la « subite verdoyance » de la macronie, (depuis que les citoyens, loin d’être les incultes avérés, tels que les imagine le « saigneur » de la France, ont lancé l’alerte), s’est imposée à tous les gueux de ce pays avec un seul credo, c’est MOI seul, le « grand bouzilleur » qui en ai la primauté, nul autre que MOI « sérénissime idéologue capitaliste » n’a le droit de défendre sa maison, sa Terre, l’avenir de ses enfants (que je n’ai pas), contre le libéralisme, le mondialisme, les méfaits des multinationales et le tout pour le fric, dont JE SUIS le promoteur. Aucune décision couillue de la part de ce gouvernement fantoche et corrompu, lié avant tout au capital et à la finance, ne viendra. Il n’a pas de solution à part, des mots, encore des mots, toujours des mots, pour que nous acceptions les maux que ces aberrations mondialistes nous font subir. Françoise G. Partagez ! Volti
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Auteurs Alexandre-Reza Kokabi et Gilles Potte (Reporterre)
Plus de 300 activistes non violents se sont regroupés sur le pont de Sully, à Paris, pour dénoncer l’inaction face au dérèglement climatique. Gaz lacrymogène dans les yeux, coups de matraque, injures… la réponse de l’Etat. Reporterre était là.
Vendredi 28 juin, le mouvement international de désobéissance civile Extinction Rebellion prévoyait d’occuper un célèbre pont parisien. L’idée : alerter les citoyens, les responsables politiques et les détenteurs de pouvoir économique « sur les menaces qui pèsent sur notre avenir, celui des autres sociétés et celui des autres espèces ». Ateliers, spectacles, tribunes et délibérations collectives devaient ponctuer cette journée. Il n’en a finalement rien été. Les activistes ont été violemment chassés du pont de Sully par la police, au bout de 30 minutes.
Sous un soleil de plomb, à 12 h 20, 300 activistes répondant à l’appel d’Extinction Rebellion se sont déployés aux abords du pont de Sully, dans le Ve arrondissement de Paris. Se tenant la main, ils ont neutralisé la circulation au niveau du boulevard Saint-Germain, de la rue des Fossés-Saint-Bernard, du quai Saint-Bernard et à l’entrée du pont, bloquant momentanément des centaines de voitures et de bus. Certains automobilistes sont sortis avec véhémence de leurs véhicules et des médiateurs en gilet orange se sont attelés à calmer les nerfs des plus pressés.
« L’urgence, symbolisée par la sixième extinction de masse, est telle qu’on ne peut plus rester de marbre »
Au bout d’une poignée de minutes, l’ensemble des protagonistes se sont rassemblés à l’entrée du pont de Sully et se sont disposés en tailleur ou debout sur la chaussée. « Sur le pont, rébellion / On y lutte, on l’occupe / Sur le pont, rébellion / On y lutte contre l’extinction », ont-ils scandé sur l’air de Sur le pont d’Avignon.
« Nous voulons provoquer un sursaut collectif, disait Morgane, membre d’Extinction Rebellion. L’urgence, symbolisée notamment par la sixième extinction de masse, est telle qu’on ne peut plus rester de marbre et attendre que les décideurs se réveillent. Nous leur demandons des mesures efficaces, à la hauteur des enjeux qui bouleversent le monde tel qu’on le connaît aujourd’hui. »
À cause du ralentissement du trafic, et parce qu’ils avaient concentré leur dispositif ailleurs — pensant que l’action se déroulerait au niveau du pont au Change — les cars de CRS sont arrivés au bout d’une vingtaine de minutes, par dizaines. « C’était ce qui était prévu, explique Marguerite, d’Extinction Rebellion. Pour avoir un rapport de force différent, on a voulu tester la méthode “à l’anglaise” et prévenir la police. Hier soir [jeudi], on a publié le lieu de notre action sur les réseaux sociaux, le pont au Change. Mais, au moment du briefing, on s’est rendu compte qu’il y avait beaucoup trop de camions de CRS qui nous attendaient sur place et on s’est ravisés. »
La police est arrivée au pont de Sully vers 12 h 40 et, au bout de 20 minutes, a sommé les activistes de « regagner immédiatement le trottoir ». « Dernière sommation, nous allons faire usage de la force », s’est écrié un policier à 13 h 05. « La police / Avec nous / On fait ça pour vos enfants », ont répliqué les activistes, assis en tailleur, soudés et résolument immobiles.
Les CRS ont commencé à soulever les désobéissants, les trainant parfois au sol sur plusieurs mètres. En plein cagnard, l’opération a vite échaudé les forces de l’ordre : les agents ont alors utilisé des bombes aérosol lacrymogènes directement à hauteur du visage des activistes.
« Mais non, on avait dit pas dans leurs visages, les gars ! », a tenté de raisonner l’un de leurs collègues, lui-même en larmes. « Dégagez ou on recommence », s’est emporté un autre, dégoulinant de sueur. Quelques secondes plus tard, faisant fi des consignes, l’homme en uniforme a aspergé un même groupe d’activistes pendant une dizaine de secondes, jusqu’à ce que sa bombe soit totalement vide. L’air est devenu irrespirable sur le pont, et les yeux des présents se sont boursouflés.
« Ils devraient nous remercier, pas nous gazer »
Même les passants, venus profiter des quais, suffoquaient. À quelques mètres du pont, Élise a longtemps frotté ses yeux irrités, et beaucoup toussé. « Je ne faisais même pas partie du mouvement, a-t-elle raconté, désabusée. Je voulais juste me rendre à l’Institut du monde arabe, je me baladais avec mon casque sur les oreilles quand mes yeux et mon visage ont commencé à me piquer. J’ai tenté de me réfugier derrière un arrêt de bus mais maintenant, ma peau me brûle. »
REPORTERRE (avec nos remerciements)
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Voir :
Loi énergie-climat : le gouvernement et sa majorité renvoient l’action à plus tard
Je sais c’est hors sujet il ne s’agit que d’un handicapé et non un militant pour le climat.donc un improductif qui coute un pognon de dingue.
https://youtu.be/ELmJM8MvrRw
Nous le savons, le profit de cette caste au pouvoir et à leur sbire passe par la destruction de la Nature, ce n’est pas nouveau, regarder l’arrêté ministériel réalisé par le Ministère de la Transition écologique et solidaire qui a fait son sondage auprès des Français pour savoir s’ils étaient pour ou contre la régularisation des espèces dites nuisibles en France.
Comment un ministre de l’écologie peut demander aux Français si l’on doit protéger ou détruire des animaux innocents qui ne sont en aucun cas responsable de la destruction de la biodiversité, nous voyons juste derrière cette magouille le besoin d’amasser des votes aux prochaines élections, et les chasseurs qui n’en ont jamais assez d’éliminer leur concurrent pour gaver leur congélateur déjà plein de viande.
Quand vont-ils s’apercevoir que plus on s’étend dans les campagnes et moins les animaux sauvages ont de quoi se nourrir et après ils s’étonnent de les voir détruire les cultures. Nous sommes dans une culture d’hommes rois qui s’autorisent le droit de vie ou de mort sur toutes les espèces animales et sur la Nature.
Alors que les scientifiques tirent la sonnette d’alarme, eux ils continuent d’entretenir leur œillères pour le fric, le profit, le pouvoir et tant pis s’ils sont damnés.
Ces gens qui sont pour la régularisation de la biodiversité, ont des enfants ? Alors je n’ai qu’une chose à leur répondre, je plains vos gosses car ils n’auront aucun avenir à cause de votre irresponsabilité, de votre insensibilité pour cette Nature qui vous a tout donné, vous en avez pas marre d’être égoïste ? Quand comprendrez-vous que la destruction de la Nature n’est qu’une histoire de fric et de pouvoir, vous attendez quoi pour réagir et vous unir à ceux qui protègent la Nature et la biodiversité car sans ça, vos gosses n’auront aucun avenir sur Terre ?