Une opération sous faux pavillon, c’est très simple (exemple de …

Les attentats sous fausse bannière existent, on ne peut le nier, et cette vidéo est plutôt intéressante même si elle relance une énième fois un débat que certains souhaiteraient éviter… Bien sur, nous ne disons pas ici que l’affaire Charlie Hebdo est un false flag, mais il y a quand-même certaines questions dont nous aimerions bien avoir les réponses.

Il y a près de deux mois, l’attentat terroriste contre la rédaction de Charlie-Hebdo a ébranlé les esprits dans le monde entier. Dans les réseaux sociaux, on a déjà beaucoup discuté de cette attaque. Différents services d’élucidation ont remarqué les incohérences massives en rapport avec l’attaque et son explication.

Source: Kla.tv

5 Commentaires

  1. bon maintenant que la verite a eclate au grand jour je peux designer les coupables qui ont rien a voir avec les services secrets de quelconques pays

    les seuls a etre capables de tuer des charlies sont les charlots qui voient d un tres mauvais oeil toute concurrence de charlatants

    observe bien benji toutes les ruses qu ils ont apprises pendant leur service dans la 7e compagnie il y a qu eux pour foutre un tel boxon et passer pour des innocents

    http://www.dailymotion.com/video/xhw7p_les-bidasses-en-folie-les-charlots_fun

    s/

  2. Au moins trois preuves démontrent irréfutablement que l’attentat contre l’hebdomadaire pour charlots était sous fausse bannière :

    1) Chose nécessaire pour qu’ils ne parlent pas : Les « terroristes » ont été abattus.
    2) Un homme intègre a découvert le pot aux roses : Un commissaire qui enquêtait sur l’affaire a été suicidé.
    3) Chose impensable dans ce genre d’affaire : Un « terroriste » a mis son passeport dans la boite à gants de la voiture volée pour l’attentat, et l’a oublié.

  3. « nous ne disons pas ici que l’affaire Charlie Hebdo est un false flag »

    si, je le dis, je n’apporte aucune preuve, le temps s’en chargera, on ne peut qu’avoir des présomptions à notre niveau, mais ça ressemble trop au « false flag ».

  4. Il ne me vient à l’esprit que la célèbre formule de cet autre immense philosophe du XXe siècle, Roselyn Bachelot: Aaaah booooooon????? https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

  5. Obama rate son coup d’État au Venezuela

    Une nouvelle fois, l’administration Obama a tenté de changer par la force un régime politique qui lui résiste. Le 12 février, un avion d’Academi (ex-Blackwater) maquillé en aéronef de l’armée vénézuélienne devait bombarder le palais présidentiel et tuer le président Nicolas Maduro. Les comploteurs avaient prévu de placer au pouvoir l’ex-députée María Corina Machado et de la faire immédiatement acclamer par d’anciens présidents latino-américains.

    Le président Obama avait prévenu. Dans sa nouvelle doctrine de Défense (National Security Strategy), il écrivait : « Nous nous tenons aux côtés des citoyens dont le plein exercice de la démocratie est en danger, tel que les Vénézuéliens ». Or, le Venezuela étant, depuis l’adoption de la constitution de 1999, l’un des États les plus démocratiques au monde, cette phrase laissait présager du pire pour l’empêcher de poursuivre dans sa voie d’indépendance et de redistribution des richesses.

    C’était le 6 février 2015. Washington terminait de mettre au point le renversement des institutions démocratiques du Venezuela. Le coup d’État avait été planifié pour le 12 février.

    L’« Opération Jéricho » était supervisée par le Conseil national de sécurité (NSC), sous l’autorité de Ricardo Zuñiga. Ce « diplomate » est le petit fils du président homonyme du Parti national du Honduras qui organisa les putschs de 1963 et de 1972 en faveur du général López Arellano. Il dirigea la station de la CIA à La Havane (2009-11) où il recruta des agents et les finança pour former l’opposition à Fidel Castro tout en négociant la reprise des relations diplomatiques avec Cuba (finalement conclue en 2014).

    Suite : http://www.voltairenet.org/article186802.html

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