L’horreur combinée à la connerie permet tout et n’importe quoi comme le fait d’abandonner des vaches en les laissant mourir de faim! Les laisser à leur propre sort dans la zone contaminée est une chose, elles pouvaient à la rigueur continuer à brouter les coins de verdure, mais là, c’est simplement l’horreur et la souffrance…
« Plus tôt ce mois d’avril nous avons décidé de faire à notre façon des reportages d’investigation de la situation actuelle dans la zone des cinq à dix kilomètre autour de la central nucléaire Dai-ichi à Fukushima. Ceci est le premier d’une série d’articles où nous rapporterons les résultats de notre temps sur le terrain à Fukushima.
L’emplacement de notre premier reportage est un ranch dans Namie, une ville située à 10 km de la centrale nucléaire. Ici, au lieu des sons animés des agriculteurs qui vaquent à leurs tâches quotidiennes, l’air est rempli avec les cris désespérés de bovins abandonnés. Nous sommes aller à la grange pour enquêter, nous avons constaté que plus de la moitié du bétail dans chaque enclos étaient morts, et le reste à entendre la déchirante appels à l’aide se tennant parmi les cadavres.
Au 11 avril ce ranch se situe dans la zone de 20 km d’évacuation édicté par le gouvernement japonais, et est considéré comme étant à risque d’atteindre des niveaux radioactifs significativement plus élevé que ceux d’autres régions. En conséquence, le propriétaire et le personnel du ranch ont tous pris refuge ailleurs, ne laissant personne pour fournir les aliments et l’eau pour le bétail.
Nous pouvons donc présumer que le bétail sont mort de soif et de faim, même si la cause précise du décès n’a pas encore été déterminée.
Normalement, les bovins sont en mesure d’utiliser leur nez pour pousser une pédale qui libère de l’eau potable par un trou dans la grange. Cependant, aucune eau n’est sortis quand nous avons essayé de nous-mêmes, ce qui suggère que l’approvisionnement en eau a été arrêté.
Par coïncidence, nous avons rencontré certains résidents de Namie qui connaissaient la situation et avait préparé un peu d’eau et de la nourriture pour les vaches. Toutefois, ils ont dit qu’ils étaient seulement venu recueillir des biens dans leur maison pour se préparer à l’évacuation, et qu’ils devaient quitter la ville dans la journée.
À ce rythme, les vaches qu’il reste mourront probablement dans quelques jours à moins que quelqu’un puisse venir leur donner de la nourriture et de l’eau régulièrement, même si, il est difficile de savoir quand il sera sécuritaire pour les résidents de Namie de retourner dans leurs foyers.
Nous pouvons comprendre pourquoi le personnel, craignant l’empoisonnement par radiation, ont fuir et se sentent en danger de revenir pour s’occuper de leur bétail. Nous n’avons pas l’intention de blâmer les agriculteurs, on comprend que les gens doivent donner la priorité à leur propre sécurité. Pourtant, la vue de ces animaux abandonnés est trop triste.
Mais dans cette situation, Les gens devaient les abandonner, ou mourir. »
*Coeur sensible s’abstenir…
VIDÉO: ICI
Ils auraient pu au moins les libérer. Ils aurait pu trouver à boire et surement à manger dans la nature. Ils seraient probablement quand même mort, Mais il vaut mieux mourir libre qu’emprisonner.
Jo ^^
source Jonathan de noxmail.us/ toujours super bien informé.
un vrai paysan les aurait liberees avant de partir, un faux paysan qui ne voit dans l ‘ animal que du pognon sur pattes , ne va plus s ‘ en preocupees quand le rendement est termine; en un mot, il s ‘ en contrefout !!! et je sais de quoi je parle, j ‘ ai bosse avec des paysans des vrais et des faux…
C’est comme tout de toute manière, les paysans, les chasseurs, les écolos, les politiciens, etc… Y’a toujours deux côtés à une médaille…
La connerie et la cruauté n’ont pas de frontières.
Une vache : si elle n’est pas traite quotidiennement : c’est la mort – il paraît !
Des mamelles gonflées de LAIT… jusque par terre !
A la télé, ils ont montré un paysan dans l’étable, à côté de ses vaches, qui avait voulu rester alors que tous étaient partis autour de lui, à cause des radiations.
PEUT-ETRE, qu’à l’improviste, il s’est senti mal celui-là, et n’a plus pu s’occuper de ses vaches…
Il ne suffit pas de vouloir, il faut pouvoir !
Les vaches ont elles été libérées par les personnes ayant filmé ????