Bon sang ! Il y a des nouvelles qui ont le don de me donner des boutons. Il est question de nos amis belges mais c’est un problème qui nous concerne tous. Avec la PAC, certains agriculteurs encaissent le pactole, d’autres laissés pour compte se suicident . Il y a comme un souci non ? La moitié de la planète crève de faim et de soif, l’autre moitié vit avec de la mal bouffe et comme si ça ne suffisait pas, on jette!!! On constate et que faisons nous ? RIEN. Que pouvons nous faire ? Je n’ose donner une procédure qui sera forcément subversive, et me vaudrait les foudres de l’ordre établit. Il n’est plus possible de proposer une action, nous en avons proposé beaucoup en pure perte.
Pourquoi j’ai renoncé ? Ça ne sert à rien. Voir les moutons s’enflammer pour 48 heures et retomber dans ce système pervers qui est le notre n’a aucun intérêt. Oui ! tout le monde veut le changement mais, la voiture à payer, la maison, les études des enfants, vivre tous les jours avec les factures, sans savoir si le boulot sera perenne, c’est stressant et, même si une idée paraît faisable, tous les aléas précédemment cités, concourent à en décourager plus d’un et on le comprend.
Quelle est la solution ? Nous, par nous, pour nous. (je n’en dirais pas plus ) C’est radical et, ceux qui ne sont pas capables seront laissés au bord de la route. Nos sommes tous avec nos vies et nos soucis, pour s’en sortir il nous reste quoi ? La confiance ! Si nos sommes des enragés, le minimum serait d’en donner une preuve et, sans confiance c’est impossible.
Certains d’entre nous ont consentis à donner cette confiance, nous (je) sommes en contact et contents de profiter de leur expérience (pas toujours facile) mais ils s’accrochent et malgré tout sont heureux, bien qu’ils restent muets, considérés comme utopistes. ( je ne suis pas d’accord! ils devraient ) Le partage, c’est faire profiter de la connaissance , pas de profit attendu, pas de reconnaissance, nos vrais enragés font appel à des techniques qui sont connues mais, presque disparues faute de « professeurs », des procédés immémoriaux qui sont qualifiés comme « nouveaux », alors qu’ils sont éprouvés, qu’ils ont permis à nos anciens de vivre. Cela devrait nous motiver.
Refuser cette déchéance de notre savoir, pour le simple profit de certains est carrément inacceptable. Ce n’est que l’ introduction, à un article d’un site que j’apprécie beaucoup. Je ne demande à personne d’adhérer mais, je demande à tous de réfléchir. Ne me demandez pas d’approfondir, ceux qui me connaissent savent, les autres, votre réflexion est mise à contribution. Lisez bien et, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Partagez ! Volti
Source Mr Mondialisation, une alerte de Liliane Held Khawam
Alors que la lutte contre le gaspillage alimentaire est une cause à laquelle tous sont aujourd’hui sensibilisés, on ne peut que s’étonner des procédures et dysfonctionnements institutionnels qui conduisent à ce que plusieurs tonnes de nourriture non consommée puissent finir directement à la poubelle. C’est notamment le cas d’un marché en Belgique qui a décidé de jeter cette semaine des quantités astronomiques de tomates en pleine nature.
Triste spectacle que ces tonnes de nourriture, essentiellement des légumes, qui jonchent depuis plusieurs heures dans une prairie de Brecht, au Nord-Est d’Anvers, dans la partie flamande de la Belgique. Les légumes, en parfait état pour une bonne partie d’entre eux, viennent des invendus de la criée d’Hoogstraten, qui se tient à une vingtaine de kilomètres de là. Un accord a été conclu avec le propriétaire du terrain pour que des légumes invendus puissent y être « déposés ». À la vue des photos et des quantités jetées, on s’interroge pourtant inévitablement : ces tomates, encore comestibles au moment où elles ont été étendues au sol, n’auraient-elles pas pu trouver une meilleure destination et servir de nourriture, notamment aux plus démunis ?
Le marché se défend, les internautes s’indignent
Face aux réactions dénonçant un gaspillage inutile, les responsables du marché ont invoqué la surproduction liée au beau temps de ces dernières semaines. Ils estiment que les récoltes sont beaucoup trop importantes et que les banques alimentaires seraient dépassées, rapporte Radio 2 Antwerpen, radio locale à l’origine de l’information. Mais cette excuse tient-elle la route ? Regardons un instant du côté des motifs économiques…
En effet, leurs arguments ne convainquent pas tout le monde. Les commentaires indignés d’internautes se sont multipliés. Alors que certains crient au scandale en temps de crise, d’autres se demandent pourquoi ces légumes en parfait état de consommation ne sont pas distribués aux plus démunis ou transformés pour en faire des bocaux ou même de l’énergie. Certains pointent également le paradoxe d’une agriculture lourdement subventionnée qui se permet de jeter des aliments au motif qu’elle ne pourrait pas les vendre.
De manière plus fondamentale, l’évènement interroge l’état de santé d’un système économique dans lequel il est généralement préférable pour les acteurs de l’économie de gaspiller que d’utiliser la surproduction à d’autres fins utiles et ce sans aucune considération pour les personnes qui sont dans le besoin. Pour cause, une offre trop importante tend inévitablement à tirer les prix du marché vers le bas au point où il devient parfois insuffisant pour être rentable aux acteurs économiques. Un phénomène qui frappe d’ailleurs de nombreux secteurs agricoles. Stocker ces aliments (via la transformation notamment) reste possible mais ceci demande un minimum d’organisation. Un coût que le marché n’a visiblement pas été en mesure d’assumer.
La Belgique à la traîne, malgré les bonnes volontés
En matière de gaspillage alimentaire, le pays a pourtant affiché ses bonnes intentions ces dernières années. En 2014, la Wallonie obligeait les supermarchés à donner leurs invendus. Plus récemment, fin 2017, ce sont les industriels de la transformation qui ont communiqué à propos de leur plan d’action pour réduire l’énorme gâchis. Des bonnes intentions qui n’empêchent pas le pays d’être largement à la traîne par rapport à ses voisins. Si l’on considère la quantité totale d’aliments jetés en Belgique, 345 kg de nourriture sont gaspillées par personne par an, alors qu’au niveau européen, ce chiffre est de 173 kg en moyenne. Seuls les Pays-Bas font pire.
Rappelons toutefois que sur le terrain, les associations belges s’organisent pour lutter contre le phénomène. En première ligne, les banques alimentaires, mais aussi des structures comme « Frigo pour tous » et « FruitCollect » à qui nous avions consacré des articles récemment. Mais que peuvent ces petites associations face à la toute puissance des logiques économiques ?
Berg groenten gestort in Brecht
In Brecht werden duizenden kilo’s tomaten, paprika’s en courgetten gestort, door het warme weer raakten ze niet verkocht. Dag mag als bemesting, als ze met grond worden vermengd, maar dat is hier niet het geval. Meer weten: http://bit.ly/2OSDkQZ
Publiée par VTM NIEUWS sur Mercredi 8 août 2018
Vous pouvez aider les sites qui vous informent vraiment.
Source Mr Mondialisation via Liliane Held Khawam
Pour l’intro j’adhère a 100%.
Pour l’article je n’ai pas encore eu le temps de lire a tète reposée.
Pour l’article, il faut se rappeler que la finance hollandaise(protestante) est toute puissante dans la partie flamande de la Belgique.
La première spéculation vient de Hollande. Le manque a gagner est considéré comme une perte.
Ne pas faire baisser les cours est plus important que la faim des indigents.
Pas d’accord Thierry, les « cul de bénitier » cathos flamands ne savent pas blairer les protestants Hollandais !
Nous vivons dans un monde d’enculés, et ce n’est pas nouveau, de par notre passivité on s’émeut 5 minutes et on passe à autre chose…
Écrasez vous les uns les autres, la vie d’un lombric a plus d’intérêt que n’importe quel être humain.
Aucune pitié, aucune compassion, la place que vous laissez c’est celle qu’un autre vous prendra… mais rien n’empêche d’être correct avec ceux qui le méritent : les gens humbles.
Un bon petit bourge hautain est un bourge qui finit à l’assistance sociale puis comme SDF…
Étudiez, faites preuve d’une résilience dont ils sont incapables, dépassez vous, innovez, prenez leurs places, battez les sur leurs propres terrains …
La déchéance d’un fils à papa est une forme de pornographie qui j’avoue, me fait énormément frémir…
Et on s’enfonce un peu plus dans l’ignoble !
L’administration Trump sommée d’arrêter de droguer les enfants détenus
http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/2018/08/l-administration-trump-sommee-d-arreter-de-droguer-les-enfants-detenus.html
Ne connaissant de cette triste affaire que ce qui en est dit ici, je me risque à une hypothèse. A savoir que le but des producteurs est de vendre le reste de leur récolte avec bénéfice, ce qui ne serait pas le cas si l’excédent de production était bradé ou donné. Il faut bien que les gens puissent vivre de leur travail. S’ils font faillite, 2019 sera une année sans tomates.
Quant à exporter les surplus vers les pays du tiers-monde, il vaudrait mieux que ces pays soient auto-suffisants. Ce qu’ils ne pourront pas être si on leur refile nos excédents, surtout à des prix inférieurs aux coûts de production de ces pays.
Dans un monde de profit à tout prix, il n’y a plus aucune place, à l’amour de son prochain, à la compassion, au partage.
si si mais on en parle pas c est pas porteur comme sujet
Vive les arcs-en-ciel, les licornes et les bisounours.
Dans ma région et d’autres 2018 a été une année à cerises exceptionnelle.
Il y en avait tant que même on ne trouvait plus preneur (pour les offrir) car tout le monde en avait beaucoup.
Ainsi est la nature. Elle donne parfois en abondance.
C’est très bien si ces tomates ont été déposées sur un champs, ainsi elles retournent à la terre.
C’est bizarre à dire mais ce n’est pas forcément du gâchi. Un arbre qui porte beaucoup de fruits: les humains en mangent, les oiseaux en mangent, les autres animaux en mangent … et ce qui reste retourne à la terre.
les tomates ne sont pas trés concernés par les primes PAC,volti