RAPPEL: « Nationalisme: ce mot qu’ils ont voulu nous faire oublier… »

Un petit rappel ne fait jamais de mal, surtout lorsqu’il s’agit de la rhétorique utilisée par certains…

Les grands orateurs de notre société, les intellectuels généralement de gauche, les érudits et les maîtres de la novlangue n’ont pour la plupart retenu qu’une partie de la définition de « nationalisme », celle qui est assimilée à la xénophobie, sans même conserver son sens intrinsèque, l’idée de la nation dans laquelle il n’y a aucune connotation raciste, juste une idée de la nation et d’une identité autour de celle-ci. Cela tant et si bien que le nationalisme est complètement assimilé comme étant le rejet de l’autre, et il est tellement facile de rappeler « les sombres heures de l’histoire » avec le national socialisme, alors qu’étrangement, personne dans ce cas ne retient le mot socialisme…..

Pourtant, si on regarde bien, il y a de nombreux points communs que nous ne pouvons que constater:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=mMbki-TbkF4[/youtube]

Le nationalisme répond initialement à cette définition:

Mouvement politique d’individus qui prennent conscience de former une communauté nationale en raison des liens (langue, culture) qui les unissent et qui peuvent vouloir se doter d’un État souverain.

Source: Le Larousse

C’est avant tout l’idée de nation qui prime, d’identité autour d’un même thème, et s’ils se sont autant évertués à nous faire assimiler le nationalisme comme étant discriminatoire, c’est pour pouvoir faire de la France une simple région d’une Europe fédéralisée, le pays perdant son titre de nation à part entière.

Si nous regardons bien, que nous reste-t-il de réellement français?

  • Nous n’avons plus de frontières si ce n’est dans la rhétorique, de ce côté là nous sommes déjà une région du nouvel ordre mondial tel que l’ont évoqué Sarkozy (voir ici et ici)ou Obama (voir ici) dans leurs discours.
  • Nous avons perdu le droit à la planche à billets en 1973 avec la loi Pompidou-Rothschild, nous forçant à emprunter sur des marchés privés et directement responsable de l’endettement incommensurable de la France (voir ici).
  • Nous avons également perdu la bourse de Paris qui n’est plus parisienne que de nom puisqu’elle a été rachetée par le New York Exchange, elle est donc maintenant américaine (voir ici).
  • Une partie de l’or français ne l’est plus non plus, il a été vendu par Sarkozy himself à ses copains américains pour sauver le dollar sans que les USA n’aient à vendre la moindre once de leur côté (voir ici)! Et ne parlons pas de la banque de France qui envisage également de vendre de l’or pour survivre (voir ici)…
  • La banque de France n’est plus vraiment française non plus, elle est européenne, faisant partie de l’Eurogroup, ce qui est en fait la mise en place d’une finance centralisée (voir ici). « Un seul état, une seule finance« , cette rengaine me rappelle quelque chose…
  • Nous avons aussi perdu la gestion de notre pays avec le pacte budgétaire européen puisque ces chers politiciens PS-UMP ont permis cette « évolution » dans notre système, c’est donc Bruxelles qui va pouvoir décider pour nous, enfin…. Nous…. (voir ici)
  • Et n’oublions surtout pas notre patrimoine! Bradé, vendu, exporté, délocalisé et mondialisé! Entre les USA, la Chine et le Qatar pour ne citer qu’eux, la France est devenue une grande braderie qui flingue ses valeurs et ses symboles.

Bref, il faut arrêter d’écouter tous ces bien-pensants qui souhaitent l’assimilation nationalisme-xénophobie-français de souche simplement pour mieux démanteler le pays et le rendre « régionalisable » dans une Europe qui n’a rien de respectueuse envers ce que nous sommes et représentons.

Notez une chose au passage, l’expression « français de souche » puisque suivant les mêmes personnes, le français de souche est blanc et catholique, et surement raciste, une aberration totale puisque français de souche définit une personne née sur le territoire et dont les parents sont eux-mêmes français, quelles que soient leurs origines.

A l’heure actuelle, être nationaliste ne signifie pas être raciste mais vouloir protéger son pays et ce qu’il représente, c’est aller contre la mondialisation, contre toute idée de « nouvel ordre mondial », contre les délocalisations, mais combien ont oublié le tout premier sens de ce mot?

Le conseil du jour: prenez un dictionnaire, et amusez-vous à relire certaines définitions plus ou moins oubliées comme patriotisme, liberté, démocratie….

 

86 Commentaires

  1. je valide vos propos

  2. Il est vrai qu’au fil du temps le mot nationalisme a pris une connotation péjorative et c’est pour cette raison que les amerlock ont inventé un mot pour désigner, dire, crier leur sentiment nationaliste : ce mot est PATRIOTE. Une magnifique parade. Ils sont Trop fort, com d’hab, les amerlock, c’est un mot qui claque….vous ne trouvez pas!

    Un américain n’est absolument pas nationaliste quand il brandit et salue son drapeau tous les jours : il est PATRIOTE. Alors que dans le reste du monde, plus généralement en Europe, si on montre un quelconque attachement à une idée de nation, C’EST UN SCANDALE. Et on est très vite étiquetté, taxé, affublé des pires jurons par les zélites malpensantes!

    Les faux-penseurs, les faux-intellos et dirigeant américains et mondiaux ont inventé un tas de mot comme ça pour ne pas désigner les choses réellement. Les appeler par leur vrai nom, pour ne pas appeler un chat, un chat. Et surtout pour empêcher les humbles gens de réfléchir afin d’entrevoir la réalité des choses au travers de tous ces voiles mensongers qui ne sont pourtant que des mots et ensuite pouvoir briser toutes les illusions, les mirages qui ont été institué en dogme, en vérité.

    Je vous laisse découvrir par vous-mêmes tous ces mots(maux) tricheurs qui traversent et parsèment l’histoire des hommes, MADE IN USA.

    Qu’est-ce qui ce cache derrière cet autre mot tricheur, CAPITALISTE ?????????

    Mahdi ibn David, un musulman sémite.

  3. 10/10

    Les médias à la botte de la racaille judéo-maçonne fait tout pour diaboliser le nationalisme qui est le seul rempart face au mondialiste.

    Il suffit de voir leurs récentes cibles : Irak, Libye, Syrie, Serbie, et de façon plus feutrée Poutine et Chavez sont victime d’une véritable campagne de diabolisation …

  4. Merci pour la correction Bidule, c’est vrai que là, je suis plutôt ko, surtout qu’après avoir vu les fautes, elles étaient faciles et parfaitement évitables, surtout pour moi! Bon, ce soir, dodo! Et encore merci! 😉

  5. J’ai effacé les comms en rapport avec mon orthographe fatiguée de ce soir, et pas besoin de monter le ton, restons zen, s’il vous plait…

  6. Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part…

    Je ne crois pas que les frontières soient des choses raisonnables.

    Je pense que vous vous trompez lourdement.

    De quoi avez vous peur exactement ?

    • si tu ne le sais pas , je te plain .
      quant toute l’humanitée sera dirigée par une poignée de multinationals tu comprendra peut etre de quoi nous aviont peur .

    • Semblerait que tout centraliser façon Orwell pose quelques problèmes..

      Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen
      Article premier III

      « Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. »

    • Mais enfin Niakine!!!!
      Es-tu aveugle???

      • Mais mon cher Vangoght, tu as un train de retard, l’humanité est déjà dirigée par une poignée de multinationales !Il y a bien longtemps que les frontières n’existe plus pour le grand capital.

        Aujourd’hui on trouve du Coca Cola et des Kalachnikovs partout dans le monde. Que vous alliez au fin fond du bush africain, ou au sommet des Andes vous en trouverez…

        Les frontières sont illusoires, elles ne servent plus que comme prétexte pour confiner les misérables dans leurs trous pourris.

        Quant à l’État Nation, immonde et abstrait, je ne le reconnais pas. A mes yeux ce n’est qu’une entreprise de contrôle, de confinement et d’exploitation des populations au service de ces mêmes multinationales.

        Allez vous battre pour votre drapeau si ça vous chante, moi je n’en ai absolument rien à battre.

        Vive l’anarchie !

  7. super Benjy ,pense a ete reposer a

  8. super benjy , pense a te reposer aussi hein , heureusement qu etu n’efface pas mes comms a caus e de mon orthographe lol , sinon personne ne me lirais , mort d erire

  9. Fait du bien cette petite piqûre de rappel!!
    😀

  10. J’ai reconnu le discours au bout de 23 secondes : c’est un discours d’Hitler, très émouvant d’ailleurs

  11. Ce qui est intéressant c’est que l’auteur de la vidéo est un libertarien et qu’il a fait cette vidéo pour dénoncer les dangers du socialisme en utilisant une grosse ficelle d’association avec Hitler.

    Et beaucoup marchent.

    Les cerveaux sont tellement formatés qu’ils ne se disent pas « tiens, Hitler n’était peut être pas celui que l’on pensait ».

    C’est impressionnant.

  12. C’est drôle mais tous les arguments avancés dans « … que nous reste-t-il de réellement français?  » concernent l’Etat et non la nation.

  13. Voici comment Hitler a relancé l’économie allemande et résolu le problème du chômage de masse en 4 ans alors que les « démocraties » patinaient.

    C’est du bon sens mais les politiques sont trop vendus et pleutres pour le mettre en pratique.

    Il faut pour ce faire un Nationaliste pur et dur imperméable à toute corruption et qui ait les pleins pouvoirs.

    Comment Hitler s’attaqua au chômage et relança l’économie allemande

    [Note du traducteur : Les faits historiques étonnants relatés ici par Mark Weber font se demander s’il n’est pas judicieux d’élire en 2012 un « dictateur » réellement attaché à la grandeur de la France et au bien-être des Français, plutôt qu’un autre bricoleur soi-disant démocratique, corrompu aux principes mortels de la mondialisation. Entre parenthèses, on saisit pourquoi à l’époque le monde capitaliste s’acharna à éradiquer l’Allemagne, et le Japon qui utilisait les principes économiques allemands, et pourquoi, de nos jours, l’unique démocratie participative du monde, la Libye (la Suisse n’est qu’une pâle imitation), a subi le même sort : La Bête immonde qui s’est blessée elle-même (Apocalypse de Jean – 911) pour motiver ses crimes contre ceux qu’elle accuse, veut des peuples de zombies pliés sous le joug capitaliste.]

    Institute for Historical Review, Mark Weber, novembre 2011

    Lors de la Grande Dépression, pour s’occuper du chômage de masse et de la paralysie économique, les gouvernements zunien et allemand lancèrent des programmes novateurs et ambitieux. Bien que les mesures du « New Deal » du président Franklin Roosevelt aidèrent marginalement, les actions bien plus ciblées et globales du Troisième Reich se révélèrent remarquablement efficaces. En trois ans, le chômage fut résorbé et l’économie allemande florissante. Et, bien que le dossier du traitement de la dépression par Roosevelt soit assez bien connu, l’histoire remarquable de la manière dont Hitler aborda la crise n’est pas suffisamment comprise ni appréciée.

    Adolf Hitler devint chancelier d’Allemagne le 30 janvier 1933. Quelques semaines plus tard, le 4 mars, Franklin Roosevelt prit ses fonctions de président de Zunie. Chacun resta patron de son pays pendant les douze années suivantes – jusqu’à avril 1945, peu avant la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Au début de 1933, la production industrielle des deux pays était tombée à environ la moitié de ce qu’elle était en 1929. Les deux dirigeants lancèrent rapidement de nouvelles initiatives ambitieuses pour s’attaquer à la terrible crise économique, surtout au fléau du chômage de masse. Et, bien qu’il existe quelques similitudes frappantes entre les politiques des deux gouvernements, les résultats furent très différents.

    John Kenneth Galbraith, l’un des économistes zuniens les plus influents et les plus lus du XXème siècle, fut conseiller de plusieurs présidents, et servit quelques temps comme ambassadeur zunien en Inde. Auteur de plusieurs dizaines de livres, il enseigna l’économie à l’université de Harvard pendant des années. En ce qui concerne l’affaire allemande, Galbraith écrivit : « …L’élimination du chômage en Allemagne durant la Grande Dépression, sans inflation – et avec la dépendance initiale envers les activités civiles essentielles – fut un signe de réussite. On n’en a rarement fait l’éloge et on n’en a guère parlé. L’idée qu’Hitler ne pouvait faire aucun bien s’étend plus plausiblement à son économie qu’à tout le reste. »

    « La politique économique du régime hitlérien, » continue Galbraith, impliqua « des emprunts à grande échelle pour les dépenses publiques et, surtout au début, pour les travaux publics : voies ferrées, canaux et réseau autoroutier. Il en résulta une action bien plus efficace contre le chômage que dans tout autre pays industriel. » (1) « Fin 1935, » écrit-il aussi, « le chômage touchait à sa fin en Allemagne. En 1936, les hauts revenus relevèrent les prix ou rendirent possible de le faire… À la fin des années 30, le plein emploi avec des prix stables furent instauré en Allemagne. Ce fut un exploit absolument unique dans le monde industriel. » (2) « Hitler prévit également la politique économique moderne, » note l’économiste, « en reconnaissant qu’une méthode rapide en faveur du plein emploi n’était possible qu’associée au contrôle des salaires et des prix. Qu’une nation opprimée par les craintes économiques réagirait à Hitler comme les Zuniens le firent avec Roosevelt, n’est guère surprenant. » (3)

    Les autres pays, écrit Galbraith, ne parvinrent pas à comprendre l’expérience allemande ni à s’en inspirer : « L’exemple allemand fut instructif, mais guère convaincant. Les conservateurs britanniques et zuniens observaient les hérésies financières nazies – les emprunts et les dépenses – et prédisaient invariablement l’échec… Et les libéraux zuniens et les socialistes britanniques observaient la répression, la destruction des syndicats, les chemises brunes, les chemises noires, les camps de concentration, et s’exclamaient avec éloquence, et ne tenaient aucun compte de l’économie. Rien de bon [pensaient-ils], pas même le plein emploi, ne pourrait venir d’Hitler. » (4)

    Deux jours après son entrée en fonction comme chancelier, Hitler fit une allocution radiodiffusée à la nation. Bien que lui et les autres dirigeants de son mouvement eussent clairement exprimé leur intention de réorganiser la vie sociale, politique, culturelle et éducative du pays, en accord avec les principes nationaux-socialistes, tout le monde savait qu’avec environ six millions de chômeurs et la paralysie de l’économie nationale, la grande la priorité du moment était de restaurer l’activité économique en s’attaquant surtout au chômage et en fournissant du travail productif.

    « La misère de notre peuple est horrible à voir ! » déclara Hitler dans ce discours inaugural. (5) « Avec des millions d’ouvriers de l’industrie au chômage et affamés, toute la classe moyenne et les artisans s’appauvrissent. Si cet effondrement ruine finalement aussi les agriculteurs allemands, nous ferons face à une catastrophe aux dimensions incalculables. Car ce ne serait pas seulement l’écroulement d’une nation, mais d’un héritage de deux mille ans de quelques-unes des plus grandes réalisations de la culture et de la civilisation humaine… »

    Le nouveau gouvernement, déclara Hitler, « accomplirait la grande tâche de réorganiser l’économie du pays grâce à deux grands plans quadriennaux. L’agriculteur allemand doit être secouru afin de subvenir à l’approvisionnement alimentaire national et, en conséquence, [il est le] fondement vital de la nation. Le travailleur allemand sera sauvé de la ruine par une attaque concertée et globale contre le chômage. »

    « En quatre ans, » promit-il, « le chômage doit être radicalement maté… Les partis marxistes et leurs alliés ont eu 14 ans pour montrer ce dont ils sont capables. Le résultat est un monceau de ruines. À présent, peuple d’Allemagne, donne-nous quatre ans et porte ensuite un jugement sur nous ! »

    Rejetant les idées floues et peu réalistes de certains militants radicaux de son parti, Hitler se tourna vers des hommes aux capacités et compétences éprouvées. Plus particulièrement, il obtint l’aide de Hjalmar Schacht, un éminent banquier et financier avec un palmarès impressionnant à la fois dans les affaires privées et les services publics. Bien que Schacht ne fut aucunement national-socialiste, Hitler le nomma président de la banque centrale allemande, la Reichsbank, puis ministre de l’Économie.

    Après la prise du pouvoir, écrit le professeur John Garraty, un éminent historien zunien, Hitler et son nouveau gouvernement « lancèrent immédiatement une attaque tous azimuts contre le chômage… Ils stimulèrent le secteur privé grâce à des subventions et des dégrèvements fiscaux, encouragèrent les dépenses de consommation par des moyens comme les prêts de mariage, et plongèrent dans l’énorme programme de travaux publics qui produisit le réseau autoroutier, et des travaux immobiliers, ferroviaires et de navigation. » (6)

    Les nouveaux dirigeants du régime réussirent aussi à convaincre les Allemands auparavant sceptiques, voire hostiles, de leur sincérité, détermination et capacité. Cette confiance et assurance nourries encouragèrent ensuite des hommes d’affaires à embaucher et à investir, et les consommateurs à dépenser, avec un œil tourné vers l’avenir.

    Comme le promit Hitler, avec son gouvernement national-socialiste, ils supprimèrent le chômage en quatre ans. De six millions de chômeurs en début 1933, quand il prit le pouvoir, le nombre fut réduit à un million en 1936. (7) Le taux de chômage fut réduit si rapidement qu’il y eut pénurie de main-d’œuvre nationale de 1937 à 1938. (8)

    Pour la grande masse des Allemands, les salaires et les conditions de travail s’améliorèrent continuellement. De 1932 à 1938 le montant brut des gains hebdomadaires réels augmentèrent de 21 pour cent. Après prise en compte de l’impôt, des déductions d’assurance et des ajustements au coût de la vie, l’augmentation réelle des gains hebdomadaires pendant cette période était de 14 pour cent. Dans le même temps, les loyers restèrent stables, et il y eut une baisse relative des coûts de chauffage et de lumière. Les prix diminuèrent effectivement pour certains biens de consommation comme les appareils électriques, les horloges et les montres, ainsi que pour certains aliments. Même après le déclenchement de la guerre, le revenu des travailleurs continua à s’élever. En 1943, le salaire horaire moyen des travailleurs allemands avait augmenté de 25 pour cent, et les gains hebdomadaires de 41 pour cent. (9)

    Pour la plupart des Allemands, la journée de travail « normale » était de huit heures, et les heures supplémentaires étaient rémunérées généreusement. (10) En plus des hauts salaires, les conditions de travail étaient nettement améliorées par des avantages inclus, comme de meilleures conditions sanitaires et de sécurité, des cantines avec repas chauds subventionnés, des terrains de sport, des parcs, des représentations théâtrales et des concerts subventionnés, des expositions, du sport et des groupes de randonnée, de la danse, des cours d’éducation pour adultes et du tourisme subventionné. (11) Le réseau déjà considérable de programmes de protection sociale, incluant l’assurance vieillesse et un programme de santé national, fut étendu.

    D’après ce qu’il déclara lors d’une interview avec un journaliste zunien en début 1934, Hitler voulait que les Allemands aient « le plus haut niveau de vie possible. » « À mon avis, les Zuniens ont raison de ne pas vouloir que tout le monde soit pareil, mais défendent plutôt le principe pyramidal. Toutefois, chaque personne doit avoir la possibilité de gravir les échelons. » (12) Conformément à cette façon de voir les choses, le gouvernement hitlérien promut la mobilité sociale, avec de grandes possibilités de promotion et d’avancement. Tel que le note le professeur Garraty : « Il est incontestable que les Nazis encouragèrent le socialisme de la classe ouvrière et la mobilité économique. » Afin d’encourager l’acquisition de nouvelles compétences, le gouvernement élargit considérablement les programmes de formation professionnelle, et offrit de généreuses primes pour favoriser l’avancement des travailleurs compétents. (13)

    À la fois l’idéologie national-socialiste et les idées fondamentales d’Hitler, écrit l’historien John Garraty, « incitèrent le régime à privilégier l’Allemand ordinaire davantage qu’un groupe d’élite. Les travailleurs avaient… une place d’honneur dans le système. » En accord avec cela, le régime fournissait aux travailleurs des avantages sociaux incluant des logements subventionnés, des excursions à faible coût, des programmes sportifs, et les plus agréables aménagements d’usines. (14)

    Dans sa biographie détaillée et critique d’Hitler, l’historien Joachim Fest a reconnu : « Le régime insista pour qu’il n’y ait aucune autorité de classe sociale au-dessus des autres, et, en accordant à chacun la possibilité de s’élever, il donna en fait la démonstration pratique du fonctionnement de la neutralité de classe… Ces mesures brisèrent vraiment les vieilles structures sociales pétrifiées. Elles améliorèrent concrètement la condition matérielle d’une grande partie de la population. » (15)

    Quelques chiffres donnent une idée de la façon dont la qualité de vie s’améliora. Entre 1932, la dernière année de l’ère pré-hitlérienne, et 1938, la dernière année complète avant le déclenchement de la guerre, la consommation alimentaire augmenta d’un sixième, tandis que le chiffre d’affaires des vêtements et textiles augmenta de plus d’un quart, et les meubles et biens des ménagers de 50 pour cent. (16) Dans les années pacifiques du Troisième Reich, la consommation de vin augmenta de 50 pour cent, et celle de champagne quintupla. (17) Entre 1932 et 1938, le volume du tourisme fit plus que doubler, tandis que le nombre de propriétaires d’automobiles tripla durant les années 30. (18) La production de véhicules automobiles allemands, qui comprenait des voitures fabriquées par les usines Ford et General Motors (Opel) de propriété zunienne, doubla en cinq années, de 1932 à 1937, tandis que les exportations d’automobiles allemandes furent multipliées par huit. Entre 1933 et 1937, le trafic de passagers aériens fit plus que tripler en Allemagne. (19)

    Les affaires allemandes renaquirent et prospérèrent. Pendant les quatre premières années de l’ère nationale-socialiste, les bénéfices nets des grandes entreprises quadruplèrent, et le revenu managérial et entrepreneurial augmentèrent de près de 50 pour cent. « Les choses allaient encore s’améliorer, » écrit l’historien juif, Richard Grunberger, dans son étude détaillée, The Twelve-Year Reich [Le Reich de douze ans]. « En trois ans, entre 1939 et 1942, l’industrie allemande s’agrandit d’autant qu’elle l’avait fait au cours des cinquante années précédentes. » (20)

    Bien que les entreprises allemandes prospérassent, les profits étaient maîtrisés et maintenus par la loi dans des limites modérées. (21) À partir de 1934, les dividendes de l’actionnariat des entreprises allemandes étaient limités à six pour cent par an. Les bénéfices non distribués étaient investis en obligations du gouvernement du Reich, qui avait un taux d’intérêt annuel de six pour cent, puis, après 1935, de quatre et demi pour cent. Cette politique eut l’effet prévisible d’encourager le réinvestissement corporatif et l’autofinancement, et de réduire ainsi l’emprunt auprès des banques et, plus généralement, de diminuer l’influence du capital dans le commerce. (22)

    Le taux d’imposition des entreprises fut régulièrement relevé, de 20 pour cent en 1934 à 25 pour cent en 1936, et 40 pour cent en 1939-40. Les administrations des compagnies allemandes pouvaient accorder des primes aux gestionnaires, mais seulement si elles étaient directement proportionnelles aux bénéfices, et elles avaient aussi le droit de verser des primes correspondantes ou des « contributions sociales volontaires » aux employés. (23)

    Entre 1934 et 1938, le revenu brut imposable des hommes d’affaires allemands augmenta de 148 pour cent, tandis que volume global d’imposition augmenta de 232 pour cent. Le nombre de contribuables dans la tranche d’imposition des plus hauts revenus – ceux qui gagnaient plus de 100.000 marks par an – augmenta au cours de cette période de 445 pour cent. (En revanche, le nombre de contribuables dans la tranche des revenus inférieurs – ceux qui gagnaient moins de 1500 marks par an – n’augmenta que de cinq pour cent.) (24)

    Dans l’Allemagne nationale-socialiste, la fiscalité était nettement progressive, les plus hauts revenus payant proportionnellement plus que les revenus inférieurs. Entre 1934 et 1938, le taux moyen des impôts sur les revenus de plus de 100.000 marks augmenta de 37,4 pour cent à 38,2 pour cent. En 1938, les Allemands dans les tranches d’imposition les plus basses représentaient 49 pour cent de la population et 14 pour cent du revenu national, mais payaient seulement 4,7 pour cent de charge fiscale. Ceux dans la plus haute catégorie de revenu, qui représentaient à peine un pour cent de la population, mais avaient 21 pour cent des revenus, payaient 45 pour cent de charge fiscale. (25)

    Quand Hitler arriva au pouvoir, les Juifs représentaient environ un pour cent de la population allemande totale. Pendant que le nouveau gouvernement s’activait rapidement pour les retirer de la vie politique et culturelle du pays, les Juifs furent autorisés à exercer dans la vie économique, du moins pendant plusieurs années. En fait, de nombreux Juifs bénéficièrent de la part du régime de mesures de récupération et de rétablissement économique général. En juin 1933, par exemple, Hitler approuva un investissement gouvernemental de grande envergure, 14,5 millions de marks, dans une compagnie appartenant à des Juifs, la chaîne de grands magasins Hertie à Berlin. Ce « renflouement » fut fait pour empêcher la ruine des fournisseurs, des financiers, et, surtout, des 14.000 employés de la grande compagnie. (26)

    Le professeur Gordon Craig, qui enseigna l’histoire à l’université de Stanford pendant des années, fait remarquer : « Dans l’habillement et les commerces de détail, les entreprises juives continuèrent à fructifier jusqu’à 1938, et à Berlin et Hambourg, en particulier, les établissements réputés et au goût connu continuèrent à attirer leurs anciens clients malgré leur appartenance juive. Dans le monde de la finance, aucune restriction ne fut infligée sur la marche des firmes juives à la Bourse de Berlin et, jusqu’à 1937, les établissements bancaires de Mendelssohn, Bleichröder, Arnhold, Dreyfuss, Straus, Warburg, Aufhauser, et Behrens, étaient encore en activité. » (27) Cinq ans après l’arrivée au pouvoir d’Hitler, le rôle des Juifs dans l’activité des entreprises était toujours important, et les juifs détenaient encore un patrimoine immobilier considérable, surtout à Berlin. Toutefois, cette situation changea considérablement en 1938, et fin 1939 les Juifs avaient été en grande partie retirés de la vie économique allemande.

    Le taux de criminalité chuta en Allemagne pendant la période hitlérienne, avec des baisses significatives dans les taux de meurtre, vol qualifié, vol, détournement de fonds et larcin. (28) L’amélioration de la santé et de la façon de voir les choses des Allemands impressionnaient de nombreux étrangers. « La mortalité infantile est considérablement réduite et est singulièrement inférieure à celle de Grande-Bretagne, » écrivit Sir Arnold Wilson, un député britannique qui s’était rendu sept fois en Allemagne après l’arrivée au pouvoir d’Hitler. « La tuberculose et les autres maladies diminuent sensiblement. Les cours criminelles n’ont jamais eu si peu à faire et les prisons n’ont jamais eu si peu d’occupants. C’est un plaisir d’observer les capacités physiques de la jeunesse allemande. Même les gens les plus pauvres sont mieux vêtus qu’avant, et les visages joyeux témoignent de l’amélioration psychique qui œuvre en eux. » (29)

    L’amélioration du bien-être psycho-émotionnel des Allemands durant cette période, a aussi été notée par l’historien social Richard Grunberger. « Il ne fait aucun doute, » écrit-il, « que la prise de pouvoir [nationale-socialiste] engendra une amélioration généralisée de la stabilité émotive ; ce ne fut pas seulement dû à la reprise économique, mais au sens aigu de l’identification avec l’objectif national de nombreux Allemands. » (30)

    L’Autriche connut un essor spectaculaire après son raccordement au Reich allemand en mars 1938. Immédiatement après l’union, les responsables agirent rapidement pour soulager la détresse sociale et revitaliser l’économie moribonde. L’investissement, la production industrielle, la construction de logements, les dépenses de consommation, le tourisme et le niveau de vie augmentèrent rapidement. Rien qu’entre juin et décembre 1938, le revenu hebdomadaire des ouvriers de l’industrie autrichienne augmenta de neuf pour cent. La réussite du régime national-socialiste dans la suppression du chômage fut si rapide que l’historien zunien Evan Burr Bukey s’avança jusqu’à la qualifier de « l’une des plus remarquables réussites économiques de l’histoire moderne. » Le taux de chômage en Autriche passa de 21,7 pour cent en 1937 à 3,2 pour cent en 1939. Le PNB autrichien s’éleva de 12,8 pour cent en 1938, et d’un étonnant 13,3 pour cent en 1939. (31)

    La forte augmentation du taux de natalité exprimait le degré de la confiance nationale. Un an après l’arrivée d’Hitler au pouvoir, le taux de natalité allemand bondit de 22 pour cent, en passant à son sommet en 1938. Il resta élevé même en 1944 – dernière année complète de la Seconde Guerre mondiale. (32) De l’avis de l’historien John Lukacs, ce bond du taux de natalité exprimait « l’optimisme et la confiance » des Allemands pendant les années hitlériennes. « Pour deux enfants naissant en Allemagne en 1932, trois naissaient quatre ans plus tard, » remarque-t-il. « En 1938 et 1939, le taux de mariage le plus élevé de toute l’Europe fut enregistré en Allemagne. Il supplantait même celui des peuples prolifiques d’Europe orientale. La hausse phénoménale de la natalité allemande dans les années trente fut encore plus marquée que la hausse du taux de mariage. » (33) Gordon A. Craig, un talentueux historien zunien originaire d’Écosse, note : « L’Allemagne nationale-socialiste, fut seule parmi les pays peuplés par des Blancs à réussir à accroître la fécondité, » avec une forte hausse de la natalité après l’arrivée d’Hitler au pouvoir, et sa montée régulière dans les années qui suivirent. (34)

    Début 1937, lors d’une longue allocution au Reichstag, Hitler rappela les promesses qu’il avait faites lors de la prise de pouvoir de son gouvernement. Il expliqua aussi les principes fondant sa politique, et revint sur ce qui avait été accompli en quatre ans. (35) « …Ceux qui parlent de « démocraties » et de « dictatures », » dit-il, « ne comprennent tout simplement pas que la révolution a été menée à bonne fin dans ce pays, dont les réussites peuvent être considérées comme démocratiques au sens le plus élevé du terme, si démocratie a un sens réel… La révolution nationale-socialiste n’a point aspiré à transformer une classe privilégiée en classe qui n’aurait aucun droit dans l’avenir. Son but a été de donner des droits égalitaires à ceux qui n’en avaient pas… Notre objectif a été de donner au peuple allemand tout entier la possibilité d’être actif, non seulement dans le secteur économique, mais aussi dans le domaine politique, et d’assurer cela grâce à une organisation impliquant la masse de la population… Dans les quatre dernières années, nous avons accru la production allemande dans tous les domaines à un degré extraordinaire. Et cette amélioration de la production a bénéficié à tous les Allemands. »

    Deux ans plus tard, lors d’une autre allocution, Hitler parla brièvement de la réussite économique de son régime : (36) « J’ai vaincu le chaos en Allemagne, rétabli l’ordre, considérablement relevé la production dans tous les domaines économiques de notre nation ; grâce à des efforts acharnés, produit des substituts aux nombreux matériaux dont nous manquions, encouragé les nouvelles inventions, développé le trafic, fait construire de grandes routes et creuser des canaux, fait sortir de terre de gigantesques usines, tout en m’efforçant de promouvoir l’éducation et la culture de notre peuple pour développer notre communauté sociale. Une fois encore, je suis parvenu à trouver un travail utile à la totalité des sept millions de chômeurs, ce qui nous a à tous tant touché le cœur, en gardant le paysan allemand sur sa terre, malgré toutes les difficultés, et en gardant la terre elle-même pour lui, en restaurant la prospérité du commerce allemand, et en favorisant la circulation au maximum. »

    Dans un article très discuté, publié dans American Historical Review, l’historien zunien John Garraty a comparé les solutions zuniennes et allemandes pour la Grande Dépression. Il a écrit : (37) « Les deux mouvements [en Zunie et en Allemagne] ont malgré tout réagi à la Grande Dépression d’une manière similaire, distincte de celle des autres pays industriels. Des deux, les Nazis ont mieux réussi à guérir les maux économiques des années 30. Ils ont réduit le chômage et stimulé la production industrielle plus vite que les Zunien l’ont fait et, compte tenu de leurs ressources, pris en main leurs problèmes monétaires et commerciaux avec plus de succès, certainement d’une manière plus imaginative. Cela s’explique en partie parce que les Nazis usait à grande échelle le financement par la planche à billets, et en partie parce que leur système totalitaire se prêtait mieux à la mobilisation de la société, tant par la force que par la persuasion. En 1936, la dépression pour l’essentiel terminée en Allemagne, était loin de l’être en Zunie. »

    En fait, le taux de chômage en Zunie resta élevé jusqu’à ce que s’installe la stimulation de la production de guerre à grande échelle. Même à la fin mars 1940, le chômage en Zunie touchait encore près de 15 pour cent de la population active. Ce fut la production de guerre, et non pas les programmes du « New Deal » de Roosevelt, qui ramenèrent finalement le plein emploi. (38)

    Le professeur William Leuchtenberg, un éminent historien zunien, connu pour ses livres sur la vie et la carrière de Franklin Roosevelt, résume le bilan mitigé du président dans une étude très réputée. Il conclut : « Le New Deal laissa de nombreux problèmes non résolus et en créa même d’autres difficiles à comprendre. Il ne démontra jamais sa capacité à atteindre la prospérité en temps de paix. À une époque aussi tardive que 1941, les chômeurs étaient encore six millions, et ce n’est pas avant l’année de guerre de 1943 que l’armée de chômeurs disparut enfin. » (39)

    Le contraste entre les affaires économiques allemandes et zuniennes des années 30 est d’autant plus frappant quand on prend en compte le fait que les Zuniens étaient immensément plus riches en ressources naturelles, notamment en grandes réserves de pétrole, avaient une densité de population plus faible, et aucun voisin hostile et bien armé.

    Une intéressante comparaison de la manière zunienne et allemande d’aborder la Grande Dépression parut dans un numéro de 1940 de l’hebdomadaire berlinois Das Reich. Intitulé « Hitler et Roosevelt : succès allemand, tentative zunienne, » l’article désignait le système « démocratique parlementaire » de Zunie comme facteur clé du fiasco des efforts de l’administration Roosevelt pour rétablir la prospérité. « Nous [Allemands] avons commencé avec une idée et avons mis à exécution des mesures pratiques, sans égard pour les conséquences. La Zunie a commencé avec de nombreuses mesures pratiques, sans cohérence interne, qui ont recouvert chaque plaie d’un pansement particulier. » (40)

    Les politiques économiques d’Hitler pouvaient-elles marcher en Zunie ? Ces solutions sont sans doute plus réalisables dans les pays comme la Suède, le Danemark et les Pays-Bas, dotés d’une population bien éduquée, autodisciplinée et homogène ethniquement et culturellement, ayant par tradition un fort génie « communautariste, » avec en conséquence un niveau élevé de confiance sociale. Les mesures économiques d’Hitler sont moins applicables en Zunie et dans les autres sociétés où la population est diversifiée ethniquement et culturellement, nettement individualiste, avec une tradition de « laissez-faire, » et, en conséquence, un esprit « communautariste » amoindri. (41)

    Une fois, Hitler lui-même fit une comparaison frappante entre les systèmes socio-politico-économiques de Zunie, d’Union soviétique et d’Allemagne. Fin 1943, lors d’une allocution, il déclara : (43)

    « Nous avons maintenant appris à connaître deux extrêmes [sociaux-politiques]. L’un, les États capitalistes, utilise le mensonge, la tromperie et la fourberie pour refuser à son peuple les droits vitaux les plus élémentaires, et se soucie uniquement de ses propres intérêts financiers, pour lesquels il est prêt à sacrifier des millions de gens. D’autre part, nous avons vu [en Union soviétique] les extrémistes communistes : un État qui a plongé dans une misère indicible des millions et des millions de gens, et qui, suivant sa doctrine, sacrifie le bonheur des autres. Sachant cela, à mon avis, il n’y a pour nous tous qu’une seule obligation, à savoir, s’appliquer plus que jamais dans notre idéal national et socialiste… Dans cet État [allemand] le principe prévalent n’est pas la prétendue égalité, comme en Russie soviétique, mais plutôt la justice. »

    David Lloyd George – qui fut premier ministre de Grande-Bretagne durant la Première Guerre mondiale – fit un grand voyage en Allemagne à la fin de 1936. Dans un article publié par la suite dans un grand journal de Londres, l’homme d’État britannique raconta ce qu’il avait vu et vécu. (43)

    « Quoi qu’on puisse penser de ses [d’Hitler] méthodes, » écrit M. Lloyd George, « et ce ne sont certes pas celles d’un pays parlementaire, il ne fait aucun doute qu’il a accompli une transformation merveilleuse dans l’esprit des gens, dans leur attitude envers l’autre, et dans leurs perspectives économiques et sociales.

    À Nuremberg, il a affirmé qu’en quatre ans son mouvement avait fait une nouvelle Allemagne. Ce n’est plus l’Allemagne de la première décennie qui a suivi la guerre – brisée, abattue et accablée par un sentiment d’appréhension et d’impuissance. Elle est désormais pleine d’espoir et de confiance, et d’un sentiment de détermination à mener sa propre vie ravivée, sans aucune ingérence d’influence extérieure à ses propres frontières.

    Il y a pour la première fois depuis la guerre un sentiment général de sécurité. Les gens sont plus joyeux. Il y a un plus grand sentiment de gaieté spirituelle généralisé dans tout le pays. C’est une Allemagne plus heureuse. Je l’ai constaté partout, et les Anglais que j’ai rencontré dans mon voyage et qui connaissaient bien l’Allemagne, étaient très impressionnés par le changement. »

    « Ce grand peuple, » avertit en continuant l’homme d’État aguerri, « travaillera mieux, se sacrifiera davantage et, si nécessaire, se battra avec une plus grande détermination si Hitler le lui demande. Ceux qui ne comprennent pas ce fait capital sont incapables de juger les possibilités actuelles de l’Allemagne moderne. »

    Bien que les préjugés et l’ignorance aient entravé une sensibilisation plus grande envers les mesures économiques d’Hitler et la compréhension de leur impact, la réussite de sa solution économique a été reconnue par des historiens, notamment par des universitaires qui sont en général très critiques à l’égard de ce dirigeant allemand et des politiques de son régime.

    John Lukacs, un historien zunien d’origine hongroise dont les livres ont suscité bien des commentaires et éloges, a écrit : « Au cours des six années [de paix] de son leadership en Allemagne, les réalisations, nationales plutôt qu’étrangères, d’Hitler furent extraordinaires… Il apporta prospérité et confiance aux Allemands, la sorte de prospérité qui découle de la confiance. Après 1933, les années 30 furent une époque ensoleillée pour la plupart des Allemands, quelque chose qui resta en eux dans la mémoire de toute une génération. » (44)

    Sebastian Haffner, un influent journaliste et historien allemand qui était aussi un critique féroce du Troisième Reich et de son idéologie, a examiné la vie et l’héritage d’Hitler dans un livre très discuté. Malgré la sévérité de sa description du leader allemand dans The Meaning of Hitler, cet auteur a tout de même écrit : (45)

    « Parmi les réalisations bénéfiques d’Hitler, celle qui éclipsa toutes les autres fut le miracle économique. » Pendant que le reste du monde était toujours embourbé dans la paralysie économique, Hitler fit « un îlot de prospérité de l’Allemagne. » En trois ans, poursuit Haffner, « les besoins criants et la masse de difficultés se transformèrent globalement en prospérité modeste mais confortable. Presque aussi important : l’impuissance et le désespoir firent place à la confiance et l’assurance. Encore plus miraculeux, la transition de la dépression vers le boom économique fut réalisée sans inflation, avec des salaires et des prix parfaitement stables… Il est difficile d’imaginer exactement la reconnaissance stupéfaite avec laquelle les Allemands réagirent à ce miracle qui, plus singulièrement, après 1933, fit basculer un grand nombre de travailleurs allemands de social-démocrate et communiste à hitlérien. L’admiration reconnaissante prédominait radicalement dans l’humeur des masses allemandes pendant la période de 1936 à 1938… »

    Joachim Fest, un autre éminent journaliste et historien allemand, a passé en revue la vie d’Hitler dans une biographie renommée et exhaustive. « Si Hitler avait succombé à un assassinat ou à un accident à la fin de 1938, » écrit-il, « peu hésiteraient à le reconnaître comme l’un des plus grands hommes d’État allemands, bienfaiteur de l’histoire allemande. » (46) « Aucun observateur objectif de la scène allemande ne pourrait nier les exploits considérables d’Hitler, » a noté l’historien zunien John Toland. « Si Hitler était mort en 1937, au quatrième anniversaire de son arrivée au pouvoir… il serait sans doute devenu l’une des plus grandes figures historiques de l’Allemagne. Partout en Europe, il avait des millions d’admirateurs. » (47)

    http://www.alterinfo.net/Comment-Hitler-s-attaqua-au-chomage-et-relanca-l-economie-allemande_a67584.html

  14. « Quand vous vous sacrifierez pour votre communauté alors vous pourrez marcher la tête haute », heu mais quelle est ma communauté ? Mon pays, ma ville, mon quartier, ma rue, ma région, ma planète, l’hémisphère nord ?
    On fait tous partie d’une communauté et de nombreux groupes et sous-groupes, à quel moment et suivant quels critères je décide lequel de ces groupes est digne qu’on se sacrifie pour lui plus particulièrement ?

    • Nootrope. Ah ben alors si tu ne sais pas à quelle communauté tu appartiens c’est grave…on ne peut rien pour toi.

      • nootrope12 n’a pas tort.

      • odin29, je ne dis pas que je n’appartiens à aucune communauté mais au contraire à beaucoup (comme tout le monde), que j’identifie parfaitement grâce à un mécanisme très précis : si une communauté est attaquée et que je me sens attaquée aussi, c’est que j’y appartiens 🙂
        Et sinon pour définir une nation (ou tout autre groupe), on utilise ce qui fait sa spécificité donc sa différence avec les autres, et c’est ce qui rend l’exercice ambiguë car il s’agit d’une certaine manière de s’opposer constamment aux autres pour pouvoir exister…
        C’est ce qu’explique un peu Howard Bloom dans ces livres et ce qui le rend assez pessimiste quand à la possibilité de sociétés sans violence ni guerre.

        • Vous me rassurez Nootrope. Comme vous le dites:  » d’une certaine maniere « …pas forcément de la manière forte donc. Mais la vie pour tous les organismes, quels qu’ils soient, n’est-elle pas combat? Combat pour la survie s’entend. Pourquoi les nations, les peuples, les tribus, les clans y échapperaient-ils? Je rejoins assez Bloom dans son pessimisme… Comment échapper à la violence pour survivre? Bien cordialement Nootropoe…

    • Bas personellement, tout à avoir avec l’endroit où l’on vie, si on ne veut pas quitter un pays alors ce pays devient notre communauté, même si ce n’est pas ce mot que je préfère utiliser, donc au final on fait tout pour qu’il soit le plus agréable possible pour y vivre, donc on devient nationaliste dans le sens nation et rien d’autre, ptite crotte de nez aux prédendu nationalists du FN qui repassent les tabliers quotidiennement, fuck off =_=

      Pour avoir une idée de ce que je pense sur le mot nation, cette conférence est la plus indiquée :

      http://youtu.be/8MJjKuFhU4I

      Je suis ne suis ni blanc, ni chrétien, et pourtant c’est lui qui explique le mieux ce que je pense sur divers sujets.

  15. Bon là « « Nous avons maintenant appris à connaître deux extrêmes [sociaux-politiques]. L’un, les États capitalistes, utilise le mensonge, la tromperie et la fourberie pour refuser à son peuple les droits vitaux les plus élémentaires, et se soucie uniquement de ses propres intérêts financiers, pour lesquels il est prêt à sacrifier des millions de gens. D’autre part, nous avons vu [en Union soviétique] les extrémistes communistes : un État qui a plongé dans une misère indicible des millions et des millions de gens, et qui, suivant sa doctrine, sacrifie le bonheur des autres. Sachant cela, à mon avis, il n’y a pour nous tous qu’une seule obligation, à savoir, s’appliquer plus que jamais dans notre idéal national et socialiste… Dans cet État [allemand] le principe prévalent n’est pas la prétendue égalité, comme en Russie soviétique, mais plutôt la justice. » Là,il avait parfaitement résumé la situation de l’époque. Seulement voila, cette situation est de nouveau d’actualité aujourd’hui pour nous Européens!… Manque de bol nous n’avons pas d’homme de cette envergure, hélas, pour nous sortir de cette m…. Merci Névénoé de remettre les pendules à l’heure, ça fait du bien. Maintenant y a plus qu’à attendre les cris d’orfraie des  » bien pensants « , on va dépasser les 300 com.. on va rire!!! Affûtons nos armes.

    • N’oubliez pas que HITLER a supprimer les syndicats et ouvert des camps pour eux et pour les opposants ..

      • Rouletabille. Là tu propages les mensonges de l’histoire officielle, de bonne foi j’en suis sur mais des mensonges. Ici même, en France, pays des droits de l’homme, on mets en prison des pères de famille uniquement parce-qu’ils ne sont pas d’accord avec l’histoire officielle justement. C’est mieux??? Quant aux syndicats…à quoi servent-ils? Ah oui ils sont à la solde du pouvoir, achetés si tu préferes. Bonne soirée Rouletabille.

        • Tout a fait odin29 et le cas Vincent Reynouard est là pour l’illustrer.

        • Bonsoir tout le monde, ça fait un moment que je passe par là et cet article me fait passer le pas.
          odin29, étant de bonne foi aussi (peut-être même trop souvent), j’aurais pu avoir la même réaction que Rouletabille, et comme je suis curieux aussi, quelle est ta version officieuse de l’histoire sur ce sujet, brièvement ou avec quelques liens?

        • Bonsoir à tous, ça fait quelques temps que je passe par là alors il fallait bien que je finisse par sauter le pas.
          Odin29, je suis de bonne foi également (peut-être même un peu trop) et aussi un peu curieux, quelle est ta version officieuse sur ce sujet, brièvement ou avec quelques liens.

          PS: 2ème tentative, le premier post n’ayant pas fonctionné, j’espère que je ne vais pas commencer en pourrissant la discussion 🙂

        • Aller 3ème tentative, cette fois après avoir sécurisé mon mot de passe…

          Donc, bonsoir de la part d’un petit nouveau qui ne faisait que lire depuis quelques temps et passe donc le pas.

          Odin29, je suis de bonne fois aussi, parfois même un peu trop, et également un peu curieux. Quelle est donc ta version non officielle sur ce sujet, brièvement ou avec quelques liens…?

          • Galouleo. Excusez-moi pour cette réponse différée mais hier au soir j’ai été rejoindre les bras de Morphée avant votre question. Alors au sujet de l’histoire officielle, celle écrite par les vainqueurs…c’est de l’enfumage total. On nous ment depuis bientôt 70 ans. Entrer dans les détails serait trop long aussi je ne saurai trop vous engager à feuilleter quelques ouvrages révisionnistes. ex Faurisson, Rassinier, Jurgen Graft, Reynouard, Zundel…Il suffit de taper ces noms sur gogueule et on trouve les titres. Ces lectures sont tres tres instructives. On tombe de haut! J’espere avoir pu vous aider. Bonne journée

      • Il faut arrêter les conneries avec les camps à tout bout de champs.

        Seuls quelques leaders ont été internés, et pas éliminés. Et puis les camps avaient été mis en place avant l’accession d’Hitler au pouvoir.
        L’Allemagne vivait une période proche de l’anarchie à cause des attentats et assassinats perpétrés par les communistes qui tentaient de prendre le pouvoir par la force.

        Quand à l’interdiction des syndicats l’application du programme économique de Hitler imposait qu’il ai tout pouvoir, et ça a marché.

        Il a également mis les entreprises au pas (voir texte ci dessus) et le a imposé d’énormes restrictions et obligations, il a mis l’économie au service de la Nation.

        • A te lire Hitler était un ange. (:

          • Je n’ai pas dit ça mais nous sommes très loin du mal absolu comme on tente de nous le faire croire.

            A côté de Churchill oui c’était un ange …

            Il a du faire preuve d’autorité pour mettre son programme en oeuvre.

            • Il est vrai qu’il est diabolisé. La personnification de Satan. Et qu’à côté de Churchill (qui lui est toujours présenté comme un ange, d’ailleurs) c’était un bon chrétien. Mais il a fait des choses pas jolies pas jolies. Et parfois, je me demande même si Hitler ne fait pas partie de la grande mascarade de la 2nde guerre mondiale. Un acteur, avec les autres dirigeants. Avec une certaine collaboration nazi-sioniste.
              http://www.mariosousa.se/QuiavaitpayeetarmeHitler.html
              http://www.dailymotion.com/video/xrl4sw_hitler-a-co-fonde-israel-en-1933-avec-les-juifs-sionistes-le-contrat-de-transfert-the-transfer-agree_news

              • Non Hitler était sincère.

                L’accord de transfert a été interrompu lorsque Hitler s’est rendu compte que c’était une catastrophe pour les Palestiniens.

                Pour ce qui est de l’autre lien concernant les financements de Hitler certains son faux et d’autres exacts.

                Il faut voir que le péril de l’époque était le communisme et c’est en tant que rempart qu’il a été financé par certaines entreprises et non par adhésion à ses idées, pour la plupart en tout cas.
                La plupart ont arrêté après sa tentative de coup d’Etat voyant qu’il voulait fonder un état socialiste.

                • Oui, je vois. Je pense quand même que c’est une possibilité. Je suis sceptique. Puisque tout est manipulation.. mais c’est peut-être un peu tiré par les cheveux. (:

                  • La manipulation réside dans le déclenchement d’une guerre voulue en particulier par les Juifs et par l’Angleterre.

                    Quelques propos de CHURCHILL qui apportent un autre éclairage sur les évènements.

                    « L’Allemagne devient trop forte. Nous devons l’écraser. »
                    Winston Churchill (1936)

                    Il faut bien comprendre que cette guerre n’est pas contre Hitler ou le National-Socialisme, mais contre la force du peuple allemand, qui doit être écrasée une fois pour toute, indépendamment du fait qu’elle soit entre les mains d’Hitler ou d’un prêtre jésuite. »

                    Je ne veux pas de suggestions sur la façon dont nous pouvons mettre l’économie et la machine de guerre (allemandes) hors d’état de fonctionner ; ce que je veux, ce sont des suggestions sur la façon de rôtir les réfugiés allemands fuyant Breslau. » Winston Churchill

                    « Le crime impardonnable de l’Allemagne avant le Seconde Guerre Mondiale a été sa tentative d’extraire son économie du système financier mondial et de bâtir son propre système d’échange dont la finance mondiale ne pouvait plus profiter… Nous avons saigné le mauvais porc. » Winston Churchill

                    « La guerre ne fut pas menée uniquement pour abolir le fascisme, mais pour conquérir des marchés économiques. Nous aurions pu, si nous en avions eu l’intention, empêcher cette guerre d’éclater sans qu’une seule balle ne soit tirée, mais nous ne le voulions pas. » Winston Churchill

                    « Cette guerre est une guerre anglaise et son but est la destruction de l’Allemagne »
                    Winston Churchill

                    « Je ne comprends pas le problème qu’il peut y avoir avec l’utilisation du gaz (de combat). Je suis fortement en faveur de l’usage de gaz mortels contre les tribus non-civilisées. »
                    Winston Churchill

                    Si l’Allemagne devait être en mesure de commercer à nouveau dans les 50 prochaines années, nous aurions mené cette guerre (la guerre 14-18) en vain. »
                    Winston Churchill

                    • Merci, ça ne fait que confirmer ce que je pensais de Churchill et mes idées premières sur les causes de la seconde guerre mondiale.
                      « Le crime impardonnable de l’Allemagne avant le Seconde Guerre Mondiale a été sa tentative d’extraire son économie du système financier mondial et de bâtir son propre système d’échange dont la finance mondiale ne pouvait plus profiter… Nous avons saigné le mauvais porc. » Winston Churchill. C’est exactement ce qu’il ont fait avec Kadhafi et Saddam Hussein avant lui.

    • Hihihi j’en piaffe d’impatience, non je déconne.

    • odin29, remarquez que la justice est toujours promises uniquement à ceux qui font partie du groupe mais jamais aux AUTRES (et il existe toujours un risque qu’on soit « les autres » un jour).

  16. Merci pour cette piqure de rappel benji, elle a le mérite d’expliquer qu’il ne faut pas rougir du nationalisme.
    Au lieu de cracher sur la patrie,demandons-nous ce que l’on peut faire pour elle.
    Flute c’est pas de moi ça, c’est JFK non?

  17. Ben oui,moi aussi je remercie de l’attention crée par BENJI sur notre appartenance à une communauté,un Pays ,une Nation ,ouch,j’ai merdé la ??

  18. y’en a qui en parlent bien aussi… http://youtu.be/UTFYAnFLnRc

  19. Certains devraient s’en inspirer

    Aida TOUIRI recoit José Garcia. Elle lui parle discrimination, il lui répond patriotisme et rêve français.

    http://www.fdesouche.com/353280-jose-garcia-on-est-arrive-au-maximum-du-denigrement-de-la-france-video

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