Les jardiniers apprécieront. Arnaud Colombier, vient de me faire part de la sortie de son dernier livre, « Les secrets de l’électroculture« .
Vous pouvez obtenir le livre papier ou numérique aux éditions Eyrolles
au prix de 14€90 version papier et, 10€ version à télécharger.
Plus d’infos: (Note Volti: Si vous êtes intéressé et voulez le téléphone, contactez moi)
que de choses encore à apprendre ! il n’y a que peu de temps que j’ai entendu parler de l’électroculture, par Emilio je crois.
Merci pour l’article Volti.
« je crois. »
Il ne s’agit pas de croire, mais de vérifier la réalité surprenante avec certitude et pas croire au surnaturel.
A essayer sur des lychnis avec la même terre.
Les végans pour ne pas faire souffrir les animaux, découvrant que les plantes sont sensibles souffrant comme nous, ne vont plus manger de plantes, aussi !!!
Enfin votre compteur linky ou votre portable, va faire croitre vos plantes par electro stimulation.
http://www.plantonic.org/pages/lakhowski.html
Faux les plantes ne ressentent pas la douleur, elles réagissent à des stimuli mais ne possèdent pas de système nerveux et encore moins d’une conscience leur permettant de souffrir.
http://lesquestionscomposent.fr/pour-en-finir-avec-le-cri-de-la-carotte/
Possèdent-elles autre chose, que l’on ne connait pas encore, leur permettant de souffrir? Comment expliquer la migration de certaines plantes vers les sommets montagneux? théorie du grand remplacement? ou bien souffrance dû au réchauffement climatique?
C’est ce que je disais plus haut, elles ne possèdent pas de système nerveux car elles n’en ont pas l’utilité. Les plantes réagissent cependant aux stimuli, et interagissent donc avec l’environnement.
Evitez d’avoir des certitudes !
Pourtant elles manifestent leur souffrance après agression en sortant d’énormes épines, comme les robiniers faux acacias, et même se rendent inconsommables en changeant leur composition chimique pour bloquer les gazelles qui les mangent !!
Elles ont d’autres systèmes de sensations que les nôtres, mais aussi utiles pour leur vie, chimique, et aussi orientation.
Mes framboises sentent très bien les bons terrains neufs où elles vont pousser dans ma pelouse et pas les anciens terrains où elles ont poussé même 30 ans avant.
Chaque jour j’aplatis des carottes sauvages envahissantes en ce moment et le lendemain elles se redressent et poussent encore plus, pas contentes.
J’ai connu un cyprès parfaitement inoffensif avant que quelqu’un ai l’idée de lui couper la tête . Depuis c’est une horreur .
Lire aussi :
http://www.permafutur.fr/les-circuits-oscillants-lakhovsky-electroculture
http://dbloud.free.fr/Lakhovsky-TheseJLPORTES.pdf
http://www.rexresearch.com/lakhov/lakhusps.htm#fig1
de fait celui de Hertz en 1888, amélioré avec transistors, mais quasi identique dans nos portables et antennes relais !!
etc..
Nos portables, wifi, antennes relais mises partout à notre insu font les mêmes effets, parfois bons et souvent poisons, vu la complexité de leurs ondes, fréquences de porteuse, fréquences et spectres de modulation hyper-complexes, amplitudes, etc..
Des amalgames, des embrouilles, pour créer la confusion !
Au temps de Hertz, les signaux étaient analogiques, bien moins puissants et pénétrants que les signaux ou ondes numériques actuelles qui peuvent traverser des murs de plus de 50cm.
Sur votre PC entre autre, vous pouvez le constater dans l’indicateur réseau wifi, la puissance des réseaux numériques, ce qui n’était pas possible avec les réseaux analogiques.
Donc par déduction, ces ondes traversent aussi la boite crânienne, et il est probable ont une incidence sur le système nerveux et le comportement par la modification de la fréquence de communication des cellules.
Et comme l’affirme les scientifiques , tout n’est que vibrations !
Depuis les années 2000 environs, ce sont des ondes émises à des fréquences numériques, que l’on retrouvent dans :
les téléphones portables
les émetteurs satellites
les caméras
Les radars
transmission de données
Etc …
Toutes les émissions se font actuellement en numériques
Toutes les émissions se font actuellement en signaux numériques
Après avoir vu les vidéos de Philippe Forer http://www.youtube.com/watch?v=FldNFf3XVQQ
et celles de Yannick Van Doorne http://www.youtube.com/watch?v=q1CgRqZlI6Y j’ai fait des essais il y a qq années et… bof. Pas convaincue. Je n’ai peut-être pas fait exactement ce qu’il fallait.
Par rapport à l’article :
– Quel utilité d’utiliser de l’électricité pour faire pousser une plante ? Gaspillé un peu plus d’énergie ? Ça ne me semble pas du tout pertinent ! Ou alors c’est miraculeux et un petit coup de 220V fait pousser un chêne comme dans un » Asterix » !? Mais au vue des crises énergétiques que nous connaissons, hormis rendement miraculeux, rien ne semble justifier » d’arroser magnétiquement » un champs.
– Comme il a était cité précédemment : http://www.vegan-france.fr/cri-de-la-carotte.php
Il faut comprendre, mais avec un peu de jugeote c’est pas si dur et vous êtes loins d’être les derniers des cons sur ce site, que la consommation de produits d’origine animal implique au préalable l’assimilation par ces derniers de produits végétales.
[ La réalité c’est que le régime alimentaire d’un consommateur de viande nécessite plus de végétaux que celui d’un vegan ! ]
– par rapport aux commentaire :
[ Les fruits, légumes, végétaux ressentent-ils la douleur ?
La nociception : « La douleur nociceptive est générée par un récepteur spécifique, un nocicepteur, dont le rôle est de signaler les atteintes à l’intégrité de l’organisme. C’est un signal d’alarme normal, et même souhaitable dans la mesure où il induit une attitude appropriée et dont l’absence pose de gros problèmes au système. » (Wikipédia)
La douleur est liée à la présence de nocicepteurs. Les animaux possèdent ces nocicepteurs, à contrario les plantes, fruits et légumes n’en possèdent pas, ou rien de scientifiquement comparable. L’avantage principal de la nociception étant de permettre aux individus de développer des comportements d’évitements appris. Toute tentative d’entrave au bon fonctionnement d’un organisme mobile provoque des réactions en chaine liées à ces nocicepteurs. La douleur est ressentie de façon similaire chez tous les êtres vivants dotés d’un système nerveux (Humains et règne animal). Un visage, des sens (vue, odorat, ouïe, goût, toucher), et une motricité. Vous pouvez devenir ami avec un cochon, un chien, un perroquet, une souris, une vache, un cheval, etc. Qui est prêt à réfuter l’intelligence, la conscience et les capacités cognitives poussées des dauphins, des oiseaux, des chiens, des chats, des primates, des éléphants ou encore des fourmis ?
Les plantes sont bien vivantes et dotées d’une sensibilité, tous le monde est prêt à l’admettre, les véganes y compris. En revanche ce dont nous sommes tous certains, c’est que tous les animaux sont doués d’un systeme nerveux, d’un cerveau, d’une sensibilité, d’une mémoire, d’une conscience et d’une intelligence. Le cri de la carotte cache en réalité une autre problématique bien plus sombre en défaveur des animaux, le SPÉCISME.
Le spécisme, un comportement à deux facettes
L’être humain aime et protège les animaux, ou exploite et tue les animaux en fonction de critères familiaux, religieux et culturels. Le spécisme est semblable au racisme ou au sexisme. C’est une discrimination basée sur l’espèce, qui fait de l’espèce en soi un critère moral pour déterminer la manière dont un être de telle ou telle espèce doit être traité. Certains vivrons le paradis, d’autres l’enfer et la mort prématurée et celà n’as rien à voir avec le néant-argument du cri de la carotte ]
Merci pour tes précisions
Donc pour résumé : Il y à bien des réponses à des stimuli chez les plantes.
Par contre la douleur ? Ce n’est pas logique, car il n’est pas logique qu’une plante ressente de la douleur alors qu’elle n’a aucun moyen de s’en extraire contrairement à l’animal qui prendra dés lors une position face à la douleur : Fuite, combat ou mémorisation de cette douleur afin de l’éviter.
La nature est bien faite, mais elle ne le serait visiblement pas si en plus de se faire brouter, la plante souffrirait sans pouvoir s’en prémunir.
Alors pour répondre à ton commentaire » DERECO » ben les végans en résumé : mange des plantes parce, hormis le règne animal, c’est le seul règne comestible. Ils en mangent sans remord : Ca souffre pas une carotte mec ! Et puis ils en consomment moins que les omnivores en faite… les végans consomme directement les végétaux alors que les omni les filtre à travers le corp d’un animal (avec toutes les pertes que calorifique que cela implique).
Pour ceux qui souhaite parler véganisme, histoire d’y voir un peu plus clair et de répondre à leurs éventuels questionnement , je vous propose d’aller sur ce groupe (FB) https://www.facebook.com/groups/1024763627590218/
Les gens y sont très patient et vous aurez certainement la réponse à pas mal de vos interrogations !
il me semble que j’en est parler il y a un moment de l’électroculture en disant que la ville de Beauvais été une référence en la matière il y a longtemps
https://usbeketrica.com/article/le-savant-qui-fait-chanter-les-particules
il y en avait d’autres mes sa très longtemps que j’ai chercher sa donc je me rappel plus des autres désoler
Sombre les plantes ,fleur ressente avant de leur faire quelque chose peut être faut t’il arrêter de penser en rapportent tout a l’humain et au animaux et s’ouvrir à tous
il y a tellement de diversité et nous un regard tellement limité
http://www.terraeco.net/plantes-parlent-entre-elles,52244.html
http://dailygeekshow.com/arbres-connexion-racines/
http://swagactu.com/science-prouve-les-plantes-ressentent-douleur-communiquent-telepathie.html
@ Sephiros
Il y a plein d’expérience avec les plantes, notamment leurs sensibilités à la musique dans leurs développement. Maintenant c’est la notion de douleur qui n’est pas scientifiquement prouvé. Rien de plus ! Les Vegans reconnaisse volontiers cette sensibilité et sont d’accord pour dire que c’est une forme de vie. Mais ce n’est en rien comparable à de la douleur : ce sont des réactions à des stimuli environnementaux
C’est justement une réflexion anthropomorphique de rapporter la douleur animal aux végétaux.
La « notion » de douleur n’est pas scientifiquement prouvée, mais comment expliquer qu’une plante que l’on brûle à un endroit envoie un signal à une repousse issue d’elle située à des kilomètres qui va contracter ses feuilles au même moment ? et ça c’est scientifiquement prouvé.
Les plantes comprennent quand on leur parle et s’expriment aussi, c’est une constatation que j’ai faite des quantités de fois. Passant devant l’une ou l’autre dans mon appartement, sans même la regarder ni penser à elle, je me suis sentie interpellée et se formait dans ma pensée la demande qui m’était faite.
C’est un constat simplement.
Oui comme j’ai préciser : Il y a d’étonnantes réactions avec les plantes.
Par exemple les champignons développe leurs réseaux de racine ( mycélium ) de manière si précise et d’une telle ingéniosité que les humains souhaite comprendre ce fonctionnement pour l’adapté au réseau de transports.
http://www.gurumed.org/2011/05/14/vido-des-champignons-gluants-retracent-le-rseau-routier-despagne/
La musique aurait aussi une influence sur le développement des plantes.
Maintenant est-ce une forme d’intelligence pensante, ou des réactions chimiques ? Est-ce un processus cognitif ou simplement une forme d’évolution pour la préservation de l’espèce ?
Il y a surement des choses qui nous échappe, je veux pas être catégorique. Peut-être que la réalité se situe entre les deux.
Pour ma part, je me suis positionné dans mes messages face aux commentaire de DERECO qui disait que si les vegans pensait que les plantes étaient vivante, nous n’en mangerions plus. C’est un argument souvent utilisé pour justifier que, puisque les plantes seraient elles aussi vivante, alors ce n’est pas grave si on mange des animaux. Ce qu’on résume par » le cri de la carotte » .
Malheureusement, si ont ne mange ni animaux ni végétaux : il ne reste plus rien. Personnellement, je digère mal les cailloux et j’ai peur de devoir changer régulièrement de toilettes.
Les végans ne réfute pas le caractère vivant d’une plantes. Mais comment le comparer à un animal?
Et comment vivre, si ont refuse de s’alimenter?
La réponse est simple : la forme de cohabitation la plus harmonieuse est de consommer les végétaux directement (au lieux de les filtrer à travers le corps d’animaux après consommer ces derniers) et lors de notre mort, de retourner à la terre pour servir d’engrais.
C’est le cycle du vivant le plus éthique, qui nuis le moins à l’environnement, à la santé, aux autres êtres humains, qui nécessite le moins d’eau, le moins de terre, le moins d’énergie (fossile ou non).