Reçu d’Artémisia Collège, qui n’est pas en phase avec le Pdt de l’UPR et publie un dossier accablant sur les vaccins. Les prises de position de F.Asselineau sur les vaccins ou Linky, ne sont pas appréciées par tous. Faites vous votre avis personnel et, ne croyez rien sur parole, croisez les informations. Partagez..
Asselineau est au courant du fonctionnement du monde, et sur les vaccins il sait très bien ce qu’il en est, il le dit lui-même. Il ne se trompe pas, il nous trompe ! Et à ce titre, il est pire que les autres, car il abuse de notre confiance !
…/…
Voir le site d’Artémisia Collège et son dossier vaccinsSource Artémisia Collège
Nos 2 chaînes YouTube pour comprendre le fonctionnement du monde :
Grosse baisse dans mon sondage personnel, pour Asselineau ! Je lui laissais le bénéfice du doute, mais là ! En matière de santé, je suis intransigeante.
Quant à la sinistre, elle devrait logiquement être vite débarquée, – ou même pas embarquée du tout – et c’est là qu’on voit les connivences entre tous ces zoulous qui devraient être censés nous protéger. Même Hulot est un traître !!
Mouais, un dossier uniquement à charge contre les vaccins.
En attendant, je ne vois plus de gamins déformés par la poliomyélite, les décès par la rougeole sont rarissimes, et la petite vérole n’est qu’un lointain souvenir…
Autrement, l’avis d’Asselineau sur le sujet, je m’en tape le coquillard, car je ne vois pas en quoi il est qualifié pour se positionner sur le sujet, ni pourquoi, cette vidéo s’acharne sur lui de cette façon ?????
Normalement, il est interdit de tirer sur les ambulances…
,
Comme dit JBL on à pas le cul sorti des ronces. Rien pour rassembler, par contre pour diviser, il y a du monde.. 🙁
A votre service.
Diaboliquement votre.
Volti, aller traîner ton cul dans les ronces, c’est ton choix, mais avant, le vaccin tétanos est requis !!!
@ Fenrir = Cette vidéo démontre surtout qu’avec FA c’est le Buzyn heu le bouzin qui continuera !
Outre qu’il est d’accord sur l’obligation vaccinale, il explique encore une fois doctement que le gouvernement aurait dû déminer le terrain, et s’y prendre comme si plutôt que comme ça.
Bref confiez lui les rênes du pouvoir et vous allez voir ce que vous allez voir…
Bah non ! Bon on donne le pedigree complet de Dame Buzyn au passage, et les époux Délépine comme toujours disent des choses capitales ! Comme l’État à pris le pouvoir de la Santé avec la Touraine sous Hollandouille qui était déjà vendu à Big Pharma.
L’exercice de la désobéissance civile, le point de départ, peut se faire sur ce sujet là, comme le refus des compteurs communicants. Oui, et là on comprend bien que le FA, même avec Chouard à l’Éducation Nationale, y changera rien !
Mais quel panier de crabes quand même, et certains se prennent pour des homards !
Très mauvaise communication d’Artémisia, ils font de très bons dossiers, mais là c’est carrément inadapté. Pourquoi cibler F.Asselineau qui est un politique avant tout ? Pour la Buzin c’est OK mais, il ne faut pas se tromper de combat, sinon ça donne l’effet inverse…
https://www.alterinfo.net/L-ancien-medecin-du-milliardaire-revele-que-Bill-Gates-a-refuse-de-vacciner-ses-propres-enfants_a136416.html Bill Gates, son épouse et leurs trois beaux enfants qu’ils ne voulaient surtout pas voir souillés par les vaccins-poisons
Le médecin qui a officié comme médecin privé de Bill Gates à Seattle dans les années 90’ dit que le fondateur de Microsoft et défenseur des vaccins « a refusé de vacciner ses propres enfants » quand ils étaient petits.
=*=
Rions un peu…
Ou pas !
« je ne vois plus de gamins déformés par la poliomyélite… »
Alors regarde mieux parce que des gamins abimés par les vaccins il y en a à la pelle (sauf que les médias français « préfèrent » ne pas en parler):
https://www.youtube.com/watch?v=unEVEeVxCJk
Et ceux qui meurent, j’en parle même pas:
http://initiativecitoyenne.be/search/meurt/
Mais quand on ne veut pas voir forcément…
Bonjour Fenrir,
Oui tu as raison, les antibiotiques ont fait des miracles.
Fenrir as-tu eu des enfants ? sinon tu saurais que la rougeole est la maladie par excellence pour fortifier le système immunitaire des gamins, sauf exception en cas de fragilité pulmonaire.
Pour les autres vaccins que tu cites et bien d’autres encore, les maladies n’ont pas disparu grâce aux vaccins mais bel et bien parce qu’il y a eu un changement de vie et d’alimentation. Les maladies ont un pic, puis tout revient à la case départ tranquillement, c’est comme la fièvre, ça monte et ça redescend, un point c’est tout. Quand le premier de mes 4 bambins a eu la rougeole j’ai prié tous les saints du paradis pour que les autres l’attrapent aussi, sauf ma fille qui avait de l’asthme, elle a été protégée par des ampoules de gamma-globulines et s’en est bien portée les autres aussi. j’ai fait de même pour toutes les autres maladies infantiles et mes gosses sont devenus des adultes en super bonne santé.
les enfants vaccinés développent 5 fois plus de maladies que les non vaccinés
http://altitudes06.canalblog.com/archives/2018/01/02/36009568.html
La disparition des maladies infectieuses n’est pas due aux vaccins :
http://www.canalblog.com/cf/my/?nav=blog.manage&bid=422437&pid=35873471
http://altitudes06.canalblog.com/archives/2017/11/16/35873497.html
http://altitudes06.canalblog.com/archives/2017/11/16/35873515.html
et les pseudo-médecins (genre MC) qui disent devant les caméras que c’est « horrible » de voir un bébé mourir de la rougeole, il faut répondre qu’évidemment il est toujours horrible de voir un bébé décéder de n’importe quoi mais soyons rigoureux : mourir AVEC la rougeole ne signifie pas mourir DE la rougeole. En effet, durant un épisode de rougeole, le système immunitaire peut être momentanément affaibli et il y a un court risque de contracter une (autre) affection fatale. Mais ce risque existe aussi durant la phase post-vaccinale de quelques jours durant lesquels le système immunitaire est à la peine. On ne peut pas réduire le risque à 0. Et de voir un bébé décéder avec la rougeole n’est en rien un argument scientifique pour défendre la nécessite d’une vaccination.
Tu as raison Gneu, mon fils et d’autres personnes concernées dans les hôpitaux m’ont dit qu’elles n’avaient jamais vu en de longues années de carrière, autant d’arrivées de bébés à qui l’on venait d’injecter des vaccins, beaucoup en meurent, d’autres resteront marqués à vie, mais ça ce n’est jamais rapporté dans les médias, c’est top secret !
Bonsoir GdP
Hé oui, j’ai des enfants, ils ont été vaccinés comme nous le faisions tous à l’époque sans nous poser de question.
Et ils sont en très bonne santé…
Après, nous avons maintenant une vision fort belle des choses, depuis que nous ne côtoyons plus la mort d’enfants en bas âge par diverses maladies.
Il n’en est pas de même dans le Tiers-Monde, ou pour info, la rougeole tuait plus de 2 millions de personnes par an dans les années 80.
Alors qu’actuellement, moins de 200 000 décèdent encore de cette maladie.
Tu vas me dire que c’est uniquement grâce à l’hygiène et à la nutrition que les crèves-la-faim du Tiers-Monde ne connaissent plus de terribles pandémies…
Et que les campagnes de vaccinations n’y sont pour rien…
Nous allons sombrer dans des questions de « Foi ».
Et je n’en ai aucune.
Comme je l’ai dit, des gamins avec des séquelles de polio, j’en ai connu toute ma jeunesse.
En vois-tu maintenant ?
Et l’alimentation (ainsi que l’hygiène) que nous avions pendant les Trente Glorieuses, n’ont pas fait de progrès si extraordinaire que cela, qui expliquerait sa disparition…
Comme pour la bouffe, chacun fai(sait) ce qui lui convient pour les vaccins.
La vrai question étant celle de l’obligation de ces 11 vaccins, dont des non-contagieux tels que le tétanos (ainsi que le dit gneu), ou l’hépatite B…
Comme d’hab, nous en arrivons à la cause des causes : qui fait nos lois ?
C’est un autre débat, mais j’y peux rien si nous retombons toujours dessus.
Fenrir, je ne connais pas ton âge, mes enfants probablement plus âgés que toi maintenant n’ont subi aucun vaccin dans leur très jeune âge, juste vers 4/5 ans je ne sais plus lequel, diphtérie je crois. Ils n’ont pas été vaccinés contre la polio et n’ont reçu des vaccins qu’au moment de leur service militaire, là pas moyen d’y échapper et toujours pas contre la polio. Aucun des enfants qui ont fréquenté les mêmes écoles, collèges, lycées, n’ont eu la polio, cela fait quand même beaucoup de monde, quant à moi, vaccin contre la variole à 4/5 ans, pendant mes études, sauf le BCG obligatoire je n’ai eu aucun vaccin, mes camarades de toutes les classes parcourues non plus, pas de polio en vue…
Qu’elle ait existé, oui je suis d’accord, j’en ai entendu parler dans les années 60, mais les cas cités étaient surtout dans des bidons-villes, dans des cités dortoirs où l’hygiène laissait à désirer et où la malnutrition sévissai, en Inde etc….
C’est pourquoi je dis, et des plus compétents que moi l’affirment, que ce ne sont pas les vaccinations qui ont fait disparaître cette maladie, pour ne parler que d’elle.
tu donnes un nombre de décès à cause de cette maladie, c’est possible mais où ? dans quelles conditions de vie ? nous en revenons toujours à la base.
J’ai un principe, ne jamais me fier aux chiffres donnés par les médias dans n’importe quel domaine, je vais directement aux sources quand il m’est possible de les avoir.
Tu sais fort bien, et comme moi, qu’on leur fait dire ce qu’on veut, et si on veut affoler les populations comme c’est souvent le cas, d’une taupinière on fait une montagne.
Ceci dit je ne cherche à con-vaincre personne, chacun a son opinion et c’est bien ainsi.
Bonjour GdP
J’ai 52 piges, et mes enfants ont respectivement 28 et 25 ans.
J’ai été vacciné comme nous l »étions tous à l’époque BCG, et Tétanos, après, je ne sais pas. (???)
Je n’ai plus mon carnet de santé, et j’ignore totalement ce que m’a injecté l’armée.
Hormis le fait que c’était en une énorme injection unique, qui nous a fait à tous un énorme abcès à l’époque. Nous laissant complètement à plat et en chambrée pendant deux jours…
Perso, je n’ai pas renouvelé ma vaccination anti-tétanique, alors que je suis particulièrement exposé.
Je ne me fais pas vacciner contre la grippe, je préfère avoir la « crève » pendant deux jours…
Par principe, je suis contre les obligations quelques qu’elles soient, et donc, contre l’obligation vaccinale.
Pour autant, tu vas trouver des sommités scintifiques et médicales qui défendent certains vaccins, et d’autres qui les dénoncent…
Qui croire ?
A chacun de faire ses choix, puis de les assumer.
Soit que ton enfant meurt en bas âge, soit qu’il ait des séquelles suite à une éventuelle réaction…
Ma fille a eut le difficile choix à faire d’accepter la vaccination contre l’hépatite B pour pouvoir faire son BTS d’analyse de biologie médicale.
C’était ça, ou elle n’intégrait pas l’école…
Pour info et réflexions :
http://www.sudouest.fr/2018/02/13/epidemie-de-rougeole-un-mort-en-nouvelle-aquitaine-4197696-4696.php
Et ? Qui te dit que cette personne n’avait pas déjà un système immunitaire défaillant dû à une alimentation pathogène et/ou à une intoxication ?
Il est sûr que personne n’ira vérifier cela car le fait qu’il ait eu la rougeole arrange bien le discours actuel.
Et qui croire ?
Les médecins qui te paraissent le plus cohérent avec les observations que tu peux faire sur le terrain. Et tu peux même voir les nombreux témoignages des parents d’enfants détruits du jour au lendemain après une vaccination.
Aussi, si l’humanité devait être dépendant des vaccins pour vivre, comment expliques-tu que nous aillons pu passer plus de 300.000 ans sur Terre en temps qu’homo-sapiens sans l’existence des vaccinations ? Magique !
Ou comment les millions d’espèces animales, tout aussi vulnérable que l’homme face aux virus, ont pu survivre tout ce temps sans disparaitre et sans se vacciner ?
Toutes les épidémies relatées de l’histoire ont eu lieux lors de grandes périodes de famine et de malnutrition (et aussi d’intoxication, comme c’est le cas en ce moment) et aussi pendant et après des guerres, car malnutrition.
Déjà, jusque-là rien de bien compliqué, juste de l’observation et de la réflexion. Il n’y a pas besoin d’être un expert en médecine pour poser ces questions qui reste volontairement sans réponse alors que ce sont des pistes importantes pour comprendre le fonctionnement des virus sur l’homme.
Ce qui veut dire que pour être en bonne santé, il faut « bien » manger et éviter au maximum l’intoxication.
Pour appuyer mes dires, concernant les virus de la famille de l’herpès qui sont des virus qui restent dans le corps toute la vie. Prenons l’exemple de l’herpès simplex, son expression se traduit par un bouton labial qui apparait lors d’une baisse du système immunitaire (trop fait la fête, pas assez dormi, trop fumé, choc psychologique, etc., en plus de mal se nourrir). Puis quand le système immunitaire reprend du poil de la bête, il combat la multiplication du virus, ce qui se traduit par la disparition du bouton. Le virus vient à nouveau de se mettre sous sa forme latente jusqu’à la prochaine baisse du S.I. Enfaite, le virus est contenu, comme séquestré, par le S.I. h24 7jr/7. Ce qui permet de le maintenir sous cette forme est le glutathion, synthétisé intra-cellulairement, et son rôle est important dans ce mécanisme. Mais pour en fabriquer, il faut un métabolisme disposant de tous les nutriments, exempte de toxique, et un microbiote de qualité.
Après, il est vrai que tous les effets des virus sur notre corps ne se valent pas. Ce qui fait que certain seront plus facile à combattre avec un S.I. moyen et que d’autres, plus coriace, ne le seront que si notre S.I. est optimal. Et enfin, ceux qui auront un S.I. faible souffrirons de séquelles plus ou moins sévères, voir en mourrons.
Je trouve qu’il y a là, une piste intéressante à explorer afin de comprendre pourquoi l’être humain a pu vivre des millénaire sans vaccination et sans disparaitre de la surface de la Terre.
@ Eretol
Bien le bonjour, et pour te répondre sur le même ton, » Et qui te dit qu’il n’est pas simplement décédé de la rougeole ? »
Et il est sur que de remettre en cause une évidence arrange bien le discours actuel…
suis désolé, mais je ne suis ni pour, ni contre, bien au contraire.
Comme je l’ai dit par ailleurs, chacun fait, fait, fait, s’qui lui plait, plait, plait.
Me marre un peu, car en poussant votre raisonnement sur la « sélection naturelle », nous arrivons à cautionner l’eugénisme. CQFD
Sinon, pour reprendre un de tes coms plus bas, ben oui, les espèces (dont l’homo sapiens) ont survécu aux épidémies, épizooties, et pandémies.
Ainsi que je l’ai toujours dit : il y a toujours des survivants.
Hormis pour les espèces qui ont disparus…
Bref, pour résumer la solidarité de ta pensée : « Que crève les plus faibles… »
Ben, bonne journée, bonne santé !
Bonjour Fenrir, tu as le droit d’interpréter comme bon te semble ce que j’ai dit mais je ne suis pas d’accord avec ce que tu veux me faire dire.
Si la rougeole aurait été le seul facteur conduisant cette femme à la mort, est bien l’humanité entière n’aurait pu être présente sur Terre aujourd’hui, cf. mon commentaire précédant. C’est un peu comme de dire que l’on meurt du sida alors que ce sont les effets sur le S.I. qui font que la personne décédera d’une grande variété de pathologie.
Je ne cautionne aucunement l’eugénisme. Ce n’est pas parce que je parle des effets de l’environnement sur nos gènes que je le cautionne, si ?
Je te pris de bien vouloir lire plus attentivement mon commentaire répondant à laurence.
Alors comment expliques-tu qu’il y ait des survivants ? Comment expliques-tu que le nombre de personne touché par des épidémies décroit bien avant une campagne de vaccination ?
Je trouve que le résumé que tu fais de ma pensé est bien loin de ce que l’on peut se dire en lisant mes commentaires. Je ne comprends pas comment tu peux la résumé ainsi.
A la limite, on pourrait dire « Que ceux qui ont une manière de vivre trop éloigné de ce que devrait être celle de l’espèce humaine crèveront. ».
Quand tu dis les plus faibles, cela veut dire immunitairement et métaboliquement. Et effectivement, le corps humain fonctionne comme cela, il n’y a rien d’étrange. Tout le monde le sais. S.I. faible = Gros risque de crever. Cela me semble logique, pas toi ?
Désoler encore un pavé que j’avais
Il y a quelque chose de flagrants sur les animaux, ceux élever en batterie les uns sur les autres dans des conditions d’hygiènes médiocre on est obligées de les bourré d’antibiotiques et de vaccins pour qu’il survive , il on une santé très faible une viande de mauvaise qualité des os qui se casse tout seul
Et de l’autre côté on à des ferme avec de grande pâture et des élevage limité qui ne prennent aucun antibiotique aucun vaccins et qui sont en pleine forme ,super santé , une bonne chair ferme des os très résistants
Quelques maladies liées à l’eau
Le choléra : quand on absorbe de la nourriture souillées ou de l’eau non potable.
La poliomyélite : quand on absorbe de la nourriture souillées ou de l’eau non potable. Quand on mange avec les mains sales.
La dysenteries : quand on absorbe de la nourriture souillées ou de l’eau non potable. Quand on mange avec les mains sales.
Les diarrhées infantiles : quand on absorbe de la nourriture souillées ou de l’eau non potable. Quand on mange avec les mains sales. Quand on met les objets souillées à la bouches.
Les parasitoses intestinales (anguillulose, ankylostomiase) : quand on marche pieds nus près des endroits souillées par les excréments.
L’ascaridiose : quand on absorbe de la nourriture souillées ou de l’eau non potable. Quand on mange avec les mains sales.
La bilharziose : quand on entre dans l’eau stagnante (qui ne coule pas) et que l’on reste longtemps.
Le tétanos : lorsqu’une plaie entre en contact avec les microbes du tétanos qui sont contenus dans les excréments des animaux (bœuf, chèvre, porcs…)
Le PALUDISME ( nettoyage avec les eaux de marécage)
On peu aussi cité des choses de Schauberger qui démontre que l’eau a besoin d’arbres pour la protégé du soleil sinon elle devient sale pour ne pas laisser passer le soleil et aussi l’importance des vortex naturel qui nettoye l’eau
les arbres injectent de l’eau dans l’atmosphère par évapotranspiration de leurs feuilles et contribuent ainsi notablement aux précipitations sur les régions continentales
Pseudomonas Syringae est une bactérie en forme de bâtonnet . Elle est à Gram négatif et aérobie, elle possède un flagelle polaire pour se déplacer. Elle vit dans les sols, sur les plantes et dans l’atmosphère. C’est un micro-organisme pathogène des plantes : en fait, elle attaque les arbres, elle endommage leur épithélium, et rend les nutriments des tissus de la plante disponibles aux parasites.
Parce qu’elle est liée à la formation de noyaux de condensation à l’origine de la pluie et de la neige, on l’utilise depuis quelques années, à la place de l’iodure d’argent pour faire tomber la pluie et la neige. Des études récentes laissent supposer que cette bactérie joue un rôle plus important qu’on ne le pensait dans la production de pluie et de neige naturelle.
Il y a une foule d’autres maladies liées à l’eau, chez nous mais surtout dans les pays en voie de développement. une idée de la morbidité, chiffres OMS.
Transmises par l’eau ou dues à un défaut d’ablutions (dû à la rareté de l’eau) : choléra, diarrhées (1,5 milliard), salmonellose, shigellose, rotavirus, amibiase, giardiase, thyphoïdes et parathyphoïdes (1 million), poliomyélite, ascaridiase (1 milliard de cas, 1 million de malades), trichocéphalose…
Infections cutanées et oculaires : trachome (6-9 millions d’aveugles), leishmaniose (400.000 nouveaux cas/an), fièvre récurrente…
Maladies à support hydrique :
Par pénétration de la peau : schistosomiase ou bilharziose (200 millions)
par ingestion : ver de Guinée ou dracunculose (> 10 millions)
Insectes vecteurs aquaphiles : trypanosomiase ou maladie du sommeil, filariose (90 millions), fièvre jaune, dengue (30-60 millions d’infections par an)…
Le péril fécal
C’est l’ensemble des maladies infectieuses dues à des agents pathogènes déposés dans le milieu extérieur par les excréments
En effet dans les excréments humains se trouvent des virus, bactéries et parasites qui sont invisibles à l’œil nu et qui donnent les maladies.
Les excréments d’une personne infectée par l’une de ses maladies peuvent contaminer une personne saine par:
l’intermédiaire des mains portées à la bouche,
la consommation d’eau non potable
la consommation d’aliments souillés,
en marchant pieds nus près des endroits où se trouvent les excréments,
en se baignant ou se lavant dans une eau souillée.
Les agents pathogènes (virus, bactéries, parasites) sont transportés sur la nourriture par les mouches,
les mains sales,
sont entraînés dans les mayos et les puits par l’eau de pluie…
Le virus de la rougeole est un morbillivirus de la famille des Paramyxoviridae. Il appartient à la même famille que le virus des oreillons.
Le virus serait apparu vers le XIe siècle à la suite d’une évolution du virus de la peste bovine
Certaines études scientifiques montrent une association entre risque d’atopie plus faible et rougeole dans l’enfance, ce qui suggère que l’infection pourrait avoir un effet protecteur contre les allergies
L’âge des patients atteints de la maladie semble croître avec la couverture vaccinale
Perçue comme une maladie bénigne chez un sujet en bonne santé dans les pays développés, la rougeole est en fait une maladie très grave chez les enfants sous-nutris ou vivant dans de mauvaises conditions d’hygiène
La peste bovine est une maladie virale infectieuse des bovins domestiques et de certains bovins sauvages causée par le Rinderpest virus. Elle est caractérisée par de la fièvre, des lésions de la bouche, de la diarrhée, des nécroses lymphoïdes et une forte mortalité
la rougeole venu du virus de la peste bovine
l’élimination de la peste bovine en Afrique orientale a ouvert la voie à la maladie de Carré chez les hyènes, chacals, lycaons et lions, parce que l’accroissement de bétail qu’elle a permis et l’existence de cette maladie à l’état endémique chez les chiens qui gardent les troupeaux, donnent au virus une base à partir de laquelle il pourrait s’attaquer aux prédateurs naturels des troupeaux
a tiens bizzard on bloque un virus et un autre apparé
L’agent pathogène est un Morbillivirus de la famille des Paramyxoviridae. Il fait partie du même genre que le virus de la rougeole et celui de la maladie de Carré
d’aprés les chiffres et les lieux il vienne de pays pauvres de lieux de guerre (lieux insalubres, conditions de vie déplorable)
La tuberculose est une maladie infectieuse causée par la bactérie Mycobacterium tuberculosis, contagieuse
(OMS) rapport annuel consacré à la tuberculose sorti en 2015 dit que 1,5 million morts de la tuberculose l’année précédente. Cependant, la cartographie mondiale de la répartition de la maladie nous apprend que 20 pays regroupent 90 % des tuberculeux.
la forte prévalence dans les pays les plus pauvres s’explique par la conjonction d’un ensemble de facteurs : précarité, promiscuité, dénutrition, analphabétisme, infrastructure médicale insuffisante. La prévalence s’accroît en cas de guerre ou de famine.
Au tiens on parle de dénutrition, de pauvre, guerre, famine (guerre, pauvre, famine sa donne un milieu précaire favorisant les maladie non)
La variole ou petite vérole est une maladie infectieuse d’origine virale, très contagieuse et épidémique, due à un poxvirus
La maladie serait apparue de façon sporadique, dans les villages du néolithique, à partir de la domestication ou d’une proximité animale (ancêtre commun du virus humain et d’autres animaux, comme celui du monkeypox (singe), cowpox (bovin), ou camelpox (chameau)
Une population minimale de 200 000 habitants serait nécessaire pour maintenir une circulation permanente de virus variolique (variole endémique ou épidémique). Cette densité humaine a été atteinte par plusieurs civilisations antiques. d’abord en Égypte et au Moyen-Orient
Selon les données génomiques disponibles, la variole humaine regroupe deux types de souches dites majeures (hautement pathogènes) et mineures.
Les virus « majeurs » semblent originaires d’Asie, certains isolats humains ayant toutefois une origine africaine.
Tous ces virus auraient divergé d’un ancêtre commun, poxvirus, dont les hôtes sont supposés avoir été des rongeurs africains.
Sur les mêmes bases (génomique du virus), les virologues ont estimé, d’après son taux moyen de mutation que, le virus humain aurait commencé à évoluer de façon indépendante, il y a environ 3 400 ans
L’ancêtre commun aux orthopoxvirus actuels est inconnu, mais pourrait être apparenté aux souches actuelles de virus de la variole bovine (ou la vaccine)ou cowpox.
Le virus de la vaccine, appelé aussi virus vaccinal, n’est pas un virus naturel. C’est un virus dérivé du cowpox, qui évolue de façon autonome pour son propre compte depuis près de deux siècles. Il a pour origine probable des contaminations accidentelles de laboratoire (échange de gènes avec le virus de la variole) à Londres vers 1800. Le vaccin a été fabriqué à l’origine à partir de lésions cutanées de vaches inoculées par la vaccine (ou cowpox ). La pulpe vaccinale ainsi obtenue, broyée et tamisée, était inoculée par scarification cutanée aux patients
La peste est une zoonose, c’est-à-dire une maladie commune à l’homme et à l’animal. Elle est causée par le bacille Yersinia pestis,
Le rat noir en zone tropicale et le rat gris en Europe, sont le premier réservoir à proximité immédiate de l’homme. Cependant, le rat gris est un vecteur de contamination de l’homme moins efficace : contrairement au rat noir, il ne sort pas de son trou pour mourir, ce qui limite les cas de contact. Le remplacement du rat noir par le rat gris à partir du XVIIIe siècle serait l’un des facteurs expliquant le déclin des épidémies en Europe pendant cette période.
Plus de 200 espèces ont été recensées, dont une quarantaine sont des réservoirs permanents, surtout les marmottes et les gerbilles. les écureuils (Spermophilus variegatus et Spermophilus). Les lagomorphes (lapin, lièvre) et carnivores peuvent aussi infecter l’humain par contact (si peau lésée) avec un animal infecté ou morsure
Il existe une peste tellurique, où la bactérie peut se conserver par le froid et se multiplier dans le sol. C’est particulièrement le cas dans les terriers de rongeurs après une épizootie de peste. Lorsqu’une région se repeuple de rongeurs, ils réoccupent les terriers vides et contractent à nouveau la maladie, ce qui pourrait expliquer le caractère cyclique de la peste.
Le vecteur est la puce du rat (Xenopsylla cheopis, dans les pays chauds comme l’Inde, ou Nosopsyllus fasciatus (en) en Europe). Quand l’homme est touché par une puce du rat , il contracte la maladie. La puce de l’homme (Pulex irritans) prend alors le relais pour la transmission d’homme à homme. Une puce infectée le reste toute sa vie. Elle transmet la bactérie par piqûre, et accessoirement par ses déjections qui se retrouvent sur la peau humaine ou dans la poussière des habitations.
Le germe contenu dans le sang est ingéré par une puce hématophage , il se multiplie et bloque la digestion de l’ectoparasite. Ce dernier est affamé, et doit à nouveau se nourrir. L’estomac plein, il vomit lors de la piqûre pour manger à nouveaudes bacilles sont régurgités dans la plaie, assurant ainsi la transmission de la maladie
La peste est considérée par l’OMS comme une maladie réémergente. C’est une maladie de la pauvreté en Afrique, en Amérique du Sud et en Inde. Ailleurs, dans les autres régions endémiques (Asie centrale, Ouest des États-Unis), c’est une maladie sporadique liée aux activités professionnelles ou touristiques de pleine nature
L’Afrique est le continent le plus touché avec 90 % des cas de pestes répertoriés, répartis dans 4 pays. Madagascar, avec plus de 300 cas par an, reste le pays le plus touché au monde
L’Asie centrale reste le plus vaste foyer naturel de la maladie (considéré comme le berceau historique de la peste). Toutefois la population à risque se limite aux éleveurs et chasseurs des steppes et des montagnes
Yersinia pestis serait issu de Yersinia pseudotuberculosis, la divergence datant de moins de 20 000 ans. Y. pseudotuberculosis est une bactérie à transmission oro-fécale (infection intestinale modérée), elle aurait acquis des éléments génétiques modifiant son mode de transmission (voie sanguine, et vecteur puce)
Le genre Yersinia appartient à la famille des Enterobacteriaceae et est composé de 18 espèces dont trois sont pathogènes pour l’homme: Y. pestis, Y. pseudotuberculosis et Y. enterocolitica
Y. enterocolitica et Y. pseudotuberculosis sont présentes dans le monde entier, mais elles prédominent dans les pays tempérés et froids. Elles sont la 3ème cause de diarrhées bactériennes en France et en Europe, après Salmonella et Campylobacter. Leur transmission se fait principalement par voie oro-fécale, après ingestion d’aliments contaminés.
A tiens le precurceur de la peste vient d’ingestion d’aliments contaminés
ces pathogènes se trouve dans les selles, il faut utiliser des milieux et des conditions de cultures particuliers
Source institue PASTEUR
Y. pseudotuberculosis a pour réservoir l’environnement et de nombreuses espèces animales chez lesquelles elle peut causer une infection symptomatique et parfois la mort, notamment chez les lièvres et les singes.
En Inde, une épidémie de peste pulmonaire a éclaté en 1994, alors que l’on croyait la maladie éradiquée depuis presque 30 ans.
1997, des cas humains de peste sont survenus en Jordanie après 80 années de silence.
Les Yersinia sont un genre de bactéries de la famille des Enterobacteriaceae. Le genre comporte une dizaine d’espèces dont certaines sont pathogènes pour l’Homme
Ce sont des bactéries de l’environnement, présentes dans l’eau, les sols et sur les végétaux. Elles se retrouvent également sur les animaux malades ou porteurs sains mais également chez l’homme.
« L’élimination d’un type de micro-organisme ne fait que créer une niche pour d’autres pathogènes. La science réductionniste ne se soucie que des nuisibles et non de leur écologie.
La seule solution qui convienne à la fois à cette science et à l’industrie des pesticides est la production et la vente de poisons pour éliminer les nuisibles.
Ainsi s’exprimait le réputé Pr René Dubos. Ce grand microbiologiste peut être considéré comme le fondateur de l’écologie de la santé.
Il a été l’inventeur de l’antibiotique. . L’Homme et l’adaptation au milieu (Ed. Payot, Paris, 1973
René Dubos écrivait encore à juste titre: dans son livre Mirage of Health : »Le monde est obsédé par le fait que la poliomyélite peut tuer d’infortunées victimes chaque année. Mais ce qu’il y a d’extraordinaire c’est que des millions et des millions de jeunes enfants sont infectés par le virus de la poliomyélite sans souffrir de la maladies [et on peut le dire analogiquement pour tous les autres virus ou bactéries].
Les virus et les bactéries ne sont pas les causes des maladies, il s’agit d’autre chose. »
« Malgré les travaux de Béchamp, la grande majorité des microbiologistes du début du 20ème siècle furent influencés par les travaux de Pasteur, et la doctrine du monomorphisme microbien est celle qui domine encore actuellement la pensée scientifique de la bactériologie moderne. »
Béchamp découvrit l’élément primordial de la cellule vivante, le « microzyma »
(redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE)
celui-ci pouvait devenir bactérie ou virus d’où le polymorphisme bactérien.
Il dénonça l’erreur du monomorphisme de Pasteur qui entraînait la médecine v
ers la phobie du microbe et la négligence du terrain.
Considérez que le microbe n’est qu’une semence
qui ne développera qu’au pro rata de ce que le terrain le lui permet !
Bactéries, virus, mycobactéries : de prétendus ennemis alors qu’ils participent naturellement
et notamment à la reconstruction des cellules lors de la période de convalescence !
« LES AGRESSEURS IMAGINAIRES » »Le Terrain crée la maladie » par le Pr Jacqueline BOUSQUET
« La science est la nouvelle religion, et le désinfectant, son eau bénite » disait George Bernard Shaw.
On pourrait compléter par :
« Impuissante à guérir, elle crée un nouveau dogme : le génome, détenteur du programme vital. »
N.B. de Baudouin Labrique : les bactéries qui font partie des microbes sont la première trace de vie présente au fond des océans et sont donc à l’origine de ce que nous sommes. Elles sont responsables de 90 % des réactions chimiques. Nous avons plus de 1000 milliards de microbes par m² de peau et se serrant la main, 34 millions de microbes passent d’une personne à l’autre ! Les microbes sont des milliards a être en chacun de nous sans que nous ne soyons pour autant pas malades et de plus, ils sont partout. C’est ce qui explique que la présence de porteurs sains de tous les microbes. Les microbes ne s’activent en maladies que sur ordre du cerveau et que s’il y a un programme psychique sous-jacent. Ils n’interviennent seulement que dans la seconde phase (réparation) des maladies.
La science matérialiste traque et tue sans relâche des « agresseurs » imaginaires qui ne sont autres que les constituants naturels de l’organisme dont la stéréochimie a changé, alors qu’ils ne sont que les témoins du terrain des individus ! Après les bactéries, microbes et autres virus qui sont des constituants normaux de la cellule
Combien de temps supporterons-nous encore des nuées de chercheurs dûment subventionnés pour injecter à qui mieux-mieux des cellules cancérisées ou des prions dans le foie, la rate, les ovaires, les testicules ou le cerveau d’animaux martyrs ? Comme si le fait de consommer des protéines ou de les injecter dans le cerveau était la même chose au niveau des résultats obtenus ! Et on laisse faire cela au nom de « La Science » ?
Les « épidémies » ne frappent que des gens ou des animaux fragilisés et s’arrêtent spontanément sans la moindre intervention médicale.
Interpellant de constater que dans des pays comme la Norvège ou la vaccination n’est pas obligatoire (depuis 1995), il n’y a pas plus de malades que là où elle est obligatoire ! Accrochez-vous ! Pour la Norvège : « Globalement, un état de santé meilleur que celui des autres pays européens, à l’exception des maladies cardiovasculaires pour lesquelles la Norvège est mal placée. C’est probablement lié à des questions de nutrition
« Les maladies organiques ont un support psychique. Les microbes existent, bien sûr, je les ai vus.
Mais, de plus en plus, on se pose cette question fondamentale : ces microbes sont-ils la cause de la maladie
ou leur virulence et leur pullulement en sont-ils la conséquence ? »
Les virus, ennemis utiles » : c’est le titre du dossier de « Pour la Science » – n° 55 d’avril-juin 2007. C’est sans doute la première fois qu’une revue scientifique (l’édition française de Scientific American) se permet un tel titre. On peut constater p. 60 par exemple que des essais cliniques ont montré l’efficacité (régression d’une tumeur cérébrale) par l’injection de virus (de la maladie de Newcastle).
On reconnaît involontairement les travaux du DR HAMER sur le système ontogénique des microbes
Ni mort ni vivant. Si ancien qu’il aurait côtoyé les cellules primordiales dont nous sommes issus. Capable de transmettre de l’information génétique. Générateur des pires dérèglements, mais aussi maillon essentiel de l’évolution. un virus.
Simple association de molécules, les virus sont inertes. Pourtant, quand un virus pénètre dans une cellule, dont il détient la clé, il prend « vie », au sens où il se réplique, se multiplie, mute et évolue. Se pose alors une question essentielle qui préoccupe les biologistes : un virus est-il vivant ou est-il inerte ?
Tout au long de l’évolution, les virus ont transmis des séquences génétiques aux organismes qu’ils ont infectés, enrichissant leurs génomes. À une époque reculée, les virus auraient même « inventé » l’ADN – le code de la vie – , et introduit le noyau dans les cellules eucaryotes, dont sont notamment issus les mammifères.
En transférant des gènes entre individus et entre espèces, les virus dévoilent leurs deux faces. Le virus malveillant cause les maladies virales. Les virus provoquent des dégâts au sein des organismes qu’ils envahissent, en détruisant les cellules qu’ils infectent pour se multiplier puis se disséminer. Encore faut-il que le virus aient « inventé » des stratégies pour déjouer les défenses cellulaires et les réactions immunitaires. Le virus est créatif et adroit : il doit se répliquer en infectant un hôte, mais pas trop violemment pour que son incubateur ne périsse pas trop vite !
Le virus bienveillant, c’est celui qui confère leur capacité d’évolution à tous les organismes vivants. C’est aussi celui qui jouerait un rôle dans certaines thérapies ciblées : transmettre des gènes pour réparer une anomalie génétique ; détruire des bactéries devenues résistantes aux antibiotiques ; éliminer des cellules cancéreuses. Les virologues ont un double regard, tourné à la fois vers le passé et vers l’avenir de leur objet d’étude : le passé leur permettra de mieux comprendre les maladies virales, et l’avenir apportera de nouvelles thérapies fondées sur les virus. »
des conditions immunitaires très défavorables sont le lit réel et inconditionnel des maladies infectieuses : celles-ci ne s’attaquent qu’à des organismes trop fragilisés physiologiquement et psychologiquement (cf. Le Terrain crée la maladie) ; le stress provoqué par la peur d’attraper une maladie par exemple, peut tout engendrer l’objet de la peur (détails) ; c’est ce qui explique principalement le développement des épidémies. Sinon comment expliquer qu’en période d’épidémie de grippe etc. les médecins, les pharmaciens, le personnel médical ne tombent quasiment pas malades ? Le simple contact avec des microbes (virus, bactéries, mycobactéries) ne suffit en effet pas pour causer quelque maladie infectieuse : la qualité du « terrain » personnel est décisive. D’ailleurs, « le microbe n’est pas plus responsable de la maladie ‘infectieuse’ que la mouche du cadavre », comme l’écrivait très pertinemment le Dr Vétérinaire
« Il faut savoir que la quantité de bactéries contenues dans un corps humain correspond
à peu près à une masse aussi grosse qu’une tête d’homme.
La maladie ne vient donc pas de la présence de bactéries,
mais d’un système immunitaire [ ° ] affaibli qui ne peut plus maintenir l’équilibre. »
Dr Laurence Badgley, cité dans Sida Espoir, Ed Vivez Soleil
En fait, c’est le cerveau lui-même qui mène le jeu concernant le rôle dévolu
à ces bactéries dans la seconde phase des maladies.
« Les antibiotiques ont de moins en moins d’effets, les bactéries sont de plus en plus coriaces.
Sommes-nous à l’aube d’un immense bond en arrière ? »
Que fond les arbres attaquer par les girafes ?
En janvier 1997, un supermicrobe a frappé au Centre hospitalier régional du Suroît, à Valleyfield, près de Montréal. il s’agissait de la deuxième alerte du genre en quelques mois. 63 patients ont été contaminés par cette bactérie invincible, qui a même réussi à déjouer la vancomycine, le plus costaud des antibiotiques.
. La bactérie en cause, l’entérocoque, n’est pas très méchante. l’infection qu’elle provoque se résout d’elle-même, lorsque la flore bactérienne normale de l’intestin prend le dessus sur la bactérie pathogène.
Le docteur Patrice Vigeant, microbiologiste et infectiologue à l’hôpital du Suroît pense que. « L’entérocoque peut transmettre le gène de la résistance à la vancomycine à une autre bactérie, beaucoup plus virulente le staphylocoque doré. » le staphylocoque doré est le plus grand responsable des infections nosocomiales, c’est-à-dire qui sont contractées à l’hôpital. la moitié de nos hôpitaux abritent une souche ou une autre de staphylocoque doré. Or, pour se défendre contre ces bactéries, il n’existe qu’une seule arme : la vancomycine.
Autrefois quasi magiques, les armes antibiotiques sont maintenant de moins en moins efficaces pour lutter contre des bactéries de plus en plus « futées ». À l’Institut de cardiologie de Montréal, le médecin et microbiologiste Richard Marchand rappelle que les hôpitaux rassemblent maintenant les conditions idéales pour un cocktail épidémiologique explosif. « Nos hôpitaux modernes ne sont plus les forteresses antimicrobes qu’on imaginait durant les années 70, explique le médecin. À l’époque, on se croyait invincibles… comme le Titanic
Comment voulez-vous (et au nom de quoi d’ailleurs), lutter contre des éléments que le cerveau a commandé lui-même et à qui il a donné l’autorisation expresse d’agir ? « Chassez le naturel, il revient au galop », ne dit-on pas ? N’est-il donc pas normal que ces bactéries etc. dont la fonction dans l’Univers comme pour toute chose qui en fait partie est précisément d’agir d’une manière utile, réagissent autrement qu’en développant leurs propres et de plus en plus ingénieux mécanismes de défense face notamment aux antibiotiques ? Il en est de même pour chaque être vivant : mettre en oeuvre constamment ses propres mécanismes de survie face à un danger.]
Je salue l’audace de ce professeur de l’université de Vienne, le Dr. PETTENKOFER, qui, durant un cours, avala le contenu d’un verre rempli de millions de germes vivants de choléra ; devant l’auditoire ahuri, il s’est contenté de dire : « Voyons si j’aurai le choléra ». Son assistant DE KRUIF a témoigné par écrit que le verre contenait des millions de « bacilles virgules » se tortillant assez pour « infecter » tout un régiment ; mais il ne développa aucun symptôme. L’expérience du Dr. PETTENKOFER est relatée dans le livre « Guerre et paix des microbes » de Bruno Latour.]
Voici ce qui le confirme encore : « La notion de contagion subsiste cependant dans notre système, mais combien atténuée !
Il ne peut y avoir contagion que lorsque le terrain est en quelque sorte en état de réceptivité (étincelle sur du bois sec) ou fin prêt (dernière goutte qui fait déborder le vase). Ainsi s’expliquent les expériences des hommes-cobayes : Fulton Parandel et autres, acceptant d’avaler des bouillons de microbes, sans aucun accident, la résistance de certains individus aux épidémies et la faiblesse de certains autres, même vis-à-vis des virus atténués
Le problème ne date pas d’hier. Les antibiotiques, ces substances chimiques produites naturellement par des champignons ou d’autres bactéries, ont étouffé pour un temps, mais pour un temps seulement, les bactéries responsables des grandes épidémies de peste, de choléra, de diphtérie et de tuberculose. Découverte en 1928 par le bactériologiste anglais Alexander Fleming, la pénicilline a permis de sauver des milliers de vies lors de la Seconde Guerre mondiale. Cependant, dès 1945, Fleming avait prévu que l’usage massif des antibiotiques favoriserait la prolifération de bactéries résistantes. Non seulement sa prophétie s’est réalisée, mais plusieurs espèces bactériennes sont devenues résistantes aux quelque 200 antibiotiques mis au point depuis 60 ans. C’est ce qu’on appelle la multirésistance.
Résultat : depuis 60 ans, on a multiplié, en moyenne, par 250 la dose d’antibiotique nécessaire pour venir à bout des microbes ! C’est un énorme saut en arrière. De plus, même s’il existe actuellement une palette de quelque 200 antibiotiques, aucune nouvelle famille n’a été découverte depuis 20 ans.
Aujourd’hui, la course contre la montre que l’industrie pharmaceutique livre aux microbes a pris une folle allure. « Il y a 20 ans, il fallait plusieurs années avant qu’une bactérie devienne résistante à un antibiotique, résume le docteur Marchand. Mais les bactéries ont pris des cours de rattrapage : aujourd’hui, elles mettent à peine deux mois pour devenir résistantes à un antibiotique. »
Le jour où on acceptera (parce que la majorité des décideurs l’auront compris) le rôle réel de ces bactéries, on ne tentera plus de mettre au point des « stratégies d’attaque » contre elles, mais seulement des stratégies de contrôle réfléchi sur le volume de leur développement ! ]
Les compagnies pharmaceutiques s’inquiètent aussi de la plus forte résistance des bactéries aux antibiotiques. François Malouin, microbiologiste chez Microcide, une entreprise établie en Californie, croit qu’il faut attaquer sur plusieurs fronts. Il tente actuellement d’isoler des molécules pouvant désamorcer les mécanisme de résistance des bactéries afin de restaurer l’action des antibiotiques traditionnels. Faire du neuf avec du vieux, en quelque sorte.
« Les classes d’antibiotiques existantes visent toutes la même cible sur la bactérie. Les céphalosporines, par exemple, s’attaquent aux enzymes chargées de fabriquer la paroi cellulaire. Puisque ces antibiotiques sont dérivés de substances naturelles, les bactéries les reconnaissent et ont développé des mécanismes de résistance pour les contrer. En mettant au point des antibiotiques complètement artificiels, les bactéries seront prises de court devant un ennemi qu’elles n’ont jamais eu à confronter. » C’est ainsi que les vieilles armes antibiotiques comme les céphalosporines, les bêtalactames et les glycopeptides retrouveraient leur efficacité contre les souches de bactéries résistantes à la méthicilline et à la vancomycine.
François Malouin fonde également des espoirs sur la target genomic approach, une technique qui consiste à isoler les gènes vitaux de la bactérie – une bactérie possède à peine 200 gènes essentiels – et à concevoir un antibiotique qui les attaquerait.
Sauf que la course aux nouveaux antibiotiques ne crée pas d’illusion chez les scientifiques. Chercheur réputé à l’Institut Pasteur de Paris, le docteur Patrice Courvalin croit que la plupart de ces solutions sont transitoires. « Les antibiotiques de demain feront probablement naître de nouveaux mécanismes de résistance qu’il faudra contrer… et ainsi de suite. »
Il y a donc fort à parier que, même lorsqu’on aura décodé tout leur génome, les bactéries, pathogènes ou pas, survivront à l’homme. Après tout, elles ont déjà réussi à le faire durant 3,5 milliards d’années.
effet « miroir » : en fait elles ne comportent qu’en réponse au traitement autant vain qu’insensé de ceux qui, partant du postulat qu’elles sont nuisibles, s’acharnent à les pourfendre, s’étant entourés du blindage très rassurant et sécurisant qu’offre la « méthode scientifique » et les fameuses statistiques auxquelles, comme vous le savez on peut faire dire tout et n’importe quoi ! Armé du « bon sens », pourquoi donc ne pas s’interroger enfin sur les raisons pour lesquelles Dame Nature a autorisé ces bactéries à survivre durant 3,5 milliards d’années ? Tout l’Univers survit grâce notamment au principe d’économie d’énergie : rien ne se perd, rien n’est donc inutile.]
« Placez dans une éprouvette un milliard de bactéries sensibles à un antibiotique et une seule bactérie résistante à cet antibiotique. En une nuit, presque toutes les bactéries sensibles seront éliminées et la bactérie résistante donnera naissance à un milliard de bactéries… résistantes. »
Bravo et merci les bactéries ! Superbe exemple d’instinct de conservation comme en sont dotés tous les organismes vivants.]
Patrice Courvalin, chef de l’unité des agents antibactériens à l’Institut Pasteur de Paris. Il explique que les antibiotiques bloquent l’un ou l’autre des processus physico-chimiques indispensables à la survie des bactéries. Les pénicillines, les céphalosporines et la vancomycine, par exemple, inhibent les enzymes chargées de fabriquer la paroi de la bactérie. D’autres, comme les tétracyclines, les aminosides et les macrolides, enrayent le mécanisme responsable de la synthèse des protéines. Quant aux rifamycines et aux quinolones, ils s’attaquent soit aux enzymes responsables du transport de l’information génétique contenue dans les chromosomes de la cellule jusqu’à l’ARN messager , soit à celles qui gouvernent la réplication de l’ADN bactérien. Bref, toutes ces stratégies n’ont qu’un objectif : cibler et atteindre un point faible au coeur de la bactérie.
Comment les bactéries se défendent-elles ? Selon le docteur Courvalin, la première stratégie d’une bactérie consiste à « s’imperméabiliser » à l’antibiotique. Elle y parvient en fermant les petites perforations de sa paroi, ce qui empêche l’antibiotique de pénétrer, ou encore en laissant l’antibiotique entrer, mais en l’expulsant aussitôt grâce à une sorte de pompe. Dans certains cas, c’est une enzyme qui se charge du boulot en détruisant le noyau de la bactérie. Enfin, la bactérie peut se transformer pour éviter que l’antibiotique ne la reconnaisse.
Parfois, grâce à une mutation ponctuelle d’un gène qui bloque la fabrication d’une protéine sur laquelle l’antibiotique agissait. Dérouté, l’antibiotique ne peut plus se lier à sa cible, et la bactérie résiste au traitement. Lorsqu’elle se reproduit, la bactérie transmet cette résistance à ses rejetons.
l’une des lois de l’Univers est en effet la loi d’adaptation au milieu ; ceux qui n’y arrivent pas, disparaissent ou plutôt sont recyclés, vu cette Loi naturelle : rien en se perd dans l’Univers ; voyez l’évolution des espèces animales et autres depuis la nuit des temps.]
Les bactéries s’échangent également des informations par le biais d’un plasmide, une petite structure circulaire contenant une sorte de supplément chromosomique. Si une bactérie possède un plasmide contenant des gènes de résistance, non seulement elle transmettra ce « bouclier » supplémentaire à sa descendance, mais elle peut même le partager avec ses voisines, qu’elles soient ou non de la même espèce !
Pr Jacqueline BOUSQUET : » Si les dogmes n’étaient pas aussi forts, on pourrait suggérer timidement
que les divers virus sont peut-être des effets et non des causes,
ou du moins qu’ils agissent en réponse à une ou plusieurs causes situées en amont : dénutrition,
et absence d’eau potable principalement, mais aussi endémies anciennes,
et…campagnes de vaccinations massives dans le tiers-monde.
Mais on n’a pas le droit, sous peine d’être qualifié d’hérétique. »]
Le problème : même s’il manque de preuves, le docteur Patrice Courvalin, chercheur à l’Institut Pasteur de Paris, croit que cette pratique accélère la multiplication des bactéries résistantes aux antibiotiques
Le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé signale que les bactéries ont tué 17 millions de personnes en 1995. Aux États-Unis, les maladies infectieuses sont passées de la cinquième à la troisième place sur la liste des causes de décès depuis 1980, juste derrière les maladies cardio-vasculaires et le cancer. Depuis 20 ans, de nouvelles maladies bactériennes ont fait leur apparition – notamment, la maladie du légionnaire, la colite hémorragique causée par la bactérie E. coli 0157 et la maladie de Lyme. D’autres maladies connues depuis longtemps mais qu’on croyait sous contrôle, comme la tuberculose et le choléra, font un retour en force. Sans compter la montée des virus, responsables entre autres maladies du sida et des hépatites C et E. »
Les antibiotiques ont de moins en moins d’effets, les bactéries sont de plus en plus coriaces. Sommes-nous à l’aube d’un immense bond en arrière ? ». On s’obstine encore à considérer les bactéries etc. comme des ennemis à abattre alors que l’observation empirique faite en médecine chinoise (phase chaude des maladies) et des observations scientifiques ont démontré donc qu’elles ne sont là que pour rendre service : c’est leur fonction « bio-logique ». « Chassez le naturel, il revient au galop » : il serait temps de redonner au « bon sens » la place irremplaçable qu’il aurait toujours dû conserver. C’est donc une chasse bien inutile, et surtout dommageable, coûteuse qu’on livre ainsi à la Dame Nature ; persister à en violer les lois fondamentales ne pourra que mener vers une impasse, dont on n’imagine pas les effets iatrogènes peut-être irréversibles
Reculer pour mieux sauter en diluant l’immunité je tiens à rappeler que notre immunité vient entre autres du néandertal, des chasseurs cueilleur par leur alimentation, leur vie proche de la nature et le nouveau mode de vie brise tout se qu’il on construit
créer une pseudo immunité artificiel restreint contre une nature/génie ses mettre son bras dans le feu
je rejoint Laurence ,Eretol, GDP, Gneu
Et un petit paragraphe avec le lien de référence ce ne serait pas mieux ?
Eretol, si tu as le temps écoute ceci : https://www.youtube.com/watch?v=Gi9N-QdNtJw
« Je trouve qu’il y a là, une piste intéressante à explorer afin de comprendre pourquoi l’être humain à pu vivre des millénaire sans vaccination et sans disparaitre de la surface de la Terre. »
dis-moi ce que tu en penses, la conclusion que tu tires. Je serais curieuse de savoir si on arrive à la même conclusion.
Bonjour Laurence, pourrais-tu me synthétiser le contenu de cette vidéo, les points importants. Ensuite, je pourrais te répondre afin de voir si on en arrive à la même conclusion. Excuse-moi pour cette impression de fainéantise mais j’ai mes raisons.
Compliqué de faire une synthèse car c’est dense et essentiel mais en gros l’idée partirait de la réflexion d’un médecin français au 19e Siècle qui constate que l’on arrive, grâce à une meilleure hygiène, à sauver plus d’enfants fragiles de la mort. Heureux de cette constatation , il déchante vite car il se rend compte que ce faisant c’est toute l’espèce que nous fragilisons en intervenant dans la sélection naturelle.
Arrivant à terme à la détérioration génétique dans les populations modernes. En opposition à l’eugénisme qui veut sélectionner et ne garder que les meilleurs gènes, le dysgénisme est l’altération au fil des générations des gènes de l’espèce par la non élimination naturelle des héritages génétiques défavorables. Car des gènes faibles que le processus naturel auraient éliminé vont pouvoir se reproduire et altérer à terme les gènes sains.
Pour contrer le dysgénisme aujourd’hui, nous ne pourrons à terme n’avoir qu’une solution, le transhumanisme. Puisque nous avons bousillé notre capital génétique, tout comme nous avons bousillé la nature. Quel beau programme.
Conclusion:
Les vaccins participent à ce principe de non sélection naturelle. La mort fait partie de la vie, l’une n’existe pas sans l’autre. A force de vouloir repousser la mort à tout pris, nous avons fragilisé la survie de notre espèce. Donc la vaccination éradiquera plus sûrement l’espèce que de la sauver. Cela va bien au-delà de sauver des milliers d’enfants, de telles ou telles maladies.
Oui, les vaccins tout comme de nombreux autres facteurs contribuent à ce principe de non-sélection naturelle. Ce qui fait, effectivement, que les humains auront des gènes de plus en plus inadaptés à l’environnement.
Mais il y a aussi le principe de l’épigénétique qui fait que durant notre vivant, des gènes peuvent s’activer ou se désactiver selon des facteurs environnementaux. Sachant que la majorité de nos gènes sont désactivés, il y a une bibliothèque de gènes gigantesque qui s’est constituée depuis des millions d’années, depuis l’âge où nous n’étions que des organismes monocellulaires. Il y a donc un potentiel de gènes capables de contrebalancer cette non-sélection naturelle.
Après, qu’elle est le résultat de la part de gènes sélectionnés face à cette potentielle activation de gènes désactivé, via l’épigénétique ? Je ne sais pas.
Cependant, il est certain qu’à la vitesse où l’homme à modifier son environnement ces 2 derniers siècles jusqu’à l’extrême et même dans des domaines jamais modifiés, il n’aura jamais le temps d’évoluer à temps pour être adapté à son environnement.
Conclusion, je pense que la sélection non-naturelle est bien moins néfaste pour l’homme que sa manière de vivre et de modifier la nature en permanence et à l’extrême.
Dit autrement, si l’homme avait vécu d’une manière symbiotique avec la nature, comme les premiers peuples primitifs, le facteur de sélection non-naturelle sur lequel il aurait pu agir avec le peu de moyens qu’il posséderait, aurait largement eu de plus importantes conséquences que le facteur environnemental sur la capacité de l’homme à s’adapter.
« Dit autrement, si l’homme avait vécu d’une manière symbiotique avec la nature, comme les premiers peuples primitifs, le facteur de sélection non-naturelle sur lequel il aurait pu agir avec le peu de moyens qu’il posséderait, aurait largement eu de plus importantes conséquences que le facteur environnemental sur la capacité de l’homme à s’adapter. »
Tout à fait d’accord, d’ailleurs les constatations faites par ce médecin français dont je t’ai parlé plus haut, et le terme de dysgénisme n’arrive qu’avec la révolution industrielle.
Eretol , tu as très bien écrit, mais pour plus de lisibilité, peut-être aurait-il fallu que tu scindes en deux ou trois parties tes propos, là c’est un peu indigeste à suivre surtout pour ceux qui ne sont pas très habitués à tout cela.
C’est juste une réflexion en passant car je suis d’accord avec ce que tu as mis tu dois bien t’en douter.
Bonsoir Graine de piaf, je comprends que cela puisse être indigeste mais il y a tellement d’informations et de liens différents que « parler » à l’écrit n’est pas facile. Le mieux serait d’en parler oralement 🙂
Après, bien que la forme soit à revoir je mise surtout sur le fond.
Et aussi, quand on constate qu’il existe, en France, en 2018, un vaccin obligatoire contre une maladie NON CONTAGIEUSE et NON VIRALE, on a -de fait- la preuve de la mauvaise foi des autorités sanitaires.
Cette maladie en question est le TETANOS. C’est une maladie non immunisante et nullement contagieuse. (Où est donc la prétendue question de « santé publique » dans ce cas ?)
Qu’on laisse donc libre le citoyen majeur de décider s’il souhaite être vacciné « contre » le tétanos et qu’on laisse les nourrissons en paix avec ça, merde quand même !
bon, j’y comprends plus rien …
Linky, c’est un vaccin contre quoi ?
Tu fais l’âne pour avoir du son ou quoi gnafron ?
oui oui, je pose même des pièges à son
je ne peux pas me passer de vaccin dans les régions où je suis !
En plus, d’après ce que m’avait dit un médecin, le vaccin administré n’est efficace qu’entre un et trois mois !
Et puis comment un bébé au berceau pourrait-il être contaminé avec le tétanos ? c’est de la démence pure et dure ! tout, tout, tout, pour faire du profit et à qui profite le crime, les crimes ? on ne cherche pas bien loin….
« » »Asselineau est au courant du fonctionnement du monde, et sur les vaccins il sait très bien ce qu’il en est, il le dit lui-même. Il ne se trompe pas,
il nous trompe ! Et à ce titre, il est pire que les autres, car il abuse de notre confiance ! » »
Affirmation tres et beaucoup trop peremptoire!Une facon de faire le buzz pour casser la dynamique de l’UPR!
Asselineau serait il omniscient? Surement pas!
Il peut sincerement se tromper …moi je lui laisse le benefice du doute.
Je pense qu’il faudrait faire parvenir cette video et documents a l’appui directement a Asselineau.
On saura alors a meme de mieux connaitre son vrai jugement.
C’est la deuxieme fois qu’on lui pose la question sur les vaccins.
La premiere fois il avait ete beaucoup plus nuance et avait parler de consulter le peuple sur le sujet.(Artemisia n’en parle pas)
Mesure de bon sens il me semble.
Moi aussi je ne suis pas d’accord du tout avec lui sur le sujet des vaccins au mieux mettre la vaccination en option sans obligation comme cela se fait dans la plupart des pays.
Sur la question des vaccins(je suis donc contre mais ne nie pas les maladies plus souvent causees par une mauvaise hygiene de vie..nourriture,sucre,sel,soda,hygiene corporel deplorable ou trop d’hygiene….etc…) comme pour le HIV et les capotes(bien sur qu’il y a des maladies veneriennes comme il y a la grippe ou tout autre maladie),
j’aime poser la question suivante:
« Est ce que le createur aurait oublie quelque chose? »
Ou bien est ce l’humain qui est l’exploitateur des autres humains car il n’a pas d’autres ennemis que ses propres congeneres?
Ma question bete comme dirait Asselineau:
Pourquoi s’en prendre seulement a Asselineau qui n’a aucun pouvoir sur les evenements?
HHHHUUUMMMM cela sent le coup fourre,surtout que les vaccins ce n’est pas son cheval de bataille mais un sujet sensible et Pour le coup un sujet clivant par excellence et il est tombe dans le piege.
Tu as répondu toi-même à ta question !
D’autre part A. ne se prononce pas car en bon stratège il hume l’air afin d’aller dans le sens du vent ! c’est de l’opportunisme ! ce que je déteste le plus chez un être humain.
Graine de piaf,
C’est qui A?
je pense que son nom t’ecorcherait la bouche.
Que t’a t il fait pour lui valoir autant de degout?
Ah oui il ose faire de la politique et defendre les Francais.C’est vraiment moche.
GDP t’es vraiment pas cool mais plutot acariatre a mon gout..
A te lire il a du…tres tres mal humer l’air ,comme tu dis ,pour les vaccins.
Ou vois tu de l’opportunisme?
Puisque sur les sujets principaux qui le concernent directement il est a la pointe du combat et demontre qu’il a presque toujours raison(99%)
Qui dit mieux?
Bonjour Norbert,
Je ne suis ni pro, ni anti UPR (mais je pense qu’il y a pire comme parti !) et je lis avec attention vos échanges.
Le problème qui va se poser de plus en plus à l’UPR, c’est celui de tout mouvement (politique ou autre) qui prend de plus en plus d’ampleur. En grandissant, il est obligé d’évoluer. Et à terme, il peut arriver que certains adhérents ne s’y retrouvent plus car l’authenticité initiale a laissé place à une idéologie de plus en plus conventionnelle car il faut « rassembler ». Et le danger qui guette l’UPR, c’est effectivement cette stratégie (?) de vouloir rassembler en s’ouvrant de plus en plus quitte à en perdre l’esprit initial. Mais est-ce une bonne stratégie ? Ne vaudrait-il pas mieux pour ce parti de chercher à conserver la radicalité qui était la sienne ? Je pose juste la question (car je ne connais pas plus que ça ce parti).
Un exemple : pourquoi l’UPR affiche en gros en haut de la page principale de son site son nombre d’adhérents ? Comme si ce nombre était plus important que les idées. Pourquoi marteler que l’UPR est le parti ayant le site le plus visité (ce que disais souvent Asselineau durant la campagne présidentielle) ? Est-ce vraiment utile de communiquer là dessus ?
La vraie force est celle des idées (qui entrainera le nombre), pas celle d’afficher le nombre (en espérant que ça rallie aux idées).
et puis quand je vois ça,
https://boutique.upr.fr/
ça me désole !!!
Je peux concevoir que l’UPR a besoin d’aide financière mais franchement, vendre des flûtes de champage et des peignoirs UPR… Le tee-shirt avec le franc, passe encore, mais du jus de pomme et du savon d’Alep ???
[et Volti, désolé pour le HS…]
Je pense exactement comme toi.
Je me demande si ce n’est pas un lifting qui est en cours à l’UPR.
Je ne peux pas croire en une erreur de communication, surtout que sa première réponse auparavant apportée avait de la saveur UPR: je n’en sais rien, je réunirais un panel d’expert pour débattre , etc…
A moins que ce ne soit une jalousie mal placée, vu que la progression fulgurante de l’UPR (……) est dépassée en nombre et en bruit médiatique par les AntiVax, comme les Anti Linky…
Combien de fois ai je tenté de semer le doute auprès de non-éveillés , et été interrompu par un « c’est la faute des ju**fs! » ou « les pédos satanistes controlent le monde! »…
En tout cas Gneu, tu donnes le fond de ma pensée, même.si notre connaissance du Parti est opposée.
🙂
si vous voulez en savoir bien plus sur les vaccins regardez les conférences de claire severac ( décédé aujourd’hui )
et les livres de Sylvie Simon ( décédée aussi) ainsi que ses conférences. Ces deux personnes n’étaient pas n’importe qui et ne parlaient pas sans savoir…
http://www.sylviesimonrevelations.com/article-les-10-plus-gros-mensonges-sur-la-vaccination-60832676.html (article)
La Question des Vaccins – Sylvie Simon
http://www.sylviesimonrevelations.com/article-les-10-plus-gros-mensonges-sur-la-vaccination-60832676.html (vidéo) 15′
https://www.amazon.fr/Vaccins-mensonges-propagande-Sylvie-Simon/dp/2916878432 (livre)
Je suis très déçu par la position que prend Asselineau sur la vaccination.
Soit il a vendu son âme = c’est un bel enfoiré et un manipulateur de plus, soit il parle sans connaissance sur le sujet = il aurait mieux fait de se taire ou de se renseigner, comme il peut si bien le faire concernant de nombreux autres sujets.
Dans tous les cas, cette position qu’il a sur la vaccination le fait baisser grandement dans mon estime. Heureusement, que ce montage vidéo a été fait avec des sources expérimentés sur le sujet que l’UPR aurait mieux fait de consulter avant de l’ouvrir.
J’ai personnellement rencontrer l’auteur du livre « Vaccinations, les vérités indésirables », le professeur Michel Georget via l’association Stelior à Genève et bien d’autres personnes qui font un travail important pour apporter des éléments de réponse sur ces sujets.
La qualité de leur travail aurait sûrement donnée un autre discours à Asselineau s’il avait pris la peine de se renseigner. Et étant donné qu’il étudie habituellement ses sujets, je me dit qu’il n’a pas pu ne pas le faire concernant un sujet aussi polémique que la vaccination. Donc, Asselineau = Blaireau ?!?
En tout cas, si l’intervention d’Asselineau n’est qu’une maladresse, ce dont je commence à douter, elle coutera cher au mouvement de l’UPR.
Maladresse ou pas, il récidive avec la lutte anti-Linky. je comprends qu’on ne peut pas tout connaître, mais aller chercher en profondeur n’est pas défendu, et il est recommandé de ne pas parler de ce que l’on ne connaît pas à fond, surtout quand on est un homme en vue.
Il faut comparer cette déclaration d’avec la précédente!
Plus j’y pense et plus je me dis que c’est délibéré, pour s’affranchir d’une bonne part des complotistes, sans qui , l’UPR n’existerait pas.
Vivement que je vois des Upriens…
Asselineau est faiblard sur le sujet des vaccinations, c’est une évidence. Par contre, il avait raison pour la Syrie:
https://www.upr.fr/actualite/france/communique-de-presse-puisque-macron-veut-lutter-contre-fake-news-lupr-lui-demande-de-tirer-consequences-aveux-sensationnels-venus-de-washington-de-syrie-faisant-me
Il n’était pas le seul à avoir raison, c’était clair comme de l’eau de roche car suivant le diction » qui veut noyer son chien l’accuse de la rage » et les dirigeants de notre beau Pays sont partis comme un seul homme gober les mensonges contre Assad ! il faut croire que cela les arrangeait quelque part.. quelle bande de… pignoufs !!
Les voilà nos grands spécialistes de la vaccination…qui se gavent grâce à Big Pharma:
http://www.dur-a-avaler.com/les-chantres-des-obligations-vaccinales-dissimulent-leur-conflit-interets/
Asselineau,dans sa modestie évidente,a un avis sur tout et veut nous faire croire à son omniscience.Pour les vaccins,il fait preuve d’une bêtise crasse et aurait mieux fait de se taire que de répéter des inepties propres à la propagande vaccinale .Asselineau croit tout savoir et se sent capable de résoudre tous les problèmes mais il plane un peu trop pour comprendre certaines réalités.Je crois plus à son incompétence dans ce domaine que dans le souhait de nous entuber .Mais,cela parait impossible à notre chevalier blanc d’avouer son incompétence sur un sujet d’actualité…..
bien vu…
Ce qui me sidère, c’est l’engouement pour les vaccins et ce depuis le début. Pasteur n’était pas médecin, en plus il a triché lors de la fameuse et connue vaccination d’un gamin soi-disant atteint de la rage. il a aussi triché en s’attribuant le mérite de recherches faites par d’autres.
Mais ce que personne n’a voulu entendre, ce sont ses remords sur son lit de mort » je me suis trompé, le vaccin n’est rien, c’est le terrain qui compte ! » il a enfin avoué la vérité.
C’est aussi pour cela que je parlais des conditions d’hygiène et de vie concernant les épidémies. Un gosse mal nourri, sans hygiène, chopera tout ce qui passera à sa portée et en mourra la plupart du temps, comme ils seront nombreux autour de lui la maladie se propagera dans les mêmes conditions et il y aura des dizaines voire des centaines de morts.
http://www.la-philosophie.fr/2015/10/imposture-1-louis-pasteur.html