– Vous êtes sur Paris où dans la région Parisienne, passez-donc lui faire un petit coucou ou bien mieux encore, casser la croûte avec lui en apportant de quoi le sustenter ( De préférence des aliments qui peuvent se conserver quelques jours au cas ou vous ne seriez pas le premier de la journée).
– Vous ne savez pas quoi faire d’intelligent avec votre argent….. bruno.boulefkhad@orange.fr via Paypal
Pour lui écrire où lui faire parvenir un don autre que par Paypal
(par chèque par exemple, liquide très fortement déconseillé par la poste….)
Son adresse : Bruno Boulefkhad 195 route de Montaigu 39000 Lons Le Saunier
– Vous êtes dans le même cas que lui, il se fera un plaisir de vous former gratuitement à la lutte et faire de vous le un+un qui fera surement la différence au bout du bout.
– Vous lisez cet article et ne trouvez pas votre place dans les 3 points précédents, alors…. faites tourner :
Pffff !! voir la loi 73 de Pomp Pomp PIDOU !!!
Le ministre des finances de Pompidou était Valéry Giscard d’Estaing, le rédacteur du Traité de Lisbonne.
Le Père de Valéry Giscard d’Estaing quant à lui, semble avoir été impliqué dans le Plan Marshall qui ouvrira grande les portes économiques du continent Européen aux USA (investigation en cours).
Bientôt ce système sera terminé et bravo pour Bruno !
Voir la Feuille de route du Grand Changement sur
http://changera.blogspot.fr/
Son obstination force l’admiration.
Voilà un homme digne de se nom, dans se monde de fiotte à la dérive.
Bravo.
je ferais le déplacement et je lui offrirais une de mes meilleure bouteille .
C’est pas des paroles en l’air..
C’est vraiment un concentré de NOUS..
http://www.jovanovic.com/DATA/SGveilleurs.jpg
Si vous ne savez pas comment ébranler la confiance des banquiers, solution géniale,
vous installer comme « veilleur » devant le siège de la Société Générale à Paris.
Plusieurs Français se sont ainsi postés,
tels des moines Shintoïstes au pied des gratte-ciels de Tokyo,
face aux fenêtres de la banque.
Et je peux vous assurer que cela démolit le moral de tous les gens à l’intérieur.
Mieux: cela amène même certains à se poser des questions sur leur travail et leur employeur.
C’est un peu comme les 7 tours faits autour des murs de Jéricho qui ont fini par s’effondrer : – )
(lire 777 pour ceux qui ne suivent pas).
Mieux: « à Metz, Guillaume, tient le siège de la Société Générale rue Serpenoise.
Il est déterminé à rien lâcher, à continuer le combat contre les banksters »…
Donc si les lecteurs de Metz peuvent me confirmer…
La présence de Bruno No2, ce serait adorable, merci à vous.
http://www.jovanovic.com/DATA/Sg-Metz.jpg
Source : http://www.jovanovic.com/blog.htm
Mairies FN ? Une bénédiction pour le contribuable !
Car le bilan financier des quatre maires FN élus en 1995 est remarquable !
Bref, si la France avait été gérée comme les mairies FN élues en 1995, le déficit du budget de l’État ne représenterait pas le quart des dépenses publiques, comme c’est hélas le cas, et la signature de la France aurait gardé son triple A.
À tout seigneur, tout honneur : Jacques Bompard, aujourd’hui Ligue du sud, élu en 1995 maire d’Orange, a apuré la lourde dette dont il a hérité : aujourd’hui, à Orange, la dette par habitant est 20 fois plus faible qu’à Cavaillon ou Carpentras, 40 fois plus faible qu’à Avignon. Et les impôts locaux ont baissé !
Par suite de manœuvres, Catherine Mégret n’est restée que quatre ans maire de Vitrolles. C’est court, mais ce fut suffisant pour faire plonger de 15 % l’endettement, baisser le taux des taxes locales et diminuer le prix de l’eau. Tout en maintenant l’effort d’équipement. Chapeau !
A Marignane, les deux mandats de Daniel Simonpieri furent aussi providentiels pour le contribuable.
Reste Toulon. Jean-Marie Le Chevalier fut victime d’une dizaine de procès. Il les gagna presque tous mais le retentissement des accusations ruina son image. Pourtant, là aussi, le bilan financier fut honorable. Et c’est la chambre régionale des comptes qui l’a dit dans un rapport portant sur la période 1995/2005 : diminution de l’en-cours de la dette par habitant et amélioration de la capacité d’autofinancement. Principal reproche fait par les magistrats comptables à Le Chevalier : ne pas avoir mis fin à certains avantages sociaux remontant aux années cinquante !
On m’objectera : mais alors, comment se fait-il que les médias officiels aient donné, et donnent encore, une si mauvaise image aux mairies FN ? Pour une raison simple : nous n’avons pas affaire à des médias d’information mais à des médias de propagande qui se recopient les uns les autres sans jamais aller aux sources.
http://www.bvoltaire.fr/jeanyveslegallou/mairies-fn-une-benediction-pour-le-contribuable,32629
Hors sujet:
Lettre d’une pigiste perdue dans l’enfer syrien
Par Francesca Borri.
«Dormir chez les rebelles coûte 50$ par nuit; une voiture, 250$ par jour. Vous ne pouvez payer ni une assurance – 1000$ par mois – ni un fixeur. Vous êtes seul.»
Ce texte sur son expérience syrienne a été publié le 1er juillet 2013, sur le site de la ‘Columbia Journalism Review’, par Francesca Borri, journaliste indépendante italienne, par ailleurs auteur d’un livre sur le Kosovo et d’un autre sur les rapports entre Israéliens et Palestiniens intitulé ‘Quelqu’un avec qui parler’ (Manifestolibri, 2010).
Il a suscité de très nombreuses réactions, auxquelles Francesca Borri a elle-même répondu sur le site du ‘Guardian’. Il nous a semblé qu’il méritait d’être traduit en français.
Il m’a finalement écrit. Voilà plus d’un an que je lui envoie des articles à la pige. Pour lui, j’ai attrapé la typhoïde et reçu une balle dans le genou. Aujourd’hui, mon rédacteur en chef a regardé les infos et a pensé que je faisais partie des journalistes italiens qui ont été kidnappés. Il m’a envoyé un e-mail: «Si tu trouvais une connexion, pourrais-tu tweeter ta captivité ?»
Le même jour, dans la soirée, j’ai retrouvé le camp rebelle où je vivais, au beau milieu de cet enfer qui s’appelle Alep, et dans la poussière et la faim et la peur, j’ai espéré trouver un ami, un mot compatissant, un geste tendre. Au lieu de ça, je n’ai trouvé qu’un autre e-mail de Clara, qui passe ses vacances chez moi en Italie. Elle m’a déjà envoyé huit messages «Urgents !». Aujourd’hui elle cherche ma carte de spa, pour se faire masser gratuitement. Les autres messages dans ma boîte de réception ressemblaient à ça: «Excellent, ton article aujourd’hui ; aussi excellent que ton livre sur l’Irak.» Malheureusement, mon livre ne parlait pas de l’Irak, mais du Kosovo.
Du reporter freelance, les gens gardent l’image romantique d’un journaliste qui a préféré la liberté de traiter les sujets qui lui plaisent à la certitude d’un salaire régulier. Mais nous ne sommes pas libres, bien au contraire. Rester en Syrie, là où personne ne veut rester, est ma seule chance d’avoir du boulot. Je ne parle pas même d’Alep, pour être précise. Je parle de la ligne de front. Parce que les rédacteurs en chef, en Italie, ne veulent que le sang et les «bang bang» des fusils d’assaut. J’écris à propos des groupes islamistes et des services sociaux qu’ils mettent à la disposition des populations, les racines de leur pouvoir – une enquête beaucoup plus complexe à mener que le traditionnel article en direct du front. Je fais tout mon possible pour expliquer, et pas seulement pour émouvoir, et je me vois répondre: «Qu’est-ce que c’est que ça ? Six mille mots et personne ne meurt ?»
A vrai dire, j’aurais dû comprendre ça la fois où mon rédacteur en chef m’a demandé un article sur Gaza, parce que Gaza, comme d’habitude, était bombardé. J’ai reçu cet e-mail: «Tu connais Gaza par cœur», écrivait-il. «Quelle importance, que tu sois à Alep ?» Exactement. La vérité est que j’ai fini en Syrie parce que j’avais vu dans «Time» les photos d’Alessio Romenzi, qui est entré dans Homs par les égouts quand personne ne savait ce qu’était Homs. J’ai regardé ses clichés en écoutant Radiohead – ces yeux, qui me fixaient ; les yeux de ces gens en train de se faire massacrer par l’armée d’Assad, un par un, et personne n’avait même entendu parler d’un endroit nommé Homs. La conscience broyée comme par un étau, je n’ai pas eu d’autre choix que de partir en Syrie.
Mais que vous écriviez d’Alep ou de Gaza ou de Rome, les rédacteurs en chef ne voient pas la différence. Vous êtes payé pareil: 70$ par article. Même dans des endroits comme la Syrie, où la spéculation délirante fait tripler les prix. Donc, par exemple, dormir dans une base rebelle, sous les obus de mortier, sur un matelas posé à même le sol, avec cette eau jaune qui m’a donné la typhoïde, coûte 50$ par nuit ; une voiture coûte 250$ par jour.
Donc, plutôt que de minimiser les risques, vous finissez par les maximiser. Non seulement vous ne pouvez pas vous payer une assurance – presque 1000$ par mois – mais vous ne pouvez pas non plus payer un fixeur ou un traducteur. Vous vous retrouvez seul en terre inconnue. Les rédacteurs en chef sont bien conscients que rémunérer un article 70$ vous pousse à économiser sur tout. Ils savent aussi que si vous êtes sérieusement blessé, une partie de vous espère ne pas survivre, parce que vos finances ne vous permettent pas d’être blessé. Mais ils achètent l’article, même quand ils refuseraient d’acheter un ballon de foot Nike fabriqué par des enfants pakistanais.
Les nouvelles technologies nous amènent à penser que la vitesse est un élément de l’information. Mais ce raisonnement repose sur une logique autodestructrice: le contenu, désormais, est standardisé, et votre journal, votre magazine, n’a plus aucune singularité, et il n’y a donc plus aucune raison de payer un reporter. Pour les nouvelles, j’ai Internet – gratuitement. La crise que les médias traversent est une crise du média lui-même, pas du lectorat. Les lecteurs sont toujours là, et contrairement à ce que croient beaucoup de rédacteurs en chef, ce sont des gens intelligents qui demandent de la simplicité sans simplification. Ils veulent comprendre, pas uniquement savoir.
Chaque fois que je publie un témoignage de guerre, je reçois une douzaine d’e-mails de personnes qui me disent : «Ok, bel article, tableau saisissant, mais je voudrais comprendre ce qu’il se passe en Syrie.» Et j’aimerais tellement répondre que je ne peux pas proposer d’articles d’analyse, parce que les rédactions vont simplement le survoler et me dire: «Tu te prends pour qui, gamine ?» – malgré mes trois diplômes, mes deux livres et mes dix années passées à couvrir des guerres, d’abord comme enquêtrice humanitaire puis comme journaliste. Ma jeunesse, au passage, s’est volatilisée quand des morceaux de cervelle m’ont éclaboussée. C’était en Bosnie. J’avais 23 ans.
Les journalistes freelance sont des journalistes de seconde zone – même s’il n’y a que des freelance ici, en Syrie, parce que c’est une guerre sale, une guerre du siècle dernier ; c’est une guerre de tranchée entre des rebelles et des loyalistes qui sont si proches qu’ils se hurlent dessus pendant qu’ils se mitraillent. Quand vous découvrez la ligne de front, vous n’en revenez pas, avec ces baïonnettes que vous n’avez jamais vues que dans les livres d’histoire. Les guerres modernes sont des guerres de drones, mais ici ils combattent mètre par mètre, rue par rue, et on en chie de peur.
Et pourtant les rédacteurs en chef, en Italie, vous traitent comme un enfant ; vous prenez une photo hallucinante, et ils vous disent que vous avez été chanceux, au bon moment au bon endroit. Vous décrochez une exclusivité, comme l’article que j’ai écrit un septembre dernier sur la vieille ville d’Alep, classée au patrimoine de l’UNESCO, réduite en cendres tandis que les rebelles et l’armée syrienne se disputaient son contrôle. J’ai été la première reporter étrangère à y pénétrer, et les rédacteurs en chef vous lancent: «Comment pourrai-je justifier que mon journaliste n’ait pas pu entrer et que vous y êtes parvenue ?» J’ai reçu un e-mail d’un chef de service à propos de cet article: «Je le prends, mais je le publierai sous le nom de mon journaliste.»
Et puis, bien sûr, je suis une femme. Un soir, récemment, il y avait des tirs de mortier partout et j’étais assise dans un coin, avec la seule expression qu’on peut avoir sur le visage quand la mort risque de frapper d’une seconde à l’autre, et un autre reporter arrive, me regarde de la tête aux pieds, et me dit: «Ce n’est pas un endroit pour une femme.» Que pouvez-vous répondre à un type comme ça ? Crétin, ce n’est un endroit pour personne.
Si je suis effrayée, c’est parce que je suis lucide. Parce qu’Alep n’est que poudre à canon et testostérone et que tout le monde est traumatisé: Henri, qui ne parle que de guerre ; Ryan, bourré d’amphétamines. Et pourtant, à chaque fois que nous voyons un enfant taillé en pièces, c’est d’abord vers moi, la femme «fragile», qu’ils se tournent, pour savoir comment je me sens. Et je suis tentée de leur répondre : je me sens comme vous. Et les soirs où j’ai l’air blessée, ce sont les soirs où je me protège, où j’évacue toute émotion et tout sentiment ; ce sont les soirs où je m’épargne.
Parce que la Syrie n’est plus la Syrie. C’est un asile de fous. Il y a cet Italien qui était au chômage et qui a rejoint al-Qaeda, dont la mère sillonne Alep pour le retrouver et lui mettre une bonne raclée ; il y a le touriste japonais qui arpente les lignes de front parce qu’il dit avoir besoin de deux semaines de «sensations fortes» ; le Suédois diplômé d’une école de droit qui est venu pour rassembler des preuves de crimes de guerre ; les musiciens américains qui portent la barbe à la Ben Laden, prétendant que ça les aide à se fondre dans le décor alors qu’ils sont blonds et qu’ils mesurent plus d’un mètre quatre-vingt-dix. (Ils ont apporté des médicaments contre la malaria, même s’il n’y a pas de cas de malaria ici, et veulent les distribuer en jouant du violon). Il y a les membres de diverses agences des Nations-Unies qui, lorsque vous leur dites que vous connaissez un enfant souffrant de leishmaniose (une maladie transmise par piqûre d’insecte) et que vous leur demandez s’ils pourraient aider les parents à le faire soigner en Turquie, vous répondent qu’ils ne le peuvent pas parce que c’est un cas particulier et qu’ils ne s’occupent que de «l’enfance» en général.
Mais nous sommes des reporters de guerre après tout, n’est-ce pas ? Une bande de frères (et de sœurs). Nous risquons nos vies pour donner une voix à ceux qui n’en ont pas. Nous avons vu des choses que la plupart des gens ne verront jamais. Nous sommes parfaits pour animer les dîners en ville. Les bons clients que tout le monde veut inviter.
Mais le secret sordide, c’est qu’au lieu d’être unis, nous sommes nos propres pires ennemis ; et la raison du papier payé 70$, ce n’est pas le manque d’argent, parce qu’il y a toujours de l’argent pour un papier sur les petites amies de Berlusconi. La vraie raison, c’est que quand vous demandez 100$, quelqu’un d’autre est prêt à le faire pour 70. C’est une compétition féroce. Comme Beatriz, qui aujourd’hui m’a indiqué une direction erronée pour pouvoir être la seule à couvrir une manifestation, tromperie qui m’a menée au milieu des snipers. Juste pour couvrir une manifestation, semblable à des centaines d’autres.
Pourtant nous prétendons être ici afin que personne ne puisse dire : «Mais nous ne savions pas ce qui se passait en Syrie.» Alors que nous ne sommes ici que pour emporter un prix, pour gagner en visibilité. Nous sommes ici à nous mettre des bâtons dans les roues comme si un prix Pulitzer était à notre portée alors qu’il n’existe absolument rien de ce genre. Nous sommes coincés entre un gouvernement qui ne vous accorde un visa que si vous êtes contre les rebelles et les rebelles qui, si vous êtes avec eux, ne vous autorise à voir que ce qu’ils veulent bien vous montrer.
La vérité, c’est que nous sommes des ratés. Deux ans que ça dure et nos lecteurs se rappellent à peine où se situe Damas, le monde entier qualifie ce qui se passe en Syrie de «pagaille» parce que personne ne comprend rien à la Syrie – hormis le sang, encore le sang, toujours le sang. Et c’est pour cette raison que les Syriens ne nous supportent plus maintenant. Parce que nous montrons au monde entier des photos comme celle de cet enfant de sept ans avec une cigarette et une kalachnikov. Il est clair que cette photo est une mise en scène mais elle a été publiée dans les journaux et sur les sites web du monde entier en mars et tout le monde criait: «Ces Syriens, ces Arabes, quels barbares !»
Lorsque je suis arrivée ici la première fois, les Syriens venaient vers moi et me disaient: «Merci de montrer au monde les crimes du gouvernement.» Aujourd’hui, un homme est venu vers moi ; il m’a dit: «Honte à vous.»
Si j’avais réellement compris quelque chose à la guerre, je n’aurais pas essayé d’écrire sur les rebelles et les loyalistes, les sunnites et les chiites. Parce que la seule histoire qui vaille d’être racontée en temps de guerre, c’est comment vivre sans peur. Tout peut basculer en une fraction de seconde. Si j’avais su cela, alors je n’aurais pas eu si peur d’aimer, d’oser, dans ma vie ; au lieu d’être ici, maintenant, recroquevillée dans l’obscurité et la puanteur, en regrettant désespérément tout ce que je n’ai pas fait, tout ce que je n’ai pas dit. Vous qui demain serez encore en vie, qu’attendez-vous ? Pourquoi hésitez-vous à aimer ? Vous qui avez tout, pourquoi avez-vous si peur ?
Francesca Borri
Traduit de l’anglais par Véronique Cassarin-Grand et David Caviglioli
Avec l’autorisation de la ‘Columbia Journalism Review’
http://bibliobs.nouvelobs.com/documents/20130731.OBS1691/lettre-d-une-pigiste-perdue-dans-l-enfer-syrien.html
Je ne connaissais pas vraiment ce Bruno, juste de nom, vaguement. Sur Art. 123 Lisbon sur facebook, il revient assez souvent. Je vais me pencher sur lui, son mode de combat est intéressant.