Ce que deviennent nos déchets électroniques. Une catastrophe pour les ghanéens, enfants compris qui manipulent sans précaution, ce qui leur permettra de gagner quelques dollars pour manger. Tourné en 2016, le documentaire met en évidence, les dangers courus par ces gens pour leur santé, ont-ils le choix ? Les documentaires sont assez courts et vont à l’essentiel, pour tout ceux qui s’intéressent au monde. Partagez ! Volti
******
Source RT-France
Une banlieue de la capitale du Ghana est devenue une énorme décharge, où atterrissent les appareils électroniques obsolètes des pays développés. Enfants comme adultes y travaillent dans des conditions atroces pour gagner quelques dollars par jour.
Agbogbloshie n’est qu’une énorme décharge, située près de la ville d’Accra au Ghana, où sont jetés les appareils électroniques usagés des pays riches. Le site fonctionne sans la moindre réglementation en matière de santé et de sécurité : des produits chimiques toxiques sont rejetés dans l’atmosphère en permanence.
Chaque jour, les travailleurs de cette déchetterie, parmi lesquels des enfants, sont exposés à des graves risques pour leur santé. De nombreux Ghanéens voient malheureusement encore dans l’industrie des déchets électroniques une source vitale de revenus. Et la décharge d’Agbogbloshie leur permet de survivre… avant de les tuer.
Source RT-France
A voir aussi :
Pérou : opération stérilisation Plus de 300 000 hommes et femmes ont été stérilisés au Pérou entre 1993 et 1999, dont la majorité étaient des paysans des villages les plus pauvres. Les victimes de stérilisation forcée racontent leur douleur dans une enquête de RT.
Réfugiés : survivre à Athènes La crise migratoire a fait d’Athènes une plaque tournante de la prostitution des mineurs. RT s’y rend pour en savoir plus sur la vie des jeunes réfugiés du Moyen-Orient qui espéraient y trouver leur bonheur…
District 3 : la décharge monstrueuse La capitale du Guatemala abrite une décharge géante appelée «la Mine». Une source de revenu pour les uns et la dernière demeure pour les autres, elle attire toujours les gens : certains la comparent à une bête sauvage rusée et imprévisible…
Le Bruce Lee afghan Dans une ville détruite par la guerre, il s’entraîne et rêve de devenir champion du monde. RT a fait la rencontre du «Bruce Lee afghan», Abbas Alizada : en plus de sa passion pour les arts martiaux, il ressemble comme deux gouttes d’eau à son idole.
En tous cas, c’est pour moi une source d’économie non négligeable.
Quand on voit le prix des relais et des transfos, on essaye de les récupèrer.
En souvenir, il ne faut pas oublier :
https://ibb.co/kXqgZsT