Gouvernance mondiale: facture de 1000 milliards d’euros sera adressée aux Européens

Comment “verdir” l’escroquerie planétaire du réchauffement/changement climatique, et du “développement durable” en soutenant le pillage des ressources et, toujours plus de croâââssance et de profits, alors que les désastres écologiques s’amoncellent, que la disparition des espèces animales et végétales culminent. Ils sont devenus cinglés. Tous bienvenus dans le meilleurs des mondes où l’humain sera (est déjà) considéré “ressource utile” juste bon à être taxé, ou pas. À noter que, seuls ceux qui sont réellement impliqués pour la préservation de la planète ont des ennuis, les pollueurs et massacreurs en tous genres eux, ont la paix. Merci Liliane HK. Partagez ! Volti

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Liliane Held Khawam

Network global democracy, Building a people’s governance structure on a planetary scale, Germà Pelayo

L’Europe veut mobiliser 1.000 milliards d’euros sur 10 ans pour financer la transition écologique. Elle souhaite aussi la création d’un »mécanisme pour une transition juste »

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/transitions-ecologiques/comment-l-union-europeenne-veut-financer-sa-transition-ecologique-837035.html

Dans cette information 4 données nous intéressent: la somme folle d’un trillion d’euros, la période des 10 ans qui nous amène à 2030, la notion de transition, et de justesse ou justice.

Dans cette phrase, vous trouvez de manière sommaire la stratégie mise en place par les dirigeants politiques et les lobbies de la haute finance.

Extrait d’un fil twitter de Cory Morningstar, et Une instructive leçon de manipulation de masse

https://threadreaderapp.com/thread/1156753905147097089.html
http://www.entelekheia.fr/2019/08/03/une-instructive-lecon-de-manipulation-de-masse-par-cory-morningstar/

La planète subit une restructuration en profondeur pilotée par le lobby de la haute finance. A l’image de ce que vous avez pu vivre dans une entreprise. Des modèles, outils, et moyens identiques à ceux des entreprises servent à redessiner la planète par les consultants globalistes. Les humains y sont considérés comme des ressources, productives…ou pas, au même titre que celles mobilisées par les entreprises.

2030 est l’échéance qui devrait mettre fin à l’actuelle phase de transition pour entrer définitivement dans le Nouveau monde. Les faux-semblant démocratiques n’auront plus lieu d’être, et l’humanité telle que connue jusqu’à présent prendra fin.

2030 devrait faire émerger un monde où la vie est sous contrôle des puissances technologiques, elles-mêmes contrôlées par les puissances financières, elles-mêmes soumises aux détenteurs de la création monétaire contre dettes.

La mutation de l’organisation de la planète doit avoir été achevée en 2030. Cette date fut fixée par l’ensemble des Etats-participants au programme de l’ONU « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». Ce jour du 25 septembre 2015, cet accord qui porte les couleurs de la préservation de la maison commune fit l’unanimité des représentants des Etats réunis. Le lancement de l’évènement planétaire qui a abouti à la signature de ce document à valeur de Constitution universelle a été présidé par le pape François.

Il y a toutefois un problème à ce projet. Le programme qui vise 2030 est un programme dont le fil rouge est le concept de Développement durable. Et voici quelques extraits du rapport de la Commission Brundtland -fondateur du concept- admis par l’ensemble des instances planétaires qui comptent: « Le genre humain a parfaitement les moyens d’assumer un développement durable, de répondre aux besoins du présent sans compromettre la possibilité pour les générations à venir de satisfaire les leurs. La notion de développement durable implique certes des limites. Il ne s’agit pourtant pas de limites absolues mais de celles qu’imposent l’état actuel de nos techniques et de l’organisation sociale ainsi que de la capacité de la biosphère de supporter les effets de l’activité humaine. »  Un autre passage mérite aussi d’être signalé : «Mais nous sommes capables d’améliorer nos techniques et notre organisation sociale de manière à ouvrir la voie à une nouvelle ère de croissance économique. La Commission estime que la pauvreté généralisée n’est pas une fatalité. Or, la misère est un mal en soi, et le développement durable signifie la satisfaction des besoins élémentaires de tous et, pour chacun, la possibilité d’aspirer à une vie meilleure. Un monde qui permet la pauvreté endémique sera toujours sujet aux catastrophes écologiques et autres ». (Notre avenir à tous (Our Common Future) Le développement durable est, selon ce rapport, une invitation à repousser les limites de la nature et à redéfinir l’organisation sociétale pour surtout poursuivre la croissance économique. Le tout saupoudré de bonnes intentions humanitaires. Le développement durable va ouvrir de juteuses perspectives à un nouveau business, « économie verte », aux effets dévastateurs pour l’environnement. On voit ci-dessous l’explosion de la consommation des ressources depuis l’introduction du développement durable. (Extrait de Coup d’Etat planétaire)

Vous constaterez l’explosion de l’exploitation des ressources depuis la publication du rapport de la Commission Brundtland sur le développement durable en 1983/Source: Coup d’Etat planétaire

Et qui va gérer ces 1000 milliards d’euros? Les gros acteurs de la haute finance. Ceux qui tiennent le stylo pour créer de la monnaie contre l’endettement public. Voici des exemples. UBS, primary dealer agréé par l’UE  selon la liste suivante valable ce janvier 2020: Primary dealer europe (cf Dépossession)

Le Crédit agricole, autre primary dealer de plusieurs pays européens est lui aussi un pilier du projet onusien et bruxellois. Cette fois, c’est le directeur général du groupe qui publie « Sauver la planète par une transition énergétique responsable » (Linkedin 8 janvier 2020). Extraits:

« La responsabilité qui revient à tous et à chacun est d’agir à son niveau et avec ses moyens pour tenter de sauver la planète du chaos écologique. Cela passe par une transformation radicale du moteur économique mondial pour qu’il soit capable de créer de la croissance, indispensable à la création d’emplois, tout en consommant moins d’énergie, et que cette énergie soit de plus en plus décarbonée. Sa réussite passe par une solidarité et une mobilisation de tous. À commencer par celle des banques, qui ont un rôle majeur à tenir, et les grands établissements français se sont déjà engagés en ce sens. « 

Pris comme ça, l’agitation autour de Federer, homme-sandwich du Credit Suisse, est une vaste plaisanterie.

Et le patron du Crédit agricole de poursuivre:

« Une gouvernance mondiale du climat

Pour que nos actions gagnent en efficacité et en cohérence, elles doivent aussi s’inscrire dans le cadre de politiques nationales du climat, soumises à la transparence et au regard des citoyens, des ONG et des scientifiques. Ces politiques nationales offrent une légitimité politique et démocratique à la transition et à ses conséquences sociales.

Ces régulations nationales coordonnées sont les bases démocratiques d’une gouvernance mondiale du climat que j’appelle de mes vœux. Le climat n’a pas de frontière. C’est un défi de civilisation, un défi planétaire. Les engagements pris par les acteurs financiers seront toujours jugés hétérogènes et peu lisibles sans ce cadre d’ensemble précisant méthodologies, échéanciers de réductions d’émissions et de retrait des énergies fossiles, investissements en énergies renouvelables. Cette régulation mondiale est indispensable pour travailler dans un univers comparable, pour harmoniser les mesures et les calculs d’impact, mais aussi pour apaiser les tensions entre les parties prenantes. »

La haute finance utilise le climat pour asseoir la gouvernance politique mondiale qui sera officialisée au plus tard en 2030. Ce projet qui engloutit des sommes folles, car n’oublie aucun territoire reculé du globe, est soutenu par les banques centrales planétaires. En retour, elles renvoient la facture aux Etats et autres épargnants-retraités- contribuables sur fond d’un cynisme solide.

Liliane Held-Khawam

Supplément:

Voir :

Dette publique française ne finit pas de grimper… LHK

Éoliennes, la face noire de la transition écologique. Fabien Bouglé

L’aristocratie financière, ses crimes impunis, et sa puissance politique.

Volti

6 Commentaires

  1. La transition écologique part d’un bon sentiment, seulement elle aurait du commencer il y a quelques décennies déjà quand les peuples avaient des sous et un travail, maintenant qu’ils ont été plumer et que les machines on remplacer la main d’œuvre, ils sont obligés de recourir aux locations ventes pour posséder un véhicule, alors payer la transition écologique, c’est pas pour demain.

    Tout le monde ne peut pas payer la transition écologique, mais une solution s’impose, aller chercher l’argent où il se trouve dans les transactions financières du CAC 40 et taxer les grandes fortunes. Voilà je leur donne des idées pour trouver l’argent qui va financier tout ça, il en va de leur avenir à tous et surtout de leur enfants, la maison brûle et c’est maintenant qu’il faut agir avant que mère Nature perde vraiment patience.

    Je suis d’accord Volti, le peuple doit arrêter cette consommation à outrance qui tue notre planète, la croissance n’a fait que détruire la biodiversité et la nature, revenons à l’essentiel, pas besoin d’accumuler quantité d’objet pour être heureux. De toute façon il viendra un jour où nous serons confronté à un choix décisif pour notre avenir, avancer en bonne intelligence avec la nature ou mourir et ce jour là, tout le monde devra repenser son existence, alors autant le faire maintenant tant qu’il est encore temps.

    • salut à tout le troupeau….

      la planète était magnifique…par endroit elle est encore belle…malheureusement il y une grosse couille dans le pâté……et vous la connaissez tous…..
      une seule solution pour que cette magnifique Terre reprenne tous ses droits…..
      La très bonne nouvelle!!!!!
      l’accélération de notre disparition vitesse GRAND V : + d’ondes…+ de nucléaire+ de déchets+d’empoisonnement des éléments vitaux (eau, terre, air)

      Le soleil brille….les oiseaux (le peut qui restent) gazouillent….tout va très bien madame la marquise…

      • De toute façon viendra un moment où nous n’aurons plus le choix, ce sera l’extinction de l’humanité ou changer tous de direction. L’humain qui aime le profit est tellement borné qu’il va devoir contempler en face sa propre mort pour comprendre qu’il ne peut plus continuer comme ça.

        La Terre nous a tout donné mais beaucoup n’en ont jamais assez, si personne ne les arrête ou continue à cautionner leur immoralité, ils nous entraineront avec eux dans une spirale sans retour.

        Je pense surtout qu’à l’heure actuelle, il ne faut plus faire d’enfants mais prendre le temps d’agir pour l’avenir de ce qui sont déjà là.

  2. Il n’y a aucune raison de payer une telle facture. L’argent ne sert qu’à gaver encore plus ceux qui organisent cette vaste fumisterie. Un autre paradigme et à trouver, il est même en cours: décroissance, consommation minimaliste, échanges, …nous le savons. Des initiatives se mettent en place, les prises de conscience se font. Il ne faut rien attendre des élites qui nous mentent à tours de bras, il faut continuer à nous organiser. C’est nous qui avons le pouvoir, en potentiel, prenons le, et manifestons-le.

  3. LHK, toujours aussi insipide et racoleuse
    C’ est mon opinion et ja la partage

  4. L’évolution de la population mondiale:
    https://images.schoolmouv.fr/6e-geo-c09-img01.png
    A comparer avec la courbe d’exploitation des ressources du texte, et vous avez la raison de cette exploitation.
    .

    1000 milliards c’est la moitié de la dette de la France,
    sur 10 ans c’est 100 Mds par an.

    Le budget de l’Europe c’est environ 150-160 Milliards pan
    C’est donc plus de 60% d’augmentation

    MAIS:
    Contribution des états au budget de l UE 2018
    http://classe-export.com/index.php/actus/26990-budget-europeen-a-quel-niveau-les-pays-contribuent-ils/

    28 pays dont 5 pays contribuent pour 48 % lorsque quasiment tous les autres pays sont en dessous des 2 % et les 11 derniers pour 2 % en tout.
    Les pays qui financent 0,1% ont autant de poids que ceux qui financent les 48%…

    On ajoute le pseudo départ du RU…

    Au final qui va payer ?

    C’est qui les cons dans l’histoire ?

    Et tout ca pour se faire mettre avec un gouvernement mondial qui utilise la pseudo transition ecolo-energetico-verto-enculo pour s’imposer.

    Ils sont vraiment forts, et les moutons sont vraiment fait pour être tondus.

    Bormes

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