Ukraine: Encore un autre échec monumental pour la junte..

Les infos du Vineyeardsaker sur l’Ukraine, bousculent les infos « officielles » publiées par les médias occidentaux, qui nous servent la version de Porochenko, la « pauvre victime » qui demande l’envoi d’une mission policière de l’UE sous mandat de l’ONU pour maintenir la paix dans l’est du pays.….Vous pouvez visualiser la carte des combats..

Toutes mes sources confirment que Debaltsevo est principalement aux mains des Novorusses et que les forces de la junte sont en pleine retraite vers le sud de la poche. Tous les gradés novorusses étaient là, avec Kononov, Motorola, Givi, Mozgovoi et Zakharchenko, ainsi que plusieurs dizaines de prisonniers ukrainiens. Il semble que les forces de la junte ont été incapables d’opposer le genre de résistance qu’elles avaient montrée à Peski, et que, dans un sens, c’est dû au fait qu’à Peski, elles n’étaient pas encerclées et qu’elles bénéficiaient du soutien du feu des forces ukrainiennes, juste au nord et à l’ouest. Cette fois, le chaudron est trop profond et le couvercle trop solide. Voyez vous-mêmes.

Debaltsevo, 17 février 2015-20:10. En bleu les forces ukrainiennes, en rouge et jaune les forces novorusses

Vous pouvez voir que le couvercle du chaudron est maintenant fermé à Debaltsevo depuis le nord et que les forces de la junte sont en train d’abandonner et de fuir vers le sud, où elles n’ont littéralement rien à faire, sinon attendre jusqu’à ce qu’elles manquent de nourriture et de munitions.

 

Résultat: c’est fini pour les forces ukies dans le chaudron de Debaltsevo.

Étrangement, les fous de Kiev persistent à soutenir qu’il n’y a pas de chaudron, mais seulement une tête de pont. La bonne nouvelle, c’est qu’apparemment plus personne ne croit à cette absurdité et que les mères et les épouses des hommes pris dans le chaudron tentent tout ce qu’elles peuvent pour contraindre le haut commandement ukie à accepter le corridor d’évacuation qu’offrent les Novorusses. Elles ont tenté de manifester devant le bâtiment de l’état-major général à Kiev, puis la circulation a été bloquée. Un moment particulièrement émouvant est celui où une de ces femmes place un mégaphone tout près d’un téléphone portable pour amplifier la voix de son fils/mari qui appelle depuis le chaudron et annonce qu’ils ont des fournitures pour encore à peu près trois heures.

Ce sont des nouvelles vraiment catastrophiques pour la junte de Kiev. Premièrement, la politique consistant à nier la gravité de la situation alors que leurs forces avaient encore la possibilité de sortir du piège. Selon des experts militaires russes, à peu près la moitié de toutes les unités militaires ukrainiennes aptes au combat ont été encerclées dans ce chaudron, ce qui signifie que 50% de l’armée ukrainienne a maintenant disparu. Deuxièmement, tandis que Porochenko et les fous de la junte tentaient, de toutes leurs forces, de nier l’existence concrète du chaudron, grâce à internet et aux chaînes de télévision russes, beaucoup de gens dans l’Ukraine contrôlée par la junte savent qu’ils ont menti à ce propos. Cela, à son tour, signifie que le régime est en train de perdre le peu de crédibilité qu’il avait encore dans l’opinion publique. Enfin, et surtout, il va y avoir maintenant beaucoup de récriminations hargneuses de tous les côtés du spectre politique au sujet du responsable de ce dernier désastre. Je ne serais pas surpris du tout si les escadrons de la mort ukrainiens (aka le bataillon Azov & Co) décidaient de prendre Kiev d’assaut, pour deux raisons: d’abord pour passer leur rage sur le régime et ensuite parce qu’il est moins dangereux de prendre Kiev d’assaut que Donetsk. Porochenko ferait mieux de regarder dans son dos maintenant. Par ailleurs, une rumeur (non confirmée) veut qu’il ait déjà évacué sa famille en Allemagne.

Les Services de renseignement novorusses rapportent que la junte tente de former trois groupes de bataillons tactiques équipés de nombreux MLRS [lance-roquettes multiples, NdT] au nord du chaudron pour tenter de sauver les forces encerclées, mais ce sera un peu tard. Les Novorusses sont habitués à l’artillerie des ukies et ils ne craignent pas leurs blindés, et encore moins leur infanterie. D’ailleurs, je vous parie que maintenant qu’ils sont dans Debaltsevo, les Novorusses vont le fortifier solidement. C’était quand exactement la dernière fois que les forces de la junte ont réussi à conquérir une ville?

Résultat: encore une nouvelle brillante victoire pour les forces novorusses et encore une défaite humiliante pour la junte de Kiev.

The Saker

Traduit par Diane, relu par jj pour le Saker Francophone

 

19 Commentaires

  1. Les grands de ce monde jouent, aux échecs…. Mais les petites gens sont sacrifiées pour leurs plus grands plaisirs et celui de Satan (leur maître à tous (les riches, les entreprises, les religions)….

    Dame Nature va encore bien pleurée….

    • » La guerre est un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas. » (Paul Valéry) https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

  2. La Russie et l’UE s’accusent mutuellement de violation du cessez-le-feu alors que l’Ukraine retire ses troupes de Debaltsevo
    http://russie-ukraine.eu/2015/debaltseve-crise-russie-accords-de-minsk/

  3. Homme politique US: l’Amérique doit négocier avec la Russie

    L’URSS et les USA ont réussi à s’entendre sur plusieurs problèmes graves: les États-Unis peuvent donc se permettre aujourd’hui de s’asseoir à une table de négociations pour régler le problème de l’Ukraine, estime le journaliste et homme politique américain Patrick Buchanan.

    L’expansion du conflit armé en Ukraine risque d’engendrer la faillite d’un pays de la taille de la France aux portes de l’Union européenne, écrit le politicien et journaliste américain Patrick Buchanan dans un article pour The American Conservative.

    « Plus la guerre durera, plus sera élevée la probabilité que Kiev devienne une république en faillite « diminuée », une colonie de la taille de la France aux portes de l’Europe », estime Buchanan.

    Il note que le caractère immuable des frontières en Europe après la Seconde Guerre mondiale demeure la pierre d’achoppement dans les négociations sur l’Ukraine. Mais le politicien s’interroge: cette position idéaliste peut-elle se rapporter à la réalité?

    Buchanan rappelle qu’à la fin de la Guerre froide la Yougoslavie a été divisée en sept pays, l’URSS en 15 pays. La Croatie, la Bosnie, le Kosovo et même en partie la Slovénie ont dû se battre pour leur droit à l’indépendance. C’est également de qu’ont fait les habitants de l’Ossétie du Sud, de l’Abkhazie et de la Transnistrie. Le journaliste souligne que l’esprit du séparatisme imprègne le continent européen. Et si Londres autorise l’organisation d’un référendum sur l’indépendance de l’Écosse, Madrid refuse ce droit aux Basques et aux Catalans, écrit le politicien, qui note qu’un beau jour ce combat pourrait resurgir, comme cela s’est produit en Irlande il y a un siècle.

    « Néanmoins, aucun des mouvements séparatistes de l’Atlantique à l’Oural ne représente un danger pour les intérêts vitaux des USA. En réalité, cela ne nous concerne pas. Et rien ne peut justifier une guerre avec la Russie », affirme Buchanan.

    « Qu’est-ce qu’elle a, notre génération d’Américains, à s’ingérer de manière aussi obsessionnelle dans les affaires d’États qu’ils n’arrivent même pas à situer sur la carte? », s’interroge-t-il.

    Si à une époque l’URSS et les USA ont réussi à s’entendre sur des questions aussi cruciales que le mur de Berlin et les missiles de Cuba, l’Amérique peut se permettre de s’asseoir à une table de négociations avec Vladimir Poutine pour régler une question moins fatidique pour les USA: le sort de Lougansk et de Donetsk », affirme Patrick Buchanan.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150219/1014799503.html

  4. Donbass: Kiev souhaite l’envoi d’une mission de maintien de la paix

    Le président ukrainien Piotr Porochenko envisage le déploiement d’une mission de maintien de la paix dans le sud-est du pays.

    Une telle mesure devra être étudiée par le Conseil de sécurité nationale et de défense (SNBO), a annoncé le chef d’Etat ukrainien lors d’une réunion du Conseil.

    « Nous considérons le déploiement d’une mission policière de l’Union européenne comme la meilleure option pour nous », a indiqué M.Porochenko.

    Le secrétaire du SNBO Alexandre Tourtchinov a pour sa part déclaré que les forces de la paix devraient être déployées sur la ligne de contact entre forces gouvernementales et brigades populaires du Donbass ainsi que sur la partie de la frontière entre l’Ukraine et la Russie non contrôlée par Kiev.

    « Pour mettre fin aux provocations et pour ne pas permettre à la Fédération de Russie de spéculer sur cette situation, nous proposons d’inviter une mission de maintien de la paix en Ukraine (…). Cela permettra de détecter et de localiser les violations, ce qui doit assurer des mesures réelles en vue d’un règlement pacifique », a indiqué M.Tourtchinov.

    Suite aux déclarations de MM Porochenko et Tourtchinov, la partie russe a exprimé « des doutes » concernant la détermination de Kiev à mettre en œuvre les accords de Minsk visant à régler le conflit dans le Donbass.

    « En vertu des ententes conclues à Minsk le 12 février, les républiques de Donetsk et de Lougansk créeront leurs propres milices légales, tandis que l’OSCE sera chargée de surveiller la zone de séparation. Si l’on propose d’autres schémas, cela remet en question la détermination de Kiev à respecter les ententes de Minsk », a déclaré le délégué permanent russe auprès de l’Onu Vitali Tchourkine.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150219/1014792790.html

  5. Les USA détestent perdre [syndrome post Vietnam]. Il vont donc réagir violemment.

  6. Lu sur Sputnik
    http://www.sputniknews.com/international/20150219/1014803097.html

    Très intéressant à double titre:
    – Remise en cause des sanctions anti-russe
    – Les demandes de démission de ministres en exercice.

    Les va-t-en guerre polonais à commencer par leur président voient leur marge de manoeuvre se réduire.

  7. Aujourd’hui Novogrigorovsku à été libéré par les « Forces Armées de Novorossia et le drapeau rouge, avec ses symboles ouvrietr et paysan de l’ancien URSS flotte sur la ville . C’est une conquete stratégique situé sur un axe que les troupes en debacle empruntaient et à cet effet, de nombreuses « prises de guerre » , l’armée de la « junte de kiev » se délite .

    http://lifenews.ru/news/150144 traduction Google

    21h48 / 19/02/2015

    Milices DNR libérée par les forces de l’armée ukrainienne Novogrigorovku

    Grâce à ce règlement passe dernière route qui permettrait de sortir de l’APU Debaltseve.

    Dans Artem milices du district a pris une autre commune Novogrigorovka. B oytsy DNR drapeau hissé sur la chaudière à tube, qui est le point culminant.

    Il est connu que le village pour les deux armées a une grande importance stratégique. Il est situé sur une colline, à partir de laquelle les troupes ukrainiennes ont essayé de suivre les progrès des forces de la milice. En outre, il passe à travers la dernière route qui permettrait aux forces restantes de l’armée ukrainienne à se retirer de Debaltseve.

    – Auparavant, la route principale a été fermée, et il y avait des sentiers le long de la chaîne de fortifications, dont ils pourraient se échapper. Maintenant, nous Debaltseve verrouillées en tout – a dit le commandant de la milice.

    Comme le correspondant LIFEnews, des batailles féroces pour Novogrigorovku duré plusieurs mois. Ce est ici que l’armée ukrainienne érigé un sérieux zones de fortification et a conduit ici beaucoup de matériel militaire. À cet égard, les milices ont toujours reçu une forte résistance de la APU. Aujourd’hui, il est plus proche de la combattants du soir brigade « Ghost » dans le cadre de groupes de reconnaissance et de sabotage réussi à prendre cette ville et de frapper les forces de sécurité au-delà de ses limites. milices ont réussi à revenir de l’arrière et nettoyer le flanc droit de la chaudière Debaltsevskogo, dans lequel, selon les données préliminaires, il y avait environ trois ou quatre mille militaires ukrainiens.

    Quitter la ville, les Ukrainiens laissé 18 pièces d’équipement lourd: deux réservoirs, BMP cinq voitures et plusieurs canons automoteurs. Au cours de leur fuite, ils ont jeté un grand nombre de collègues morts et de blessés. Également sur ​​le site ont été trouvés rations produites par les pays européens et l’ensemble boîte avec des médicaments qui appartiennent à la catégorie des analgésiques opioïdes.

    – Ont été trouvés médicaments nalbuphine. Si vous lisez les instructions, alors vous pouvez voir que ce est un opium régulière. Et ces médicaments ici dans chaque pirogue pour la boîte entière – dit l’une des milices.

    Comme le correspondant LIFEnews, maintenant forces escadrons de la milice continuent à balayer Debaltseve. Dans la ville, selon les soldats de l’Armée populaire, il ya encore quelques domaines qui doivent être libérés des groupes restants de l’armée ukrainienne. Selon les données préliminaires, déjà demain troupes Debaltseve sera MRN pour aider les soldats LC continuent balayage de la ville et à proximité des établissements humains.

  8. Les usa hésiteraient a armer l’ukraine?
    Quelle bande d’obama. (menteurs/escrocs) rayer la mention inutile.

    Les novorussien ne sont pas allés a washington pour acheter des hummers.

    http://my.mail.ru/community/interfront/video/_groupvideo/3517.html

  9. La chaine russe Russia today diffuse aussi en français.
    http://francais.rt.com/

  10. L’échec n’est pas seulement pour la junte. washington se prend également une gifle avec le chaudron et la défaite cuisante de Débaltsévo.

    Car au vu de ce drapeau sur le fronton du SBU ukrainien a kiev on peut se poser la question : Qui dirige?

    http://francais.rt.com/lemonde/618-difficile-negliger-role-etats-unis

  11. Le dernier bastion de résistance des ukrainiens est tombé a Débaltsevo.
    Fin du chaudron.

    • Ils n’osent pas dire que ce sont des mercenaires ?.
      Sont vraiment devant TF 1.
      Il n’y a plus d’Ukrainiens tuant d’autres Ukrainiens .
      Ceux qui se battent sont Payés pour tuer des UKRAINIENS,ils tueraient des Français ou autres palestiniens également,voyez ces colonnes de TOYOTA un peut partout que même Google ignore hahahahaah.
      https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yes.gif

  12. L’arme de l’information « Made in USA » contre les dirigeants européens

    Anonymous est apparu pour la première fois sur la toile d’Internet en 2003 comme un groupe de hackers activistes défendant la liberté d’expression et opérant comme un « cerveau digital global anarchiste. » Il s’agit d’un instrument, ou plutôt d’une arme destinée à être utilisée dans la guerre de l’information. Et cette arme a un avantage considérable : il s’est bien souvent avéré difficile de savoir qui l’utilisait vraiment. Pourtant, le problème ne se posait pas lorsqu’Anonymous publiait en 1993 une photo d’Angela Merkel rendant visite au Club Elbterrassen pour y rencontrer quelques skinheads et quelques autres personnages dont l’un exécutait un salut nazi…

    Berlin s’était alors fendu d’explications circonstanciées, mais ce n’est pas là le problème. Une photo vieille de plus de 12 ans vient d’être publiée le 9 février dernier, juste avant la visite d’Angela Merkel à Washington, et après sa rencontre avec le président français François Hollande et le président russe Vladimir Poutine à Moscou, une réunion qui a duré plusieurs heures.

    En publiant cette photo, Anonymous demandait si, pour diriger l’Allemagne, on pouvait vraiment faire confiance à une femme politique qui fut membre de l’Organisation de la Jeunesse socialiste en Allemagne de l’Est, qui était une espionne de Berlin Est, et qui fricotait avec les nazis.

    L’attaque médiatique a été précédée par un événement notable : la chancelière s’est opposée à l’idée de fournir des armes léthales à l’Ukraine. Angela Merkel a pris la parole lors d’une conférence sur la Sécurité à Munich le 7 février pour dire que « la situation de l’Ukraine ne s’améliorera pas en fournissant plus d’armes. » Et elle a réitéré cette affirmation un certain nombre de fois lors de ses récents voyages aux États-Unis et au Canada. Aux USA, ce sont le sénateur John McCain et la secrétaire d’État adjointe aux affaires européennes et asiatiques, Victoria Nuland, qui ont répondu en premier. Le Sénateur a comparé les tractations entre Merkel, Hollande et Poutine à la réunion d’apaisement entre Neville Chamberlin et Adolf Hitler. Mme Nuland a, comme à son habitude, utilisé un langage particulièrement obscène pour qualifier la dirigeante du principal État européen.

    Il faut se rappeler aussi que depuis un certain temps, les services secrets américains ont abondamment collecté toute sorte d’informations, par différents moyens, dans le but de pouvoir les utiliser contre la chancelière allemande. On a appris par exemple en octobre 2013 que la NSA (National Security Agency) avait mis sur écoute le téléphone personnel de Mme Merkel, et l’information selon laquelle l’Agence américaine maintenait depuis plus de 10 ans la Chancelière sous surveillance a provoqué un énorme scandale. Mme Merkel a expliqué qu’elle n’attendait ni n’exigeait aucune excuse particulière, mais cette affaire a ouvert une importante brèche dans la confiance mutuelle et il a fallu des efforts importants pour tenter de la restaurer. Les promesses n’ont pas suffi, et la situation imposait des changements. Dans ces circonstances, la Chancelière pouvait difficilement calmer l’indignation générale, mais Washington a fait la sourde oreille sur ce qu’elle disait. L’histoire des enregistrements a finalement été étouffée et il n’y a eu aucun réel changement.

    Angela Merkel n’est pas la seule dirigeante européenne à avoir fait l’expérience des pratiques de Washington concernant toute « liberté de pensée » des leaders européens, en particulier quand il s’agit de la Russie. Les exemples ne manquent pas.

    La Hongrie, emmenée par son premier ministre Victor Orban, a signé avec la Russie un contrat pour achever la construction de deux centrales nucléaires situées à 100 km de Budapest. Les États-Unis ont [immédiatement] imposé des sanctions contre la Hongrie. Le Sénateur McCain, toujours aussi prompt à dégainer, a qualifié le premier ministre hongrois de « dictateur fasciste ». [Dans le même temps], le président Poutine était attendu à Budapest le 17 février.

    Suite : http://ilfattoquotidiano.fr/larme-de-linformation-made-in-usa-contre-les-dirigeants-europeens/#more-2841

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