Mythe ou Réalité : Moïse et l’exode des Hébreux

L’histoire de Moïse et de l’exode des hébreux hors d’Égypte est l’un des mythes fondateurs la plus importante des religions monothéistes. Je vous propose de redécouvrir la légende mais également de décrypter la véritable histoire qui se dissimule derrière ce mythe. Nous allons explorer l’histoire des civilisations du Proche-Orient mais aussi de l’Égypte. La légende du prophète du peuple hébreu va nous conduire sur les traces de Sargon d’Akkad un ancien roi mésopotamien, mais aussi des Hyksôs et des peuples nomades du désert ( Shasou et Apirou), pour nous conduire finalement jusqu’au règne du Roi Josias, l’époque où les premiers textes de la Bible furent écrit ( entre le 7ème et le 5ème siècle avant notre ère). C’est à cette époque que la légende de Moïse sera raconté ainsi que l’exode, du moins d’une façon littéraire. La vie légendaire de Moïse et le récit de l’exode traduisent peut-être un symbolisme bien différent du canon religieux.

6 Commentaires

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    Le Mont Sinaï se trouve-t-il en Arabie Saoudite ? :
    https://infos-israel.news/le-mont-sinai-ou-la-thora-a-ete-donne-au-peuple-hebreu-se-trouve-til-en-arabie-saoudite/
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  2. Ah l’est même pas passé…

    En complément pour ce faire sa propre opinion ;
    La fuite de la sainte famille en Égypte est-elle un mythe ?
    Plus grands que les pyramides d’Égypte sont les mythes et les mauvaises conceptions au sujet de cette ancienne terre
    En analyse ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2017/02/21/addendum-au-pdf-des-extraits-du-livre-publications-du-dr-a-ezzat/
    Page 36 du PDF dans sa dernière version ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2018/10/dr-ashraf-ezzat-traduction-de-la-bible-et-falsification-historique-dernic3a8re-version-doctobre-2018.pdf

    Et à la page 10 du PDF de la bi ble déterrée de F & S ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2019/03/la-bible-deterree-par-israel-finkelstein-et-neil-ash-silberman-touchstone-book-2001-traduction-r71-pdf-jbl-mars-2019.pdf

  3. https://fr.wikipedia.org/wiki/Taureau_de_Wall_Street
    ..Heureusement pour Wall-Street, ce sanguinaire n’est plus.

    Car si on en croit leur histoire, ce Moïse n’hésita pas à commander* la mise à mort de dizaines de milliers de juifs adorateurs du (taureau)Veau-d’or**.

    Extrait de: https://fr.wikipedia.org/wiki/Veau_d%27or#cite_note-3 :
    * – “Dieu ordonne alors à Moïse de tuer tous ces hérétiques, et Moïse transmet cet ordre…”
    * * – “Veau(d’or) qu’ils désignent et adorent comme dieu, à l’imitation du taureau Apis qui était adoré en Égypte.”

  4. cela rejoint le doc archéologique : “la bible dévoilée”
    http://www.youtube.com/watch?v=yH7zYRU8m8Y

  5. Honoré de Balzac disait : « Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des évènements. ».
    La légende de Moïse
    C’est Philon d’Alexandrie qui, quelques années avant notre ère écrivit la légende de Moïse, telle que nous la connaissons.
    Son livre intitulé « De vita Mosis » était un roman sans aucune base historique et dans lequel il avait introduit les mœurs nées du Droit romain.
    Ce récit mensonger donna à l’homme glorifié sous le nom de Moïse une consécration et le fit entrer dans l’histoire.
    L’histoire de la sortie d’Egypte telle qu’on nous la raconte est remplie de contradictions, d’inexactitudes, et de miracles. On n’en connaît pas la date, on donne des noms différents au prétendu Pharaon qui aurait asservi, puis poursuivi les Hébreux.
    Ce roi serait Ramesses-Meïmun, le 4ème du nom de Ramsès. Mais on oublie que la royauté n’existait pas à cette époque et que ces prétendus rois n’étaient que des chefs de parti, des Ak.
    A la sortie d’Egypte, la version grecque nous dit que « Moise chanta un cantique à l’Eternel pour lui rendre grâce ».
    La version hébraïque dit : « Marie et ses jeunes compagnes les Almah, chantèrent des cantiques au passage de la Mer Rouge en s’accompagnant du tambourin. »
    Et Renan, à propos de ce fait, dit : « Une prétendue sœur de Moïse prenait dès lors, dans la légende de la sortie d’Egypte, un rôle dont l’état actuel des textes ne laisse peut-être pas apercevoir toute la portée ».
    Cette femme que la Bible appelle « la Prophétesse Marie » était appelée Myriam en hébreu ; c’est elle que les Catholiques ont désignée sous le nom de « Marie l’Egyptienne ».
    Il est bien évident que c’est cette femme qui dirigeait l’expédition et que cette fuite avait pour objet de se soustraire à la servitude que les Egyptiens voulaient imposer aux femmes.
    Une politique cruelle envahissait l’État, s’appesantissait sur les faibles, leur enlevait toute sécurité et leur refusait la liberté de retourner dans leur pays d’origine. On les arrachait à leurs foyers, on les condamnait aux travaux les plus durs.
    Voici ce que dit l’Exode : « Et le service qu’on exigeait des Hébreux était plein de rigueur… Et les exacteurs les pressaient et on leur criaient : « Pourquoi n’avez-vous pas achevé votre tâche en faisant des briques aujourd’hui comme auparavant ? Et les commissaires des enfants d’Israël crièrent au Pharaon de ce qu’ils étaient battus. »
    Seraient-ce des hommes qui se seraient laissé ainsi battre par d’autres hommes ?
    Mais, du passage de l’Exode que nous venons de citer, il ressort un fait probable : les Israélites étaient maltraités.
    Qu’entend-on par Israélites ? Le nom d’Israël signifie « soldat d’une Divinité féminine », soldat qui combat dans « les guerres de Hévah ».
    Avant d’en venir à la fuite, il y a eu des tentatives de conciliation. Et suppliant « le Pharaon » de faire cesser une servitude trop pesante pour elles, ce roi (?) donna, au contraire, l’ordre d’aggraver leurs travaux afin qu’elles ne s’amusassent plus à écouter des paroles de révolte.
    C’est alors qu’en masse les Israélites quittèrent l’Egypte. Et c’est Myriam (Marie) qui conduit le mouvement.
    Ils étaient 600.000 d’après le Pentateuque ; 240.000 d’après Manéthon ; enfin 6.000 d’après Volney. C’est plus probable et c’est peut-être même encore exagéré. Si nous supprimons encore un zéro et mettons 600, nous serons peut-être plus près de la vérité.
    Le passage de la Mer Rouge que Myriam fit effectuer à ses compagnes à marée basse loin des côtes aurait fait périr les Égyptiens qui les poursuivaient, parce que, arrivant 5 ou 6 heures après et ne connaissant pas le passage, ils furent surpris et entraînés par la marée haute.
    A peine sur l’autre rive, en sûreté, un cri d’allégresse, de soulagement, s’échappe de la poitrine de ces femmes libérées et s’exhale en un chant poétique qui nous a été conservé. Ce chant commence par ces mots : « Je chanterai un cantique à l’Éternel, car il s’est hautement élevé, il a jeté dans la mer le cheval et celui qui le montait. »
    Il ne s’agit donc pas d’une armée, mais d’un seul homme. Du reste, les Égyptiens n’avaient pas de cavalerie.
    La Mer Rouge s’appelait alors la mer de Suf ; on l’appelait aussi Madian. Elle prit le nom de Mer Rouge depuis cet événement parce que la couleur rouge était celle de l’étendard féministe.
    Le Dr Ebers, qui a écrit un ouvrage sur le Mont Sinaï, nous apprend que, dans une inscription antique, on désigne cette mer en ces termes : « les eaux du pays rouge ».
    Toute l’antiquité a dû connaître cet événement, car nous en trouvons le récit, sous forme de légende, dans l’Encyclopédie japonaise.
    Et parlant des Japonais, M. Cailleux dit : « Ces peuples reconnaissent un ancien législateur qui, venu de loin, leur donna les éléments de leur culte. Il se nommait Mousa, il avait pour emblème le soleil rayonnant qui est resté jusqu’aujourd’hui dans les armes du Japon. ».
    Les Celtes firent de Myriam le nom de la Marjolaine, et des légendes existent aussi, chez eux, perpétuant le souvenir de cette grande femme.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/histoire-des-israelites.html
    Cordialement.

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