Pour les américains, la modification des génomes est une des menaces les plus importantes sur le continent américain, et si cela est avéré, ils pourront toujours ressortir l’argument clé: ce sont des pays « non-occidentaux » qui sont responsables, avec dans le lot la Corée du Nord, la Syrie, la Chine, la Russie, la liste risquant de s’allonger avec le temps… Mais le danger vient-il réellement de ces pays non-occidentaux ou bien l’ennemi est-il intérieur? Car dans les faits, il faut bien savoir que les génomes sont modifiables à volonté, les technologies existant à l’heure actuelle, et un autre facteur peut intervenir dans la modification des génomes, et pas des moindres, les pesticides eux-même représentent un facteur important, hors, ceux-ci sont largement utilisés aux Etats-Unis. Pour cela, je peux vous conseiller de visionner le reportage d’Elise Lucet sur le sujet, mais également de vous intéresser à cette étude publiée sur le site de l’université canadienne de Sherbrooke. Les Etats-Unis sont les premiers utilisateurs de pesticides sur la planète, les risques que le danger vienne de l’intérieur sont donc grands, mais cela serait mauvais pour le business, mieux vaut un responsable que l’on peut attaquer…
Mais c’est bien connu, c’est toujours la faute aux autres…
Le Meilleur des mondes (Human Genome Project Information Archive)
Pour les pontes du renseignement américain, les technologies de modification des génomes poseront bientôt un risque comparable à celui de la prolifération des armes de destruction massive.
Dans leur très anxiogène rapport annuel d’évaluation, ils ont inclu pour la première fois un paragraphe sur la manipulation de l’ADN et « le risque de création d’agents ou de produits biologiques dangereux » qui en découle, entre les observations sur les capacités nucléaires de la Corée du Nord et de l’Iran, la modernisation des armes de la Russie ou de la Chine, ou l’utilisation d’armes chimiques en Irak et en Syrie.
(Pour compléter ce tableau réjouissant, on trouve aussi les risques liés au terrorisme, à l’espace, au crime organisé ou aux objets connectés).
Le directeur national du renseignement, James Clapper, écrit :
« Les recherches de modification des génomes dans des pays aux critères d’éthique et de régulation différents de ceux des pays occidentaux augmentent probablement ce risque (…). En prenant en compte la large distribution, le coût très bas et le développement de plus en plus rapide de cette technologie à usage multiple, son usage délibéré ou non pourrait avoir des implications économiques et de sécurité nationale. »
Sans jamais la nommer, James Clapper parle d’une nouvelle technique d’ingénierie du gène, CRISPR-Cas9, extrêmement efficace et simple à mettre en œuvre. Ce mécanisme d’assemblage d’une séquence d’ADN – qui permet de faire des sortes de couper/copier/coller génétiques – est de plus en plus utilisé.
Une équipe de scientifiques chinois a annoncé l’avoir utilisée en 2015, sans succès, sur des embryons humains non viables, pour voir si elle permettrait d’enrayer une maladie génétique du sang. Début 2016, une équipe de l’Institut Francis-Crick de Londres a reçu une première autorisation pour procéder à des manipulations sur des embryons humains, en désactivant certains gènes, à l’aide de la technique CRISPR-Cas9.
Article complet sur Le Monde
il faut s’attendre avec tous les pesticides et autres saloperies volatilisées,
à une stérilité et à une dégradation(en cours ) de l’adn humain et à terme..complétement
ce n’est pas pour rien qu’un larbin,à reconnu que la location d’un ventre
à fœtus ,c’est un simple boulot comme un autre..
certains sur cette planète sont payés pour faire des calculs à longues échéance,ils
savent, font,orientent,les choses comme,elles le deviendront et comme ça les arrangent(ront)
ce sont eux ,qui placent les pièces de ce grand puzzle,celui qu’on appelle:
N.W.O,
une à une,en temps voulu et coordonné,elles se placent..pour l’assemblage final
sur la domination complète de l’espèce humaine par des humains.
httXXps://www.youtube.com/watch?v=bbjP2_UHis0
Pesticide et santé : l’équation sans solution
documentaire diffusé sur ARTE
Au milieu des années 1990, des milliers de bovins meurent dans les étables. Malformations des veaux, fausses couches des vaches et problèmes de stérilité déciment les troupeaux.
Les agriculteurs eux-mêmes ne sont pas épargnés et rencontrent divers graves problèmes de #santé. Un éleveur de porcs danois a comparé sur plusieurs années les taux de pesticide dans l’alimentation de ses animaux et ceux de malformation des porcelets.
Des chercheurs français, eux, ont mené une étude méthodique sur le problème. Les très longues et laborieuses analyses entreprises finissent par aboutir : les bêtes malades présentent dans leur organisme un taux très élevé de glyphosate – le désherbant le plus vendu au monde.
bonjour
« l’humanité est dans un grand « bouzin »
oups:
http://www.youtube.com/watch?v=bbjP2_UHis0
S’ils suppriment le gène de la » K » ONNERIE avec le sous gène de la » K » cruauté
je suis pour !
je serais pas là pour le voir, mais ça se retournera contre eux !
bonjour
+++++++++çà se retourne contre eux , car ils sortent les griffes et les dents rayent le parquet
bonjour
perso je ne vois pas où est le mal à vouloir supprimer des séquences genetiques nocives dans un adn! si une maladie genetique est detectés problable car un gene afferent a été découvert dans le genome, alors pourquoi risquer de voir le gene s’exprimer? y’en a qui crache dans la soupe quand même! allez dire à des centaines de miliers de malades possible que « ah bah non c’est « pas bien » restez avec votre gene pourri, vous en aurez pas d’autre, pas un qui marche bien et aller crever » c’est idiot; c’est l’avenir la manip genetique. moi je suis contente que la manip genetique devienne possible;