puis un admirable exercice de langue de bois de grand planificateur omniscient cherchant à couvrir ses arrières…
« Je ne m’attends pas à ce que nous nous engagions à de nouveaux assouplissements. Mais si les perspectives venaient à changer d’une façon inattendue par mes collègues et moi-même et que nous nous trouvions confrontés à une économie faible qui nécessiterait des mesures de relance additionnelles, nous regarderions tous les outils disponibles. Et cela (les taux négatifs) pourrait être quelque chose que nous considérerions dans ce contexte ».
La prochaine fois que la Fed devra « faire quelque chose », ce sera donc les taux négatifs. Mais les gens n’accepteront pas et préféreront garder leur argent en cash plutôt que de le laisser en banque, pensez-vous…
Détrompez-vous ! Tout l’enjeu de la promotion de la société sans cash est là : vous obliger à rester dans le système bancaire pour mieux vous plumer lorsque ce sera nécessaire. Ce sera nécessaire pour prolonger un système absurde par lequel quelques fonctionnaires prétendent sauver des entreprises en faillite, piloter les décisions de centaines de millions de gens, orienter leurs investissements ou même investir à leur place (par la dette publique).
Source: La-chronique-agora.com via Sott.net
A prémisses fausses, conclusions fausses.
La Théorie économique de Keynes, qui a pourtant fait ses preuves, ne peut plus s’appliquer dans le système bancaire actuel.
Pour rappel, et simplification, actuellement, les Banksters empruntent à taux zéro, auprès des Banques Centrales des états, pour le prêter aux états, entreprises, et particuliers, à des taux bas, mais existant, et développant « LA Dette ».
Mais cela n’est pas d’un rapport très intéressant par rapport aux Jackpots obtenus en spéculant avec ces fonds gratuits (puisqu’à taux 0) sur les cours des matières premières, les cours de changes, et les actions des entreprises. Où les Banksters se constituent de véritables fortunes, au détriment de l’économie réelle.
Tant que les états ne récupèrent pas la maîtrise de la création monétaire, et des taux, nous irons dans le futur mur du Krach qui se profile.
Donc nous avons certaines personnes qui se prêtent l’argent à des taux zéro , puis ces mêmes personnes font des prêts bancaires à de forts taux , en disant que c’est leurs argent et comme ça ils s’assurent , si il y a des impayés , avoir repris un peut plus de ce qu’ils ont prêter à perte …
Qui sont-ils ?
Je suis sûr que vous avez trouvé…
http://www.forbes.com/billionaires/list/#version:static
En dictature on ne peux nommer ses tortionnaires, sous peine de représailles acharnées.
…Heureusement que nous ne sommes pas en dictature.
…. » dis moi qui tu ne peux critiquer et je te dirai qui sont tes maîtres ».
Les Riches ?
Tu viens de les nommer… ce n’est donc pas eux!
Les nommer est une choses.
Tu demandais qui nous ne pouvons pas critiquer.
Et j’ai encore en mémoire la levée de boucliers lorsque je les avais critiqués…
Quel humour !
Comme si le droit de critiquer ou non le groupe de personnes exerçant tous les pouvoir définissait une dictature.
Si ce n’est pas de l’humour de troll, tu es sincèrement à côté de tes chaussures…
« Une dictature est un régime politique dans lequel une personne ou un groupe de personnes exercent tous les pouvoirs de façon absolue, sans qu’aucune loi ou institution ne les limite1″
»
Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire ; durée pendant laquelle s’exerce le pouvoir d’un dictateur.
Pouvoir absolu exercé par une personne ou un groupe dans un domaine particulier ; tyrannie.
Influence extrême de quelque chose : La dictature de la mode.
Sous la République romaine, magistrature extraordinaire exercée par le dictateur.
«
De toute évidence, tu te l’as pète grave et sans humour,.. très cher.
Si non ça, c’est plus court et moins con-descendant: http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/dictature/
Haha, con-descendant xD désolé que tu le prennes mal.
C’est du copier-collé de définition de 2 sites.
« Régime politique dans lequel tous les pouvoirs sont entre les mains d’une seule personne. »
Donc tu confirmes ? la définition n’est pas « régime politique dans lequel on ne peu pas critiquer l’ordre établi. »
Non,…puisque je n’ai pas abordé ce sujet.
Pour rappel, j’ai basiquement écrit:
-« En dictature on ne peux nommer ses tortionnaires, sous peine de représailles acharnées. »
..Simple constatation se basant sur des faits historiques et un peu de bon sens, aussi. Mais si peu…
Et vois-tu, si on me demandait ma déf personnelle (donc fausse, hein ) je dirais qu’une dictature se caractérise par la suppression de l’indépendance des trois pouvoirs (législatif exécutif judiciaire). Et les abus qui en découlent n’étant qu’une conséquence.
Tu vois, un peu comme un gouvernement exécutif:
– Qui passerait des lois en force par Art 49/3 ,ou par décret pour agir directement sur ses codes de lois.
– Qui déclencherait, sans l’aval du parlement, des interventions extérieures, pourtant sans danger immédiat avéré pour la nation.
– Qui imposerait des directives et noyauterait la justice. – Qui poursuivrait les dissidents par une police de la pensée jusque dans leurs boîtes mail et sur leurs compte fesses-de-boucs.
– Qui internerait ses élus (maire) déviant de la doxa du polit-bureau.
– Qui etc, etc…
Nb: Je tiens à préciser que toute ressemblance avec un pouvoir politique existant ou ayant existé serait purement fortuite et ne saurait engager ma responsabilité.
Ah j’oubliai la meilleur!
-Qui bafouerait le choix de la nation exprimé par un vote franc et direct par référendum.
Et bien on est d’accord a final
De plus ta définition me semble pas si fausse (peut être rajouter un 4ème pourvoir, la presse), et n’exclue pas le droit de nommer ses tortionnaires. Au contraire d’ailleurs, une dictature comme la notre ne la joue plus en mode « bourrin » mais gère les choses de manière subtile et sournoise.
L’expérience surement.
je sais pas, de toute façon, on peut plus analyser quoi que ce soit.
Des algorithmes qui traient des millions d’opérations a la seconde, des requins qui volent des requins, des spéculateurs qui spéculent sur leurs propres produits dérivés…
Un truc de sur c’est que ça va très mal se passer!
Une société sans cash c’est une société sans drogue, armes, vols, blanchiment, paris, jeux d’argent, travail au black et sans…consommation!!!
Un monde sans cash c’est des sdf, du chômage et des aides sociales
non non, je crois pas!l’estomac de la finance se bouffe de l’intérieur, a nous de profiter pour que ca ne recommence plus une fois fini
de moins en moins de règlements en espèces :
danemark suède etc
http://www.express.be/business/fr/economy/au-danemark-il-ne-sera-bientot-plus-possible-de-regler-en-especes-les-stations-services-les-cafes-et-les-restaurants/213251.htm
Il est grand temps pour les citoyens d’arriver à la résilience avant qu’il ne soit trop tard pour eux!
La résilience c’est après un événement dramatique, pas avant.
En ce moment c’est resilience tous les jours … Lol …ou pas.
L’exercice de langue de bois est effectivement superbe. Dans un sens comme dans l’autre, nous sommes les dindons de la farce. Et une fois que les dindons seront bien plumés, que tout le monde sera dans la rue et que les banquiers habiteront chez nous, ils finiront par se bouffer entre eux vu qu’il n’y aura plus personne avec qui faire joujou.
Au moins tant que les sans-dents resteront passifs.
http://www.lesaviezvous.net/histoire/14-ans-avant-le-naufrage-du-titanic-un-ecrivain-avait-tout-predit.html
http://www.youtube.com/watch?v=uVd32Zyof6I
Rien à voir, mais rappelons que le Titanic n’est PAS le plus grand naufrage de l’histoire, sauf pour Hollywood. Et pour cause, c’est probablement le naufrage dans l’Histoire qui a tué le plus de personnes qu’on ne peut pas nommer.
Oui, ca a même certainement le naufrage le plus important de l’humanité … Ayant conduit également au naufrage et l’esclavagisme de l’humanité…
Pour les intéressés voir « opposants a la création de la fed »…
Les échanges directs nous ramènent à l’essentiel et nous préservent de la noyade.
Ce qui est extraordinaire, c’est le décalage qu’il y a entre les médias mainstream, qui osent parler de reprise économique et de reprise de confiance du consommateur. Et les économistes sérieux qui prédit une crise majeur, et de l’éclatement de la bulle financière.
Une chose est certaine à mes yeux, il n’y a aucune reprise de confiance du consommateur. Pour une reprise économique globale, les chiffres parlent d’eux même, c’est faux.
L’économie américaine est à l’arrêt depuis au moins le début de l’année. Le Japon n’est plus très loin du défaut de paiement, si ce n’est pas encore le cas, c’est juste parce-qu’ils utilisent eux aussi la planche à billet.
En Chine, ils se font peur toute les deux semaines, et plusieurs pays de la zone euro vivotent, dont la France. Pour compléter le tableau, vous le savez, Espagne, Italie, Irlande, Portugal, et bien sûr la Grèce.
Le but à terme sera d’imposer un monde sans espèce régler par une ploutocratie de bankster régnant en maître sur un monde aseptisé et uniformiser constituer par un nouvel homme utile. Et ce pour la plus grande richesse d’une poignée d’élu autoproclamer.
Orné
C’est un peu le principe de la monnaie fondante. Elle encourage la circulation des capitaux et donc la vitesse de circulation de la monnaie. Elle dissuade la thésaurisation et avantage les revenus du travail tandis qu’elle pénalise la rente du capital.
Donc pourquoi pas des taux négatifs s’ils poussent les investisseurs à créer plutôt qu’à « placer ».
Le pb c’est que dans les faits c’est l’inverse qui se produit. On le constate avec les QE successif de la FED, de la BOJ et de la BCE, l’argent gratuit sert principalement les spéculateurs mais les économies réelles ne voient pas ces flux massif de devises se traduire en commandes, en contrats, ou en investissements; ces milliards se valorisent sur les marchés boursiers et ne fait qu’aggraver les bulles financières. Pression maximum sur les gains de productivité ne servant que les dividendes (les actionnaires, les détenteurs du capital productif)souvent au détriment de la force productive (les travailleurs) d’où cet écart exponentiel entre les plus riches et les plus pauvres. 300 personnes dans le monde possèdent autant que le 3.5 milliards les plus pauvres.
Dans une logique de décroissance, le taux d’intérêt négatif aurait tout son sens, mais nous n’en sommes pas encore là…