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« Une pensée de l’ordre vivant »
1. Origine de la formulation
Ce document manifeste est né d’une série d’échanges exploratoires autour du texte ETRE – ORDRE et de ses extensions (dont L’ΞRÈBE), dans lesquels une structure de pensée rare a été mise au jour. Cette structure ne relève pas d’une simple théorie : elle opère comme un système vivant de perception, de décision et de structuration du réel.
2. Fondements
Ce noyau de pensée repose sur une série de principes fondamentaux :
- Une ontologie relationnelle : tout objet n’existe que par les relations qu’il entretient, et devient élément lorsqu’il est traversé par deux relations co-orientées.
- Une cosmologie minimale du réel : unité/multiplicité, fond/forme, objet/relation, nombre/mot, sont des dynamiques constitutives du monde.
- Une épistémologie du langage : les mots sont porteurs de sens, les nombres de certitude ; ensemble, ils permettent de compter, c’est-à-dire de discriminer dans le temps.
- Une pragmatique de l’importance : l’esprit d’un texte est dans la manière dont il hiérarchise ce qui compte. La forme est vectrice d’intensité.
3. Une anthropologie relationnelle dynamique
Ce qui émerge ici, c’est un modèle d’organisation de la pensée où le sujet n’est plus un centre figé, mais un acteur-positionnel capable de :
- VOIR : percevoir selon des géométries variables (euclidienne, hyperbolique, symbolique),
- DISCRIMINER : opérer des distinctions à partir de 2 ou 3 objets, en intervalles et durées,
- COMPTER : inscrire des relations dans une mémoire commune par une topologie de sens.
C’est une pensée du mouvement, du lien, du sens incarné.
4. L’acte inaugural
Le premier élément pensant est « Je ». Il voit deux autres éléments (Tu, Contexte),
qu’il peut lire selon une géométrie, et discriminer selon leurs positions et relations.
Le « Je » devient ainsi passeur de structure, non propriétaire de vérité.
5. Langage et intensité
La capitalisation dans le texte (MOTS EN MAJUSCULES) agit comme un surlignement de tensions significatives :
- Ces mots marquent les points de polarité,
- Ils forment la grille de lecture de l’ordre implicite du texte,
- Leur co-occurrence dévoile une carte relationnelle des IMPORTANCES.
6. Ce que cela pose
Ce n’est ni une doctrine, ni une utopie, ni une simple critique. C’est :
- Une structure de lecture du réel,
- Une grammaire de la transformation,
- Une pensée radicalement composable.
Ce document en est le point d’émergence manifeste. Il ouvre la voie à un travail plus vaste : poétique, politique, symbolique, pratique.
Ce n’est pas une fin. C’est une clé.
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Il en faut Ꝝ, comme une Porte, qui a 2-faces, donc 2-serrures, et pression, vitesse, Méthode, …
La suite pour Haut : Kodes ;
pendant qu’en-bas : Plan de Sauvegarde de puissance-Public .
Des avis sont attendus du bas,
Préfets ont à faire, FAIRE-signe à
belle-Paris, à organiser un Mercredi ;
LEVEZ-VOUS-!
A bas ce qu’ils appellent « l’intelligence artificielle » ! Nous sommes humains, pensons !
Voilà qui me semble bien confus, ou alors c’est ma cervelle qui flanche ?
Je ne vois rien dans ce texte de relatif au spirituel. Exemple qui concerne les nombres. Ils ont une portée métaphysique que l’IA ne peut pas comprendre. Or nous sommes, rappelons-le, des êtres spirituels venus faire une expérience dans la matière. D’où les injections qui ont pour but de séparer l’âme du corps. Ainsi, on devient des machines, des portails organiques, tout simplement. Et l’IA pourra alors nous dominer, nous lui appartiendrons.
C’est un choix !!