Car «un livre sur l’Âme humaine méritait bien qu’on lui donna un vêtement humain», selon une note retrouvée dans l’ouvrage…
Les anglophones recommandent de ne jamais juger un livre d’après sa couverture. A prendre au pied de la lettre en ce qui concerne l’ouvrage Des destinées de l’âme, d’Arsène Houssaye, un auteur français du XIXe siècle. En effet, les administrateurs de la bibliothèque de l’université de Harvard ont confirmé mercredi que ce livre est un exemple de «bibliopégie anthropodermique». En clair, que la matière utilisée pour relier cet ouvrage est de la peau humaine.
Le 4 avril dernier, une rumeur voulant que trois livres -dont celui de l’écrivain Français Arsène Houssaye- détenus par différentes bibliothèques de l’Université d’Harvard seraient reliés en peau humaine avait circulé, rappelle le Huffington Post. L’université a donc effectué des tests pour vérifier cette affirmation, et selon le conservateur des livres rares de l’université, Alan Puglia, les scientifiques sont sûrs à 99,9 % que le livre écrit en 1879 est recouvert de peau humaine. Les analyses ont en revanche mis en avant que les deux autres livres suspectés étaient constitués de peau de mouton………..
[…]Auteur Bérénice Dubuc pour 20Minutes
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La connerie est éternelle .
Bonjour la famille.
A trop vouloir faire la première page elle s’est retrouvée en couverture ?
Ben, si ça tombe, la dame dont on a prélevé l’épiderme était peut être une vraie peau de vache…. ( Ok, je sors )
Peut-être avait-elle une peau de pêche ! 🙂
Ilse Koch » La chienne de Buchenwald » pendant la WWII n’hésitait pas à faire tuer des déportés dont elle avait repéré les beaux tatouages, ensuite, on leur enlevait la partie de peau où était le tatouage, la peau était lavée, séchée et tannée pour la fabrication d’abats-jour, portefeuilles, gants et sacs à mains offerts en cadeaux, ou vendus aux officiers SS !
La folie destructrice est partout !
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« Tous les prisonniers ayant des tatouages reçurent l’ordre de se présenter au dispensaire… Après qu’ils eurent été examinés ceux qui portaient des tatouages les plus intéressants et les plus artistiques furent tués par piqûres. Leurs corps furent ensuite envoyés au service pathologique, où les morceaux de peau tatouée furent remis à la femme de Koch qui fit fabriquer avec cette matière rare des abat-jour et autres objets d’ornementation. »
Andréas Pfaffenberg, déposition au sujet d’Ilse Koch, la « Chienne de Buchenwald » Procès de Nuremberg.