Soigner les patients? Mais est-ce réellement le rôle de la médecine à l’heure actuelle lorsqu’il s’agit d’utiliser des traitements autres que la chirurgie? Rien de bien nouveau, le rôle des laboratoires pharmaceutiques n’est pas de soigner de prime abord, mais de faire fructifier leurs petites entreprises, de faire le maximum de profit, quitte à inventer des maladies pour trouver de nouveaux patients à soigner. Deux documentaires sont d’ailleurs à voir sur le sujet:
En rendre les maladies chroniques plutôt que de soigner serait une triste réalité que le prix Nobel de médecine 1993 Richard Roberts a dénoncé au cours d’une interview il y a quelques années:
Image supprimée, la photo représentait un pasteur homonyme, qui n’a rien a voir avec le Dr Roberts. Merci à Babé
Chroniciser les maladies est plus rentable que les guérir. Les conflits d’intérêts assurent la prééminence du profit sur la santé, selon le prix Nobel Richard Roberts
Richard J. Roberts, biochimiste et biologiste moléculaire britannique, est l’un des lauréats du prix Nobel de médecine 1993, pour ses travaux sur les introns ADN et l’épissage des gènes.
Dans le numéro du 27 juillet 2007 du journal catalan La Vanguardia paraissait une interview qu’il a accordée à Lluís Amiguet, sous le titre « El fármaco que cura del todo no es rentable » (Le médicament qui guérirait tout ne serait pas rentable).
Pharmacritique vous propose une traduction de la partie du texte qui a trait aux sujets abordés dans ces pages.
On pourrait voir dans la chronicisation des maladies une autre forme de disease mongering – qui ne signifie pas seulement façonnage ou invention de maladies -, et je donnerai bientôt un exemple édifiant. De tels abus ne sauraient durer sans la complicité du monde médical et du monde politique, qui permettent et légitiment une telle dérive des recherches médicales et pharmacologiques vers des applications choisies uniquement en fonction des profits immédiats qu’elles peuvent apporter. Or un patient guéri n’est plus rentable. Par contre, les malades chroniques sont des sources de profits inépuisables. Les départements R&D (recherche et développement) des laboratoires semblent avoir orienté leur activité uniquement dans cette direction.
En simplifiant grossièrement, on pourrait comparer la situation à celle qui prévaut dans d’autres branches: imaginons ce que cela donnerait si les ampoules avaient une durée de vie infinie. Cela tuerait le commerce, comme les guérisons trop faciles tueraient l’industrie pharmaceutique… Bien entendu, il ne s’agit pas là de dire que tout pourrait être guéri, si seulement les pharmas le voulaient, ou alors qu’il existerait des remèdes cachés, etc. Nous en sommes loin. Mais il existe une tendance à la chronicisation qui s’exprime sous diverses formes et mérite d’être formulée et creusée.
(Illustration: Northeastern University)
La même dérive est à l’œuvre s’agissant de la soi-disant « guerre contre le cancer », même si l’angle de vue est un peu différent.
S’il y avait vraiment une volonté de lutter contre le cancer, on s’attaquerait à ses causes, environnementales / industrielles en très grande partie, comme nous l’avons dit en reprenant des fragments du livre de Geneviève Barbier et Armand Farrachi, « La société cancérigène ». Et nous ne permettrions pas à l’industrie pharmaceutique de persister dans les mêmes vieux schémas de commercialisation de médicaments extrêmement chers, tous annoncés comme révolutionnaires, et finissant presque tous en catastrophes. Mais au lieu d’une approche raisonnable, nous nous complaisons, par ignorance ou par complicité plus ou moins grandes, dans cette même « industrie du cancer » (voir ces notes, par exemple) qui échoue depuis des décennies. J’y reviendrai dans un article parlant de la prévention et du cocktail explosif qui résulte du mélange du pharmacommerce de la peur, de l’industrie du cancer et du dévoiement de la médecine vers une prévention tous azimuts. Tout cela n’est pas sans rapport avec la chronicisation…
Elena Pasca
*
Voici l’extrait de l’entretien accordé par Richard J. Roberts à La Vanguardia
(Image: Barcelona Newspapers)
Lluís Amiguet:Quel mode d’organisation de la recherche est plus efficient, selon vous : celui des Etats-Unis ou celui européen ?
Richard J. Roberts : Il est évident que celui des Etats-Unis, auquel les capitaux privés contribuent activement, est plus efficient. Prenez l’exemple des avancées spectaculaires de l’informatique, où les capitaux privés financent la recherche fondamentale et les applications industrielles. Mais ce n’est pas la même chose quant au rôle des industriels dans la santé. Là, j’ai des réserves.
Je vous écoute.
On ne peut pas admettre que les recherches portant sur la santé des êtres humains aient la rentabilité économique pour seul critère. Ce qui est bon pour les actionnaires et pour l’entreprise n’est pas toujours bon pour les personnes.
Qu’entendez-vous par là ?
L’industrie pharmaceutique veut servir les intérêts des capitaux sur les marchés…
C’est le cas de n’importe quelle industrie.
Mais il ne s’agit justement pas de n’importe quelle industrie, car nous parlons de notre santé, de nos vies et de celles de nos enfants comme de millions d’êtres humains.
Mais si les applications sont rentables, les recherches seront meilleures [les industriels auront intérêt à les intensifier].
Lorsqu’on ne pense qu’en termes de bénéfices, on ne se préoccupe plus d’être au service des êtres humains et de leur santé.
Pouvez-vous donner des exemples ?
J’ai connaissance de certains cas dans lesquels des chercheurs [investigateurs] dont les recherches dépendaient de financements privés auraient pu mettre au point des médicaments efficaces, capables de guérir définitivement certaines maladies…
Et pourquoi ne l’ont-ils pas fait ?
Parce que trop souvent, l’intérêt des laboratoires pharmaceutiques n’est pas de guérir les maladies, mais de faire de l’argent, ce qui fait que les recherches sont orientées non pas vers la découverte de médicaments qui guérissent, mais de molécules qui entretiennent la maladie, qui la chronicisent tout en améliorant l’état des malades. Ceux-ci constatent qu’ils vont mieux tant qu’ils prennent les médicaments – et continuent à les prendre.
C’est une accusation grave.
Et pourtant, cela n’a rien d’inhabituel pour l’industrie pharmaceutique. Ses intérêts la poussent à favoriser la recherche de médicaments qui ne guérissent pas, mais ne font que chroniciser les symptômes et les maladies. Pour la simple raison que ces traitements seront beaucoup plus rentables que ceux qui guérissent tout, en une seule cure et pour toujours. Par ailleurs, il vous suffit de regarder les analyses financières des laboratoires pharmaceutiques pour vérifier mes dires [par exemple les bénéfices escomptés de la vente de tel médicament pris pendant des dizaines d’années par des millions de malades, NdT].
Il y a des dividendes qui tuent…
Voilà pourquoi je vous disais que la santé ne saurait être un marché comme un autre et qu’on ne pouvait pas non plus la comprendre seulement comme un moyen de faire de l’argent. Et c’est pourquoi je crois que le modèle européen de l’organisation mixte de la recherche, financée par des capitaux privés et publics, est moins perméable aux abus de ce type et ne les facilite pas à ce point.
Pouvez-vous donner des exemples d’abus ?
On a arrêté les recherches menant au développement de nouveaux antibiotiques, parce qu’ils sont très efficaces et guérissent tout. Et puisqu’il n’y a pas eu d’innovation, les microorganismes pathogènes sont devenus résistants, et on voit resurgir des maladies comme la tuberculose, qui a tué un million de personnes l’année passée [en 2006], alors qu’elle avait été éradiquée dans mon enfance.
Vous parlez du Tiers monde ?
C’est un autre triste chapitre… Il n’y a pas de recherches médicales sur les maladies spécifiques au Tiers monde, parce que les médicaments ne seraient pas rentables. Mais non, je vous parlais de notre monde, du « premier monde », celui dans lequel les médicaments qui guérissent ne sont pas rentables, ce qui fait que l’industrie pharmaceutique ne finance pas de recherches là-dessus.
Et les hommes politiques n’interviennent pas pour changer les choses ?
Ne vous faites pas d’illusions. Dans notre système, les hommes politiques ne sont guère que des employés des grands capitaux privés qui investissent ce qu’il faut pour faire élire ceux qui porteront leurs intérêts. Et si ceux-ci ne sont pas élus, les capitaux achèteront ceux qui le sont.
Ils y arrivent de toute façon.
Le capital n’a qu’un seul intérêt : se multiplier. Presque tous les hommes politiques – et je ne le dis pas à la légère – [ont des conflits d’intérêts qui induisent une] dépendance éhontée par rapport aux multinationales pharmaceutiques qui financent leurs campagnes électorales. Tout le reste n’est que démagogie… »
Source: Pharmacritique
Pour ce qui est du cancer, celui-ci pourrait être soigné, dans ce domaine également les scandales s’accumulent inlassablement, pour être aussitôt oubliés… Parmi ceux-ci, nous avons quelques perles parmi beaucoup d’autres dont nous avons déjà parlé ici:
- Nouveaux anticancéreux: Les prix donnent la nausée
- Cancer du sein : les double mastectomies préventives ont triplé
- Cette année, les labos pharmaceutiques vont gagner 1,8 milliards de dollars grâce à des médicaments contre le cancer qui ne seront jamais utilisés par le moindre patient
- Cancer du sein: ce mois d’Octobre rose qui n’apporte pas tant que cela…
Et ce ne sont que quelques exemples… Et il y aurait bien des moyens de soigner efficacement les cancers quels que soient leurs types, mais ces remèdes sont….comment dire….considérés comme étant inefficaces et du coup sont interdits.
Traduction des vidéos: Stazzou pour Preventionsante.org
Pour d’autres pistes à suivre afin de se soigner, c’est par ici.
Peace and love.
J’en profite pour apporter un témoignage de la cruelle commercialisation de la santé.
Je suis bénéficiaire de la cmu et si les médecins étaient autre fois plus claire sur leur intention de ne pas vous avoir dans leur clientèle, aujourd’hui c’est vicieux.
Je me suis ainsi vu traité comme une paria en amenant mon fils grand prématuré. Aucun examen de sa mobilité, aucune interrogation sur son dévellopement moteur. Un soulevé de tee shirt et c’est tout. Et un fichage comme « réticente à la vaccination ». Pas de discution possible sur d’éventuel problème car coupé sans arrêt et aucun aurevoir ni poigné de main…
Au-delà de cette attitude commerciale contre le mauvais client, le médecin préscrit immédiatement pommade à la cortisone. Je lui parles des huiles d’avocat, d’amande douce… aussitôt couper il me préscrit une autre pommade bien chimique…
En rentrant je regardes les effets des pommades à la cortisone sur l’éxéma et là je me dis hors de question que je pourrisse mon fils avec cette merde qui rendra la maladie résistante, pire et chronique.
Lors de sa prestation j’ai bien essayé de lui parler del’huile d’amade douce qui avaot guérrit les boutons de chaleur de mon fils mais il a rien voulu entendre.
De même, je lui parles de la cinquantaine de verrue sous les pieds de ma fille qu’il a cramé dans la souffrance et sans résultat. Je lui dit qu’en deux mois elle on disparue avec des pansement corricide… là aussi, haussement de sourcil.
Quant à m’expliquer sur les vaccins et les liens avec l’autisme dû à l’aluminium mais lol lol lol.
Je crois vraiment que sa tourne entre rentabilité, arrogance, ignorance et dédain de la souffrance. Super coktail pour des gens sensé trouver des solutions à la maladie.
C’est un bon exemple que tu donnes là ! Quand il s’agit de soi, on a déjà de quoi rouspéter, mais quand il s’agit de ses enfants, c’est grave.
Au fait, en passant, et si cela peut t’aider, l’eczéma indique un conflit de contact/séparation. Ton petit aurait mal vécu une séparation (ou un ressenti de séparation) et le conflit se relance à chaque retrouvaille.
En homéopathie, il y a de quoi s’occuper de lui sérieusement.
Oui ça m’interesse stp. Et oui même si je n’ai pas quitté l’hopital pendant un mois et demi, on a été séparé par d’autre manière.
Moi quand je lis ce que t’écris je me demande pourquoi tu as été chez un médecin, ou chez ce médecin t’es libre de soigner comme tu veux ton fils et de changer de praticien.
« Quant à m’expliquer sur les vaccins et les liens avec l’autisme dû à l’aluminium mais lol lol lol. »
Vu de l’autre côté je vois pas ce qu’une femme lambda va venir apprendre a un médecin pendant une consultation. Tu sais lui aussi il a le droit d’avoir une opinion il prescrit ce qu’il juge être bon selon son expérience et se qu’il a appris tout au long de sa vie, si t’es pas contente tu vas voir quelque chose plus en adéquation avec tes attentes, ou t’achète juste ton huile. Et pour finir j’espère que t’avais pas oublié ta carte, un justificatif ou bien fait 3 personnes en une consultation.
Et il est aussi humain il a le droit de pas être de bonne humeur le jour la te victimise pas trop… ou c’est peut être qu’il te prend pour une grosse chieuse sinon et que tu le saoule et pas parce que t’es CMU que tu as l’impression d’être zappé.
Exactement l’exemple de l’arrogance dont je parlais.
Quand bien même il trouverait que de me voir deux fois par an c’est trop, c’est tjrs pas une raison pour traiter mon fils de cette manière.
Il n’y a pas d’arrogance dans ma réponse, tu as juste a te prendre en main, si tu n’es pas contente tu changes tu n’es pas forcée d’aller chez un médecin que tu considères nul tu es libre. Tu es aussi libre d’aller voir des paramédicaux qui ont des résultats excellent dans plein de domaine.
Tu veux lui parler des vaccins de l’aluminium et compagnie? Génial il est déjà au courant (qu’il y croit ou non) et il n’y peut rien car si il ne vaccine pas (DTP) il est suspendu et n’a plus de boulot, tu veux gueuler sur quelqu’un envoie une lettre au ministère (tu sais celui qui vient de vendre ton secret médical aux mutuelles sans que ça ne dérange personne dans l’opinion publique EN ayant bien rendu les mutuelles obligatoire avant ET QUI REMBOURSENT MOINS BIEN) ou alors a l’industrie pharmaceutique qui est en rupture de stock soit disant. (pour le DTP à l’ancienne)
Tu veux allonger ta consultation des 15 minutes, c’est génial dans un monde idyllique il n’y aurait pas de problèmes mais tout le monde après toi va le saouler parce qu’il a du retard ET c’est un manque a gagner c’est vrai il travaille pas gratuitement lui aussi a une famille et des emmerdes, mais si la situation le requiert il reste plus longtemps (même si il le cache il a un minimum d’empathie).
Ta consultation est un moment important pour toi car c’est ponctuel et « exceptionnel » lui c’est la routine il te traite comme il traite tout le monde. ( des gens aiment les médecin peau de vache, d’autres a l’écoute, d’autres conciliant etc…. encore une fois change de praticien si tu n’es pas contente mais arrête de te victimiser c’est n’importe quoi surtout que si il ne veut pas te soigner il ne te soigne pas il n’y est pas forcé, il te remet ton dossier médical et te donnes le nom d’un autre confrère….. et SALUT!!!
Et pour ton enfant le développement selon son âge ça se voit tout de suite(prématuré ou pas) il n’y a même pas besoin de demander, mais on peut le faire pour faire « équipe » avec la maman ou le papa, par contre tu vois il faut vérifier le coeur et les poumons ce qu’il a fait!
Bref il n’y a aucune arrogance a te dire « Si t’es pas contente change » c’est ce que font les gens pour TOUT aujourd’hui. Sinon tu es peut -être touché par le syndrôme de « la princesse » pour qui tout est dû et rien n’est jamais assez tant que les gens ne se sont pas mis en quatre a ton goût??
L’ultra libéralisme politique a des conséquences à tous les niveaux malheureusement cela arrive progressivement aussi dans le médical.
C’est aux politiciens qu’il faut se plaindre et non aux maillons de la chaînes qui ne pourront rien changer.
Je ne vois pas ce qu’une femme lambda va apprendre à un médecin…
Voilà ta phrase qui révèle l’arrogance.
Allonger le temps de consultation : ah bon j’ai dit ça? Elle n’a pas duré un quart d’heure
Vérifier le coeur et les poumons: purée mais t’étais avec moi? Pcq non il ne l’a pas fait. Juste un soulevé de body c’est tout et aussi rapide que tu auras mit de temps à le lire.
Gueuler sur quelqu’un? Ben non, malgré tout je suis polit!
Traiter pareil que tout le monde… encore une fois t’étais là?
Un dévelopement psychomoteur qui se vérifie en voyant un bébé couché moins d’une minute? Si c’était le cas il aurait vu certaine chose que je n’étalerais pas ici.
Me victimiser… ouai c’est surtout mon fils la victime.
Changer, pourquoi pas, c’est une chose que j’envisages.
Pour la princesse, je penses pas que demander un vrai examen c’est de trop.
Pour les vaccins, certes il pique il pique et bien c’est pas le fond du problème que je présente ici.
Un homme comme les autres… ben non c’est un médecin, pas un ouvrier.
Quant à sa situation financière… purée si c’est un critère dans son job c’est d’autant plus innacceptable. C’est pas moi qui le fout dans la merda.
Merci pour ton commentaire bien pourrit, sur ce, à la prochaine.
La médecine n’est pas une science exacte.
A partir du moment ou on l’admet, il faut reconnaitre que les remèdes peuvent être pire que les maux
Salut, un peu long a expliquer ici mais je suis malheureusement une victime collatérale de l’influence de big pharma sur les » spécialistes » cardiologues !
Un an et demi de traitement et trois hospitalisations pour finalement comprendre, moi même, en m’informant sur internet que je n’ai AUCUN problème cardiaque ! et pourtant le cardiologue que j’avais consulté me prédisait une pris de 5 médicaments « à vie » !
Il y a peu, j’ai compris qu’en tant que vice président de l’association des cardiologues de Belgique, il avait pour principale occupation, la distribution des bonbons et des GROS gâteaux aux autres cardiologues belges !
Résultat:
Aucun autre cardiologue ( j’en suis à mon 3éme dont deux professeurs d’université ! ) , aucun autre cardiologue ne souhaite reprendre son dossier car bourré d’incohérence et ne voulant pas vexer le « distributeur de bonbons » !
Ben oui, en médecine comme dans toute les autres profession libérales, le service au publique n’existe plus, il a été remplacé par la rentabilité !
Trois opération au cœur + le reste, égale dans mon cas à une dépense de +/- 15.000,00 euros à supporter par le financement public !
15.000,00 euros dépensés uniquement pour rentabiliser le secteur et pour UN SEUL patient !
Je vous laisse calculer combien de milliards d’euros la sécurité sociale dépense ( le nôtre ! ) de façon TOTALEMENT inutile !
Put in c’est grave.
Je suis toujours stupéfaite de voir la suffisance de la plupart des médecins. Il est facile d’ébranler leurs certitudes, et cela ne leur plaît pas du tout. Ils se remettent rarement en cause et n’admettent pas non seulement la contradiction, mais déjà, simplement, le questionnement. Pourtant notre corps nous appartient, non ?
En général, on arrive plus facilement à discuter avec des homéopathes. Dans la mesure du temps qui nous est imparti, évidemment !
Il n’y a pas que eux !
Toutes les professions libérales sont dans le cas !
Et tu sais pourquoi ?
Le « pouvoir » a légiférer de façon très avantageuse pour ce secteur car il représente le « silent bloc » entre le pouvoir et les citoyens
Par ailleurs, ils sont TOUS inscris dans un corporatisme de défense totalement hermétique à la législation ordinaire !
la médecine, c’est le monde du silence mais pas vraiment celui du commandant Cousteau !
Pour l’instant, la cancérologie, la cardiologie, la vaccination et le cholestérol sont les vaches à lait de big pharma !
Mais soyez certain qu’ils ont d’autres coups fumants en préparation !
Pourquoi pensez vous que le seuil critique définissant l’excès de « mauvais » cholestérol a été abaisser en Belgique ?
Bon sang, mais c’est bien sur ! 😉
Pour augmenter la vente des médicaments, et de la margarine ‘light » en même temps !
prenons le cas de la simvastatine !
effets secondaires redoutables et TOTALEMENT inutile.
Aujourd’hui, il apparait que les « études » qui ont permit la mise sur le marché de cette saloperie étaient trafiquées !
Nouvelle vache à lait: l’ oméprazol, soit disant éfficase contre les effets secondaires dû à la prise de trop de médicaments en même temps mais en tant qu’ IPP, très mauvais pour la fonction cardiaque !
Ben oui, si c’est mauvais pour le coeur, c’est bon pour big pharma ! 😉
Dans un autre domaine, les douleurs suite a un accident datant de plusieurs années. Vertebres C5 et C6 avec déformation des trous de conjugaisons.
En clair je suis passé par dessus la moto suite a un refus de priorité et la moto m’est retombé sur le crane.
Tout ce que l’on peut me donner c’est des patchs a base de fentanyl, ou des ampoules injectables d’acupan.
Avec du repos et des huiles essentielles j’arrive a avoir des douleurs largement supportables. Mais surtout ne pas en parler aux toubibs.
Le meilleur moyen de ne pas tomber malade en général c’est de manger sain (rien d’industriel etc…) faire du sport etc… on peut faire autant de prévention qu’on veut 95% des gens en ont strictement rien a faire ils continueront leur mauvaises habitudes jusqu’à ce qu’ils soient malade.
Le plus gros des problèmes est là, les cancers ont de beaux jours devant eux.