Nouvel Ordre Mondial – Le véritable attrait caché de l’élite mondialiste pour la Suisse

En ces temps plus que troublés certains fondamentaux concernant l’oligarchie sont toujours bons à rappeler….

[youtube]https://youtu.be/7RVCslDBfwE[/youtube]

Source : TF1 (fin 1990)

PROTECTION CIVILE

Les bunkers civils, les «abris de protection civile», existent en Suisse dans les écoles, les hôpitaux et d’autres bâtiments publics.

On compte quelque 300.000 abris pour 7,5 millions d’habitants. C’est la plus grande proportion par habitant au monde

LE BUNKER DU GOUVERNEMENT

Le «bunker des bunkers», celui réservé au Conseil fédéral (gouvernement suisse) a le nom de Centre de commandement «K20».

En cas de crise, et particulièrement en cas d’agression nucléaire, les sept membres du Conseil fédéral doivent prendre leurs quartiers dans le K20 avec leurs équipes d’états-majors, leurs conseillers et des parlementaires.

D’un coût de 259 millions de francs, la centrale a la grandeur d’un immeuble moyen. En cas de menaces atomiques, biologiques ou chimique, plusieurs centaines de personnes pourraient y trouver refuge pendant six mois.

En déshérence depuis la fin de la guerre froide, les bunkers militaires font peau neuve. Des particuliers ou des entreprises les transforment en hôtels ou en salles de réception. Creusés souvent au cœur des Alpes, ils protègent aussi des banques de données et des trésors.

Vingt ans après la fin de la guerre froide, entourée d’Etats amis, la Suisse se retrouve avec un problème: que faire des fortifications cachées dans les montagnes? La plupart sont connues et celles qui sont censées restées secretes ne le seront plus longtemps, curiosité médiatique oblige.

Le bunker qui devait servir de centrale de commandement au gouvernement suisse en temps de guerre vient ainsi de céder à la pression médiatique. Les coordonnées exactes de la «Centrale de commandement K20» ont été publiées sur internet fin août, à l’étranger et en Suisse.

«Ce qui est visible à l’extérieur peut être photographié et faire l’objet de discussions publiques, explique Hansruedi Moser, chef d’information de la Chancellerie fédérale. Mais ce qui se passe à l’intérieur reste invisible et doit rester secret.»

Depuis longtemps, de nombreux sites internet et de nombreuses publications ne respectent plus cette distinction concernant les bunkers fédéraux. On a par exemple appris dans quel bunker se trouvait la centrale de commandement du Forum Economique Mondial (WEF).

Idée commerciale :

Entretemps, l’idée a germé que les bunkers emmurés pouvaient se révéler intéressants, d’un point de vue commercial. Les bunkers comme lieu de séminaires ou de réception? Ou comme entrepôts pour des banques de données? Les assurances, les banques et, comme de juste, les entreprises de sécurité en sont très friandes.

Les informations personnelles de la clientèle, les secrets d’affaires, des valeurs matérielles mais aussi des trésors sont désormais enterrés dans la montagne. L’entreprise Siag de Zurich gère par exemple, dans d’anciens bunkers de l’armée sécurisés, plusieurs centres informatiques pour des clients exigeant une très grande discrétion.

L’entreprise Siag conserve les informations digitales de façon hautement sécurisée. «Nous louons des bunkers à l’armée sur une longue période ou en sommes co-propriétaires», explique Christoph Oschwald, de Siag, interrogé par swissinfo.

Les responsables de la gestion des informations «bunkérisées» connaissent-ils leurs clients? «Pour ne pas tomber sur des gens peu recommandables et en cas de doute, nous leur rendons visite, où qu’ils soient dans le monde», indique Christoph Oschwald.

Pour toutes les circonstances

Le nombre de raisons poussant des particuliers ou des entreprises à entreposer des banques de données dans les montagnes semble illimité. Les bunkers se prêtent en effet très bien à la conservation de listes d’adresses irremplaçables, d’images de valeur, de listes de biens de valeurs patrimoniales ou de données comptables.

Des données concernant des fusions d’entreprise ou des rachats peuvent aussi trouver une place très discrète au fin fond des montagnes. Et cela pour une longue période.

Les bunkers viennent aussi en aide au citoyen lambda à son insu: en cas de perte de passeport par exemple, les autorités peuvent en retrouver la source. Les nouveaux passeports sont en effet scannés, et les images sont conservées dans un bunker, permettant l’émission rapide d’un nouveau document en cas de besoin.

Rocher et «roche ancestrale»

Le principe selon lequel l’imagination n’a pas de limites lorsqu’il s’agit de sécurité se vérifie bien avec les bunkers. L’entreprise «Swiss Data Safe» (SDS) vend ainsi ses prestations sous le slogan «protection dans le rocher et la pierre ancestrale.» Elle gère un ancien bunker du Conseil fédéral à Amsteg (UR).

La SDS propose des systèmes de haute sécurité et des mesures de protection contre les attaques physiques et électroniques, les catastrophes naturelles, les troubles, les catastrophes et les attaques terroristes. Elle assure les données, les documents, les archives, les valeurs et les œuvres d’art ou biens culturels.

Mais comment devient-on propriétaire d’un ancien bunker du Conseil fédéral? La réponse du patron de SDS, Dolf Wipfli, n’apporte pas de précision: «Nous l’avons acheté», se contente-t-il de répondre.

Les entreprises faisant commerce grâce aux bunkers ne sont pas l’objet d’une surveillance spéciale. «Nous sommes tenus de respecter les lois, explique Dolf Wipfli. Les autorités n’ont fixé aucun contrôle supplémentaire.»

Couvents et lieux de rencontres

Mais les bunkers ont aussi, manifestement, un potentiel touristique, voire poétique. L’hôtel «La Claustra» s’est ainsi ouvert dans une ancienne base d’artillerie armée du massif du Gothard.

A l’origine de l’idée, l’artiste et sociologue Jean Odermatt avait déjà depuis des années le projet de créer un lieu de réflexion au cœur des montagnes. C’est devenu un hôtel avec salles de conférences, chambres luxueuses et restauration de haut vol à 2500 mètres d’altitude.

«Notre hôtel attire beaucoup de marcheurs, explique Jenny Hutter, de La Claustra. Mais des cours de formation continue sont aussi organisés, tout comme des réunions de cadres qui développent de nouvelles stratégies.»

Le Réduit national dans les montagnes suisses a accouché d’un couvent, lieu de réflexion et de connaissance. C’est en tout cas ce que promet la publicité de «La Claustra».

swissinfo, Erwin Dettling (2008)

(Traduction et adaptation Ariane Gigon)

Source : http://www.swissinfo.ch/fre/boum-sur-les-bunkers-suisses/6941828

Stef2892 pour les moutons enragés

A propos Stef2892

Correspondant Français pour l'Autre Monde Sur CHOQ.FM à l'UQAM

16 Commentaires

  1. Bonjour tout le monde
    A défaut (à mon échelle) d’un nouvel ordre mondial, j’ai
    mis à à2h du mat de l’ordre dans mes billets à corriger mes
    fautes d’hier. Désolée entre ma dyslexie et cerveau liquéfié
    à cause de la chaleur… ceci explique cela. Donc mes excuses.
    A part cela, pour en revenir au sujet du billet je pense que
    la mentalité fraançaise est du genre à penser « cela n’arrivera pas » donc aucun préparatif par notre gouvernement pour sauver nos fesses d’autant quand je lis le prix déployé
    par le Siag. On fera comme d’hab… système D au dernier moment !
    bête question (je sais j’en pose souvent…)
    comment se fait-il qu’en Suisse il y ait autant de bunkers ?
    sachant qu’ils furent « neutres » durant la précédente guerre mais pas blanc comme leur
    chocolat…?
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

    • « aucun préparatif par notre gouvernement pour sauver nos fesses » Pour sauver NOS fesses, bien sûr que non !
      Mais aucun doute que leurs gros séants d’oligarques seront bien à l’abri en cas de problème … en France on n’a pas de chocolat mais on à des voyous …

      Slogan suisse «La neutralité ne protège pas de la radioactivité»

      M.G.

    • Un nuage radioactif peut parcourir 284 Km, 16 h après l’impact (impact qui n’excède pas 35 km, voir l’essai nucléaire à Bikini en 1954 avec une Bombe H de 15 Mégatonnes), en fait tout dépend du sens des vents et selon les pluies, il se passe un phénomène de contamination en « peau de léopard », elle peut donc se déplacer bien au delà de cette zone d’impact et atteindre plus de 100 km (zone mortelle immédiate).
      Alors oui les Suisses étaient prévoyants.

  2. ils ne datent pas tous de la II guerre mondiale mais la plupart ont été bâtis lors de la guerre dite « froide » entre USA et URSS car le danger nucléaire était bien réel.

    article repris sur Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Abri_antiatomique

    Protection civile en Suisse.

    En Suisse, la construction des abris antiatomiques est obligatoire dans les zones habitées. Le nombre de bunkers dépend de la densité de la population mais des particuliers ont parfois un abri antiatomique sous leur maison. Les autorités doivent faire en sorte que chaque Suisse (ou résident en Suisse) dispose d’un lit dans un abri.

    En plus des abris construits dans les maisons et immeubles privés, il existe des « abris de protection civile » dans des écoles, des hôpitaux ainsi que dans d’autres bâtiments publics. En Suisse, il y a 300 000 abris pour une population de 7,5 millions d’habitants. Selon Swissinfo, c’est la plus grande proportion par habitant au monde.

    Le 9 mars 1995, le conseiller national Pierre Kohler a déposé devant le Parlement suisse une initiative parlementaire demandant la suppression de l’obligation pour les personnes privées de construire des abris antiatomiques en Suisse. Le 13 juin 2006, le Conseil national a accepté la proposition Kohler, contre l’avis du gouvernement suisse. Mais dans les faits, le propriétaire acceptant l’installation d’abri antiatomique dans une nouvelle construction touche des subsides de l’État pour sa réalisation.

  3. Cela tombe aujourd’hui en désuétude, mais les suisses avaient l’obligation d’avoir un abri à leur domicile, ou alors ils payaient une taxe pour l’entretien d’un local collectif municipal.

    Dire qu’en France, la nouvelle réglementation sur les armes continue de classer les masques à gaz permettant de lutter contre le risque NBC (nucléaire bactériologique chimique) dans les armes de guerres interdites de possession au public…

    Nos politichiens ont sans doute peur que lesdits masques à gaz servent dans les manifestations pour se protéger des gaz lacrymogènes…

    Donc la population n’a PAS LE DROIT de se protéger contre le risque NBC.

    • J’ai lu cette info en effet, pour la France. Pas de masque à gaz, pas d’iodure de potassium sauf aux abords des centrales. On nous dit bien que l’armée seule décidera du moment où les pharmacies seront approvisionnées, sauf qu’il sera trop tard pour mettre son nez dehors pour aller en chercher ! C’est du grand n’importe quoi ! Pour moi, c’est une preuve de la volonté de nettoyer la population française à la première occasion ! Il y a heureusement des solutions, des précautions à prendre, individuellement (ou familialement bien entendu). Ça vaut ce que ça vaut, mais on moins on n’a moins l’impression d’être ces pauvres moutons qu’on conduit à l’abattoir !

  4. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_mail.gif Les suisses feraient bien d’en prendre grand soin de leurs bunkers; …à mon avis ils pourraient ne pas tarder à en avoir grand besoin quoi ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif

    Imaginez un monde repeuplé par les élites et les suisses https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif; …c’est peut-être bien ça le plan en fait !
    …j’ai travaillé 5 ans là-bas, …en fait il est plutôt dociles ce peuple suisse ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif

  5. La Suisse est un pays de collabos, tout comme le reste de l’Europe. Elle se fait juste plus discrète que les autres.

  6. ca sert plus a rien depuis plus de 20 ans

    sadam a perdu 50000 hommes avec une bombe h dans un bunker acheter au allemand

    tout ca c est une simple diversion et prendre le probleme a l envers

    seul la sagesse pour eviter toute guerre ou une arme propre qui neutralise toutes les autres peut nous proteger

    les plus gros richtons ont construit leur planque entre l argentine et le chili

    car officiellement la fine equipe veut proteger la nature dans les montagnes des terres rares des andes

    en fin de compte ils sont fait comme des rats et blufflent pour masquer leur effroi

  7. Bah ! En France aussi il y a des bunkers … sur ou sous les plages de l’Atlantique ! 😉
    Ce n’est pas ça qui nous sauvera.

  8. Je ne pense pas une seule seconde que le risque nucléaire ait pu être à l’origine de ce type de construction que beaucoup imagine obsolète.
    A mon avis le potentiel de protection reste intact les anciennes installations (démantelées ?)ne servant qu’à donner une impression de laisser à l’abandon alors même que d’autre se construise.

    « Le 9 mars 2011, vingt ans après la fin de la guerre froide, le Conseil fédéral mettait pourtant fin à l’obligation de posséder un abri. Deux jours plus tard, un tsunami détruisait la centrale nucléaire de Fukushima. Une vague d’inquiétude s’est alors emparé du pays et le parlement revint sur sa décision. Tandis que le gouvernement allemand se pressait de sortir du nucléaire, le Conseil fédéral suisse ordonnait non seulement le maintien mais également la construction de nouveaux abris. Ainsi survit une étrange tradition. »

    Une étrange tradition qui est du même type que celle qui veut que ce soit en suisse où l’on trouve le plus grande nombre d’Obélisques sur les tombes.

    https://
    http://www.youtube.com/watch?v=qGOUzX4YuyY

    je parie même que les impôts du peuple Suisse n’ont jamais été la source de financement de ces installations.

    http://manipulasion.canalblog.com/archives/2014/08/14/30448661.html

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