Petit rappel, pour ceux préoccupés par le nucléaire, n’oubliez pas que chaque semaine la revue de presse Pectine, spécialisée dans le domaine, est publiée sur internet, et elle ne concerne pas QUE Fukushima mais l’ensemble du problème nucléaire dans le monde.
Mais c’est vrai que cette centrale, c’est un sujet teeeeellement secondaire face aux priorités des dirigeants nippons qui se doivent d’obéir à leurs maîtres américains, ce qui est un autre sujet, certes, mais qui montre bien que l’argent et la domination passent bien avant la santé des personnes et l’état de la planète…
Plus de trois ans après le désastre nucléaire de Fukushima, pratiquement aucune enquête sanitaire n’a été menée ou publiée à propos des conséquences pour les Japonais. Un rapport des Nations Unies paru en avril dernier tentait essentiellement de faire l’impasse sur ce problème, estimant « improbables » des conséquences sanitaires de la catastrophe.
En fait, le comité des Nations Unies a fait une estimation très large de la pire catastrophe nucléaire de l’histoire (ou la pire depuis Tchernobyl), avant même que des études scientifiques soient réalisées. Pourtant une enquête conduite localement sonne l’alarme.
L’Université médicale de Fukushima a trouvé que 46% des enfants de la région présentaient des nodules ou kystes précancéreux et un cancer de la thyroïde a déjà été diagnostiqué chez 130 d’entre eux, au lieu de 3 attendus (selon les probabilités habituelles). De façon incroyable, l’Université détourne la science en assurant que les fusions de cœurs de réacteurs ne sont pour rien dans ces chiffres élevés.
Mais les enquêtes japonaises devraient aller bien plus loin que le dépistage de symptômes thyroïdiens. Et le Japon n’est pas la seule région où il faudrait enquêter puisque les retombées radioactives se sont répandues au-dessus de tout l’hémisphère Nord.
En 2011, nous avons estimé que 13 983 morts supplémentaires avaient eu lieu pendant les 14 semaines après l’accident à Fukushima, alors que les niveaux des retombées étaient les plus élevés – à peu près du même ordre qu’après Tchernobyl en 1986. Nous avons travaillé sur la base d’une seule statistique disponible à cette époque et mis en garde de ne pas en conclure que les retombées radioactives étaient responsables de la totalité de ces morts supplémentaires.
Commentaire : Il est bien possible qu’en termes de « gravité catastrophique », Tchernobyl soit maintenant loin derrière Fukushima…Des chiffres finaux sont sortis cette semaine. Le différentiel de mortalité entre 2010 et 2011 pendant les quatre mois après l’accident est de +2.63%, contre +1.54% pour le reste de l’année. La différence correspond à 9 158 morts ; elle est donc inférieure aux 13 983 que nous avions estimées mais c’est tout de même un pic non négligeable.
Encore une fois, il n’est pas question ici de conclure que seul l’accident de Fukushima est responsable de ces morts mais certaines données interpellent. Par exemple, les plus importants différentiels concernent les cinq États de la côte ouest (Océan Pacifique), qui ont reçu les plus fortes retombées de Fukushima aux États-Unis, ainsi que les cinq États voisins (Arizona, Idaho, Montana, Nevada et Utah) qui ont également reçu des retombées importantes, quoique dans une moindre mesure que le premier groupe.
L’accroissement de la mortalité au printemps 2011 a touché pour l’essentiel des personnes âgées de plus de 80 ans. Un grand nombre de ces personnes avaient une santé fragile ; l’exposition accrue aux radiations pourrait avoir avancé la date de leur mort.
Les radiations de Fukushima sont similaires à celles de bombes atomiques, rejetant plus de 100 substances chimiques non présentes dans la nature. Les radionucléides pénètrent dans l’organisme à travers les précipitations qui aboutissent dans la chaîne alimentaire. Une fois dans l’organisme, ces particules endommagent ou détruisent des cellules, entraînant des maladies ou la mort.
Des responsables de santé publique, auparavant sceptiques, admettent maintenant que les radiations, même à très faibles doses, peuvent être dommageables. Par exemple, des études ont montré que des rayons X passés sur l’abdomen de femmes enceintes augmentent le risque de cancer mortel pour l’enfant, ce qui a conduit à abandonner ces pratiques ; les retombées des essais atomiques au-dessus du Nevada ont entraîné jusqu’à 212 000 cancers chez les Américains ; les travailleurs du nucléaire sont exposés à des risques élevés pour un grand nombre de cancers.
Aussi, plutôt que de tirer des conclusions non étayées par des enquêtes scientifiques comme le fait le comité des Nations Unies, il faut conduire des recherches médicales sur l’évolution des taux de morbidité et de mortalité au Japon. Des enquêtes similaires devraient être menées également dans des pays comme la Corée, la Chine, l’est de la Russie et les États-Unis.
Ne pas connaître les conséquences sanitaires de Fukushima ne fait qu’augmenter le risque de voir de nouveau un tel désastre se produire à l’avenir.Source: Netoyens.info via Sott.net
VIVE LE CONSTATATIONISME !
en plus là on constate qu’on constate rien ! si un peu quand même mais c’est pas certain alors voila quoi… il manque la musique dans ces articles, des TADADAM !!! des OUUUUAAAAHHH…
Pffff… pas une seule mesure précise… rien pour nous faire avancer, que du sensationnel pour faire peur ! rien pour comprendre, pas de relativité, que des éxagérations, des superlatifs, des adjectifs…
Mais enfin Moutons Enragés ! le titre du site c’est: on en a marre, on veux s’informer !
Mais nous aussi on veut se faire peur, on veut des émotions, même enragés on reste dans le troupeau.
L’Université médicale de Fukushima a trouvé que 46% des enfants de la région présentaient des nodules ou kystes précancéreux et un cancer de la thyroïde a déjà été diagnostiqué chez 130 d’entre eux, au lieu de 3 attendus (selon les probabilités habituelles). »
Si ça ne vous suffit pas, testez la radioactivité sur vous même et vous pourrez constater que vous êtes mort.
@ Poussin vert c’est justement là qu’est le problème !!!
Ce que la communauté scientifique ( large : des physiciens aux médecins ) réclame est une étude épidémiologique rigoureuse à laquelle le gouv. Nippon se refuse, des études non reconnues ont été faites et les constats sont très alarmants, si tu trouves que dire que 46% des enfants étudiés sont porteurs de nodules thyroïdiens alors que la « norme » c’est la moitié, ce n’est pas parler de chiffres, alors que te faut-il ?
Les estimations actuelles sont de plus de 15 à 18 000 morts consécutifs à l’accident et on ignore tout des pays voisins sans parler du fait que la plupart des gens sérieux demandent l’évacuation de Tokyo depuis 3 ans !
Les cancers des enfants évoluent plus vite que ceux des adultes et ça veut simplement dire que d’ici quelques années ce sera une hécatombe.
Besoin de savoir combien et dans quelles souffrances ???
Tiens Poussin tout Vert, pas du sensationnel, juste la vie de tous les jours.
http://www.vivre-apres-fukushima.fr/
Effectivement, c’est plutôt : Cachez ce Fukushima que je ne saurai voir… qu’il voulait écrire je suppose ! …simple faute de frappe, Benji a toujours autant de mal à Se relire , enfin il nous a dit qu’il prenait un peu de repos, je pense qu’il le prend sur la relecture quoi
Corrigé!! ainsi que la faute dans le texte…
vouiiii! il a du mal avec la relecture Benji ♥♥
Ouais, sauf que « saurais » serait plus juste; il s’agit d’un conditionnel, et non d’un futur 🙂
Benji a toujours autant de mal à SE relire…
Ca arrive à tout le monde 😉
Oui ça m’arrive même à moi qui me relis au moins 10 fois pour éviter de faire trop de fautes !
On en fait tous ! Il paraît que Rousseau était la pire des piches en orthographe… ce qui ne retire rien à la qualité littéraire de ses écrits, n’est-ce pas ?
🙂
J’ai repris le titre « tel quel » de l’article source, sans le S, et n’ai pas eu le réflexe de rectifier cela…
C’est au futur simple donc pas de « S », la faute était avant
Fukushima.
édit même moi faut que je me relise 😉 ♥♥
Double cœur : je ne crois pas. C’est un clin d’œil à la tartufferie (inexact car ce serait « couvrez » d’ailleurs) et donc un conditionnel. Avec un S.
Ceci dit, c’est bien moins grave que le sujet hein ! 🙂
Ben non, pour moi, c’est un subjonctif imparfait vu que la phrase commence par un impératif présent donc:
…..que je ne susse le voir
Je change d’avis: subjonctif présent, et donc : ….que je ne sache le voir !
que je ne saurais voir
je raievisse tjs mah granmère
Couvrez ce sein que je ne saurais voir.
Tu veut des chiffres, voici ceux de Tchernobyl
Tchernobyl : près d’un million de morts, selon de nouvelles études
http://www.reporterre.net/spip.php?article1521
http://blogs.mediapart.fr/edition/japon-un-seisme-mondial/article/240512/aux-usa-le-nombre-de-deces-imputables-la-catastr
http://maplanete.blogs.sudouest.fr/tag/fukushima
http://www.lejdd.fr/Societe/Haute-surveillance-pour-les-enfants-de-Fukushima-656323
Triste anniversaire aujourd’hui.
Hiroshima … Nagasaki … Tchernobyl … Fukushima …
Les enfants vous laissent insensibles ?
http://www.youtube.com/watch?v=b7I49eLtNnY
… que je ne sauraiS voir. 🙂
Pour ceux qui n’ont pas le temps de lire Tcherkoff.
http://www.youtube.com/watch?v=WHoyzV3H_eI
Une pensée pour le courage, les travaux et le dévouement du professeur Vassili Nesterenko et du docteur Youri Bandajevsky en ce triste anniversaire du bombardement d’Hiroshima.
Bonjour,
Les remarques des « troll » ne doivent pas nous détourner de l’information, c’est une technique de troll de détourner l’attention, par un hors sujet, une attaque personnelle pour décrédibiliser l’info, dans le but d’amener les intervenants à ne plus s’intéresser au sujet, et rendre la « file » chaotique.
Par contre pour ceux qui sont pour le nucléaire et ne croient pas aux conséquences néfastes pour l’humain, c’est leur droit inaliénable d’avoir cette position.
Mais à ce moment, je leur propose donc de s’inscrire sur les listes de volontaires pour une décontamination future « éventuelle » d’un « éventuel » accident en France, du type de Fukushima ou Tchernobyl.
Aussi, d’aller passer des vacances dans ces zones avec leurs enfants. Mais rien à attendre des troll bien payé, par l’UE avec notre pognon pour taire/déformer l’information.
Liens sur le sujet trouvé sur :
http://www.fukushima-blog.com/
Encore plus de liens, et pas des moindres :
http://www.fukushima-blog.com/tag/liens%20utiles/
A mon avis les trolls qui interviennent sur ce sujet, seront les premier à se tirer, et laisser les français dans la mouise.
N’est-ce pas ? (à l’attention des trolls).
Il faut le savoir :
Alerte et Scandale Sanitaire : l’Union Européenne, la France et le Japon décident de légaliser
une très importante augmentation des normes de la contamination radioactive des populations,
des aliments et des matériaux de construction en Europe.
La nouvelle Directive Européenne EURATOM. ICI : http://www.actu-environnement.com/ae/reglementation/lnk_count.php4?id=11385
A quelques semaines d’intervalle l’Union Européenne d’un côté et la France de l’autre cèdent au diktat
et au noyautage des institutions par le lobby nucléaire. Dans une nouvelle directive « Euratom », l’UE
augmente les normes de contaminations radioactives en cas d’accident nucléaire en Europe et le Président
de la République française signe un communiqué avec le Japon admettant sur notre territoire des produits
contaminés radioactifs nippons.
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000584053 version consolidée le 12 05 2014 !!!
Photo (voir fichier joint) : exactement ici (la voie verte !), AREVA rejette 16 000 tonnes/an d’effluents radioactifs et chimiques
en plein centre-ville de Romans-sur-Isère. AREVA pollue les sud-est de la France et la Méditerranée via l’Isère
et le Rhône. Après le scandale du Rhône poubelle pollué au PCB, le Rhône poubelle pollué aux radionucléïdes.
Les nucléocrates (étymologie : néologisme composé de nucléo et du suffixe crate, le pouvoir, désignant
des personnes pronucléaires) associés aux lobbies viennent de réaliser l’impensable : faire modifier par
les technocrates de l’Union Européenne les normes existantes depuis des décennies concernant la radioactivité.
Pourquoi ? Simplement parce que la catastrophe nucléaire de Fukushima a démontré que toutes les normes
et les zones d’exclusions sont inapplicables, les autorités japonaises n’ayant évidemment pas pu les faire
respecter. C’est d’ailleurs AREVA qui a en fait la démonstration : les premiers qui ont fui immédiatement
le site nucléaire de Fukushima sont « tous les courageux » représentants d’AREVA, pseudo ingénieurs et techniciens,
cela même qui imposent, via les lobbies, à la population européenne leurs nouvelles normes. Que personne ne s’y
trompe, de facto cet abandon précipité par AREVA de la centrale nucléaire de Fukushima la rend co-responsable
de la catastrophe, le reportage de NHK International est explicite car au final, indépendamment du Tsunami,
c’est bien une erreur humaine qui a engendrée la catastrophe de Fukushima : AREVA devrait être jugé pour sa
co- responsabilité en tant que vrai acteur du désastre nucléaire.
Fukushima, chronique d’un désastre Voir la video : http://www.youtube.com/watch?v=hpLQUKhFXwE
Il faut aussi savoir que le sud-est de la France n’en est qu’aux prémices d’une gigantesque pollution
environnementale radioactive, car tous les déchets radioactifs d’AREVA antérieurs à l’année 2000
soit des milliers de fûts de déchets contaminés à l’uranium enrichi enfouis pêle-mêle dans la région
de Romans-sur-Isère arrivent en fin de vie ! Autre constat, tous les témoins de ces enfouissements
sont maintenant décédés de cancers dans d’horribles souffrances comme ceux que nous avions rencontrés
en 2008 sous appareils respiratoires (poumons brulés).
La nouvelle Directive Euratom … de 73 pages concernant les normes de la contamination radioactive
est un document des Eurocrates totalement « illisible » auquel on peut faire dire n’importe quoi, en réalité,
il y a maintenant tellement de normes applicables dans moult configurations qu’il n’y a plus de normes
opposables ! Exemple, page 13, section 2, article 11 : il y a des normes de limites de doses pour les travailleurs,
les apprentis, les étudiants, dans un nombre de configurations ingérables et suivant l’âge plus ou moins
de 18 ans ou pour ceux âgés de 16 à 18 ans etc . voir aussi : http://www.journaldelenvironnement.net/article/eaux-destinees-a-la-consommation-humaine-controle-des- substances-radioactives,39502
En réalité en cas de catastrophe nucléaire il n’y a aucune norme, Fukushima a démontré que la notion
de norme ou de zones d’exclusions est totalement illusoire, c’est AREVA qui a montré la réalité, en cas
de catastrophe nucléaire cela sera le sauve qui peut pour tous, gendarmes inclus !
Le pire est qu’il est maintenant acquis en sus qu’il n’y a aucune norme d’irradiations ionisantes anodines,
ceci quel que soit la dose, comme vient de le prouver l’enquête de l’Agence Fédérale de Contrôle Nucléaire
de Belgique. ICI : http://www.levif.be/info/actualite/sciences/l-exposition-aux-rayons-x-plus-dangereuse-que-ce-qu-on-pensait/article-4000647429103.htm?nb-handled=true&;utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBDAGLV&utm_source=Newsletter-05/06/2014
Source CRIIRAD, document PDF ci-joint : http://www.icim.fr/listeimg/il_faut_le_savoir_1.pdf
Marie-Christine PACHOUD