Il a osé! Moscovici dont on a pu apprécier les capacités en tant que, ministre de l’Économie, des Finances et du Commerce extérieur, recasé en tant que, commissaire européen aux Affaires économiques et financières, à la Fiscalité et à l’Union douanière au sein de la commission Juncker en 2014. Si ça fonctionne en Grèce, numérotons nos abattis…
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En visite en Grèce ce lundi, le commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici appelle la population étranglée depuis six ans par l’austérité, à bien vouloir faire un effort supplémentaire pour recevoir sa nouvelle tranche « d’aide »…
Encore un effort. C’est ce que demande, sans gêne, le commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici à la population grecque, déjà saignée par six ans de rigueur. De passage ce lundi 28 novembre à Athènes, où il doit notamment s’entretenir avec le Premier ministre Alexis Tsipras, Pierre Moscovici appelle en effet le gouvernement grec à adopter une nouvelle batterie de mesures d’austérité dans ses budgets 2017-2018, en échange de quoi l’Europe s’engage non pas à alléger sa dette colossale – près de 315 milliards d’euros, soit près de 180% du PIB – mais à ce que la question soit discutée à partir du 5 décembre, date de la prochaine réunion des ministres des Finances de la zone euro.
Des discussions sur la réduction de la dette grecque dont le principe avait pourtant été « collectivement » acté, rappelle Le Monde, il y a 6 mois par les créanciers du pays, c’est-à-dire le Fonds monétaire international (FMI), la Commission européenne et Banque centrale européenne (BCE). Qu’importe, Pierre Moscovici tient à une nouvelle fois mettre la pression sur les responsables grecs qui ont déjà consenti, entre autres, à engager de nouvelles coupes, dans les retraites par exemple, l’une des conditions préalables au versement de la nouvelle tranche d’aide de 86 milliards d’euros de prêts.
Appels à la grève en Grèce
Mais pour le commissaire français, il faut aller encore plus loin. D’ailleurs Pierre Moscovici estime « totalement réalisable » un accord « ces prochains jours » sur de nouvelles réformes à mettre en place. Si bien, poursuit-il dans un entretien accordé au quotidien grec de centre gauche Ethnos, que la Grèce apparaît aujourd’hui « enfin prête à tourner la page » de la crise.
Sur place cependant, cet énième « tour de vis passe mal », explique RFI. Le pays ayant de fait été paralysé jeudi dernier pendant 24 heures par une grève du secteur public, vivement opposé à la réforme du droit de travail. Un mouvement auquel vient d’ores et déjà s’ajouter un appel à la grève du secteur privé, le 8 décembre.
Le projet du budget pour 2017, qui doit être voté d’ici à la mi-décembre, prévoit des hausses de taxes sur de nombreux produits et services à l’instar des voitures, des carburants, de la télévision payante, de a téléphonie fixe, du tabac ou du café. Il prévoit également de nouvelles coupes dans les salaires et les retraites du public, à hauteur de 5,7 milliards d’euros.
Voir:
Crise sociale en Grèce : d’euphémisme en euphémisme…
Un rapport interne épingle le FMI pour sa gestion de la crise grecque
La Grèce toujours plus étranglée par le FMISource Marianne
Ben oui, augmenter les impôts et diminuer les salaires et les revenus de remplacement !
A la commission européenne, on croit encore aux miracles !
C’est un peu l’histoire de « l’âne au père Martin » qui se désola de le voir mourir alors qu’il venait juste de réussir à l’habituer de ne plus manger afin de faire des économies.
Toujours des ralonges. Encore du pq en échange de plus de pauvreté.
Je crois qu’il faut du temps pour acheter la Grèce à bas prix.
Et les grecs acceptent çà ? Ben il y en a des corrompus dans ce pays.
C’est la situation du fonctionnarat pour chaque habitant. Tous gavés par des politiques voyous mais maintenant c’est la plongée aux enfers.
Pareil en france.
Les grecs feraient mieux de demander un référendum pour la sortie de cette UE vampirique gouvernée par des gens sans compassions. Jusqu’à quand accepteront-ils encore d’être dépossédés de tout leur biens et de leur âme ?
Tous ces sacrifices demandés aux grecs uniquement pour sauver les banques allemandes, mais en aucun cas la situation financière de ce Pays.
En matière de foutage de gueule, nos pédants eurocrates sont en passe de devenir champion du monde de l’escroquerie.
Il est temps de foutre le camp de cette putain de galère.
Moscovici eux ……
« il a osé »… c’est à ça qu’on les reconnait. Entouré de chiffres et d’experts, ce monsieur est un digne représentant du « hors sol ». Si ce n’est pas lui ce sera un autre. C’est un système qui est en place avec son lot de suiveurs.
Sa logique, ses codes, sa dialectiques. Un jour ils règneront sur…rien.
Tellement isolé de la réalité qu’ils seront les derniers informés.
Mosco l’Enculé de service !
bonjour
bien vu c’est une des nombreuses pistes à suivre…idem pour nous…..
+1 conscience.
Allez tous à la charrue et on rediscutera vignette, contrôle technique, assurance, Taxes TIPP, rente pétroliéres etc… après, héhéhé…
Par contre on risque d’être un poil fâché et bien sûr de nous et vous, Messieurs, les Nantis, un peu paumés…
J’ai droit aux insultes ?
Non… bon
Euh Moscovichy, question austérité, si tu commençais déjà à donner l’exemple en te tapant des femmes de ton age ? Hein…
C’est bon ? ça va ? Benji et Volti? J’ai fait des efforts là…
Mais que fait le Mélenchon grec ? lui qui prônait la rupture avec l’UE pour sauver son pays. Comme ses clônes européens il ne fait que jouer son rôle de saboteur de révolte. Mes bons collègues fonctionnaires de l’hôpital public en pinçaient tous pour le Che hellene ,rebelles de Prisunic facebookisés et ultra-protégés. Ils ont bonne mine aujourd’hui. N’en déplaise ,les seuls qui sont (un peu) crédibles à Athènes sont les militants d’Aube Dorée et non les gauchistes idiots utiles du capital.