Le cadavre d’un jeune russophone accroché à la clôture d’une église par un ruban adhésif… Non, non, il ne se passe rien d’inquiétant en Ukraine… circulez, y’a rien à voir !
Le 30/09/2014.
Aujourd’hui, au centre de Kharkov, sur la palissade de l’église de la Nativité du Christ sur le Champ de Paul, a été crucifié par des combattants de la Garde Nationale ukrainienne un russophone, habitant de la ville et partisan d’Antimaïdan.
http://www.vesti.ru/doc.html?id=2009980#
Comme l’apprit l’agence « Ural-Press-inform » par des déclarations officielles, le jeune garçon a été tué uniquement par ce qu’il faisait une collecte pour la population et les partisans du sud-est. Il envoyait des colis en secret dans le Donbass, en dépit de menaces permanentes de lui arracher la tête. Pour l’instant, la police et les autorités de Kharkov gardent le silence sur ce crime pourtant si frappant. Les membres des bataillons punitifs à Kharkov se donnent pour objectif de terroriser la population russophone de la ville avec la complicité des pouvoirs locaux. Pour la première fois, le centre industiel de l’Ukraine s’est figé dans l’attente de pogroms contre les Russes.
Source : Statut du père Gamaris (uralpress.ru) – Traduction de Laurence Guillon
Demandons a notre ministre des affaires étrangeres ce qu’il pense de ses amis Ukrainiens.
Donbass: 400 corps exécutés à bout portant retrouvés dans des fosses communes:
http://fawkes-news.blogspot.fr/2014/09/donbass-400-corps-executes-bout-portant.html
Bonsoir,mes chers et chères ME,voilà une vidéo qui en dit long sur les projets avenir,perso je vois juste que ce qui est dit arrive,l’avais mit dans un article il y a 2mois,mais ça se précise.
http://www.youtube.com/watch?v=62-dB9G-TaU
Tic, Tac, s’approche l’heure où Poutine sort sa bite pour la mesurer avec celle d’Obama… Tic, Tac.
Et nous, pauvres victimes collatérales. Nous n’aurons pas le privilège d’être crucifiés, mais serons mobilisés pour servir de chair à canon en première ligne afin de protéger missile et chars derrière nous.
Ca sent la poudre, par ici.