Prendre les citoyens pour des « abrutis » avec de belles promesses et, les laisser avec leurs illusions.. La routine quoi!!!
Un récent décret rédigé en catimini prévoit d’annuler plusieurs millions d’euros de crédits destinés à l’origine à la construction de logements sociaux.
A quoi joue le nouveau gouvernement ? Après le coup de rabot sur les APL c’est au tour du budget alloué à la construction de logements sociaux de trinquer. Dans son décret n° 2017-1182 du 20 juillet 2017 publié au Journal Officiel le 21 juillet 2017, le Premier ministre Edouard Philippe et son ministre de l’Action et des Comptes publics, Gerald Darmanin, procèdent à l’annulation de 184,9 millions d’euros en autorisation d’engagement et 130,5 millions d’euros en crédit de paiement sur le programme « Urbanisme, territoires et amélioration de l’habitat » de la mission « Egalité des territoires et logement. » (Voir document à la fin de l’article)
Une perte sèche, selon l’Union sociale pour l’habitat qui représente quelques 730 organisations HLM. Par cette décision, c’est 12 000 logements sociaux en PLAI, c’est-à-dire à très faible loyer, qui ne sortiront jamais de terre. « Ce sont maintenant les logements très sociaux qui sont dans le « viseur de Bercy« », enrage Jean-Louis Dumont, président de l’Union sociale pour l’habitat. De son côté, l’adjoint à la maire de Paris, Ian Brossat, ironise sur les choix du gouvernement sur Twitter :
« Il est temps de revenir à la raison, de prendre la mesure des difficultés des familles les plus modestes et d’ouvrir une réelle concertation dans l’intérêt des politiques de solidarité afin d’assurer des conditions de logement et des conditions de vie décentes à tous nos concitoyens« , ajoute-t-il dans un communiqué. Le décret ayant déjà été publié au Journal Officiel, pas sûr que les organismes HLM ou le personnel associatif ait les moyens de faire pression pour un retour en arrière.
Auteur Ludovic CLERIMA pour Explorimmo
Crédit photo : Sébastien Soriano pour Le Figaro.
Une autre manière de faire de la politique qu’il disait Jupiter ….
Les moutons non informé et matraqué cérébralement par les médias ont cru aux étoiles
Voici venu le moment de rejoindre l’abattoir car la finance est prête à vous tondre quitte à vous peler si il ne reste plus de laine dans les bas …
Philippe
Contrairement à la France le Canada à plus d’offre que de demande en matière de logement, là-bas il ne connaisse pas la crise du logement. Du coût les prix des loyers ne montent pas.
Ca fait maintenant 2 mois et demi bientôt que je cherche un logement et je ne trouve que des logements chers ou mal situés, doit-on louer n’importe quoi sous prétexte qu’il y a plus de demandes que d’offres ?
Comment font tous ces jeunes qui sortent de l’école chaque année pour se loger ?
De plus dans les villes quand les logements ne sont pas rares, ils sont très chers, donc comment arriver à payer son loyer quand on a déjà du mal soi même à joindre les deux bouts et que les propriétaires demandent des garants et des salaires pour assurer les impayés.
Non le logement en France est un véritable problème et demande trop de condition lourde à portée ce qui n’est pas normal.
A moins de vivre reculé loin de tout, vous ne pouvez pas louer un appartement dans la limite du raisonnable, la plupart des propriétaires ne voient que leur intérêt et non l’utilité de faire vivre et respirer un lieu, sans compter tous ces logements fermés qu’ils ne veulent pas louer pour x raison.
Il est vraiment plus qu’important d’investir dans le logement en France car on se rend compte de leur importance le jour où on en a plus. Sans lois pour forcer les propriétaires à ouvrir leur maison à la location ou à baisser les loyers, rien n’ira en s’arrangeant et la misère continuera à grandir dans les rues.
Il faut arrêter cette politique d’assistanat.
L’objectif économique d’un gouvernement ne doit pas être de faire des logements sociaux, mais de faire en sorte que les gens aient les moyens de se payer des logements classiques.
Le social ne doit pas être un objectif, c’est une conséquence, une sanction d’une mauvaise économie.
Dans un pays correctement géré le social doit être ramené à un faible niveau, servir de filet de secours, en aucun cas quelque chose de durable.
C’est encore la saison du blabla.
Quand la saison du mouvement?
LeVeilleur, je comprends un peu les propriétaires, combien ont été bernés par des locataires insolvables, combien ont trouvé leur appartement dévasté comme si une horde de sangliers s’y était abattue. j’en ai connu pas mal dans ce cas qui ne pouvaient rien faire et n’avaient même pas d’argent – car tous ne sont pas des nantis – pour payer les dégradations commises volontairement ! on ne peut tout leur imputer. Bien sûr il y a aussi ceux qui profitent de la situation cela n’est plus à prouver. Mais va séparer le bon grain de l’ivraie quand tu cherches à te loger… et celui d’en face ne peut sur ta bonne figure te faire crédit et diminuer ses exigences. C’est un cercle vicieux. Les uns se méfient, les autres, ceux qui sont honnêtes, paient pour les sagouins…
Je suis d’accord avec le commentaire de Pimpin.
Quant au blablabla des gouv** successifs, on sait ce que cela vaut ! « les paroles volent » et seuls les inconscients y croient encore !
Salut les ME,
Normalement plus besoin de construire des logements sociaux avec des partenaires qui sont des mafieux , type sa HLM. La loi oblige la mixite sociale dans tout les nouveaux programmes. C’est donc le lotisseur prive qui construira les logements et les mettra a dispo des mairie pour affecter les demandeurs sociaux. Deux consequences.
1) Disparition des bailleurs sociaux ( la plupart du temps on avait affaire a des maffieux ; detournement de fonds publics etc…)
2) les personnes qui acheterons leurs biens dans un programme mixte paieront directement pour la construction de la part sociale du programme. Ce seront donc les propietaires qui paieront pour les locataires sociaux.
3) La solidarite nationnale disparait au profit de l’imposition de la classe moyen qui achetent collectif
4) les riches seront exemptes de solidarite puisqu’ils achetent individuels.
Elle est pas maligne La Republique En Marche ?
2,9 millions : c’est le nombre de logements qui seraient inoccupés en France, soit 8% du parc d’habitation. Pourquoi ? À Orléans (Loiret), Jacques Mayer connaît bien le problème du logement vacant, même aux meilleurs emplacements du centre-ville. Il explique que les propriétaires ont souvent peur du mauvais locataire : travaux coûteux, loyers non payés ou détérioration de l’intérieur.
http://www.francetvinfo.fr/economie/immobilier/logements-vides-pourquoi-sont-ils-si-nombreux_1997935.html
C’est le système qui est mauvais