Comment s’enrichir en prétendant sauver la planète….

C’est un Grand danger que de vouloir tout étiqueter POURVU QUE CA RAPPORTE…Nous vivons déjà à crédit, ayant utilisé depuis longtemps le droit de régénération de la Terre, nous pillons, fabriquons, consommons, plus vite qu’il n’en faut à notre environnement pour se reconstituer….le point de non retour n’est pas loin, et tout les sommets n’y changeront rien, puisque l’on y discute des intérêts des entreprises, pas de la Terre qui ferait bien de nous éjecter vite fait, tant on est imbus de nous même. Les grosses têtes qui nous dirigent, n’ont rien compris et s’en fichent éperdument, pourvu qu’elles aillent parader et mettre un peu plus le souk, avec des mesurettes complètement hors de propos. Et combien il a coûté ce énième sommet? Bravo messieurs!! en temps de crise, il vaut mieux faire le compte de ce qu’il reste encore à vendre ou à négocier, plutôt que de le protéger ce peu….. Cette bande de nuls, ne veut que tout monnayer, ils ne vivront pas assez longtemps pour voir le résultât de leur incompétence alors!!!!!! feu vert!!! et CARTON ROUGE des habitants de la boule bleue (dont ils n’ont rien à faire..)

La planète, nouvel objet à but lucratif ? Demain, des ONG pourront acheter des quotas de baleines pour les protéger. Les parcs naturels pourront être évalués par des agences de notation. Les performances des forêts en matière de recyclage du carbone seront quantifiées. Des produits financiers dérivés vous assureront contre l’extinction d’une espèce.

« Nous sommes en train d’étendre aux processus vitaux de la planète les mêmes logiques de financiarisation qui ont causé la crise financière », dénonce le chercheur Christophe Bonneuil, à la veille de la conférence Rio+20. Entretien.

-Basta ! : Cela fait vingt ans, depuis le sommet de la Terre à Rio en 1992, que l’on se préoccupe davantage de la biodiversité. Quel bilan tirez-vous de ces deux décennies ?
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Auteur : Sophie Chapelle

Source : www.bastamag.net via TerreSacrée

 

UN MAUVAIS BULLETIN DE NOTES POUR RIO+20

L’une des plus éminentes revues scientifiques mondiales, « Nature », vient de publier un rapport accablant en préambule au prochain Sommet de la Terre sur le développement durable, Rio+20, qui se déroule du 20 au 22 juin.

Les notes attribuées à la mise en oeuvre des trois grandes conventions adoptées lors du premier Sommet de la Terre à Rio en 1992 sont les suivantes : la Convention sur la diversité biologique – 0/20 ; la Convention-cadre sur les changements climatiques – 0/20 ; la Convention sur la lutte contre la désertification – 0/20. L’humanité peut-elle encore éviter l’expulsion ?

Nous savons depuis au moins une génération que la planète doit changer de trajectoire.

Au lieu de faire tourner l’économie mondiale avec des combustibles fossiles, nous devons bien davantage avoir recours aux alternatives produisant moins d’émissions de carbone, comme les énergies éolienne, solaire et géothermique.

Au lieu de chasser, pêcher et défricher sans tenir compte des répercussions sur les autres espèces, nous devons aligner notre production agricole, la pêche et l’exploitation forestière sur les capacités de renouvellement de l’environnement.

Au lieu de laisser les membres les plus vulnérables de la population mondiale sans accès à la planification familiale, à l’éducation et aux soins de santé de base, nous devons mettre fin à la pauvreté extrême et réduire les taux de fécondité très élevés qui persistent dans les parties les plus pauvres du monde.

En bref, nous devons reconnaître qu’avec sept milliards d’habitants aujourd’hui, et neuf milliards vers la moitié du siècle, tous interconnectés dans une économie mondiale de haute technologie et gourmande en énergie, notre capacité collective à détruire les systèmes indispensables à la vie est sans précédent.

Et pourtant les conséquences de nos actions individuelles sont en général tellement éloignées de notre conscience quotidienne que nous risquons de tomber dans le précipice sans même nous en apercevoir.

Lorsque nous allumons nos lampes et nos ordinateurs, nous ne sommes pas conscients des émissions de carbone qui en résultent. Lorsque nous consommons nos repas, nous ne sommes pas conscients de la déforestation causée par des pratiques agricoles non durables.

Et lorsque des milliards de nos actions s’associent pour provoquer des famines et des inondations ailleurs dans le monde, accablant les plus démunis dans des pays comme le Mali et le Kenya en proie à la sécheresse, rares sont ceux à être même vaguement conscients des pièges dangereux de l’interconnexion mondiale.

Il y a vingt ans, la communauté internationale a tenté de faire face à ces réalités au moyen de traités et de lois internationales. Les conventions issues du premier Sommet de Rio en 1992 étaient pertinentes : bien pensées, clairvoyantes, inspirées par un esprit civique et axées sur les priorités mondiales. Et pourtant elles ne nous ont pas sauvés.

Ces traités ont continué à vivre dans l’ombre de nos politiques quotidiennes, de notre imaginaire et réapparaissant selon les cycles d’intérêt des médias. Les diplomates se sont traînés d’une conférence à l’autre pour les faire appliquer, sans produire d’autres résultats que la négligence, des retards et des chamailleries sur des questions de droit.

Vingt ans plus tard, nous n’avons que ces notes désastreuses pour preuve de nos efforts.

Y a-t-il une autre voie ?

(…)

 

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Auteur : Jeffrey D. Sachs

Source : lecercle.lesechos.fr via Sos-Planète

11 Commentaires

  1. Le seul but est que certain continue à s’en mettre plein les fouilles, sortie de la aucun intérêts et aucune discutions n’est possible.

    Seul l’argent peut acheter de l’argent et tant que ce sera la seule référence de réussite et de statut on pourra toujours discutailler sur le zinc d’un troquet et refaire le monde un milliard de fois, tant qu’on parle eux ils profitent…

    David.

  2. Je crois qu’il faut arrêter de se voiler la face, l’argent et le pouvoir,qu’ils possèdent déjà(les élites),n’est pas la seule motivation.

    La destruction et le chaos sont les vrais enjeux, qui sont tout simplement de l’ordre de l’inhumain,ni terrestre,ni extra-terrestre,ni intra-terrestre…Cette volonté est simplement métaphysique,tout simplement diabolique….

    • Dons si je te suis c’est la destruction pour le plaisir de détruire gratuitement ?

      Perso je connais pas grand monde qui je bouge le cul pour rien, y a forcement une motivation quelques part tu ne crois pas ?

      David.

      • … Pousse-toi de là qu’j’m’y mette…!

        • Quand les processus de marchandisation et de destruction auront atteint une certaine criticité : comment s’exercera le pouvoir à votre avis ?
          Transparence et restructuration apparaîtront alors au mieux de leur forme ; à ceci près, qu’elles s’imposeront.

  3. L’écologie est un problème pris à l’envers ( et pour cause !). En effet, les politiques et leurs « guignols de foire » qui se disent écologistes dénoncent les effets et non les causes, ceci permet de mettre des taxes à tout va sur tout et n’importe quoi: l’éco-part (le type même de l’arnaque écologique!). Je deviendrai écolo le jour où l’on fera la promotion de l’énergie libre par exemple (voir Nicolas Tesla entre autres) et quand j’entendrai gueuler les Nicolas Hulot et les « cons-bandits » contre le nucléaire qui menace la vie des espèces qui peuplent notre terre dont l’homme! C’est si facile (actuellement de faire de l’écologie: je mets des taxes sur l’essence! Si c’est ça de faire de l’écologie, le dernier des connards peut le faire!!!)
    Tant que l’on prendra les gens pour des cons,il ne faudra pas compter sur moi pour cette écologie qui n’est qu’un prétexte à racoler le peuple!!!…( une sorte de dictature-encore !- qui ne veut pas dire son nom bien sur!)
    http://www.dailymotion.com/video/x3208d_conspiration-contre-cannabis-sativa_news?start=3
    Ce lien est celui d’une vidéo qui vous en « dira long » sur ce qui est devenu l’écologie des complices et des politiques qui ne pense qu’à faire du fric sur votre dos !!!
    C’est tout de même bizarre que les soit-disants écolos ne s’attaquent pas aux industriels qui, qui, qui, qui……..
    Le vert fait vendre paraît-il, eh bien moi je préfère le mûr !!!…

    • 10 % en accord avec toi . y parait qu’il n’y as qu’as gauche qu’il y as des ecolos .
      mais ça vas changer . y en as mar de ces cretins .

    • 100 % en accord avec toi . y parait qu’il n’y as qu’as gauche qu’il y as des ecolos .
      mais ça vas changer . y en as mar de ces cretins .

  4. HS : Comment s’enrichir avec le SIDA ?

    Tout d’abord, un extrait du Figaro économie (juin 2011)

    « En 2009, le marché mondial des traitements antisida a atteint environ 13 milliards de dollars. Il progresse de 13% par an, et devrait dépasser 17 milliards de dollars d’ici à 2018, rien qu’en Europe et aux Etats-Unis» ajoute Maurice Chelli, manager associé chez Bionest Partners. Sans compter le marché indirect, difficilement chiffrable, des ventes de médicaments (antibiotiques…) traitant les infections opportunistes liées à la maladie. »

    Ensuite regarder cette vidéo : « le sida : le doute » d’une enquête d’une émission d’Arte? (non spécifié) qui pose de troublantes et raisonnables questions sans esprit « complotiste » :
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=BAR1W_dYPRc

    L’on peut en déduire que certains malades sont traités par des produits extrêmement toxiques qui ne sont pas les bons !
    Leur décès est-il imputable alors à leur maladie ou à leur traitement ?
    Cela converge parfaitement avec ce que nous savons sur les traitement anti-cholestérolémiant, les vaccins et le reste.

    Lorsque l’on sait que les laboratoires de recherche, les congrès et cycles de formation continue, le matériel sont payés par les labos, il est légitime de se poser des questions.

    Ceci est à mettre en lien avec la lutte de l’Europe contre les médecines alternatives et les traitements par les plantes et leurs dérivés…

    Il y a là, comme pour l’écologie, un problème de santé publique internationale lié à l’avidité d’une poignée de multinationales dans les pays développé ainsi que tout ceux qui se réfèrent à la médecine conventionnelle.

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