Le cerveau, cet organe primordial, dont la compréhension totale de son fonctionnement, en permettrait le contrôle et, ils cherchent, ils cherchent avec l’argent des contribuables. Ça va vraiment de mal en pis, ça ne soignera personne ces recherches, ça asservira ceux qui seront dotés de ces « micro-senseurs » en faisant des marionnettes contrôlables à distance, pour leur faire exécuter Dieu sait quoi, si on extrapole les possibilités de cette technologie. Quand c’est l’armée qui étudie, ce n’est jamais innocent. Voir le projet MK-Ultra. Merci Françoise G.
Transhumanisme ou esclavagisme ? Les services de recherche du Pentagone, le DARPA, viennent de recevoir 65 millions de dollars (1 dollar US = 0,858 euro) payés par le contribuable pour mettre au point une technique permettant de connecter directement le cerveau humain à un ordinateur : le Neural engineering system design ou NESD.Il s’agit, selon la communication léchée des pontes de l’armée américaine, « de permettre une communication réciproque avec le cerveau à une échelle qui permettra d’approfondir notre compréhension de cet organe, en particulier sa biologie, sa complexité et ses fonctions ». En cas de réussite le NESD permettra, affirme le Pentagone pour faire passer la pilule, « de faciliter les traitements de restauration sensorielle à venir ». En réalité, cette technologie autorisera la manipulation des cerveaux et la modification des sens (vision, audition, parole) dans le sens souhaité par les chefs. L’une des interfaces proposées par le projet prévoit l’implantation d’une centaine de milliers de senseurs autonomes dans ou autour du cortex, des « neurograins » d’une taille inférieure au millimètre.
Au Pentagone le DARPA travaille sur le contrôle des pensées par ordinateur
Les militaires pourraient ainsi disposer d’un système émetteur-récepteur, inclus dans la tête, leur permettant de communiquer à distance. Et ce n’est pas tout. La DARPA nous informe qu’une équipe de l’Université de Californie à Berkeley travaille sur la mise au point de « modèles d’encodage quantitatif destinés à prédire les réponses des neurones à des stimuli visuels et tactiles, puis d’utiliser ces prévisions afin de structurer des schémas de photo-stimulation déclenchant des perceptions dans les zones cérébrales visuelles ou somato-sensorielles, cet équipement remplaçant une vision absente ou servant d’interface cérébrale pour contrôler un membre artificiel ».
Terminator, nous voilà. Car l’essentiel dans le communiqué de la DARPA réside dans les termes : « Prédire les réponses des neurones. » Cela signifie que l’individu doté d’un cerveau ainsi équipé par le Pentagone enverra des messages aux contrôleurs, les informant des pensées et des actions sur le point d’apparaître dans sa conscience, leur permettant de les modifier.
Accéder au cerveau à distance et le contrôler
Un article scientifique intitulé « The Brain Activity Map Project and the Challenge of Functional Connectomics » (« Le projet de cartographie de l’activité cérébrale et le défi de la connectomique fonctionnelle ») envisage le développement de « techniques de lecture à distance, non invasives, de l’activité des ensembles neuronaux ». En d’autres termes, cette recherche vise à permettre à ceux qui contrôleront le système issu de cette recherche d’accéder à distance aux cerveaux d’une population donnée et de les contrôler. Le projet est présenté sous le prétexte toujours charitable « de permettre un diagnostic et une restauration des fonctions de cerveaux blessés ou malades, de favoriser le développement d’applications biomédicales et environnementales et même de générer une série d’avantages économiques associés ». « Restaurer des cerveaux… » : l’expression fait frissonner quand on la rapproche des projets de la DARPA.
Notons encore que le projet NESD fait partie du programme « BRAIN » (acronyme anglais de « Exploration du cerveau par le développement de neurotechnologies innovantes de pointe »), destiné à permettre à l’armée américaine de prendre le contrôle des consciences.
Le DARPA travaille sur un système qui prédit le comportement à partir d’images
Le DARPA multiplie par ailleurs les projets pour renforcer le contrôle par l’Etat, avec des outils toujours plus sophistiqués. Il a ainsi embauché des scientifiques de l’université Carnegie Mellon pour développer un système d’intelligence artificielle capable d’observer et de prédire le comportement d’une personne, avec des logiciels permettant d’analyser en temps réel des données de vidéo-surveillance. Le système pourra ainsi prévenir les responsables s’il prédit une action interdite. Le déploiement de ces équipements est officiellement destiné aux aéroports et stations de transport collectif, mais il est hautement probable, s’ils se révèlent fiables, qu’ils pourront être installés au-dessus des feux tricolores du coin, surveillant tout un chacun. Le système DCAPS, pour « détection et analyse informatique des signaux psychologiques » permettra « d’analyser les profils de comportements banals afin de détecter les évolutions fines associées aux désordres de stress post-traumatiques, à la dépression et aux idées de suicide ». Là encore, on nous sert de généreux objectifs qui cachent mal les menaces de contrôle total permises par « l’extraction et l’analyse de signaux issus d’un large éventail de données sensorielles liées aux interactions humaines quotidiennes ».
Le transhumanisme en marche sous la houlette du Pentagone
Ainsi le DARPA peut-il, avec l’argent du contribuable, préparer l’identification de toute personne susceptible de « menacer » la sécurité. Personne qui ensuite sera mise hors circuit, envoyée dans un établissement public de santé pour que son cerveau « malade » soit traité et rétabli dans son fonctionnement « normal ». Demain les terroristes islamistes, après-demain les patriotes qui s’opposent au dogme globaliste, déjà considérés comme de potentiels « terroristes » par l’oligarchie au pouvoir dans les pays occidentaux. La camisole chimique des hôpitaux psychiatriques soviétiques relèvera alors d’un pittoresque amateurisme.
Auteur Matthieu Lenoir pour Reinformation.Tv via Fawkes-News
Voir:
La civilisation s’effondrera avant d’en arriver à une telle prouesse de contrôle des masses. Ils faut vraiment qu’ils est très peurs pour vouloir contrôler à ce point nos pensés et nos émotions.
Bienvenu à « équilibrium ». Vous reprendrez bien une dose de prozium de préférence, volontairement et sans rebellions !
Equilibrium (VF) – Bande Annonce
https://www.youtube.com/watch?v=jQlczOe1EXs
Ces recherches mettent en évidence la SEULE question à se poser, et que de grands scientifiques se posent déjà ouvertement, en public ; quelle est la vraie nature de la conscience? Et tout un faisceau d’évidences porte à penser que le cerveau (et surtout le coeur, oui l’organe, enveloppé d’un dense réseau de neurones et émettant un champ magnétique hyper puissant) n’est qu’un émetteur récepteur.
Alors, darpa ou autre, ils ne peuvent qu’entraver la bonne réception, la conscience n’étant pas localisée dans le cerveau.
Nous sommes collectivement en train d’effectuer un vaste saut quantique, et déjà nos paradigmes les plus bétonnés sont en train de vaciller et amorcer leur chute fracassante.
La vraie nature de la réalité a encore de quoi nous surprendre. Les chimpanzés mutants que nous sommes sont farcis d’orgueil et de stupidité, croyant avoir tout découvert alors que notre ignorance est abyssale.
Exact??
Si ils touchent la conscience d’un seul, ils toucherons la conscience de tous
Maya
Bienvenu chez moi
Des choses passionnantes à venir .
Des milliards de cerveaux sont déjà branchés sur des ordinateurs, et ces cerveaux ne savent plus vivre correctement et en toute autonomie dès qu’ils sont déconnectés de leurs TELEPHONE PORTABLE…
C’est exact, de plus nos consciences ont déjà été modifié par l’influence de cette technologie qui nous entoure et le résultat n’est absolument pas encourageant pour l’avenir de l’humanité.
Mouai!
Et combien de cobayes sacrifiés pour des résultats improbables?
Faut-il avoir peur du transhumanisme ? Entre fantasmes et réalité, Laurent Alexandre répond à toutes les questions que nous nous posons sur l’intelligence artificielle. Il dresse le portrait vertigineux et inquiétant du monde à venir, où les technologies transformeront radicalement l’humain.
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2017/06/02/31003-20170602ARTFIG00207-laurent-alexandre-bienvenue-a-gatacca-deviendra-la-norme.php
Laurent Alexandre est un transhumaniste convaincu, qui souvent a un discours suffisamment flou concernant ses propres pensées. Ses interventions sont souvent très intéressantes, mais il mêle l’anticipation à la politique de façon assez naïve, ce qui pourrait paraître crédible s’il n’était pas membre du Siècle, fondateur de Doctissimo et chroniqueur sur la presse du grand capital entre autres.
Ses « mises en garde » sont en conflit d’intérêt permanent avec les desseins du pouvoir, et pourtant il reste extrêmement médiatisé.. cherchez l’erreur.
Tout à fait d’accord. Il dit vouloir défendre l’éthique du transhumanisme qui vient. Perso, je suis plutôt de celle qui lutte quotidiennement pour le faire disparaître. Donc, ce n’est pas mon copain mais je l’écoute pour savoir comment avance ce transhumanisme.
Il promeut à sa manière le transhumanisme rien qu’en nous faisant comprendre qu’il est inéluctable donc il sert le système. De plus, il nous la joue éthique comme si la révolution agricole et la révolution industrielle avaient réussi à être éthique.
La révolution transhumaniste ne dérogera pas à la règle, l’éthique et le bien commun à la poubelle, les intérêts financiers en avant toute!
En total accord avec Laurence, le monsieur est à suivre pour connaître l’évolution de cette « horreur ».
D’autant plus qu’il est spécialisé sur l’IA et les NBIC, ce qui en fait une des seules sources francophone aussi au fait des évolutions technologiques de notre temps. J’aime bien l’écouter car c’est une mine de connaissances. Mais comme le dit si bien Laurence : « Il promeut à sa manière le transhumanisme rien qu’en nous faisant comprendre qu’il est inéluctable donc il sert le système. »
Bonjour,
Souvent, en lisant ce type d’articles sur les manipulations de masses, toutes les hypothèses émises sur ses causes et ses conséquences ne semblent être vérifiées que par l’imagination, souvent fertile d’ailleurs, de leurs auteurs.
Ajoutez à cela la mythomanie et l’ignorance, père du fanatisme, et nous finissons par avoir des explications de pure science fiction ou emprunt du surnaturel le plus extravagant : rien de telle pour entretenir, chez le citoyen crédule, la confusion, la colère… et la peur.
Aussi, n’aurait il pas fallu expliquer comment fonctionne un cerveau avant de commencer à parler d’y brancher un ordinateur ?
Avant d’envisager des conséquences psychologiques sur les êtres humains, n’est-il pas nécessaire d’informer sur la psychologie entre les hommes et les femmes, si différente et combien éclairante en tout point ?
D’une manière générale, afin de comprendre notre présent, n’est-il pas indispensable de connaitre la Vérité sur notre passé et la longue évolution du genre humain, et de ses mœurs, arrivée jusqu’à nous ?
Cordialement.
https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.fr/
Tout à fait d’accord, mais il est plus qu’improbable que la majorité lisent des articles hautement culturels et intéressants, qui les feraient cogiter sainement sur ce qui est, avant de penser à ce qu’il faut faire. L’heure n’étant plus à la philosophie (quoi que!) mais à l’action, j’espère que certains, auront la bonne idée de suivre ton lien sur « la vérité » et de te répondre ;). Merci pour cet article à consulter 🙂
Merci de votre compréhension.
Cordialement.
Sauf que les connexions de machines avec le cerveau sont déjà en cours.
Alors mythes et légendes si l’on veut mais dans les faits …. c’est en cours .
Mon message ne remettait pas en cause certaines avancées technologiques.
Pourquoi notre monde est-il en train de devenir fou ? Bernard Stiegler commente ici son livre fondamental sur les ressorts d une société au bord de l effondrement.
Avec la connexion planétaire des ordinateurs, des smartphones et des foules que tout cela forme, les organisations sociales et les individus qui tentent de s approprier l évolution foudroyante de la technologie arrivent toujours trop tard. C est ce que l on appelle la disruption. Cette immense puissance installe un immense sentiment d impuissance qui rend fou.
https://www.youtube.com/watch?v=OPQXgOB0adY
Il oublie de dire que le chef de l’EI est passé par la moulinette des US, prison, torture, radicalisation, etc.
Sur la jeunesse, sa folie et ses excès : il en connait un rayon, il l’a lui même expérimenté et fait les frais.