Puisqu’on vous le dit, il n’y a rien à craindre, rien du tout!!!
Une destruction partielle des murs et du toit est survenue mardi dans le quatrième bloc de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine, rapporte le service de presse du site.
« Les constructions en question ne constituent pas une partie substantielle de l’enceinte de confinement (…). Aucun changement de la situation radiologique sur le site n’est détecté. La chute n’a fait aucune victime », indique le service de presse dans un communiqué.
Le 4e réacteur de la centrale de Tchernobyl a explosé dans la nuit du 25 au 26 avril 1986, provoquant la contamination radioactive d’une zone de 160.000 km² dans le nord de l’Ukraine, l’ouest de la Russie et le sud-est de la Biélorussie. La catastrophe de Tchernobyl a été classée au niveau 7, soit le plus élevé de l’échelle internationale des événements nucléaires et radiologiques (INES).
L’Ukraine a entamé la construction d’une nouvelle enceinte de confinement à Tchernobyl le 26 avril 2012, à l’occasion du 26e anniversaire de l’accident nucléaire. Haute de 105 m, longue de 150 m et large de 260 m, l’enceinte aura la forme d’une arche érigée au-dessus du sarcophage en vue de le protéger contre les agressions climatiques pendant 100 ans.
Via sott.net
Donc nous n’avons rien à craindre, et au pire, il y a des frontières auxquelles les nuages radioactifs s’arrêtent! Au pire, on peut y aller pour faire du tourisme puisque le tourisme radioactif existe et cela depuis longtemps!
Le 12 février 2013, une partie du sarcophage de Tchernobyl se serait effondrée. En 2011, les autorités ukrainiennes avaient ouvert aux touristes la zone entourant le sarcophage de la centrale nucléaire. Le journal russe Nezavissimaïa Gazeta avait visité les lieux.Un guide tient un compteur Geiger montrant un niveau de rayonnement 37 fois plus haut que la normale, pendant qu’une touriste prend une photo du sarcophage de la centrale nucléaire de Chernobyl. AFPLes autorités ukrainiennes ont ouvert la zone interdite [d’un rayon de 30 kilomètres autour de la centrale] de Tchernobyl au tourisme.
Fin décembre 2010, le ministère des Situations d’urgence ukrainien, avait présenté au gouvernement une carte du site comportant des itinéraires sans risques. Dès 2011, le secrétariat d’Etat aux Stations balnéaires et au Tourisme propose des parcours aux visiteurs, et en 2012, lorsque le pays accueillera l’Euro 2012 de football, 1 million de touristes sont attendus. Pourtant, le nouveau sarcophage coiffant le réacteur détruit lors de l’accident du 26 avril 1986, le numéro 4, ne devrait pas être achevé avant 2015.[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lAS1ST-LNt8[/youtube]
Ainsi donc, le gouvernement veut transformer l’endroit en zone touristique. Jusqu’à présent, certaines agences, en liaison avec les pouvoirs publics, organisaient l’entrée de petits groupes sur le site de la centrale. Il est facile de trouver ces offres de tourisme extrême sur Internet. Pour accéder à la zone de la catastrophe, il faut avoir plus de 18 ans et payer de 110 à 370 euros. L’agence se charge d’obtenir toutes les autorisations nécessaires.
Les autorités pensent que des dizaines de milliers d’étrangers aimeraient visiter Tchernobyl. En privé, des fonctionnaires du ministère des Situations d’urgence nous ont assuré que certains itinéraires étaient véritablement sans danger, car la contamination radioactive est présente sous forme de taches qu’il suffit de contourner. Et, pour plus de sécurité, l’Etat prévoit de multiplier les bornes de contrôle de la radioactivité.
“A Tchernobyl, le tourisme tel qu’il a commencé à se développer depuis quelques années ne présente aucun danger. Durant leur visite du site, les gens n’absorbent qu’une infime dose de radiations, et cela n’affectera en rien leur santé. Je peux vous le certifier pour avoir moi-même travaillé en permanence dans la zone depuis 1986.” Sergueï Gachtchak est formel. Ce directeur adjoint de la branche scientifique du Centre international de Tchernobyl basé à Slavoutitch [une ville ukrainienne créée pour accueillir les personnes évacuées de la zone d’exclusion] souligne toutefois que l’Etat doit absolument être partie prenante dans la gestion de ce tourisme, car les incursions clandestines se sont beaucoup répandues.
“Les gens s’introduisent dans la zone interdite, mais ils n’ont pas la moindre idée des endroits où se trouvent les taux de radiation les plus élevés. Ils n’ont pas non plus conscience des risques qu’ils prennent en pénétrant dans des bâtiments en ruines, à moitié écroulés, ni du danger que peuvent présenter les animaux sauvages, qui se reproduisent sans voir d’humains depuis un quart de siècle.”
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=_NLF3moePdo[/youtube]
Il estime que l’Etat se doit de mettre en place un tourisme encadré afin d’assurer la sécurité des visiteurs. “Au lieu de stalkers [passeurs, explorateurs et trafiquants bravant les interdits] qui se faufilent dans la zone, il faut des parcours bien organisés, des groupes sous contrôle strict pour éviter que les gens aillent n’importe où et mettent leur santé, voire leur vie en danger.”
Dmitri Zarouba, vice-secrétaire d’Etat aux Stations balnéaires et au Tourisme, a déclaré à l’agence ukrainienne d’informations Glavred que, selon le magazine américain Forbes, la zone de Tchernobyl serait l’une des zones touristiques les plus attractives de la planète, et qu’elle pourrait bientôt attirer jusqu’à 1 million de personnes par an. “Cela nécessite de réglementer de manière précise la circulation et l’accompagnement des visiteurs. Cette zone relève d’un régime spécial, et il est indispensable d’y établir une logistique particulière.”
Viktor Baloga, le ministre des Situations d’urgence, affirme que tout est déjà presque en place et que, dès ce mois de janvier, visiter Tchernobyl va devenir “courant et couru”. Helen Clark, administratrice du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et coordinatrice de l’ONU pour la coopération internationale pour Tchernobyl, n’est pas opposée à cette évolution. “Même si nous sommes face à une histoire dramatique, l’attrait qu’exerce Tchernobyl peut effectivement présenter un certain potentiel économique.”
Article complet sur le Courrier international
Reste un sujet qui va intéresser quelques intervenants du blog: la nature dans la région de Pripiat et l’impact de la radioactivité sur celle-ci:
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=MFYnhPF2m-Y[/youtube]
Au fait, vous saviez que Tchernobyl avait eut droit à sa prophétie elle aussi? 😉 Comme la prophétie des papes ou des mineurs chiliens, pareil!
10) Le troisième ange sonna de la trompette : il chut du ciel une grande étoile qui flambait comme une torche ; elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources.
(11) Cette étoile s’appelle « l’Absinthe ». Ainsi le tiers des eaux tourna en absinthe et bien des gens moururent d’avoir bu de ces eaux empoisonnées.
Tchernobyl, un des signes les plus facile à reconnaître, d’ailleurs, nombre de démonstrations existent sur internet à ce sujet. Ce que Jean appelle l’étoile ardente pourrait être cela, une étoile qui cause des brulures. N’oubliez pas qu’il devait décrire une technologie qu’il ne connaissait pas, de plus le nom de cette étoile est absinthe. Savez-vous qu’en ukrainien le mot « absinthe » se dit « Tchernobyl »? Littéralement cela signifie « herbe amère » , une référence à l’armoise qui est le nom du genre dont la plante d’absinthe fait partie.
Et comment va le professeur Pellegrin
on va l’envoyer refaire la toiture
Tchernobyl herbe de feu, purificatrice !
Certains voulaient l’oublier ?
Tzarpoutine va devoir être inventif.
Chez Leroy Merlin, ils font des promos sur les tuiles.
une page intéressante pour les mesures de la radioactivité.
http://sws.irsn.fr/sws/mesure/index
et aussi https://www.naz.ch/fr/aktuell/zeitverlaeufe.html
c’est un début …
Vinci et Bouygues ont retiré le personnel des lieux pour une question de sécurité.
Ce qui prouve la dangerosité pourtant après 27 ans que cela c’est produit. Immaginez Fukushima avec 3 réacteurs pétés ils en ont pour au moins 300 ans et le pire est encore à venir.
L’humain est d’une idiotie conne, ouai, conne. Comment ces touristes ont’ils le culot de salir la mémoire de tous ceux qui sont morts dans cette cata. Après il faudra traîter les cancers de ces rambos du nuc.. et celà à nos frais.
Vraiment il n’y a que le fric qui compte.
Je propose à tous ces tarés de venir chez moi traverser le Rhône sur un fil en acier et ils pourront compter les cadavres de suicidés, une 12aines par an, qui passent sous leurs pieds. Je peux les équiper d’un compteur de vitesse de courant et d’un baromètre moyennant finance. Le prix est selon la tête du client.