Après avoir accuser les loups, (parce que c’est toujours la faute d’autrui), au bout de quatre ans de recherches, des chercheurs se sont ENFIN rendu compte que c’est l’homme qui est responsable. Il est tout de même désolant, qu’il faille dépenser des sommes faramineuses, pour démontrer une évidence, que tout un chacun peut constater. S’ils s’attachaient à démontrer que l’homme est le principal prédateur, pas pour sa survie mais pour le profit, on avancerait un peu..
L’exploitation des sable bitumineux menace les caribous du Canada plus que les loups qui étaient accusés de leur disparition, rapporte le Los Angeles Times. C’est le résultat de quatre années de recherches, menées par une équipe de chercheurs canadiens et étasuniens, afin de comprendre la diminution de la population de caribous en Alberta et de protéger les loups qui étaient chassés car accusés de cette diminution.
L’analyse d’excréments de loups, de caribous et d’élans trouvés sur une aire de 1600 km2 de sables bitumineux, au sud de Fort McMurray, a souligné l’état nutritionnel et psychologique aggravé des caribous. Mais ce n’est pas lié aux loups.
En hiver, les caribous comptent sur le lichen pour se nourrir et préfèrent les espaces ouverts où ils voient les prédateurs, mais ces mêmes espaces sont occupés désormais par des routes utilisées pour l’exploitation minière.
Le bruit des équipements et l’activité humaine empêchent les animaux de chercher de la nourriture en grattant sous la neige. Samuel Wasser, directeur du Centre de Conservation Biologique de Washington, recommande de « déplacer les routes à utilisation importante des espaces dégagés ».
Un article de:
www.goodplanet.info. trouvé sur terresacree.org
Déjà en 1968, les caribous devenaient stériles, et de fait leur population diminuait. La cause avait alors été très vite décelée, les lichen aliment de base, absorbaient la radioactivité ambiante et la concentration qu’ils renfermaient, rendait les rennes mais aussi les caribous de plus en plus stériles.
ça me désole toujours, on détruit des animaux encore et encore. Le jour où il n’y aura rien ils se rendront compte que l’argent ça ne se mange pas.