L’AMGOT, késako ? Il s’agit de l’acronyme de Allied Military Government of the Occupated Territories, qui était un plan défini par les États-Unis, et qui visait à imposer dans les pays « libérés de l’occupant nazi » (un occupant financièrement et matériellement aidé par les grandes banques américaines, voir aussi « Ce qu’on ne vous dira jamais sur le 6 juin 1944 » …), un gouvernement militaire allié, afin d’assurer une transition pour un retour à la « démocratie ».
Soutenu par l’immense majorité des Français, De Gaulle, chef de la résistance, réussit cependant à éviter l’AMGOT et à installer un gouvernement provisoire français (le GPRF) pour assurer le retour à la démocratie. Il s’agit d’un pan entier de l’histoire – et non des moindres -, qui ne nous est curieusement pas enseigné dans les manuels d’histoire ! Si l’on compa
Le-veilleur.com – Article libre de reproduction à condition de laisser le lien pointant vers cette pagere ces faits à ceux survenus en Iran, Libye, Afghanistan, Liban, Pakistan, Syrie, Ukraine, etc, etc, etc, soit au total environ 70 pays depuis leur Déclaration d’Indépendance, le doute est-il encore permis ?
Le-veilleur
C’est une page peu connue de l’histoire de la seconde guerre mondiale : dès 1941-1942, Washington avait prévu d’imposer à la France – comme aux futurs vaincus, Italie, Allemagne et Japon – un statut de protectorat, régi par un Allied Military Government of Occupied Territories (Amgot). Ce gouvernement militaire américain des territoires occupés aurait aboli toute souveraineté, y compris le droit de battre monnaie, sur le modèle fourni par les accords Darlan-Clark de novembre 1942.
A en croire certains historiens américains, ce projet tenait à la haine qu’éprouvait Franklin D. Roosevelt pour Charles de Gaulle, « apprenti dictateur » qu’il eût voulu épargner à la France de l’après-Pétain. Cette thèse d’un président américain soucieux d’établir la démocratie universelle est séduisante, mais erronée (1).
Un « Vichy sans Vichy »
A l’époque, les Etats-Unis redoutaient surtout que la France, bien qu’affaiblie par la défaite de juin 1940, s’oppose à leurs vues sur deux points, du moins si De Gaulle, qui prétendait lui rendre sa souveraineté, la dirigeait. D’une part, ayant lutté après 1918-1919 contre la politique allemande de Washington, Paris userait de son éventuel pouvoir de nuisance pour l’entraver à nouveau. D’autre part, la France répugnerait à lâcher son empire, riche en matières premières et en bases stratégiques, alors que les Américains avaient dès 1899 exigé – pour leurs marchandises et leurs capitaux – le bénéfice de la « porte ouverte » dans tous les empires coloniaux (2).
C’est pourquoi les Etats-Unis pratiquèrent à la fois le veto contre De Gaulle, surtout lorsque son nom contribua à unifier la Résistance, et une certaine complaisance mêlée de rigueur envers Vichy. A l’instar des régimes latino-américains chers à Washington, ce régime honni aurait, à ses yeux, l’échine plus souple qu’un gouvernement à forte assise populaire.
Ainsi chemina un « Vichy sans Vichy » américain, qu’appuyèrent, dans ses formes successives, les élites françaises, accrochées à l’Etat qui leur avait rendu les privilèges entamés par l’« ancien régime » républicain et soucieuses de négocier sans dommage le passage de l’ère allemande à la pax americana.
Préparant depuis décembre 1940, bien avant leur entrée en guerre (décembre 1941), leur débarquement au Maroc et en Algérie avec Robert Murphy, représentant spécial du président Roosevelt en Afrique du Nord et futur premier conseiller du gouverneur militaire de la zone d’occupation américaine en Allemagne – bête noire des gaullistes -, les Etats-Unis tentèrent un regroupement autour d’un symbole de la défaite, le général Maxime Weygand, délégué général de Vichy pour l’Afrique jusqu’en novembre 1941.
L’affaire échouant, ils se tournèrent, juste avant leur débarquement du 8 novembre 1942, vers le général Henri Giraud. Vint ensuite le tour de l’amiral François Darlan, alors à Alger : ce héraut de la collaboration d’Etat à la tête du gouvernement de Vichy, de février 1941 à avril 1942, était resté auprès de Pétain après le retour au pouvoir de Pierre Laval (3).
Le 22 novembre 1942, le général américain Mark W. Clark fit signer à l’amiral « retourné » « un accord singulier » mettant « l’Afrique du Nord à la disposition des Américains » et faisant de la France « un pays vassal soumis à des « capitulations » ». Les Américains « s’arrogeaient des droits exorbitants » sur le « prolongement territorial de la France » : déplacement des troupes françaises, contrôle et commandement des ports, aérodromes, fortifications, arsenaux, télécommunications, marine marchande ; liberté de réquisitions ; exemption fiscale ; droit d’exterritorialité ; « administration des zones militaires fixées par eux » ; certaines activités seraient confiées à des « commissions mixtes » (maintien de l’ordre, administration courante, économie et censure) (4).
Laval lui-même préparait son avenir américain tout en proclamant « souhaiter la victoire de l’Allemagne » (22 juin 1942) : secondé par son gendre, René de Chambrun, avocat d’affaires collaborationniste doté de la nationalité américaine et française, il se croyait promis par Washington à un rôle éminent au lendemain d’une « paix séparée » germano-anglo-américaine contre les Soviets (5). Mais soutenir Laval était aussi incompatible avec le rapport de forces hexagonal que ladite « paix » avec la contribution de l’Armée rouge à l’écrasement de la Wehrmacht.
Une « belle et bonne alliance »
Après l’assassinat, le 24 décembre 1942, de Darlan, auquel furent mêlés les gaullistes, Washington revint vers Giraud, fugace second de De Gaulle au Comité français de libération nationale (CFLN) fondé le 3 juin 1943. Au général vichyste s’étaient ralliés, surtout depuis Stalingrad, hauts fonctionnaires (tel Maurice Couve de Murville, directeur des finances extérieures et des changes de Vichy) et industriels (tel l’ancien cagoulard Lemaigre-Dubreuil, des huiles Lesieur et du Printemps, qui jouait depuis 1941 sur les tableaux allemand et américain) et banquiers collaborateurs (tel Alfred Pose, directeur général de la Banque nationale pour le commerce et l’industrie, féal de Darlan).
C’est cette option américaine qu’incarnait Pierre Pucheu en rejoignant alors Alger et Giraud : quel symbole du maintien de Vichy que ce ministre de la production industrielle, puis de l’intérieur de Darlan, délégué de la banque Worms et du Comité des Forges, ancien dirigeant et bailleur de fonds du Parti populaire français de Jacques Doriot, champion de la collaboration économique et de la répression anticommuniste au service de l’occupant (désignation des otages de Châteaubriant, création des sections spéciales, etc.).
Lâché par Giraud et emprisonné en mai 1943, il fut jugé, condamné à mort et exécuté à Alger en mars 1944. Pas seulement pour plaire aux communistes, que Pucheu avait martyrisés : De Gaulle lançait ainsi un avertissement aux Etats-Unis et à la Grande-Bretagne. Il sema l’effroi chez ceux qui attendaient que le sauvetage américain succédât au « rempart » allemand :
« Le bourgeois français, ricanait un policier en février 1943, [a] toujours considéré le soldat américain ou britannique comme devant être à son service au cas d’une victoire bolchevique (6). »
Peignant De Gaulle à la fois en dictateur de droite et en pantin du Parti communiste français et de l’URSS, Washington dut pourtant renoncer à imposer le dollar dans les « territoires libérés » et (avec Londres) reconnaître, le 23 octobre 1944, son Gouvernement provisoire de la République française : deux ans et demi après la reconnaissance soviétique du « gouvernement de la vraie France », un an et demi après celle, immédiate, du CFLN, deux mois après la libération de Paris et peu avant que De Gaulle ne signât avec Moscou, le 10 décembre, pour contrebalancer l’hégémonie américaine, un « traité d’alliance et d’assistance mutuelle » qu’il qualifia de « belle et bonne alliance (7) ».Ecartée de Yalta en février 1945, dépendante des Etats-Unis, la France s’intégra pleinement dans leur sphère d’influence. La vigueur de sa résistance intérieure et extérieure l’avait cependant soustraite à leur protectorat.
Par Annie Lacroix-Riz – Professeur d’histoire contemporaine, université Paris-VII, auteure des essais Le Vatican, l’Europe et le Reich 1914-1944 et Le Choix de la défaite : les élites françaises dans les années 1930, Armand Colin, Paris, 1996 et 2006. Source monde-diplomatique
Note du veilleur
Un document présent sur un Groupe d’Etudes et de Recherches sur la Résistance et la Déportation nous délivre d’autres détails éloquents. Le 7 septembre 1943, le commissaire aux Affaires étrangères, René Massigli, adressait la lettre suivante à MM. Mac Millan et Murphy :
« Monsieur le Ministre, J’ai l’honneur de vous adresser, ci-joint, le texte d’un projet d’accord entre le Gouvernement de Sa Majesté britannique (ou le Gouvernement des Etats-Unis) et le Comité français de la libération nationale qui a pour objet de préciser les modalités de la coopération à établir, du jour où les forces alliées débarqueront en France, entre ces forces d’une part, les autorités et la population d’autre part. »
De cet extrait de lettre on peut supposer que le général de Gaulle, avait eu connaissance de l’existence d’un mémorandum secret « concernant la participation française à l’administration du territoire libéré en France métropolitaine ». Cet accord engageait les Etats-Unis et la Grande-Bretagne et déclarait, pour le principal :« Article 1er : Le territoire libéré en France métropolitaine sera traité en ami. Cependant, le commandant en chef des forces alliées aura tous les droits d’occupation militaire résultant de la guerre. Il agira sur la base qu’il n’existe pas de gouvernement souverain en France. Il ne négociera pas avec le gouvernement de Vichy, sauf pour transférer l’autorité dans ses propres mains. »
« Article 2 : Les fonctionnaires français et le personnel judiciaire seraient nommé, ou confirmés, par le commandant en chef des armées alliées et par ses délégués autorisés. »
« Ces mesures ont pour but de créer, aussitôt que possible, des conditions qui permettent le rétablissement d’un gouvernement français représentatif et conforme aux voeux librement exprimés du peuple français. »
On savait déjà que l’A.M.G.O.T. préparait son action en formant les cadres de sa structure dans des centres comme Yale ou Charlottsville. Tout était prévu ; ainsi le futur maire de Cherbourg était-il déjà désigné dans cette équipe. 1552 fonctionnaires de cet organe étaient prêts à partir pour la Normandie emportant avec eux des coupures « Francs de la Libération », imprimées d’avance…Document fourni par Jacques Loiseau – document complet sur ffi33.org
Photo d’illustration : Billet de 100 francs émis par les États-Unis, sur le modèle du dollar US. Si la devise républicaine « Liberté, égalité, fraternité » figure bien sur ce billet, en revanche seul le mot « France » est mentionné et non République française. (wikipédia)
post-scriptum : Notez que le terme « annexion » contenu dans le titre est un clin d’?il face à la propagande occidentale du moment s’évertuant à décrire de la sorte la situation en Crimée, face à l’« envahisseur » russe, qui s’est avéré être notre réel allié, et sans lequel cette guerre préfabriquée aurait sûrement connu une fin toute autre…
Notes
(1) Costigliola Frank, France and the United States. The Cold Alliance since World War II, Twayne Publishers, New York, 1992.
(2) William A. Williams, The Tragedy of American Diplomacy, Dell Publishing, New York, 1972 (première édition, 1959).
(3) Robert O. Paxton, La France de Vichy, Seuil, Paris, 1974.
(4) Jean-Baptiste Duroselle, L’Abîme, 1939-1945, Imprimerie nationale, Paris, 1982, et Annie Lacroix-Riz, Industriels et banquiers français sous l’Occupation, Armand Colin, Paris, 1999.
(5) Leitmotiv depuis 1942 de Pierre Nicolle, Journal dactylographié, 1940-1944, PJ 39 (Haute Cour de justice), archives de la préfecture de police, plus net que l’imprimé tronqué, Cinquante mois d’armistice, André Bonne, Paris, 1947, 2 vol.
(6) Lettre n° 740 du commissaire de police au préfet de Melun, 13 février 1943, F7 14904, Archives nationales ; voir Richard Vinen, The politics of French business, 1936-1945, Cambridge University Press, Cambridge, 1991.
(7) Note du directeur adjoint des affaires politiques, Paris, 25 octobre 1944, et traité en huit articles Europe-URSS, 1944-1948, vol. 51, archives du ministère des affaires étrangères.
Sources :
• monde-diplomatique.fr
• tv5.org
• ffi33.orgArticle trouvé sur Le-veilleur.com
merci benji de ce rappel …. enfin non plutot d une info vitale sciemment occultée par nos merdias depuis longtemps une tres grande majorite ne connait pas amgot « Ceux qui savent ne parlent pas. Ceux qui parlent ne savent pas. »
heureusement de gaulle etait la pour stopper ce complot
la recidive a fait mieux c est toute l europe qui est concernée
mais plus un homme du charisme de de gaulle…. quand on vois par quoi nous sommes gouvernes on peu craindre le pire
‘la soif de gloire est une épidémie qui dérobe les Hommes de leur jugement,
séduit leur vanité, trompe leurs intérêts et corrompt leur conscience’.
William Graham Sumner
Je croyais que tu étais en vacances Benj, …t’arrives pas à lâcher l’affaire, hein !
Merci pour cette page historique ; …même si au final, ce ne fut que reculer pour mieux sauter, car aujourd’hui c’est toute l’Europe qui est sous le joug de Washington et de l’OTAN !
Ordre avait été donné aux résistants (FFI) de mettre les drapeaux français sur les mairies avant que les américains arrivent en « libérateurs » dans les communes…
C’était assez clair quant à la volonté US d’annexer la France en tant que territoire occupé par les « forces libératrices »…la France était partagée en deux et la partie occupée par les forces allemandes était leur possible dévolu…
Des militaires français (en civils) étaient chargés des contacts entre la résistance et Londres afin de faire barrière à l’hégémonie des américains.
Une vérité: les accords de Yalta sont assez probants sur la volonté des USA d’écarter la France, ils ont été signés (pour rappel) par Churchill (UK), Staline (URSS) et Roosevelt (USA)…le Général De Gaulle a été écarté bien évidemment et si il n’y avait pas eu Churchill à Yalta je pense que nous aurions été très mal à cette époque…
Aujourd’hui c’est la même volonté qui anime les USA, et hélas l’Europe est bien mal partie, économiquement, socialement et culturellement aussi…en peu de temps…
Au niveau de l’économie européenne c’est une économie de marché qui s’est imposée insidieusement dirigée outre atlantique (on voit les résultats néfastes aujourd’hui).
Au niveau social la casse des acquis sociaux, la mise à plat du code du travail, l’atteinte aux retraites (etc etc) démontrent que les salariés sont de plus en plus malmenés, déconsidérés, exploités(1)…la misère s’installe en plein XXI siècle, c’est honteux alors que d’autres s’enrichissent toujours un peu plus chaque jour sur le malheur des autres.
Quant au niveau culturel c’est l’europe US qui oublie les arts des pays membres de l’Union européenne, c’est l’europe US qui oublie l’actualité des pays voisins pour passer 10 minutes sur 30 (à la TV) à parler d’Obama, du temps qu’il fait aux USA etc (mais qu’est ce qu’on en a à faire de ces gens là et surtout de leurs façons de voir qui nous polluent la vie de chaque jour !).
Dans notre vie de chaque jour effectivement il y a bien des intrusions…et là bien des systèmes policiers sont mis en place (anodins quelquefois mais ô combien efficaces…) (2).
Dans les magasins en fond sonore que de la musique US (3) ou apparentée, et de la publicité, c’est de l’abrutissement orchestré (4)la musique d’ambiance a été supprimée…c’est plus qu’intenable ! C’est à la limite déprimant, surtout à la fin de la journée, là où on aspire au calme…c’est loin d’être une réalité, il faut reconnaître que tout n’est que violences dans la nature des USA (il n’y a qu’à essayer de regarder un film US, ce n’est que violences et bruits, rien de profitable culturellement parlant).
Ceci écrit il serait logique que dans le cadre de l’Union européenne nous soyons informés de l’actualité des autres pays membres, c’est très loin d’être le cas hélas et nous sommes dans l’ignorance la plus totale.
Rien n’est fait au hasard…
Ceci permet (probablement…) de mieux contrôler les populations et de les amener vers un seul concept social, un seul modèle : celui imposé par la mondialisation (made in USA), cette « mondialisation » qui est de moins en moins représentative et dont les différents aspects sont de plus en plus critiqués, un monde économique sans autre gouvernance que celui de la haute finance…si ce n’est pas une forme moderne de dictature par l’argent, c’est quoi?
Bien évidemment ce système ne peut fonctionner en France (et ailleurs) qu’avec des soutiens politiques, et ces soutiens vont à l’encontre de l’intérêt même de la France (et des autres pays membres de l’Union européenne), de là la haute trahison de certains hommes politiques est une réalité!
La résistance s’impose et tous ces traîtres devront un jour ou l’autre s’expliquer et payer leur trahison, c’est du jamais vu dans l’histoire de notre pays.
La pollution des esprits tout autant est bien avancée…
1) Les grandes centrales syndicales ne bougent pas réellement car elles sont corrompus par les pouvoirs successifs en place (subventions et autres privilèges…), seules des petites organisations bougent mais elles sont freinées par des textes de lois qui régissent la représentativité syndicale et la « démocratie sociale »…faisant aucun cas du droit des individus de s’associer pour défendre leurs intérêts (associations professionnelles ou groupement de fait qui représentent des personnes morales et/ou physiques).
Tout est encadré même le droit de défendre ses intérêts professionnels, malheur aux têtes qui dépassent…
Quant aux partis politiques (pour la plupart)…c’est bonnet blanc et blanc bonnet…
2) Votre carte bleue (ou carte de crédits)permet de savoir où vous acheter et quoi, date et heure sont la cerise sur le gâteau…
Votre ordinateur: Dans des fichiers cachés toutes vos opérations sont inscrites dans des fichiers du type *.log (et autres) que ce soit des fichiers effacés (toujours récupérables sur le support) où déplacés sur une clef USB (par exemple)…
Votre téléphone portable: il sert à vous situer,il est même possible d’écouter vos conversations intimes etc (je ne vais pas y passer la journée tant les moyens utilisés sont importants et insidieux, il y a beaucoup à écrire et surtout à dénoncer sur ce sujet).
La vidéo surveillance elle est aussi utilisée pour surveiller des particuliers…des caméras mobiles (permettant même de voir une personne la nuit à 2 kilomètres) sont dans certains cas de précieux outils de surveillance…et après on va vous dire que la France est le pays des droits de l’homme ?…en 1789 peut être…
3) Ils touchent un pourcentage sur les oeuvres passées via la SACEM…
4) Pour moi c’est clair tous les produits qui font de la publicité je ne les achète pas (on paye en plus cette publicité dans le prix de vente du produit).
à titre, perso, j’en ai eu plusieurs caisses » marquées » « mushroom », le dos en rose, la face verte ( pas les caisses , les billets..)…..mon pere les a brules dans les années 75 avec un vieux sommier et quelques vieux matelas…..( un grand pere , haut placé à la banque de france)……
Je n’y peux rien, je suis drogues…. Même en vacances, je jette un oeil quand même, mais c’est bon, je décroche ! 😉
Le veilleur tomberait-il dans le révisionnisme ? Si oui c’ est une bonne chose.
Il faut que ces vérités, ces réalités là soient connues.
Depuis 70 ans on nous ment sans vergogne, on nous présente les amerlopes et ses alliés comme de bons petits gars venus nous » libérer » par grandeur d’ âme, par esprit de justice, par bonté pure…la vérité est toute autre, hélas !
Ce plan amgot est l’ exemple même de la fourberie, de la duplicité des sionisto-ricains.
Des libérateurs, les ricains? Faut visionner ces films d’ époque ou l’ on voit des centaines de Normands, fous de rage, essayant de lyncher les prisonniers amerlopes, aux cris de: ordures, assassins… et qui, oh ironie, sont protégés de
La foule par les soldats Allemands.
Je me souviens de l’ amertume de Konk face à Ardisson…il disait: on nous a menti sur tout, rien n’ est vrai… Voilà pourquoi j’ insiste pour laisser toute liberté aux révisionnistes de l’ histoire. Eux seuls, parce- qu’ honnêtes, cherchent la vérité.
On a beau être des moutons, on se doute bien que si le pouvoir combat avec autant d’ acharnement le révisionnisme…c’ est pas pour rien.CQFD!
En tout cas merci Benji d’ avoir relayé le-veilleur.
Salut odin,
T’aurais des références sur « ces films d’époques »?
Surtout celui que tu décris…
Salut Engel.
Hélas non…j’ avais vu ce DOC un soir tard à la TV.
Les Allemands n’ arrivaient plus à contenir la foule et les ricains ( prisonniers )
se prenaient des gnons dans la gueule en veux-tu en voilà…
Je pense qu’ on devrait pouvoir retrouver ces vidéos sur le net.
Ce ne serait pas ça? ===> http://www.ina.fr/video/VDF07000861
Il s’agit d’une séquence de propagande allemande diffusée par les actualités de presse filmée (tournée par « France Actualités » et reprise par « la Deutsche Woschenchau » ?) dans les salles de cinéma et à la Fernsehsender Paris. Une longue cohorte de prisonniers anglais et américains descendant d’un autobus, arrivent à la gare du nord sous les huées de la foule, encadrés par des soldats et des officiers allemands. Les gens présents, contenus par les soldats allemands mais aussi par des policiers français, les insultent, leur crachent à la figure et vont jusqu’à les frapper violemment au moment de leur passage. Pendant la marche des prisonniers, on aperçoit également à leurs côtés deux hommes en civil qui les encadrent.Comme il s’agit de rushes non montés, la scène est reproduite plusieurs fois sous des angles et une approche différents.
ces billets ont une valeur numismatique,et pas dès moindre…
très bien ce rappel historique!
Bonsoir le ME,
Je possède un de ces billets ( 2ème version, sur la première version figurait la mention » Emis en France » ) et sa côte n’est pas si élevée que çà !
Billet de 100 francs impression américaine » France « , format dollar 156 X 67 mm, cotation de 3 à 15 euros selon l’état.
un certain asselineau en parle dans ses conférences.
Combien les ont vues et s’en rappelle, pourtant ce n’est pas vieux.
Pas eu le tps de tout lire, ni les com,..
En complément :
http://www.monde-diplomatique.fr/2003/05/LACROIX_RIZ/10168
(Annie Lacroix-Riz – Le Monde Diplo)
Ca parle aussi de la proposition de l’annexion de la France par,… l’Angleterre ? Que De Gaulle était prêt à excepter pour contrer l’Allemagne ?
😉
Oui, l’Angleterre, toujours l’Angleterre rôde.
5 lettres.. pas mieux , M.A.G.O.T !! ça marche aussi.