Un sujet qui concerne beaucoup d’entre nous..
La dentition des l’Homme moderne conditionne en partie sa faculté de parler ainsi que le type de nourriture qu’il peut consommer. Si la poursuite de la vie humaine commence effectivement par la bouche et son contenu – notamment en ce que les dents servent à mastiquer et la langue à déglutir les aliments -, il est certain que l’avènement du plombage dentaire à base de mercure au XIXème siècle à créé un froid sur la santé buccale et même physique.
Un graphique qui en dit long !
Graphique original intitulé “More mercury than silver” [1]
Une toxicité absolument inconcevableCes amalgames dentaires ne sont ni plus ni moins qu’une source permanente et importante d’intoxication. De surcroît, ils sont aussi les facteurs déclencheurs de nombreuses réactions allergiques dans le corps, telles que les allergies aux produits laitiers.
Comme beaucoup d’entre vous le savent déjà, tout métal rouille avec le temps. Bien évidemment, les métaux présents dans la bouche n’échappent pas à cette règle, d’autant plus que le taux d’humidité y est conséquent. D’ailleurs, il faut noter que dans certains pays tels que la Russie et la Japon, les amalgames dentaires métalliques sont interdits depuis plus de 30 ans. Plus récemment, en 2002, la Norvège a emboîté le pas des russes et japonais. [2]
Les vapeurs toxiques qui émanent du mercure pénètrent les poumons à chaque respiration. De plus, elles pénètrent également dans le système digestif lors de l’ingestion d’aliments ou de boissons. A partir du moment où ces vapeurs pénètrent le sang et la lymphe, les dégâts peuvent être vraiment conséquents en plus d’être parfois irréversibles, notamment concernant le système nerveux.
Si le mercure est fortement toxique pour l’organisme, il n’est toutefois pas le seul élément présent à poser problème dans ces amalgames.
En effet, il est important de signaler qu’on y trouve parfois des traces de thallium. Ce dernier cause des douleurs profondes et est susceptible d’engendrer la paraplégie puisqu’il affecte à la fois la peau, le système cardio-vasculaire et le système nerveux. [3]
Pour citer le chirurgien-dentiste américain Frank Jerome, exerçant en Indiana, « la contamination avec du thallium me [F. Jerome] choque plus que celle du plomb, cadmium et mercure réunis parce que l’on ne s’y attend en aucune façon. Le dernier plus grand domaine d’utilisation du thallium, notamment dans les raticides, a déjà été interdit dans les années 70 aux États-Unis. Chez tous les patients en fauteuil roulant que j’ai analysés j’ai trouvé du thallium ». Pour information, la dose létale de thallium se situe entre 0,5 et 1 gramme. [4]
Les rares solutions existantes
S’il est souvent conseillé de ne pas procéder au retrait de ces amalgames contenant du mercure, il semblerait que la donne commence à changer, notamment grâce divers protocoles mis en place par différents centres.
Voici le lien du centre EHS & MCS, c’est-à-dire le groupe européen des recherches et des traitements : dépose des amalgames. Leur article se concentre sur les solutions pour déposer les amalgames. Toutefois, le coût occasionné par ces services est assez important.
Prenez soin de vous et visez votre indépendance en termes de santé.
Jimmy pour Terraponia
Voir:
on vous l’avait pourtant assez dit: « PAS D’AMALGAME !!! »
Les grands esprits???? se rencontrent 🙂
C’est amusant de le constater A 13:11
https://lesmoutonsenrages.fr/2018/01/13/vos-infos-news-et-liens-et-autres-du-13-janvier-2018/#comment-588409
Bonjour,
concernant la dépose des amalgames dentaires au mercure, il est important de trouver un dentiste compétent ! Il faut en effet le déposer très précautionneusement sans jamais mettre un coup de fraise dedans !
Ensuite, c’est une chose que de déposer ses amalgames dentaires au mercure mais on les remplace par quoi ? Des composites ? Pas sûr que ce soit mieux les composites ! C’est encore un amalgame de plein de saloperies. Et puis, faut que ça tienne. Et les colles, c’est aussi un cocktail explosif. Les prothèses en céramique sont plus saines que les composites mais il reste toujours le problème des colles !
Plus radical, les implants… Mais là encore, faites un test MELISA en amont pour savoir si vous supportez le titane ou le zirconium.
Il y aurait tant à dire sur les problèmes dentaires. Je n’évoque même pas le problème des dents (mal) dévitalisées qui peuvent provoquer diverses pathologies terribles et pour lesquelles il n’est pas évident de savoir qu’elles proviennent de bactéries anaérobies très virulentes que le SI s’épuise à combattre.
Y a-t-il un dentiste compétent et éclairé sur les ME qui pourrait nous guider par rapport à tous ces soucis ?
Pour en revenir aux métaux « lourds », certaines intoxications croisées peuvent également s’avérer désastreuses. C’est le cas de l’intoxication mercure + aluminium. Par exemple, il y a une expérience qui a été faite où l’on injectait une certaine dose de mercure à des souris : elles supportaient. Sur un autre groupe, on a injecté une certaine dose d’aluminium ; elles supportaient. Et sur un dernier groupe, on a injecté des doses 10 fois moindres mais combinées de mercure et d’aluminium : elles sont tombées malades.
Bon courage à vous si vous vous attaquez à vos dents, le chemin vers la désintoxication est trèèèèèès long !
Bonsoir, je ne suis pas dentiste mais j’ai quelques informations sur le sujet.
La présence du mercure dans les amalgames dentaires est une arnaque (un problème) de santé publique. C’est un puissant neurotoxique connu depuis longtemps. La catastrophe (l’empoisonnement) dans la baie de Minamata, début XXème au Japon, montre ce que peut produire le mercure sur des animaux (dont l’être humain). Les effets tératogène et mutagène sont terribles.
D’ailleurs, il y a peut-être 2 ans, le traité de Minamata a été signé afin de bannir le mercure des amalgames dentaire comme dans d’autres produits. Cependant, cela ne concerne pas les vaccins avec la présence du thimérosal ou thiomérsal.
La France et l’Allemagne sont les plus gros (ou ils étaient il y a peu) consommateur d’amalgame mercuriel. Il me semble que c’est dans les 50 tonnes de mercure mis dans la bouche des français. Il y a moins de 5 ans, un millier de personnes ont porté plainte contre le lobby de l’amalgame en Allemagne pour les dommages causés sur leur santé. Et il me semble qu’ils ont eu gain de cause.
De plus, j’entends peu parler du fait qu’il existe différentes formes de mercure. Le diméthylmercure en est un exemple. Une fois que le mercure est présent dans le tube digestif, des bactéries vont le méthyler, ce qui donnera du diMtHg. Le problème est qu’il est beaucoup plus toxique que sous une forme non-méthylée. Cela concerne les poissons, comme les animaux.
Il y a aussi l’effet cocktail qui peut entrainer des dégâts non-mesurable sur la santé.
Le mercure est lipophile et a des affinités avec le souffre. Ça forme minérale est le sulfure de mercure (HgS), aussi appelé le cinabre.
Cette amalgame fait d’étain (qui est très toxique), de mercure et d’autres métaux peuvent poser une cascade de problèmes.
Déjà, le mercure est liquide à température ambiante et visiblement, le fait qu’il soit amalgamé avec des autres métaux fait que l’amalgame rempli sa fonction dentaire. Mais le mercure, bien que solide, s’échappe de l’amalgame sous forme de vapeur.
Une personne qui a des amalgames avec du mercure dans la bouche l’absorbe à 80% par inhalation et 20% par la voie digestive. Il est d’ailleurs possible de mesurer sa propre exposition aux vapeurs de mercure à l’aide d’un appareil « Jérôme » dans lequel vous soufflez. Les mesures faites après qu’une personne ait mastiqué un chewing-gum montrent que les vapeurs de mercure sont 10 à 15 fois plus élevées que sans mastication. Et les mesures faites sans mastication, c’est à dire les plus faibles, sont déjà bien au-dessus de toutes les normes de recommandations de santé publique. Mais là, c’est dans votre bouche et il n’y a pas de soucis ?!? Le mercure sera respiré à chaque instant et à des doses différentes pendant des décennies.
La norme de présence maximale de mercure dans l’eau potable à était multipliée par 4 en 50 ans. Comme si les êtres vivants pouvaient s’adapter aussi vite à un tel poison sans que cela impacte la santé…
On trouve du mercure dans le collyre pour ses fonctions antiseptique, dans le ciment, dans les poissons gras, les crustacés, anciennement le mercurochrome et thermomètre, dans des vielles peintures et encres pour la couleur rouge du cinabre, et sûrement en petite quantité dans l’eau et dans l’air, proche des crématoriums (il me semble que la capitale Vienne a installé un filtre sur la cheminé du crématorium spécialement pour retenir les particules de mercures venant des cadavres et/ou de leurs amalgames).
Les rivières en Guyane, au Brésil, sont bourrées de mercures à cause de l’orpaillage. Il n’y a qu’à voir le déchaussement des dents des orpailleurs intoxiqués pour se douter des quantités horribles de mercure qu’ils utilisent.
L’entreprise de vitamine Lanza, en Suisse, a déversé plusieurs centaines de tonnes de mercure dans une rivière des années 60 jusqu’aux années 80 il me semble et cette rivière va jusqu’au lac Léman. Il a d’ailleurs été interdit de pécher du poisson dans le lac pendant quelques temps, et aujourd’hui, tout le monde a oublié et personne n’en parle. C’est la plus grosse pollution mercurielle connue.
Même le sous-marin Nazie qui a coulé pendant la seconde guerre mondiale dans la mer baltique ne contenait qu’une cinquantaine de tonne de mercure qui s’échappent pour un meilleur saumon norvégien peut-être.
Ces vapeurs de mercure s’échappent des amalgames sous l’effet de la mastication et peuvent atteindre facilement le cerveau (et la barrière hémato-encéphalique ?) par le nerf olfactif qui est forcément fait de graisse. Le mercure étant lipophile, il n’y a pas de doute qu’il peut s’y accrocher. Il passe dans le sang au niveau des poumons et ira se loger dans les graisses du corps, des membranes cellulaires, les nerfs, le cerveaux (gaine de myéline).
L’amalgame peut perdre de son mercure par effet de migration. S’il y a présence d’un amalgame mercuriel et d’un autre en or (ou autres?), à l’aide de la salive et de son acidité, ces amalgames deviennent une anode et une cathode. Le mercure se diffuse dans la mâchoire ou dans des tissus environnant.
Aussi, une femme avec un stérilet en cuivre peut subir une migration du mercure.
Il doit rester les quelques microgrammes de mercure qui passe par la voie digestive et que le microbiote méthylera, ce qui sera bien pire.
Le mercure ayant des affinités avec le souffre posera de nombreux problèmes sur l’appareil enzymatique. En effet, les enzymes ont des formes tridimensionnelles qui leur donne une fonction précise mais si cette forme est modifiée, elle devient obsolète. Ces enzymes sont des protéines et leurs formes tridimensionnelles est dû aux chaines d’acides aminées et certains de ces acides aminés sont soufrés. Il y a notamment des ponts disulfures qui, après avoir été « cassé » par le mercure, fera perdre la forme tridimensionnelle de l’enzyme.
Conséquence possible :
-Les enzymes digestives découpent mal les protéines mangées, ce qui laisse des petites chaines de protéines appelées peptides qui pourront être mangés par une flore microbienne de plus en plus pathologique.
-Les enzymes et autres protéines fabriquées dans le cytoplasme cellulaire, avec le ribosome, peuvent être impactées et mal remplir leur fonction, ce qui pourra créer de nombreux problèmes au niveau cellulaire.
-Il y a aussi les matrices métalloprotéase (MMPs), il y en existe une centaine et comme ce sont des recherches relativement récentes, il y en a encore d’autres à découvrir. Ce sont les enzymes qui « entretiennent », « réparent » les cellules du corps. Par exemple, la MMP 9 à un rôle avec le collagène. Le mercure agirait sur le Zinc de la MMP, ce qui libérerait le site catalytique, d’action (je pense que le Hg et le Zn doivent avoir des affinités comme pour le soufre et l’or).
Le résultat, c’est que la régulation de cette enzyme est détraquée et qu’elle exécute mal ça fonction. Les jonctions serrées des villosités intestinales, composées de collagènes, deviennent de plus en plus poreuses. Au lieu de n’avoir que des acides aminés mono-dispersés dans le sang, les peptides alimentaires peuvent passer la barrière intestinale, se retrouver dans le sang et être en contact avec le système immunitaire qui se défendra en créant des anticorps IgG. C’est ce que l’on appelle l’intolérance alimentaire qui est une réponse adaptative, contrairement à l’allergie qui est une réponse (supposée) innée et qui concernera les IgA et IgE surtout localisés sur les muqueuses.
Sachant tout cela, et pour en revenir aux amalgames, leurs déposes doivent se faire dans des conditions strictes par un dentiste bien équipé et informé. D’ailleurs, j’ai l’adresse d’un dentiste compétant pour cela qui habite à Montélimar, si ça peut intéresser quelqu’un ??? Et j’ai la possibilité d’avoir quelques autres adresses en France de dentistes compétents et formés à un protocole des plus sûr.
Le dentiste doit avoir un cabinet bien ventilé avec des filtres, il doit utiliser une digue pour isoler la dent du reste de la bouche, tout le monde doit porter un masque au charbon, et avec en plus une feuille d’or ce n’est que mieux.
Lors de la dépose d’un amalgame mercuriel, il est plus sûr de se complémenter en vitamine C ; les jours précédant le moment de la dépose ; quelques minutes après la dépose après s’être bien rincé la bouche ; et pendant quelques jours après. Faire un bain de bouche après la dépose, avec du sélénium qui sera totalement recraché. Quelques minutes avant la dépose avaler du charbon actif afin de piéger le peu de mercure qui pourrait tout de même passer par la voie digestive. Et faire en sorte d’aller assez rapidement à la selle après la dépose, manger des pruneaux, buvez beaucoup d’eau, quelque chose de laxatif.
Je suis désolé pour la longueur du texte et c’est peut-être un petit peu brouillon. Ce dont je suis sûr, c’est qu’il vaut mieux ne pas faire de dépose d’amalgame mercuriel que de le faire chez un dentiste qui ne le fera pas d’une manière sécuritaire.
6h30 ! ! ! Il est temps d’aller dormir
Eretol, merci pour ces précieuses infos super bien détaillées. Juste une petite info au passage qui m’a été transmise par un chercheur au CNRS spécialisé dans le domaine des contaminations mercurielles : le DMPS à éviter pour les personnes sensibles aux substances chimiques…, mieux vaut prendre des ampoules de sélénium ou manger des noix d’amazonie qui en contiennent assez (3 à 4 le matin). Prendre du charbon bien évidemment et pourquoi pas du mucomyst après dépose amalgame (en vente libre) qui contient de la N acétylcystéine qui permet de rompre les pont disulfures, de piéger les molécules de mercure se baladant après dépose et ainsi de permettre une meilleure évacuation par les intestins.
Pour ce qui est du traitement des canaux racinaires, l’idéal serait après leur nettoyage en profondeur, de les cautériser au laser (n’est pas remboursé par la sécu malheureusement) afin de minimiser le risque d’infection ultérieur par des bactéries.
Pour ce qui est des couronnes on parle bcp du zircon qui est biocompatible (reste à prouver) il me semble qu’en Suisse et Allemagne, certains dentistes fabriquent eux mêmes leur propre couronne à partir de poudre minérale 100 % bio. L’enquête reste à faire à ce sujet. Pour ce qui est des colles pour sceller les couronnes c’est une véritable catastrophe, je suis moi même allergique à certaines colles (très difficile de savoir car pas de test sur les substances chimiques en bouche, donc on fait du bidouillage).
Enfin, j’aimerais bien obtenir l’adresse du dentiste à Montélimar pour avis concernant dépose amalgame, les couronnes biocompatibles, les colles et dépose. Il est temps d’aller se faire un petit cafécito !
merci ! mais d’après ce que je sais, un dentiste qui ne prend pas de précautions, c’est aussi « pour sa pomme »…
Oui, un dentiste qui ne prend pas de précautions aura de gros problèmes de santé en fin de carrière. Il me semble que c’est une profession dans laquelle il peut y avoir un taux élevé de démence ou je ne sais plus quels autres problèmes graves, types maladies neurodégénératives.
Daphne, le DMPS, le DMSA et l’EDTA sont des chélateurs de synthèses. C’est à dire que les minéraux et métaux dans le corps vont avoir tendance à être capturés par le chélateur pour ensuite être évacué du corps.
La spiruline et la Chlorelle sont des chélateurs naturelles. Alors oui, ces algues contiennent beaucoup de minéraux mais comme ils ont un pouvoir chélateur, je ne sais pas si au bout du compte on se déminéralise plus que ce qui a été avalé.
Entre ces chélateurs et le mercure contenu dans le corps, il y a un effet qui est difficilement mesurable mais qui peut causer des dégâts inimaginable sur le corps à cause du caractère lipophile du mercure.
C’est à dire que le mercure entre dans le corps et se loge dans des graisses, il va causer une certaine quantité de dégâts selon où il se loge, la concentration et l’état du corps à ce moment.
Quelques temps plus tard (jour, mois, année), le fait de consommer un chélateur déplacera les métaux et minéraux, et en excrétera une partie. Mais le mercure, lui, ne sera pas ou très peu évacué du corps (risque de néphrite) car lipophile, surtout il ira se reloger plus ou moins ailleurs de là où il se trouvait avant la chélation. Et le gros problème c’est les nouveaux sites où le mercure pourrait se fixer à nouveau. Avec tous les nouveaux dégâts que cela peut impliquer.
En gros, à chaque chélation c’est comme tenté la roulette Russe sauf que tu n’es jamais gagnant et que tu ne sais ni l’importance ni quels dégâts pourraient se produire.
Pour l’adresse du dentiste, je te la transmet en MP.
Bon dimanche LME !
Euh, comment je fais pour envoyer un message privé ?
Je colle ici un commentaire que j’ai laissé ailleurs pour rassembler les information sur ce sujet :
Il existe un chélateur de synthèse qui est en phase de test et qui est spécialement créer pour la chélation du mercure, l’OSR. Mais il devrait porter un autre nom après ses phases de test. Voici le professeur qui travaille dessus et que je connais un peu, en tout cas ses contributions au sein d’une association à Genève : https://www.psiram.com/fr/index.php/Boyd_Haley
Si j’ai bien compris à l’époque, l’OSR est un chélateur lipophile qui, une fois rentré dans la cellule, capte le mercure et devient hydrophile, ce qui permettra au complexe « chélateur-Hg » de se retrouver dans le sang et donc de pouvoir être évacué sans dégât au niveau des reins. Il joue une action anti-oxydante dans la cellule.
Aussi, le métabolisme a un joker, le Glutathion (GSH). C’est une molécule, un tripeptide je crois, qui est synthétisée cellulairement. Il jouerait 3 rôles bien pratiques :
-Il réduit les vitamines anti-oxydantes (vitamines A, C, E), comme pour les recycler afin qu’elles redeviennent anti-oxydantes.
-Il agit sur les virions, empêchant donc les virus latents de se répliquer ; cytomégalovirus (CMV), papillomavirus (HPV), herpès simplex 1 et 2 (HSV), Epstein-Barr (EBV).
-Il joue un rôle de chélateur, pouvant donc libérer les cytoplasmes de métaux lourds. Mais je pense que le GSH a tout de même des limites, tout comme le vivant a des limites à l’empoisonnement.
Il existe des compléments en glutathion mais il ne sert à rien d’en absorber. Ce n’est efficace que si ce sont nos cellules qui le créer. Comme pour la CoenzymeQ10.
Pour créer du glutathion, il faut avoir un cycle de l’homocystéine qui fonctionne. Ce cycle commence par la méthylation pour donner de la méthionine (ADN, ARN, neurotransmetteurs), puis se termine par la transulfuration pour donner de la cystéine (GSH, fonctions thiols). Pour fonctionner, ce cycle a besoin des vitamines du groupe B, dont la vitamine B12méthylée qui ne peut l’être qu’à partir d’un microbiote en bonne santé (présence de lactobacille). Il y a aussi besoin de minéraux et, forcément, d’enzymes fonctionnelles. En parallèle à ce cycle, il y a le cycle des folates qui permet d’avoir de la vitamine B9 (acide folique).
C’est tout ce que j’ai en informations sur une chélation possible du mercure.
pour ceux qui veulent en savoir plus sur les caries (où l’on apprend qu’on ne sait pas gd chose)
http://archive.bu.univ-nantes.fr/pollux/show.action?id=e98d579a-e9ba-434b-9e3f-874d3784ae12