Au delà des polémiques sur le mouvement révolutionnaire de Mai 68, et le rôle d’un certain Cohn-Bendit, « Dany le rouge » pour les intimes, leader de la contestation universitaire. Il y avait les 10 millions d’ouvriers grévistes dans la rue, le pays était bloqué et… le gouvernement de l’époque avec Pompidou pour 1er ministre, dépassé par l’ampleur de la colère, a cédé. Ci dessous, la chronologie des évènements d’une journée, relatés par Libération, journal qui a su à l’époque s’engager. Vous y étiez? Racontez nous….
Le soleil se lève, rue de Grenelle, sur les visages gris, les yeux rouges, les nuits blanches. Les délégations sont enfermées depuis une quinzaine d’heures, on a bien cru ne pas en sortir; à 3 heures du matin, rien n’était réglé. L’annonce de la tenue, ce soir au stade Charléty, d’un grand rassemblement syndical, Unef, SNESup, FEN, CFDT (et PSU), semble avoir donné des ailes à la CGT, qui redoute cette alliance. Krasucki se redresse sur son fauteuil et lance: «Il faut en finir.» On tranche dans le vif, la réduction du ticket modérateur de la Sécu (5%), le paiement des journées de grève (50%), et l’on renvoie aux calendes les questions qui fâchent, comme la fonction publique, l’échelle mobile et les ordonnances sur la Sécurité sociale.
A 4h30, on se sépare de nouveau en commissions pour rédiger un texte de compromis. A 7h40, Georges Pompidou, exténué, bredouillant, lit en séance plénière le «protocole d’accord» de Grenelle: le Smig (salaire minimum interprofessionnel garanti) passe de 2,22 francs à 3 francs de l’heure, les salaires augmentent de 10% (7% au 1er juin, 3% en octobre), un accord-cadre est prévu pour aller vers la semaine de 40 heures, le ticket modérateur passe de 30% à 25%, une refonte du droit syndical en garantira la liberté à l’intérieur des entreprises, les conventions collectives seront mises à jour, allocations familiales, formation, fiscalité, etc. Rien pour les étudiants. Le Monde évalue vite fait l’addition à «15 milliards de francs supplémentaires injectés dans les circuits de la consommation [« ] Aucune monnaie ne saurait résister à un tel flux supplémentaire». Mais personne ne signe: les syndicalistes doivent consulter leur base.
Ce n’est pas gagné. Le test de Billancourt ne passe pas. Séguy se rend à l’Ile-Séguin, où le meeting a commencé sans lui, dans l’ignorance de l’accord, sur le mot d’ordre: «Poursuivons la grève jusqu’à la victoire totale.» Frachon et Séguy sont porteurs d’un compromis, de promesses, mais pas de victoire totale, ils rament en vain pour convaincre de l’intérêt de Grenelle, puis se résignent à suivre leurs troupes: le travail ne reprendra pas, Jeanson, pour la CFDT, s’en félicite. Séguy s’en sort par un aveu d’impuissance en forme de pirouette: «A la demande du gouvernement au sujet de la reprise du travail, nous avons indiqué que nous n’avions pas lancé l’ordre de grève et qu’il nous était donc impossible de donner un ordre de reprise.» Les dix millions de grévistes de France sont au diapason de Renault, on vote presque partout la poursuite de la grève.
En fin de matinée, les Parisiens subissent leurs premières coupures d’électricité. L’intersyndicale de l’ORTF renonce au journal de 20 heures qu’elle assurait. Alain Geismar, à qui le congrès du SNESup vient de renouveler sa confiance, démissionne de ses responsabilités pour se consacrer à un engagement plus politique. Pour la première fois depuis un mois, les manifestations de cet après-midi, tant en province qu’à Paris, sont autorisées. Pour tenter de détourner les Parisiens de Charléty et éviter la jonction étudiants-travailleurs qu’elle redoute, la CGT organise douze rassemblements à Paris, qui se déroulent et se dispersent sans incident.
Symboliquement, Charléty est assez bien situé entre l’usine de la Snecma, en grève, et la Cité universitaire. Le rendez-vous est fixé à 17h30 au carrefour des Gobelins, ils sont 10 000 au départ du cortège, avec Michel Rocard, Claude Bourdet, Pierre Mendès France dans les premiers rangs, aux côtés des syndicalistes. Les manifestants sont 50 000 sur les gradins et la pelouse de Charléty quand, à 19h15, Jacques Sauvageot prend la parole sous le slogan scandé: «ce/n’est/qu’un début/continuons le/combat» (ad libitum). André Barjonet, tout auréolé de sa démission de la CGT et du Parti communiste, et adhérent tout frais du PSU, est écouté et chaleureusement ovationné: «Pour moi, un mouvement révolutionnaire, cela ne veut pas dire seulement une situation où il y a de l’agitation et des millions de travailleurs en grève, mais une situation où l’on peut faire la révolution [« ] Ce que veulent les travailleurs, c’est désormais le pouvoir ouvrier dans les usines; et les étudiants, le pouvoir étudiant dans les universités.
La révolution exige un foisonnement d’idées mais il faut s’organiser pour abattre le régime actuel et marcher vers la révolution socialiste.» Pierre Mendès France, à la fois discret et très présent, s’approche de la tribune, on clame son nom, on lui tend un micro. L’ancien président du Conseil décline l’invitation: «Nous sommes ici à une réunion syndicale, ce n’est pas à moi de parler.» La journée des politiques est pour demain, chacun rentre chez soi dans un calme appuyé.
(Demain: Mitterrand annonce sa candidature à la présidence de la République.)
Source Jean-Baptiste HARANG pour LibérationVoir:
Quefaire.lautre Quand-la-France-prit-feu-Mai-68
Cette affiche symbolise la fin de la révolution de Mai 68 avec son slogan « Retour à la normale ». Comparée à des moutons (qui suivent un guide) , la population française mais plus particulièrement les jeunes et les ouvriers montrent une certaine déception car ce fut un échec sur le plan politique .
Citation
Une parabole chinoise de Liu-Ji, datant du 14ème siècle, illustre bien cette lecture négligée du pouvoir politique : Dans l’État féodal de Chu, un vieillard survivait en gardant des singes à son service. Les gens l’appelaient « Ju gong » (Maître singe).
Chaque matin, le vieil homme rassemblait les singes dans sa cour et donnait l’ordre à l’aîné d’emmener les autres dans la montagne ramasser des fruits sur les arbres et dans les buissons. La règle exigeait que chaque singe donne le dixième de sa récolte au vieillard, et ceux qui ne le faisaient pas étaient violemment fouettés. Tous les singes en souffraient mais n’osaient s’en plaindre.
Un jour, un jeune singe s’adressa aux autres : « Le vieil homme a-t-il planté tous les fruitiers et buissons ? »
Les autres répondirent : « Non, ils ont poussé naturellement. »
Le jeune singe insista : « Ne pouvons-nous pas prendre les fruits sans la permission du vieil homme ? »
Les autres répondirent : « Si, nous pouvons tous le faire. »
Le jeune singe continua : « Alors pourquoi devons-nous dépendre du vieil homme ; pourquoi devons-nous tous le servir ? »
Avant que le petit singe ne finisse sa phrase, tous les autres avaient compris et s’éveillaient. La nuit même, s’assurant que le vieil homme était endormi, les singes détruisirent l’enclos dans lequel ils étaient confinés. Ils prirent les fruits que le vieil homme avait emmagasinés et les emportèrent dans la forêt pour ne jamais en revenir. Le vieil homme finit par mourir de faim.
Yu-zu-li conclut : « Certains hommes, dans le monde, dominent leur peuple par l’imposture et non pas par la justice. Ne sont-ils pas comme le Maître singe ? Ils ne se rendent pas compte de leur confusion d’esprit. Dès que leur peuple comprend la chose, leurs ruses ne fonctionnent plus. »
N’oublions pas que « mai 68 » était, avant tout, une opération de la C.I.A. destinée a évacuer le général de Gaulle !
initié par le pédophile de service: Daniel Cohn-Bendit, certainement déjà appointé à l’époque par les américains !
Raymond Aron analyse Mai 68
https://www.youtube.com/watch?v=_DzyjeuaDd4
Ou quand les escrocs de libé racontent une version de l’histoire qui les arrange pour mieux faire passer la pilule qui va arriver.
Soyons sérieux, libé c’est la pravda stalinienne, avec son jumeau le nouvel obs.
Les considérer comme des sources fiables quelques instants, ce serait comme prendre en référence reseauinternational qui sort régulièrement des gros mensonges…
Le seul effet intéressant de mai 68, outre qu’il a permis à ses organisateurs de prendre les places qu’ils voulaient, c’est de montrer le grand courage d’un certain De Gaulle qui partit bien vite en Allemagne (l’Angleterre ayant déjà été faite).
Assez ambigus votre texte.pour TYR
« c’est de montrer le grand courage d’un certain De Gaulle qui partit bien vite en Allemagne (l’Angleterre ayant déjà été faite). »
Ha bon ,parce que partir en Allemagne (en fait (rencontré le GG Salan))laisse entendre « un manque de courage? »alors qu’il démissionne par la volonté du peuple ,c’est pas 10% des voix qui font démissionner la Baudruche Hollande.
J’aurais mal interpréter que je vous propose mes excuses ok.
Cela m’étonnerait qu’en cas de péril en la demeure De Gaulle (avec un D majuscule caractéristique des noms flamands et non le de nobiliaire) serait allé voir le général Salan, qui fit partie du putsch des généraux contre la trahison gaulliste.
Il est allé voir le général Massu, qui s’occupait des forces françaises en Allemagne.
Il n’a pas démissionné par la volonté du peuple, il a démissionné par orgueil après l’échec de son référendum (qui ne le mettait pas en cause). Il laissa la place à son premier ministre qui lui devait sa carrière politique, un certain Pompidou, ancien agent des Rotschild.
C’est cool
merci
Il avait tellement d’orgueil qu’il a démissionner,hahahah
hahah
bien vu et merci de vos précisions attrape nigauds.
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De toute facon tout le monde sait que Salan était pourris et vous trouvez MASSU ,ben bravo ,vous aimez vous rendre utile ?
C’est pas la première X que vous prenez le contre pied des évidences (surtout en critiquant le GG De GAULLE ).
Vous êtes Français ?et si vous l’êtes SACHEZ que la FRANCE et DE GAULE C’EST FRANCAIS .
PAS VOUS
Qui a cité Salan?
Mon pauvre rouletaboulette, toujours en pleine confusion on dirait…
Je prends le contre-pied des évidences? Évidences de quoi?
Déjà on écrit De Gaulle avec deux L et un D majuscule, c’est un fait.
Un petit défi pour qui voudra le relever: trouvez moi l’enregistrement officiel de l’appel du 18 juin 40.
Un événement aussi important a bien été sauvegardé pour l’histoire, je présume… ou pas.
Je ne sais pas si vous avez l’alcool mauvais, mais l’alcool confus, c’est une certitude.
Coucou Rouletabille
Le Général de Gaulle est allé en Allemagne, à Baden-Baden ( quartier général des forces françaises en Allemagne )
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/le-monde-2/article/2008/05/22/de-gaulle-rencontre-massu-a-baden-baden_1048083_1004868.html#sIFYEUC0vpSP3w14.99 pour rencontrer le Général Massu et d’autres Généraux pour s’assurer de leur loyauté en cas de serieux problèmes en FRANCE suite aux évènements sociaux et politiques.
http://www.lemonde.fr/le-monde-2/article/2008/05/22/de-gaulle-rencontre-massu-a-baden-baden_1048083_1004868.html
Il a rencontré le Général MASSU et non pas le Général Salan ( Salan qui avait organisé le putch des Généraux qui voulaient que l’Algérie reste française, et dirigé l’OAS ). C’est l’OAS qui a dirigé l’attentat du Petit Clamart contre le Général de Gaulle !
https://www.youtube.com/watch?v=hDoL68mh7C8
Extrait de Wikipédia : » Partisan de l’Algérie française, Salan dirige l’OAS après l’échec du putsch des généraux en 1961. Il est arrêté à Alger le vendredi 20 avril 1962 après un an de clandestinité et le 23 mai 1962, après avoir revendiqué ses responsabilités à la tête de l’OAS, est condamné par le Haut Tribunal militaire à la peine de détention criminelle à vie, verdict que le chef de l’État – souhaitant que Salan soit fusillé – considérait trop clément, ce qui entraînera la dissolution du tribunal par le général de Gaulle le 27 mai 1962, alors que le général Jouhaud avait été condamné à mort par le même tribunal le 13 avril précédent. Le 8 décembre 1962, il est transféré en même temps que le général Jouhaud à la prison de Tulle où sont incarcérés les officiers généraux et supérieurs impliqués dans les combats pour l’Algérie française.
Le 15 juin 1968, dernier occupant de la prison de Tulle, il est libéré par grâce présidentielle à la suite des événements de mai 1968. «
Merci Mata Hari,TYR prend la tangente au lieu de me répondre .
Ce que je dis c’est la réflexion de mon père qui ne m’a JAMAIS mentis,même pour mon bien..
J’avoue ne pas etre intéresser sur la clique des GG de l’époque et le sujet était..
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Assez ambigus votre texte.pour TYR
« c’est de montrer le grand courage d’un certain De Gaulle qui partit bien vite en Allemagne (l’Angleterre ayant déjà été faite). »
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Et il répond dans le sion.
Bisous charmante Mata Hari et merci
les soixante huitard,certains sont au parlement d’Europe,grassement payés
d’autres font des croisières avec de bonnes retraites
d’autres sont devenus des bobos néo- cons
et pour le reste,ils n’ont que faire de cette période
de toute façon,c’était voulu pour dégager de Gaulle,d’ailleurs le pompidou
a mis en place,plus tard,la fameuse loi sur l’emprunt
il est interdit d’interdire! ahhaha !
le slogan révolutionnaire
on est en période pokemon go,pour l’instant,faudra attendre pour la révolte
des bobos-crétinus!
1968 : Coloré début de la première révolution de « fleur-cia-couleur ».
201? : Noirceur et apothéose du processus chaotique destructif initié.
Tout coule, tout découle…Rien n’arrive par hasard.
J’étais en seconde et ce jour là nous avons défilé dans ma ville de province, dans le plus grand calme !
–
Notre lycée, de jeunes filles, était en grève, tout comme le lycée de garçons, et, tous les jours, nous nous réunissions dans une salle de la ville pour discuter… surtout de la fusion de nos deux lycées !
Et nous avons eu l’impression d’avoir gagné car en septembre 69, notre lycée accueillait les garçons ! Grande victoire donc !!
Aujourd’hui, avec le recul, je sais que nous nous sommes faits manipuler et avoir et je ne suis plus du tout fière d’avoir participé à ce mouvement qui a plongé la France dans la décadence !
Belle conclusion, merci Sichri
Etienne de la Boétie, la tyrannie et nous
[…]
La Boétie, 1548 : « Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu’il est assujetti, tombe soudain dans un si profond oubli de sa liberté qu’il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir : il sert si bien, et si volontiers, qu’on dirait à le voir qu’il n’a pas seulement perdu sa liberté mais bien gagné sa servitude. Il est vrai qu’au commencement on sert contraint et vaincu par la force ; mais les successeurs servent sans regret et font volontiers ce que leurs devanciers avaient fait par contrainte. Les hommes nés sous le joug, puis nourris et élevés dans la servitude, sans regarder plus avant, se contentent de vivre comme ils sont nés et ne pensent point avoir d’autres biens ni d’autres droits que ceux qu’ils ont trouvés ; ils prennent pour leur état de nature l’état de leur naissance. »
Laclos, 1784 : « Ô ! femmes, approchez et venez m’entendre. Que votre curiosité, dirigée une fois sur des objets utiles, contemple les avantages que vous avait donnés la nature et que la société vous a ravis. Venez apprendre comment, nées compagnes de l’homme, vous êtes devenues son esclave ; comment, tombées dans cet état abject, vous êtes parvenues à vous y plaire, à le regarder comme votre état naturel ; comment enfin, dégradées de plus en plus par votre longue habitude de l’esclavage, vous en avez préféré les vices avilissants, mais commodes, aux vertus plus pénibles d’un être libre et respectable. Si ce tableau fidèlement tracé vous laisse de sang froid, si vous pouvez le considérer sans émotion, retournez à vos occupations futiles. Le mal est sans remède, les vices se sont changés en mœurs. Mais si au récit de vos malheurs et de vos pertes, vous rougissez de honte et de colère, si des larmes d’indignation s’échappent de vos yeux, si vous brûlez du noble désir de ressaisir vos avantages, de rentrer dans la plénitude de votre être, ne vous laissez plus abuser par de trompeuses promesses, n’attendez point les secours des hommes auteurs de vos maux : ils n’ont ni la volonté, ni la puissance de les finir, et comment pourraient-ils vouloir former des femmes devant lesquelles ils seraient forcés de rougir ; apprenez qu’on ne sort de l’esclavage ; que par une grande révolution. »
[…]
http://reseauinternational.net/etienne-de-la-boetie-la-tyrannie-et-nous/
@ Tyr,
Je ne relève pas ton défi, parce qu’il est impossible de le relever !
L’Appel que l’on dit du » 18 Juin » a bien été enregistré, mais le 22 Juin 1940
https://www.youtube.com/watch?v=RfU90MTkYE4
Et pour les détracteurs du Général de Gaulle ( Un être humain hors norme, visionnaire, qui nous avait prévenu de ce que les USA allaient faire de notre pays, et un Président, le meilleur que la France ait eu, jusqu’à aujourd’hui, même s’il a fait des erreurs ) – Il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne font pas d’erreurs – donc pour les détracteurs, cette petite expression de Philippe Néricault Destouches au XVIIIème siècle :
» La critique est aisée, mais l’art est difficile ! «
Ce n’était pas l’appel du 18 juin, mais l’appel du 22… rien à voir.
Moi, je demande à entendre l’appel du 18 juin, le vrai, celui qui a fait connaître l’un plus fameux speakrin de la BBC.
Mai 68 : quand Georges Marchais démasquait les faux-révolutionnaires tel Cohn-Bendit
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Mai-68-quand-Georges-Marchais-demasquait-les-faux-revolutionnaires-tel-Cohn-Bendit-13549.html
Georges Marchais : « Fais les valises, on rentre à Paris »
http://www.ina.fr/video/I00019636
Accords de Grenelle : 25-27 mai 1968
Alors que le gouvernement n’avait rien dit ni noué le dialogue jusque-là, le Premier ministre Georges Pompidou accepte alors de discuter avec les syndicats et convoque le 25 mai une réunion tripartite entre gouvernement, patronat et syndicats.
Les années qui précèdent mai 68 voient monter les motifs de mécontentement des salariés. Les augmentations salariales ralentissent, le SMIG horaire est de 2,22 F (2,50 € environ) à la veille des évènements de mai. Les conventions collectives sont très inégales. Entre 1964 et 1967 les négociations sont bloquées à tous niveaux. Le chômage, surtout celui des jeunes, commence à monter, de 300 000 en début 1967 il passe à 450 000 en avril 68 (G. Pompidou pensait que le seuil dangereux était à 500 000 !)… Pendant le même temps, les entreprises et les postes de travail commencent à connaître de grandes mutations technologiques (les machines à commandes numériques, par exemple) et le besoin de qualifications s’élève, avec l’arrivée des techniciens supérieurs. Les conflits du travail se multiplient, avec des grèves dures, parfois très longues, qui se heurtent à l’intransigeance patronale et souvent ne débouchent sur aucun résultat, générant l’amertume.
http://www.clesdusocial.com/accords-de-grenelle-25-27-mai-1968
Le code du travail, ce 68ard !
Le 27 mai 1968, en pleine grève générale, les accords de Grenelle sont signés entre syndicats, patronat et gouvernement. Trois jours plus tard, c’en est fini de mai 68… du moins dans la rue. Car dans les textes, le droit du travail a été profondément bouleversé: Grenelle marque le début d’un mouvement législatif plus protecteur pour les salariés.
Les effets directs:
Le SMIG augmente de 35% (+56% pour les salariés agricoles).
Les salaires augmentent de 10% en moyenne.
La section syndicale d’entreprise et l’exercice du droit syndical dans l’entreprise sont reconnus par la loi.
Le passage par étapes aux 40 heures de travail hebdomadaire est acté.
Les conventions collectives sont révisées. La part des primes dans la rémunération diminue au profit de celle du salaire.
L’accès au remboursement des soins (visites et consultations) par la Sécurité sociale est élargi.
http://mai68.typepad.fr/mon_weblog/2008/05/lapport-de-mai.html
Petite parenthèse !
La généalogie de notre » bon roi François »
Extrême droite, OAS….. On comprend mieux certains comportements !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_de_Fran%C3%A7ois_Hollande
Mata Hari, cherches d’autres sources pour une accusation aussi sérieuse s’il te plaît.
Je n’ai pas l’habitude de consulter WikiCIA pour m’informer sur la politique française.
Parfois dans la vie, il faut changer ces habitudes Balou, les habitudes çà devient monotone à la longue, le changement peut donner une nouvelle vision des choses ! Et personne ne t’oblige à consulter cette page, moi je n’accuse rien, j’ai seulement recopié ce que j’ai lu qui est écrit par d’autres, j’ai seulement dit : » On comprends mieux certains comportements » En fait j’aurai dû écrire » certaines décisions politiques «
Wiki, ou le chaos contrôlé
par Israel Shamir, 15 mai 2008
traduit de l’anglais par Marcel Charbonnier
http://www.israelshamir.net/French/Wiki.htm
On comprend mieux, ou on se fait plus embrouiller..?
Bref, ceux qui sont contre l’héritage de mai 68 sont au choix des gens :
– qui ont des troubles de mémoire passagers.
– qui ont des sérieuses lacunes concernant l’histoire de France au 20e siècle.
– qui croient bêtement ce qu’on leur a inséré dans le crâne et le répètent sans s’informer.
– qui ont toujours été engraissés au-dessus des minimum sociaux.
– dont le but est d’effacer de la mémoire collective toute partie de l’Histoire qui ne leur convient pas.
Heureusement que les étudiants et les ouvriers de 68 ne les ont pas attendu pour défendre leurs revendications, je ne vous dis pas à quel niveau d’esclavage nous en serions aujourd’hui…
Le vrai problème ne vient pas des évènements de 68 mais après. De Gaulle était un grand personnage mais il a fait son temps, comme tout le monde. L’héritage qu’il a laissé, c’est Pompidou …, et après Giscard… Ouf, nous avons pu respirer un peu en 81.
Et Israël… De Gaulle refusait de lui fournir la Bombe, mais Israël l’a obtenu sous De Gaulle. Alors, il était un brillant général, mais ça ne suffit pas en temps de paix pour gérer les affaires internes d’un pays. C’est à cause de ça que son référendum l’a mis à l’écart. Il a eu l’honnêteté de démissionner. C’était un homme droit, franc. Point. Depuis de l’eau a coulé sous les ponts, et ses adorateurs recherchent toujours désespérément son clone, en vain…
Je ne rentre dans aucune de vos catégories qui sont contre l’héritage, alors…
Qui suis-je ?
Je ne suis pas contre l’héritage, quoique ça dépend du montant…
Qui êtes-vous ? Une femme qui était en seconde en 68. Pour l’instant j’en sais pas plus..
PS : Ça dépend du montant de l’héritage et surtout comment il a été constitué. S’il est avéré ultérieurement que c’est de l’argent indûment gagné, confiscation..
Mais oui bien sûr, mai68 nous a ouvert à un monde meilleur…
Comment peut-on dire des absurdités pareilles de façon sérieuse?
C’est typique de gens qui ont été manipulés par une vision gauchiste de l’histoire récente. Le remède est simple mais fatigant: il faut aller lire tous les avis sur le sujet, et pas seulement la propagande officielle socialiste.
Cela dit, c’est en total raccord avec l’hagiographie de De Gaulle qui suit.
C’est totalement incohérent, puisqu’on devrait pas pouvoir être à la fois pour De Gaulle et pour ceux qui ont voulu le chasser du pouvoir, mais ce pauvre général à titre temporaire est devenu un mythe qu’il convient de garder intact et de parer de toutes les vertus, même celles qu’il n’a jamais eu.
De Gaulle était un menteur. Il l’a même avoué dans ses mémoires, quand il a reconnu avoir menti pour parvenir à la destruction de l’Algérie Française, département à l’époque.
Il a ensuite menti aux partisans de la France qu’il a laissé massacrer sur place (nombreux ouvrages avec photos, pour ceux qui ont du mal avec la lecture)
Il a menti aussi pour son action pendant la première guerre mondiale, il y a plusieurs ouvrages sur le sujet, à lire pour s’informer.
Il a menti avec son « appel du 18 juin », qui ne peut pas avoir été celui que l’on peut lire un peu partout, et qui confond armistice et capitulation. Armistice signé le 22 juin, ce qui signifie que du 18 au 22 les combats avaient encore lieu, rien n’était perdu.
Il refusait de donner la bombe mais Israel l’a eu quand même sous sa gouvernance. C’est incohérent mais ça ne vous dérange pas.
Bref, le message de Balou est de la propagande bien apprise et bien récitée. Il faut juste se le répéter sans réfléchir surtout et ça passera.
C’est ma maman qui me l’a dit…
Encore la haine vorace du grand Charles ?
https://lesmoutonsenrages.fr/2014/02/17/de-pompidou-a-hollande/#comment-253843
Sauf que vous ignorez (ou omettez) que De Gaulle avait contre lui l’ensemble des corps constitués composant le pouvoir invisible français.
Sa « puissance » ne reposait uniquement que sur le soutien inconditionnel du peuple français à sa personne.
…Et il le savait parfaitement!
C’est pour cette raison, qu’à chaque fois où ce soutien vint à faillir il se retirera, évitant ainsi une déconfiture certaine, voir pire, une guerre civile.
Pour le reste, Il n’aimait ni pompe-doux-les-sous, ni VGE …tout deux imposés par le système.
Mais heureusement qu’après,…. nous avons eu Mitterrand pour assassiner les vilaines « trente glorieuses ».
>imposés par le système.
Admettons.
De quel système parle-t-on?
Il semblerait que lorsqu’un système n’avait pas la faveur de De Gaulle, il envisageait tout simplement de le changer.
Qui a crée la cinquième ripoublique, dont nous pouvons profiter chaque jour de l’incurie et de sa perversité institutionnalisée?
Qui a dit « j’ai rendu la république à la France, je ne vois pas pourquoi je ne lui rendrai pas la franc maçonnerie » ?
Pompidou… regardons brièvement sa biographie autorisée (wiki machin):
>Son père milite à la SFIO, ce qui conduit Georges Pompidou à faire de même dans sa jeunesse.
>Hostile à l’Action française, il milite à la LAURS (faisant parfois le coup de poing avec des militants de la droite nationaliste) et s’inscrit au début de 1930 à une société secrète d’inspiration trotskiste qu’il appelle dans ses lettres « Le Front unique »3. Il se passionne pour la littérature et la politique, en particulier pour la SFIO, où il admire Joseph Paul-Boncour.
>Il obtient en 1944, par le biais d’un ami gaulliste, René Brouillet (qu’il a connu à l’École normale supérieure10), un poste de chargé de mission pour l’Éducation nationale au cabinet du général de Gaulle, président du Gouvernement provisoire de la République française dont il devient progressivement un homme de confiance.
>Lors de la mise en sommeil par de Gaulle du RPF, il recrute Olivier Guichard pour le remplacer, et entre, avec l’appui d’un ami, René Fillon, à la banque Rothschild, en 1954 ; il occupe ce poste jusqu’en 1958.
>Lors du retour au pouvoir du général de Gaulle, en 1958, il sort de l’ombre en devenant son directeur de cabinet jusqu’à son installation à l’Élysée : de Gaulle l’invite à s’installer à ses côtés dans la voiture présidentielle lors de son investiture. Ayant participé à la rédaction de la constitution, il est nommé, en mars 1959, au Conseil constitutionnel, où il siège jusqu’en 1962. À la demande de De Gaulle, il entre en contact avec le FLN lors de discussions qui ont lieu à Neuchâtel et à Lucerne, en Suisse, préparant ainsi les accords d’Évian.
Voilà, la dernière citation explique tout. Il n’a pas été imposé par le système à un pauvre De Gaulle qui n’en voulait pas, c’était un homme de confiance qui partageait les vues de son maître.
J’étais trop jeune en 68. Ma mère était pour De Gaulle sans aucune hésitation, en raison de la guerre et de son dénouement heureux. Quand j’ai eu l’âge de voter, De Gaulle avait disparu depuis longtemps. La droite affirmait être l’héritage du Général.. J’ai vite compris que cette droite ne roulait que pour les nantis. Ce n’était pas le cas de De Gaulle, qui pensait au peuple français avant sa propre personne, d’après les conclusions que j’en ai tiré. A vrai dire, la politique ne m’intéressait pas. Tous les mêmes pensais-je à 18 ans.
Aujourd’hui je ne pense plus ça. Le problème est qu’en France c’est le désert.
Mitterrand n’a jamais pu réaliser son programme, la droite a tout fait pour l’en empêcher. Sans parler des américains…
Eh oui, toujours eux…
La droite… la droite du trotskyste Pompidou et du rad soc Chirac? Vous savez Chirac, le mec de droite qui a fait dissoudre l’assemblée de droite par son âme damnée Juppé pour avoir une majorité de gauche et retrouver des ministres socialistes et communistes dans le gouvernement Jospin…
Oser dire que le pauvre Mitterrand n’a pas pu réaliser son programme à cause de la vilaine droite, c’est stupide et ridicule.
L’assemblée nationale n’était-elle pas à gauche en 81?
Mitterrand était-il de gauche? Mitterrand la francisque? Mitterrand qui manifestait avec la cagoule en scandant « les métèques dehors! » ?
De Gaulle pensait à la France avant sa propre personne? Pourquoi a-t-il demandé à pouvoir devenir sujet de sa gracieuse majesté en cas de défaite des alliés, alors?
Pourquoi a-t-il démissionné quand la France frôla la guerre civile?
Tyr, voici un exemple de la stupidité de votre raisonnement. Je ne vais pas faire la liste des nombreux autres exemples que je peux citer tellement elle est longue.
> L’assemblée nationale n’était-elle pas à gauche en 81 ?
Tout à fait, mais pas le Sénat, tenu par la droite jusqu’au milieu des années 2000. Ni le Conseil Constitutionnel, dont les présidents n’ont été désignés par François Mitterrand qu’en 1983 jusqu’en 1995 (Denis Mayer puis Robert Badinter). En 1986, perte de la majorité socialo-communiste à l’assemblée et Chirac premier ministre jusqu’en 1988.
Mitterrand n’a jamais eu les pleins pouvoirs. Dont acte.
Mentir c’est mal.
Élections sénatoriales de 1983
http://www.france-politique.fr/elections-senatoriales-1983.htm
Groupe de l’Union des Républicains et des Indépendants 15,8%
Groupe du Rassemblement pour la République 18,3%
sénateurs non inscrits à un groupe 1,6%
J’ai rajouté les non inscrits, alors qu’ils n’étaient pas tous « de droite ». total: 35,7%
Ceci ne s’appelle pas une majorité.
La gauche n’avait pas non plus la majorité absolue, parce qu’il y avait le parti centriste (des démocrates de progrès). Le nom fait rire, mais le centriste n’est pas forcément opposé à la gauche (surtout avec un nom pareil, les « forces de progrès » ayant été largement utilisées par la gauche).
Donc dire que la droite tenait le sénat jusqu’au milieu des années 2000 est un mensonge.
Mitterrand avait donc dès 1983 le champ libre pour faire la politique qu’il voulait (la fameuse rigueur).
Ensuite les gens ont décidé de revoter pour la droite (du ps) et Mitterrand a choisi comme premier ministre celui qui lui avait permis de gagner en 81, le très à gauche et très traitre chirac.
1981-2011 : le Sénat au travers des alternances
En mai 1981, François Mitterrand est élu président de la République. Les élections législatives de juin donnent à l’assemblée nationale une majorité de gauche, en opposition avec celle qui siège alors au Sénat. Alain Poher prêche la modération dans l’accueil des textes proposés par le nouveau gouvernement : » le rejet pur et simple est un aveu d’échec ; seule la proposition, même si elle n’est pas retenue en définitive, démontre la qualité du travail parlementaire ». Mais les divergences entre les deux chambre sont telles que le compromis devient très vite difficile.
Entre 1981 et 1986 presque trente pour cent des textes sont adoptés par décision définitive des députés. En 1984, le Sénat parvient, en utilisant les armes que lui donne la Constitution, à faire reculer le gouvernement sur un projet relatif à l’enseignement privé, la « loi Savary », qui soulève de vives protestations dans l’opinion. Plus généralement, le recours aux moyens de procédure, à la temporisation, deviennent pratique courante au Sénat. Avec les élections de mars 1986, qui donnent à nouveau la même couleur politique aux deux chambres, les relations du Sénat avec le gouvernement reviennent à plus de sérénité. Disposant d’une courte majorité au Palais-Bourbon, le nouveau Premier ministre, Jacques Chirac, s’appuie largement sur la Chambre Haute.
Dès l’ouverture de la première session, il se rend devant les sénateurs et demandera systématiquement l’approbation du Sénat sur les déclarations de politique générale de son gouvernement.
En 1988, après la réélection de François Mitterrand à la présidence de la République, le Sénat joue à nouveau un rôle de contre pouvoir. En 1990 un sondage réalisé à la demande d’Alain Poher par la SOFRES, montre que l’image de la Haute Assemblée n’a pas souffert, au contraire, de cette évolution. Une majorité de Français (62%) estime que le fait que la majorité sénatoriale ne corresponde pas à la majorité de l’Assemblée nationale est « une bonne chose, cela fait contrepoids et évite que tous les pouvoirs soient entre les mains du même camp ».
L’institution sénatoriale, estime alors Alain Poher, paraît « bien enracinée dans notre vie publique ».
En 1993, le Sénat, présidé depuis octobre 1992 par René Monory, fait pour la deuxième fois l’expérience de la cohabitation. La convergence entre la majorité du Sénat et celle issue des élections législatives du mois de mars permettent au Sénat d’exercer la plénitude de ses pouvoirs législatifs : les lois, pour l’ensemble, sont désormais adoptées par accord entre les assemblées. Le 27 mai, sur le fondement du nouvel article 88-4 de la Constitution qui permet aux assemblées parlementaires d’exprimer leur point de vue sur des propositions communautaires comportant des dispositions législatives, la première résolution européenne est adoptée en séance publique.
La loi constitutionnelle du 4 août 1995 modifie profondément le rythme de travail du Sénat par l’instauration de la session unique, qui permet aux assemblées parlementaires de siéger du premier jour ouvrable d’octobre au dernier jour ouvrable de juin. Cette organisation nouvelle a notamment pour effet l’épanouissement des activités de contrôle, jusqu’alors contingentées par le calendrier des sessions (80 jours d’octobre à décembre puis 90 jours d’avril à juin). Les instruments du contrôle sénatorial vont connaître dans les années suivantes une diversification croissante : auditions ouvertes au public, missions d’information, groupes de travail, débats en séance publique sur des travaux de contrôle des commissions, questions orales avec débat… Dans le même temps, la maîtrise de l’ordre du jour des assemblées par le Gouvernement, hérité de 1958, connaît une première limite avec l’instauration de l’ordre du jour « réservé » : un jour par mois est dédié aux initiatives du Sénat. Cette réforme décisive aura pour conséquence l’épanouissement des propositions de loi d’origine sénatoriale.
En mai 1999, M. Christian Poncelet, président depuis 1998, inaugure l’antenne administrative du Sénat à Bruxelles qui, installée dans les locaux du Parlement européen, contribue au renforcement de l’information du Sénat sur les dossiers en discussion dans les institutions communautaires.
Extrait de : https://www.senat.fr/histoire/senat_cinquieme_republique.html
Le programme de Mitterrand, c’était « lui et les siens » ….comme les autres de droite.
Sauf que lui se présentait, en plus, comme la colombe de l’égalité citoyenne retrouvée!
Il incarnait l’espoir d’un changement qui n’a pas pu se concrétiser, ni assez vite pour ceux qui l’ont élu. Comme d’habitude, il fallait aussi dégager son prédécesseur, Giscard, et pour ça y avait pas 36 moyens. Sinon nous en aurions encore pris pour 7 ans, dans les dents.
Ce n’était pas une colombe mais une rose... C’est plus facile à porter qu’une croix, de Lorraine ou pas
Mai 1968, première révolution colorée par la CIA en France
Quand on regarde cette vidéo, on comprend pourquoi mai 1968, De Gaulle avait tout dit
et comme vous pourez le remarquer, pas de prompteur, pas de papier pour donner son avis devant les journalistes
http://www.youtube.com/watch?v=sFy2lDpE12U
C’est CLAIR,PRÉCIS et sans ambiguïtés,je pense encore à que faisait sous entendre TYR sur le GG De Gaulle (je met 2 L et autre chose qu’il ne voit pas)TYR dit que De gaule est LACHE,c’est juste pour rappel.
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MERCI clipart
Ce n’est pas Tyr qui le dit, ce sont les historiens qui se sont penchés sur le cas du bonhomme.
Allez Rouletaboulette qui aime tellement les jeux, qui est celui qui a rétabli le néfaste et injuste décret Crémieux?
Cherche pas à me divertir svp.
T’est à répondre sur des questions qu’on te posent pas ,t’est fuyant comme l’anguille ,tu me fais penser à ce ce qu’il est voter pour nous fermer la gueule.
GG De GAULE et ceux qui l’entoure et n’ont pas trahis la France (sauf cette agent de Rotmen POMPIDOU )ensuite n’en parlons pas haha,sont pas tous de la tribu quand meme.
s’en est terminé,faut pas oublié que vivre de visu et dans les tripes cette situation EXCEPTIONNELLE et UNIQUE,profitez en (pour ceux qui sont prévoyants)
ce discours de De Gaulle n’était qu’un pas pour mai 1968
De Gaulle avait déjà dit non à l’OTAN, il n’était pas d’accord de donner la bombe nucléaire à Israel, mais dans les milieux bien organisés, il s’est fait avoir pas Shimon Perez ou un certain nombre de français ont construit cette fameuse bombe sur le secteur de Dimona en Israel dans les années 1955-65 sans l’accord de De Gaulle
N’oublions pas qu’à cette époque, c’était la construction de l’europe que nous connaissons aujourd’hui avec toutes les conséquences que nous subissons maintenant
De Gaulle, je ne sais pas s’il était menteur, mais sa vision, il n’y a plus grand monde en france capable de vouloir réintroduire sa conception de notre pays
j’ai quelques idées sur le sujet qui ne plairont pas à la bien bienpensance, mais je les emmerde
Civitas vient de donner sa conférence de presse, cela déménage sans aucune forme de procès
http://www.youtube.com/watch?v=iG28u_PunsI
avant de me dire merci, regarde la vidéo qui dure 55 minutes, ce n’est pas en six minutes que l’on peut avoir une opinion sur le sujet, à moins de me dire que tu l’as regardé ce matin
je pense que cette vidéo devrait être un cas d’école pour l’ensemble de la population française
revenir à nos valeurs
De quelles valeurs parles tu ?
Il existe plus de gredins à la base qu’au sommet avec cette différence qu’a la base, les gredins n’ont pas ce que ceux du sommet possèdent: LE POUVOIR !
Cool
15 minutes ok.
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http://www.youtube.com/watch?v=sFy2lDpE12U
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Vus et revus surtout au sujet des sur évolués en avant garde .
On est DAC ?